Selon de hauts scientifiques japonais, le réchauffement climatique na rien à voir avec lactivité humaine
Steve Watson, 27 février 2009
Un rapport scientifique majeur duniversitaires japonais conclut que le réchauffement planétaire n'est pas dû à l'homme et que la tendance au réchauffement généralisé depuis le milieu de 20ème siècle est désormais arrêtée.
Comme il fallait sy attendre, ce rapport publié le mois dernier a été totalement passé sous silence par les médias occidentaux. Ce rapport a été entrepris par la Société de lÉnergie et des Ressources (JSER) japonaise, une société représentant les scientifiques universitaires des domaines de l'énergie et des ressources. La JSER agit en comité consultatif gouvernemental, tout comme le fait pour lONU le Groupe Intergouvernemental d'Experts sur l'Évolution Climatique (GIEC).
Ses conclusions contrastent fortement de celles du GIEC, avec cependant un seul hauts chercheurs sur les cinq d'accord avec l'affirmation du fait que le réchauffement récent a été accéléré par les émissions carbonées de l'homme.
Ce rapport commandé par le gouvernement critique la modélisation informatique du climat et dit aussi que les données des États-Unis sur la température au sol, utilisées pour appuyer les dires de la responsabilité humaine dans le réchauffement, manquent trop de perspicacité.Le mois dernier, aucun grand média occidental nayant couvert la sortie du rapport, cela a incité le site Internet de science et technologie de Grande-Bretagne The Registre à commander la traduction du document.
La première partie met en évidence larrêt du réchauffement planétaire, notant que, depuis 2001, la hausse de la température à l'échelle mondiale a pris fin, malgré la montée continue des émissions de CO2. Le rapport indique ensuite que le récent réchauffement subi par la planète est essentiellement dû au rétablissement de ce que l'on appelle le « Petit Âge Glaciaire, » qui a eu lieu aux alentours de 1400 jusquà 1800 et fait partie d'un cycle naturel. Les chercheurs concluent en plus que le réchauffement climatique et l'arrêt de la montée de la température sont liés à l'activité solaire, une idée rejetée auparavant par le GIEC.
Lintroduction du rapport déclare : « L'hypothèse selon laquelle la majorité du réchauffement mondial pourrait être attribué à l'effet de serre est fausse. »
Kanya Kusano, directeur de programme et chef du groupe de simulation de la Terre à lagence japonaise des sciences marines de la Terre et des technologies (JAMSTEC) confirme ce point : Les conclusions [du GIEC], selon lesquelles le température atmosphérique actuelle est susceptible de présenter un processus uniforme de montée continue, devraient être perçues comme une hypothèse indémontrable.
Shunichi Akasofu, chef du Centre International de Recherche Arctique en Alaska, cite des données historiques pour contester l'affirmation de lanomalie des températures très récentes : Nous devons faire preuve de prudence, la théorie du GIEC, selon laquelle la température atmosphérique a augmenté depuis 2000 parallèlement au CO2 n'est qu'une hypothèse. Avant que quelqu'un lait remarqué, cette hypothèse a été substituée à la vérité ... Il doit être mis fin à l'opinion selon laquelle une grande catastrophe se produira réellement.
Les conclusions de ce rapport concordent avec celles de centains de scientifiques occidentaux, qui ont fait lobjet de dérision et ont même été comparés à des négationnistes pour avoir remis en cause le soi-disant « consensus » sur le réchauffement climatique.
L'absence totale de couverture de cet important rapport, qui a été reçu [diffusé aux agences de presse, ndt], est un autre exemple de la manière dont est détournée la couverture du changement climatique en faveur dun seul jeu d'hypothèses.
Ça sert intentionnellement un ordre du jour destiné à susciter l'hystérie de masse, au nom de tous les gouvernements trop désireux dintroduire une fiscalité et des mesures de contrôle draconiennes qui ne feront rien pour lutter contre quelque forme de réchauffement planétaire, qu'il soit naturel ou artificiel.
source: Infwars.net
Les principaux passages de la traduction [anglaise] du rapport sont consultables:
http://www.theregister.co.uk/2009/02/25/jstor_climate_report_translation/page2.html