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mais comme tu dis quant aux instruments de musique il ya belle et bien des textes , et pour les étudier il faut procéder scientifiquement religieusement et non pas juste en donnant un avis personnel .
La question est celle-ci : Que dit le Coran concrétement concernant la musique, le chant, la danse et la poésie ? Est-ce que le Coran l'interdit ? On me dira peut-être que si on ne trouve rien dans le Coran il faut regarder dans la Sunna. Est-ce que la Sunna est le LIVRE d'Allah ou bien est censée expliquer le LIVRE d'Allah ?
1 – L’école Hanafite : fondée par Abou Hanifa Annu’ man (80-150 AH), cette école est apparue en Irak, à Koufa et s’est répandue à Bagdad. Elle a adopté les méthodes de son fondateur et celles des choyoukh (maîtres) de l’école comme Abou Youssef et Abou El Hassan. Ses fondements comprennent, en plus des quatre sus mentionnés, l’istihsan, al ‘urf (la coutume) et qawl assahabi (le dire du compagnon du Prophète). L’école est caractérisée aussi par l’adoption des fondements basés sur la raison et par les critères rigoureux qu’elle a établis pour accepter ou réfuter un hadith. Cette école est répandue de nos jours en Afghanistan, en Inde et en Chine.
2 – L’école Malékite : elle a été fondée par Malek Ibn Anass (93-179 A.H). Apparue à Médine, cette école met l’accent sur l’avis des compagnons du prophète et sur la pratique des médinois (‘amal ahl al madina), ces derniers étant les descendants des compagnons du prophète. Elle donne aussi une place importante aux us et aux coutumes de la société s’ils ne contredisent pas le droit musulmanainsi qu’à l’établissement des normes juridiques à partir de l’intérêt général de la société, appelé al masalih al mursala. Les ouvrages de référence de cette école sont, entre autres, le Muwatta de l’imam Malek et la Modawanna, un recueil des avis juridiques de Malek qu’a compilé Sahnoun Ibn Saïd Attanoukhi. Cette école s’est répandue en Andalousie, en Egypte, en Iraq, à Khurassan et en Afrique du nord.
3 – L’école Chaféite : elle a été fondée par Mohammed Ben Idriss Achaféi (150-204 A.H) qui a vécu à la Mecque, puis en Iraq avant de s’installer en Egypte. Il a apprit le fiqh selon l’école malékite puis plus tard selon l’ école Hanafite. Son école s’est positionnée entre l’école hanafite qui prime l’opinion personnelle (arra’ i), et l’école malékite qui se base essentiellement sur la sunna. Pour les chaféites, la sunna est valorisée comme source de droit et une grande importance est donnée au consensus de toute la communauté. Cette école s’est répandue en Egypte, en Arabie, au Koweït, au Yémen, et dans certains pays de l’Asie comme l’Indonésie, la Malaisie et le Thaïlande.
4 – L’école Hanbalite : elle a été fondée par Ahmad Ibn Hanbal (164-241 A.H) considéré par un grand nombre d’ouléma comme un traditionaliste (rajul al hadith) plutôt qu’un juriste. Ibn Hanbal a désapprouvé son maître Achaféi d’avoir adopté l’opinion personnelle. Il a primé le hadith du prophète auquel il a dévoué un recueil appelé « al musnad » et qui comprend plus de 40.000 hadiths. Cette école est adopté l’interprétation apparente (dhahir) du Coran et de la sunna et rejette le raisonnement par analogie. Les écoles juridiques se différentient, certes, dans l’interprétation et la déduction des lois et des prescriptions juridiques et leur application. Toutefois, cette différence illustre une sagesse parfaite et la clémence de Dieu envers ses serviteurs. La marge de manoeuvre dans la déduction des lois est très large.La communauté musulmane se trouve devant une multitude de lois et de méthodes qui lui permettent de faire face aux nouvelles situations et aux problèmes juridiques imposés par la vie moderne et par l’évolution des sciences et des sociétés.
une science? des sciences?
des avis? des interprétations?
La pratique de l’Islam s’appuie sur la charia, la « voie » dont les sources sont le Saint Coran et l
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L’école Hanafite, fondée par l’imam Abou Hannifa Annou’mane (699-767) fut la première et la plus répandue. Elle est la plus libérale et laisse le champ libre à la raison et au libre arbitre. Cette école est dominante en Inde, au Pakistan, en Turquie, en Afghanistan, en Syrie, en Russie, en Chine, et dans certaines régions de l’Egypte et de la Tunisie.
L’école Malékite, a été fondée par l’imam Malik Ibn Anas (715-795) à Médine. Elle est très conservatrice et s’appuie sur l’avis des compagnons du prophète et sur les coutumes en vigueur à Médine (‘amal ahl al madîna) au temps du Prophète ﷺ. Elle s’est répandue en Andalousie, et est actuellement observée en Afrique du nord , en Mauritanie, au Soudan, au Koweït, Bahrein et aux Emirats arabes.
L‘école Chafiite a été fondée par l’imam Mohamed ibn ldriss Ach-Chafii (767-820), élève de deux écoles précédentes. Son mérite réside dans la distinction qu’elle a su faire au sein des principes juridiques. Elle donne une grande importance au consensus de toute la communauté. Elle est répandue dans tout le Proche Orient, en Indonésie, la Thailande, Malaisie, Jordanie, Palestine, Syrie, Liban, quelques régions d’Egypte et aux Iles Comores.
L ‘école Hanbalite, fut fondée par Ahmad Ibn Hanbal (780-855). incarne une piété rigoureuse, traditionnelle et sans compromis. En raison de sa rigidité, cette école est peu répandue. Elle domine en Arabie Saoudite et dans certains petits états de la presqu’île arabique. Elle est également présente en Syrie et en Irak.
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Les divergences Les sources de l’islam sont exactement les mêmes mais leurs interprétations ont donné naissance à plusieurs écoles de jurisprudence (madhâhib) dont celles encore vivantes sont : l’é…
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1 – L’école Hanafite :
Fondée par Abû Hanîfa Annu‘mân (699 – 767) en Irak, à Kufa et s’est répandue à Bagdad.
Elle a adopté les méthodes de son fondateur et celles des maîtres de cette école après lui comme Abû Yûsuf et Abû El Hassan.
Ses fondements comprennent, en plus du Coran et de la Sunna :
→ l’istihsân («La préférence juridique» qui consiste pour le juriste « Faqīh » à préférer un argument juridique à un autre argument juridique d’égale force.)
→ Al ‘urf (la coutume)
→ Qawl as-sahâbî (les paroles des compagnons du Prophète)
Cette école est caractérisée surtout par l’utilisation de la raison et de l’opinion : Ar-ra’y
Elle est considérée comme l’école la plus libérale car le contexte de son apparition est lié à une société très complexe avec beaucoup de nouveaux besoins.
Elle est répandue de nos jours en Afghanistan, en Inde, au Pakistan, en Turquie, en Iran, en Syrie, en Russie et en Chine.
2 – l’école Malikite :
Fondée par Mâlik Ibn Anas (711 – 795), le Savant de Médine comme l’a prédit le Prophète paix et salut sur lui.
Apparue à Médine, elle met l’accent sur : → L’avis des compagnons du prophète et sur la pratique des médinois (‘amal ahl al madîna), ces derniers étant les descendants des compagnons du prophète.
→ Les coutumes de la société s’ils ne contredisent pas la loi divine
→ L’établissement des normes juridiques à partir de l’intérêt général de la société, appelé al masâlih al mursala.
L’imam Mâlik était réputé pour sa narration du Hadîth, il est considéré comme l’un des meilleurs en la matière.
Les ouvrages de référence de cette école sont, entre autres, le Muwatta’ (la voie rendue aisée) premier recueil de Hadîth et de Fiqh en Islam de l’Imâm Mâlik et la Mudawanna, un recueil des avis juridiques de Mâlik qu’a compilé son élève Sahnûn Ibn Saïd At-tanûkhî.
La plupart des disciples de l’Imâm Mâlik sont partis en Afrique du nord et en Espagne.
Cette école s’est répandue en Andalousie, au Maghreb, en Afrique subsaharienne, aux Emirats,au Koweït, à Bahreïn, au Soudan, et au Khurâsân.
3 – l’école Shâfi‘ite :
Fondée par Muhammad Ibn Idriss Ash-shâfi‘î (767 – 820) qui a vécu à la Mecque, puis en Irak avant de s’installer en Égypte.
Il a appris le fiqh selon l’école malékite puis plus tard selon l’école Hanafite.
Son école s’est positionnée entre l’école hanafite (qui prime l’opinion personnelle (ar-ra’y), et l’école malékite (qui se base essentiellement sur la sunna.)
Pour les Shâfi‘ite, la sunna est valorisée comme source de droit et une grande importance est donnée au consensus de toute la communauté (Ijmâ‘).
Cette école s’est répandue en Egypte, au Yémen, et dans certains pays de l’Asie comme l’Indonésie, la Malaisie et la Thaïlande.
4 – l’école Hanbalite :
Fondée par Ahmad Ibn Hanbal (780 – 855).
Elle est pratiquement née du conflit qui a opposé Ibn Hanbal aux Mu’tazilites (rationalistes hellénisants passablement intolérants) et aux autorités politiques qui soutenaient alors les Mu’tazilites.
Ibn Hanbal n’était pas d’accord avec son maître Ash-shâfi‘î pour ce qui est de l’utilisation de l’opinion personnelle.
Il faisait primer les ahadîth du Prophète auquel il a dévoué un recueil appelé « al musnad » et qui comprend environ 40.000 hadîths.
Cette école adopte l’interprétation apparente (Zâhir) du Coran et de la sunna et rejette le raisonnement par analogie sauf dans des cas rares.
Ibn Hanbal se méfiait donc du ra’y (opinion personnelle) et du qiyâs (analogie), car, selon lui, ils avaient ouvert la porte à l’hérésie mu’tazilite, source d’innovations pécheresses et de division de la communauté.
Cette école ne va que très peu se propager. Ses élèves apportèrent néanmoins leur madhhab dans des contrées lointaines, notamment dans le nord de l’Iran où allait naître le Sheikh Abd al-Qâdir al Jilânî (mort en 1166 ap. J.-C.), grand organisateur du soufisme confrérique.
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Abu Hanifa an-Nu'man ibn Thabit serait né en l’an 700 à Koufa en Irak, haut-lieu commercial, cosmopolite et culturel sous la dynastie des califes musulmans. Abu Hanifa, originaire d’une famille de marchands, se lance à son tour dans le commerce de la soie dont il tirera de confortables revenus.
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L’époque d’Abu Hanifa était marquée par une multitude de sources, de textes, de récits mais sans réelle traçabilité et auxquels commençaient à s’insinuer des rites ayant trait aux coutumes et aux traditions plus qu’à la religion. An-Nadir Ibn Shumayl, grammairien et exégète, dira : » Les gens étaient endormis, négligeant le Fiqh, jusqu’à ce qu’Abu Hanifa les réveilla par ce qu’il a expliqué et exposé ». Sa doctrine a été le moyen de créer une pratique harmonieuse, raisonnée, fondée sur les sources de droit et de générer une unité cultuelle et rituelle entre les musulmans.
Abou Hanifa était un homme de dialogue et les problématiques juridiques et religieuses étaient débattues avec ses élèves, de sorte que chacun puisse exprimer de façon équitable son opinion. De cette propension à la discussion a certainement résulté la méthodologie particulière d’analyse et de déduction pour apporter une solution aux questions religieuses, le Qiyas. Le maddhab hanafite est en effet celui qui s’est le plus servi de ce procédé, les autres l’ayant utilisé avec parcimonie car le jugeant trop subjectif. L’imam dira : » Je prends le Livre d’Allah lorsqu’il contient la réponse, sinon, je prends la Sunna du messager d’Allah, paix et bénédiction d’Allah sur lui, si je ne trouve pas dans la Sunna, je prends l’opinion de ceux que je veux parmi ses compagnons, et je laisse celles de qui je veux, je ne laisse leur opinion au profit de celle d’autres personnes, et lorsque l’on en vient à l’opinion d’Ibraham, Ash-Sha`bi, Al-Huss, Ibn Sirin ou Sa`id Ibn Al-Musayyab, alors je recours à l’Ijtihad comme ils l’ont fait« . Cependant, derrière cette apparente souplesse se cachent en réalité des critères draconiens pour élaborer des jugements. Par ailleurs, outre ses prouesses d’esprit déployées pour répondre à des questions précises, son ingéniosité était sans pareil pour imaginer d’innombrables cas de figure potentiels. En fin juriste, il avait en effet perçu la complexité inimaginable de la jurisprudence et a ainsi profusément amplifié le domaine du droit.
Ce maddhab se répandit surtoutgrâce àAbu Yussuf, un disciple d’Abu Hanifa, quioccupa la fonction de Qadi qu’avait refusée son maitre, faisant ainsi de l’école hanafite l’école officielle de cette dynastie et permettant par conséquent de diffuser largement cette doctrine.
Je suppose que monsieur veut savoir si je suis éventuellement un CORONANISTE. Je ne le suis pas même si chez eux il y a de bons arguments.
Je ne rejette pas les hadiths mais une partie qui sont dépourvus de bon sens ou qui vont même à l'encontre du Coran. En quelle honneur devrai-je accepter la lapidation ou la circoncision sous pretexte que des hadiths en parlent ?
Je ne denigre pas les savants qui eux ne donnent que des avis. Suis-je obligé de les suivre ?
Je ne fais pas mon propre Tafsir, mais j'essaie de me faire une opinion, après tout Allah nous encourage à la refléxion.
Abou Abdillah Malik ibn Anas ibn Malik al-Humayrî al-Asbahi al-Madani est né en 93 de l’hégire à Dhou al-Marwah (au nord de Médine). Il grandit dans un foyer baignant dans le savoir du hadith, notamment avec son grand-père Malik ibn Abi ‘Amir, un grand érudit parmi les Tabi’oun (Successeurs).
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Il s’initia ainsi au droit canonique, et perfectionna son savoir de la tradition prophétique (Sounna) auprès des meilleurs maîtres médinois de son époque. Selon l’imam al-Nawawi, il eut 900 professeurs, dont 300 Tabi’oun, dont le distingué Ibn Hourmouz al-A’raj, Nâfi’ (l’esclave affranchi d’Ibn ‘Umar – radhiAllahou‘anhoum), Yahyâ ibn Sa’îd al-Ansârî le juge de Médine, etc. Toutes ces sommités inculquèrent à Malik les meilleures valeurs morales et religieuses dont attesteront plus tard ses élèves.
La principale particularité de cette école est l’attachement à la Sounna telle qu’elle a été transmise par les grands savants médinois. Malik est donc le lien entre la communauté musulmane et le savoir du hadith. Il avait la certitude que les habitants de Médine étaient les plus connaisseurs du hadith, et ne voyait donc aucune utilité de voyager à la quête du savoir.
Son œuvre majeure s’intitule Al-Mouwatta (la voie aplanie), elle est le fruit d’un travail de pas moins de quarante années, afin de ne recueillir que les ahadith les plus authentiques avec des transmetteurs de qualité. Comme son nom l’indique, ce recueil se veut un exposé clair de la jurisprudence islamique avec les narrations prophétiques les plus authentiques, d’après les habitants du Hijâz, les paroles des Compagnons, celles des Successeurs et ceux après eux. Cet ouvrage reflète la pensée du malikisme dont voici quelques principes :
l’analogie (qiyas), l’effort d’interprétation (ijtihad), et le consensus (ijma) qui caractérisent les 4 écoles ;
la pratique des Médinois : l’opinion des savants de Médine constitue une source de droit compte tenue de l’importance sacrée de cette ville ;
l’intérêt général de la société ;
la préférence juridique. C’est une exception à la règle pour éviter un mal ou pour une nécessité. (Malik se base par exemple sur le cas du calife ‘Umar ibn al-Khattab qui avait suspendu le châtiment du voleur en temps de famine) ;
la prévention des moyens qui peuvent entraîner un mal ;
la législation de nos prédécesseurs ;
les us et coutumes (le malikisme accorde une grande importance aux coutumes d’une société s’ils ne contredisent pas la loi divine) ;
Abou Abdillah Muhammad ibn Idrîs est né en 150 de l’hégire (772 de l’ère grégorienne) à Gaza en Palestine, le jour de la mort de l’imam Abou Hanifa. Il est issu de la noble lignée des Banu Hâshim, tout comme le Prophète (salaLlahu ‘alayhi wa salam). Il fut appelé «Nâsir al-Sunna".
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Il fut appelé « Nâsir al-Sunna » (Secoureur de la Tradition prophétique) et le « soleil des juristes ».
Il se rendit ensuite deux fois à Bagdad quelques années avant de s’installer en Egypte pour apprendre auprès de l’imam al-Layth, élève de l’imam Malik. Malheureusement, il décéda avant son arrivée mais al-Shafi’i étudia ses rites auprès de ses élèves et instaura ses raisonnements. Il rédigea alors le recueil « Al-Oum » (L’Essence), où il intégra le fiqh de l’imam al-Layth à sa propre école, avec des nouveaux hadiths et des positions légales revues. Il fut également le premier à systématiser les fondements du fiqh, « ousoul al-fiqh », dans son livre « Al-Risâla ». Ibn Khaldûn, le célèbre historien, fera plus tard cette brillante comparaison : « L’attribution des fondements du fiqh à al-Shâfi’i est semblable à l’attribution de la logique à Aristote ».
Le madhhab de l’imam al-Shâfi’i est réputé pour être le plus conservateur des 4 écoles de jurisprudence, cependant de nombreux partisans gardent une certaine liberté dans leur pratique. Tout comme ses deux prédécesseurs, le rite shaféite est basé sur le Coran, la Sunna du Prophète (salaLlahu ‘alayhi wa salam), le consensus, l’analogie (bien qu’il en ait limité l’utilisation), et les avis des Compagnons, en particulier les quatre premiers califes. Et bien qu’il soit une autorité reconnue dans l’authentification des traditions prophétiques, il n’avait pas les mêmes critères que Malik et Abou Hanifa dont il a rejeté certains des principes. Ainsi, si le hadith ne présente aucune défaillance, il est accepté même s’il n’est pas conforme aux actes des médinois, comme l’imam Malik l’exigeait. Al-Shâfi’i ne prend donc pas en compte les coutumes des habitants de Médine, invalide la règle de l’intérêt absolu, et rejette en bloc l’opinion personnelle.
Cetais en lien avec la première question j'avais pas encore vu ta réponse mais j'ai compris
Tu es un doué d'intelligence capable de tirer bénéfice des sens du Coran et de la Sounnah oups non pas celle ci ou alors très peu de hadith que tu as rendu sahih
Peut être est tu tellement haut spirituellement que tu n'a plus besoin de prier
Tu devrais quitter la section islam bavarder avec des gens de la masse va te rabaisser a leur faible niveau
La quatrième et dernière école sunnite de l’Islam fut fondée par Ahmed Ibn Hanbal. Il s’agit d’une école d’interprétation des textes sacrés musulmans propre à l’islam sunnite connu sous le nom « d’école hanbalite ».
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Il fut gouverneur de Sarakhs sous les Omeyyades et l’un des premiers propagandistes Abbassides. Il entreprit des études de jurisprudence musulmane et de hadith sous la direction des plus grands maîtres connus à l’époque.
Il convient de rattacher sa formation juridique à l’école du hadith du Hidjaz. Il était un fidèle disciple de l’Imam al-Shafi’i qu’il connut personnellement.
Après avoir étudié le fiqh et la science du hadith sous différents maîtres à Bagdad (il y suivit les enseignements de l’imam al-Shafi’i et d’Abou Youssouf, disciple d’Abou Hanifa et reçut des ahadith écrits de Mouhammad Al-Shaybânî) puis en Syrie et au Yémen. Ibn Hanbal s’émancipa progressivement pour fonder une école de pensée plus rigoureuse lui paraissant la plus conforme au Coran et à la Sunna.
Sa notoriété dans l’histoire de l’islam vient également de la fermeté avec laquelle il tint tête à la politique du califat mou’tazili (adeptes de l’idéologie selon laquelle le Coran serait une créature et pas la Parole révélée d’Allah). Cette doctrine fut imposée par la force aux savants et ceux qui s’y opposaient étaient démis de leurs fonctions. Lorsque l’imam Ibn Hanbal refusa d’admettre le dogme de la création du Coran il fut arrêté, emprisonné et torturé pendant deux ans et demi. Il ne renia jamais ses convictions et fut libéré en raison de la colère grandissante du peuple face à ces traitement humiliants: à sa sortie il se replia chez lui pendant 5 ans puis fut réhabilité par le Calife Al-Mutawakkil qui n’adhérait pas a la pensée mou’tazili et abolit alors la théorie de création du Coran.
Parmi ses fidèles élèves on retrouve ses deux fils, Salih et aussi les illustres imams al-Boukhari et Muslim, grands savants du hadith et parmi les plus notoires compilateurs de ahadith, en raison de leur rigueur dans les critères de fiabilité.
Ibn Taymiyya fut inspiré par son travail ainsi que Muhammad Ibn ‘Abd al-Wahhab, puis l’émir Muhammad Ibn Sa’ud. C’est la raison pour laquelle l’école hanbalite est aujourd’hui celle du royaume d’Arabie saoudite.
L’Imam Ahmed Ibn Hanbal mourut en juillet 813 à Bagdad, à l’âge de 75 ans, des suites d’une courte maladie. Il fut enterré dans le Cimetière des Martyrs « Maqabir ach-chouhada ».
Malheureusement, sa tombe fut le théâtre de manifestations de dévotions ardentes et d’innovations, à tel point que les autorités califiennes prirent la décision de faire garder le cimetière.
Cetais en lien avec la première question j'avais pas encore vu ta réponse mais j'ai compris
Tu es un doué d'intelligence capable de tirer bénéfice des sens du Coran et de la Sounnah oups non pas celle ci ou alors très peu de hadith que tu as rendu sahih
Peut être est tu tellement haut spirituellement que tu n'a plus besoin de prier
Tu devrais quitter la section islam bavarder avec des gens de la masse va te rabaisser a leur faible niveau
mais comme tu dis quant aux instruments de musique il ya belle et bien des textes , et pour les étudier il faut procéder scientifiquement religieusement et non pas juste en donnant un avis personnel . La question est celle-ci : Que dit le Coran concrétement concernant la musique, le chant, la...
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on parle de science depuis plusieurs posts
quelqu'un peut-il définir cette science?
en quoi elle consiste?
sur quoi elle repose?
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Il s'adresse à qui ? En quel terme ? Vu que les ahadith sont pas a prendre en compte au vu de la facile manipulation des écrits comment doit on faire que doit on écouté
Il s'adresse à qui ? En quel terme ? Vu que les ahadith sont pas a prendre en compte au vu de la facile manipulation des écrits comment doit on faire que doit on écouté
Cela se voit que tu as de mal à comprendre. Je n'ai pas dit que le voile n'a pas à être porté, j'ai dit que le voile n'est pas obligatoire dans le verset en question et que ce qui est obligatoire pour la femme musulmane est de se couvrir la poitrine.
les quatre Imams : l’Imam Abou hanifa, l’Imam Malik, l’Imam Ach-Chafi’i, l’Imam Ahmad et autres parmi les Imams de la guidée et de la religion, ont tous appelés à s’accrocher à la Sunna, qu’Allah leur fasse miséricorde. Ils ont tous dit :
« Si le hadith est authentique alors c’est mon madhab. ».
Ils ont tous dit :
« Si vous trouvez une de mes paroles qui contredit la parole du Prophète (صلى الله عليه و سلم), alors jetez-la contre le mur. ».
Et ils ont tous dit :
« Ne prends pas ma parole tant que tu ne connais pas ma preuve. ».
les quatre Imams : l’Imam Abou hanifa, l’Imam Malik, l’Imam Ach-Chafi’i, l’Imam Ahmad et autres parmi les Imams de la guidée et de la religion, ont tous appelés à s’accrocher à la Sunna, qu’Allah leur fasse miséricorde. Ils ont tous dit :
« Si le hadith est authentique alors c’est mon madhab. ».
2:256 لَا إِكْرَاهَ فِي الدِّينِ قَد تَّبَيَّنَ الرُّشْدُ مِنَ الْغَيِّ فَمَن يَكْفُرْ بِالطَّاغُوتِ وَيُؤْمِن بِاللَّهِ فَقَدِ اسْتَمْسَكَ بِالْعُرْوَةِ الْوُثْقَى لَا انفِصَامَ لَهَا وَاللَّهُ سَمِيعٌ عَلِيمٌ
Nulle contrainte en din! Car le bon chemin s'est distingué de l'égarement. Donc, quiconque mécroit au tâghût tandis qu'il croit en Allah saisit l'anse la plus solide, qui ne peut se briser. Et Allah est Audient et Omniscient.
2:257 اللَّهُ وَلِيُّ الَّذِينَ آمَنُوا يُخْرِجُهُم مِّنَ الظُّلُمَاتِ إِلَى النُّورِ وَالَّذِينَ كَفَرُوا أَوْلِيَاؤُهُمُ الطَّاغُوتُ يُخْرِجُونَهُم مِّنَ النُّورِ إِلَى الظُّلُمَاتِ أُولَئِكَ أَصْحَابُ النَّارِ هُمْ فِيهَا خَالِدُونَ
Allah est le défenseur de ceux qui ont la foi: Il les fait sortir des ténèbres à la lumière. Quant à ceux qui ne croient pas, ils ont pour défenseurs les tâghût, qui les font sortir de la lumière aux ténèbres. Voilà les gens du Feu, où ils demeurent éternellement.
31:20 أَلَمْ تَرَوْا أَنَّ اللَّهَ سَخَّرَ لَكُم مَّا فِي السَّمَاوَاتِ وَمَا فِي الْأَرْضِ وَأَسْبَغَ عَلَيْكُمْ نِعَمَهُ ظَاهِرَةً وَبَاطِنَةً وَمِنَ النَّاسِ مَن يُجَادِلُ فِي اللَّهِ بِغَيْرِ عِلْمٍ وَلَا هُدًى وَلَا كِتَابٍ مُّنِيرٍ
Ne voyez-vous pas qu'Allah vous a assujetti ce qui est dans les cieux et sur la terre? Et Il vous a comblés de Ses bienfaits apparents et cachés. Et parmi les gens, il y en a qui disputent à propos d'Allah, sans 3ilm, ni guidée, ni Livre éclairant.
31:21 وَإِذَا قِيلَ لَهُمُ اتَّبِعُوا مَا أَنزَلَ اللَّهُ قَالُوا بَلْ نَتَّبِعُ مَا وَجَدْنَا عَلَيْهِ آبَاءَنَا أَوَلَوْ كَانَ الشَّيْطَانُ يَدْعُوهُمْ إِلَى عَذَابِ السَّعِيرِ
Et quand on leur dit: «Suivez ce qu'Allah a fait descendre», ils disent: «Nous suivons plutôt ce sur quoi nous avons trouvé nos ancêtres». Est-ce donc même si le shaytan les appelait au châtiment de la fournaise!
31:22 وَمَن يُسْلِمْ وَجْهَهُ إِلَى اللَّهِ وَهُوَ مُحْسِنٌ فَقَدِ اسْتَمْسَكَ بِالْعُرْوَةِ الْوُثْقَى وَإِلَى اللَّهِ عَاقِبَةُ الْأُمُورِ
Et quiconque soumet son être à Allah, tout en étant bienfaisant, s'accroche réellement à l'anse la plus ferme. La fin de toute chose appartient à Allah.
6:159 إِنَّ الَّذِينَ فَرَّقُوا دِينَهُمْ وَكَانُوا شِيَعًا لَّسْتَ مِنْهُمْ فِي شَيْءٍ إِنَّمَا أَمْرُهُمْ إِلَى اللَّهِ ثُمَّ يُنَبِّئُهُم بِمَا كَانُوا يَفْعَلُونَ Ceux qui émiettent leur religion et se divisent en sectes, de ceux-là tu n'es responsable en rien: leur sort ne dépend que d'Allah. Puis Il les informera de ce qu'ils faisaient.
voilà à quoi je m'accroche personnellement, à Allah
31:21 وَإِذَا قِيلَ لَهُمُ اتَّبِعُوا مَا أَنزَلَ اللَّهُ قَالُوا بَلْ نَتَّبِعُ مَا وَجَدْنَا عَلَيْهِ آبَاءَنَا أَوَلَوْ كَانَ الشَّيْطَانُ يَدْعُوهُمْ إِلَى عَذَابِ السَّعِيرِ
Et quand on leur dit: «Suivez ce qu'Allah a fait descendre», ils disent: «Nous suivons plutôt ce sur quoi nous avons trouvé nos ancêtres». Est-ce donc même si le shaytan les appelait au châtiment de la fournaise!
le qur'an, quand on fait l'effort de le lire (le texte en arabe) pour le comprendre (c'est à dire pas juste pour lire phonétiquement), il est d'une telle richesse et d'une telle clarté que je n'éprouve pas le besoin d'aller chercher quoique ce soit à coté...
Maintenant, oui, j'ai conscience que je vais paraître présomptueux en disant ça, mais c'est pas mon but ni le cas... je suis loin, très loin de pouvoir le lire en arabe et de le comprendre (je ne suis pas arabophone et je n'ai pas grandit dans un contexte arabe)
mais quand ne serait ce qu'approcher du sens d'un mot (qui n'est le plus souvent pas celui de la traduction) et tellement plus en conformité avec le qur'an dans son ensemble (cohérent avec le tout pas juste quelques versets), c'est juste incroyable
je fais mon bonhomme de chemin avec Allah et il me suffit