Le mensonge du réchauffement climatique

Climat : un rapport confidentiel de 1988 embarrassant pour Shell
Un journaliste hollandais a révélé un rapport interne confidentiel datant de 1988 qui montre à quel point la compagnie pétrolière était consciente des risques de son industrie en matière environnementale. https://www.lesechos.fr/2018/04/cli...entiel-de-1988-embarrassant-pour-shell-988323



Les climatonégationistes idiots utiles ou complices volontaires ?

Shell, Exxon, et bien d'autres savaient ce qui allaient arriver

Shell papers :

Se basant sur les modèles mathématiques des ordinateurs « les plus performants de l'époque », les scientifiques prévoient une augmentation de la température de la planète de « 1,3 à 3,3°C » aux environs de 2070.

Ce réchauffement s'accompagnera « de changements significatifs du niveau des mers, des courants marins, des modèles de précipitations, de la météo, [occasionnant] les plus importantes transformations jamais connues depuis 12.000 ans. Ces changements à la fois rapides et spectaculaires auront un impact sur l'environnement humain, les standards de vie futurs, les ressources en nourriture et pourraient avoir des conséquences sociales, économiques et politiques majeures », alerte le rapport.

« A partir du moment où le réchauffement climatique sera détectable, il pourrait déjà être trop tard pour prendre des contre-mesures effectives pour en réduire les effets, ou même stabiliser la situation »

Un an après ce rapport, le groupe pétrolier intégrait le Global Climate Coalition, une organisation réunissant plusieurs industriels de l'énergie qui s'est attelée, dans les années 1990, à lutter contre les actions pour réduire les gaz à effet de serre, notamment en défiant les recherches scientifiques sur le réchauffement climatique. Le groupe s'est même opposé, en 1997, au protocole de Kyoto


http://www.climatefiles.com/s…/1988-shell-report-greenhouse/
 

Réchauffement climatique: procès en vue pour ExxonMobil
Par Le Figaro avec AFP
Publié hier à 01:47

ExxonMobil a-t-il trompé les investisseurs et délibérément sous-estimé les risques financiers liés au changement climatique?
Un juge new-yorkais vient de donner son feu vert à un procès inédit sur cette question. La plainte avait été déposée en octobre 2018 par le procureur général de l'Etat de New York, au nom de millions d'investisseurs américains lésés par la fraude présumée de la compagnie, cotée au New York Stock Exchange. Le juge Barry Ostrager, de la Cour suprême de l'Etat de New York, a rejeté d'ultimes motions mercredi soir et fixé l'ouverture du procès à mardi prochain.

https://www.lefigaro.fr/economie/rechauffement-climatique-proces-en-vue-pour-exxonmobil-20191018

Ecocide , complicité de génocide de l'humanité c'est pas grave , mais tromper les investisseurs çà çela mérite un procés!!!
 
Les scientifiques viennent de réaliser que le pergélisol, soit un cinquième de la surface terrestre, s'est réchauffé et commence à émettre du CO2 en hiver.
Ils ont découvert que beaucoup plus de carbone était libéré que prévu. Les résultats montrent que les émissions de dioxyde de carbone — soit 1,7 milliard de tonnes par an — sont environ deux fois plus élevées que les estimations précédentes.
Sur les 37 milliards de tonnes émises par les humains en 2017, ça fait 4,6% en plus qui avaient échappé aux estimations. Et ils n'ont pas encore mesuré le méthane, 30x plus puissant que le CO2.
La toundra est un gigantesque réservoir qui contient nettement plus de carbone que ce qu'on trouve déjà dans l'atmosphère. Quand on parle de point de non-retour, c'est de ce genre de truc qu'il s'agit. Si on prend le virage au frein à main qu'exige les rapports des scientifiques, on pourrait limiter les augmentations des émissions du pergélisol à 17%.
En écrivant ces lignes, je mesure à quel point les chiffres ne permettent pas de prendre la mesure du problème, ni des actions à entreprendre.

 
Températures : la hausse actuelle prévue, les projections s’emballent














L’évolution observée des températures à la surface de la Terre a été prédite avec justesse par les modèles climatiques cités dans les rapports du GIEC. Comme l’ont noté le média spécialisé Carbon Brief ou le climatologue britannique Ed Hawkins, qui compare régulièrement les projections du cinquième rapport du Giec aux observations.

De rapport en rapport, les projections de l’évolution des températures d’ici à la fin du XXIe siècle se sont faites plus inquiétantes au fur et à mesure que l’impact des gaz à effet de serre sur le système climatique de la Terre était mieux compris.

D’abord parce que la croissance des émissions de gaz à effet de serre (dioxyde de carbone, mais aussi méthane) n’a pas été parfaitement anticipée, mais aussi parce que les modèles climatiques ont sans cesse progressé en intégrant de plus en plus finement les très nombreux facteurs qui interagissent et en modélisant plus fidèlement les mécanismes qui lient les grandes entités physiques (terres, air, océans, calottes polaires, etc.).

A cela s’ajoute l’incertitude entourant certaines variables primordiales, comme la « sensibilité climatique », c’est-à-dire le degré de réchauffement moyen de la planète si l’on doublait la concentration de CO2 dans son atmosphère par rapport au niveau préindustriel, que l’on estime être compris entre 2 °C et 4,5 °C. Une incertitude qui change assez nettement la teneur des projections selon la valeur adoptée.










Températures : les prévisions pour 2100 de plus en plus pessimistes

Comparaison des projections de température en 2100 présentes dans les rapports du GIEC jusqu'aux dernières simulations françaises de septembre 2019.

AR1 (1990)AR2 (1996)AR3 (2001)AR4 (2007)AR5 (2014)Projections (2019)2 °C4 °C6 °C

Note : Seuls les scénarios hauts, dits « business as usual » (aucune mesure de lutte contre le réchauffement, priorité au développement économique) ont été sélectionnés. Données harmonisées sur la période 1850-1880.

Sources : Nasa/GISS - Hadley/CRU - NOAA - Berkeley - GIEC

Résultat, alors que les scénarios les plus pessimistes des rapports du GIEC prédisaient jusqu’alors un réchauffement compris entre + 3 °C et + 5 °C (par rapport aux températures préindustrielles), les scénarios les plus récents indiquent un réchauffement potentiel de presque 7 °C, selon les simulations récentes de deux modèles français, qui serviront de référence au sixième rapport du GIEC prévu pour 2020/2021.

Banquise de l’Arctique : une fonte plus rapide que prévu

Verra-t-on dans les décennies qui viennent un océan Arctique sans glace ? Très probablement, au moins en été. Mais la question se posait-elle seulement il y a quelques décennies ? Pas vraiment.

Avant les années 1970 et les premières mesures satellites, l’hypothèse d’une fonte de la grande banquise recouvrant l’océan Arctique ne s’est quasiment pas posée, puisqu’il était alors très difficile de mesurer l’étendue de la glace de mer. Les premières années de mesure n’ont pas changé cet état de fait, le premier rapport du GIEC de 1990 indiquant que l’analyse des données en 1989 ne montre « aucune tendance à long terme d’évolution de la superficie de la banquise entre 1953 et 1984 ». Le second, en 1996, ne s’est pas montré plus inquiétant, puisqu’on peut y lire que la banquise arctique « n’a montré aucune tendance significative de son étendue depuis que les mesures par satellite ont commencé en 1973 ».

La tendance était pourtant bel et bien présente, et il faudra attendre le quatrième rapport, en 2007, pour voir apparaître les premières projections d’une disparition totale de la banquise de fin d’été dans les pires scénarios d’ici à 2100 dans quelques modèles. Mais quasiment tous ceux utilisés dans le rapport ont grandement sous-estimé cette fonte, selon une étude comparée publiée la même année. La comparaison des modèles du 4ème rapport avec les observations, publiée dans « The Copenhagen diagnosis » en 2009 est elle aussi éloquente.





Deux facteurs peuvent principalement expliquer pourquoi les climatologues ont régulièrement sous-estimé le rythme de disparition de la banquise arctique.

Le premier est la variabilité naturelle du climat de l’océan Arctique, qui est assez forte et qui rend toute projection hasardeuse sur quelques décennies. Le deuxième tient à la difficulté des modèles à simuler correctement la formation et la tenue de la glace de mer, qui dépend en effet beaucoup des échanges de chaleur, imparfaitement compris, entre l’océan, l’air et les terres. En 2013, le GIEC a indiqué à ce sujet que seul un quart des modèles utilisés prédisaient correctement le rythme de fonte de la banquise arctique en été.
 
Record de la plus faible extension de glace de mer arctique pour un mois d’octobre

Par Johan Lorck le novembre 7, 2019

L’étendue moyenne de la banquise en octobre a été la plus basse jamais enregistrée, d’après le National Snow and Ice Data Center (NSIDC). Alors que le gel a été rapide le long des mers côtières de Sibérie, de vastes étendues d’eau libre ont subsisté dans les mers des Tchouktches et de Beaufort, favorisant des températures de l’air exceptionnellement élevées dans ces régions. L’étendue reste également faible dans la baie de Baffin.


Le déclin de la couverture de glace de mer dans l’Arctique observé ces dernières décennies se confirme. L’Arctique se réchauffe en effet deux fois plus vite que la moyenne mondiale, un phénomène connu sous le nom d’amplification arctique.


En octobre 2019, l’étendue moyenne de la glace de mer dans l’Arctique a été de seulement 5,66 millions de km², le niveau plus bas pour ce mois depuis les 41 années d’enregistrements par satellite. C’est probablement aussi le plus bas relevé depuis 1850, si l’on se base sur les archives des scientifiques, des journaux, des navires, puis des avions collectées et analysées par le NSIDC.

 
Un modèle qui explique en quatre ou cinq minutes l'effet de l'abandon du charbon, du retour du nucléaire ou de la découverte de la fusion sur la température en 2100. En résumé:

  • L'abandon du charbon permet de limiter le réchauffement à 3,6 C au lieu de 4,1 C en 2100;
  • De très fortes subventions au nucléaire permettent de faire baisser la température de 0,1 C de plus, à 3,5 C
  • La découverte de la fusion dès 2025 (ce qui est impossible, c'est un exercice de pensée) permet de faire baisser la température de 0,1 C de plus, à 3,4 C.

Évidemment, on en reste à des niveaux incompatibles avec la civilisation que nous connaissons dans les trois cas. Les calculs se basent sur l'effet probable sur les autres formes d'énergie et tiennent compte de l'effet rebond.


 
Dès 1982, Exxon savait qu’en 2019 la concentration de CO2 dans l'atmosphère serait de 415 ppm et le réchauffement climatique de +1°C.
Et pendant 37 ans, Exxon a financé des études prétendant l'inverse.
Et pendant 37 ans, Exxon a lutté contre tout ce qui aurait pu l'éviter.
Et pendant 37 ans, Exxon a menti et détruit.
Bénéfice annuel : 16 milliards de dollars. Deuxième capitalisation boursière au monde.
Toute l'obscénité du système, là, sous nos yeux.

https://t.co/4wKRuWdrF9
 
Adelaide, la ville sud-africaine où il n'a pas plu depuis cinq ans
publié le 14 décembre 2019

ttps://www.rtl.be/info/monde/international/a-adelaide-la-ville-sud-africaine-ou-il-n-a-pas-plu-depuis-cinq-ans-1181297.aspx

Climat : le réchauffement menace les rennes et leurs éleveurs en Laponie

L'Arctique vit sa seconde année la plus chaude. la banquise se réduit. Dans la Laponie suédoise, des pratiques ancestrales sont menacées. Les rennes ne peuvent plus se nourrir seuls l'hiver.
https://www.francetvinfo.fr/meteo/c...nes-et-leurs-eleveurs-en-laponie_3739937.html

Au Zimbabwe, une hécatombe d’éléphants à cause de la sécheresse

Publié le 13/12/2019
le Zimbabwe, pour faire face à la sécheresse, a lancé une opération sans précédent de relocalisation de la faune sauvage.

https://www.courrierinternational.c...e-hecatombe-delephants-cause-de-la-secheresse
 
Co
Adelaide, la ville sud-africaine où il n'a pas plu depuis cinq ans
publié le 14 décembre 2019

ttps://www.rtl.be/info/monde/international/a-adelaide-la-ville-sud-africaine-ou-il-n-a-pas-plu-depuis-cinq-ans-1181297.aspx

Climat : le réchauffement menace les rennes et leurs éleveurs en Laponie

L'Arctique vit sa seconde année la plus chaude. la banquise se réduit. Dans la Laponie suédoise, des pratiques ancestrales sont menacées. Les rennes ne peuvent plus se nourrir seuls l'hiver.
https://www.francetvinfo.fr/meteo/c...nes-et-leurs-eleveurs-en-laponie_3739937.html

Au Zimbabwe, une hécatombe d’éléphants à cause de la sécheresse

Publié le 13/12/2019
le Zimbabwe, pour faire face à la sécheresse, a lancé une opération sans précédent de relocalisation de la faune sauvage.

https://www.courrierinternational.c...e-hecatombe-delephants-cause-de-la-secheresse
Continue à alimenter une revue de presse sur le bouleversement qui est en train de se produire de manière flagrante,
cela nous permet de garder les yeux bien ouverts sur le drame de l'humanité...
 
Continue à alimenter une revue de presse sur le bouleversement qui est en train de se produire de manière flagrante,
cela nous permet de garder les yeux bien ouverts sur le drame de l'humanité...

Il faut se méfiez , un événement exceptionnel météorologique ne prouve pas le réchauffement climatique ...
Par contre l'accumulation ....
Le réchauffement climatique n'est quasiment plus nié! Bien sure il y aura toujours des climato-obscurantistes comme il y a des platistes convaincus .

La vrai question c'est quel modéle prédictif de l'évolution du climat est le bon , car le GIEC en propose plusieurs , fait une moyenne . Mais cela ne veut pas dire que la moyenne est la modélisation la plus proche du réel . En fait il semblerait que les modèles qui sont les plus amène de fonctionner avec le passé sont ceux qui sont les plus pessimistes avec un futur a 3 ou 4 degrés...

Alors garder les yeux ouvert c'est bien , mais il faut éviter l'état de sidération et çà c'est pas évident !
 
Il n'y a pas plus de bouleversements climatiques qu'il y a cent ans,,,, les cyclones, typhons des tornades, ouragans, orages, pluies intenses, chaleur,,, ect ont toujours existé depuis tout les temps,,, phénomènes purement naturels pour l'équilibre de la terre,,,
Le problème et ca tous les scientifiques du monde je pense, et d'accord sur ces points, est que ces phénomènes naturels montent en intensité,,, et qu'ils sont en nette augmentation chaque année,,,
Le réchauffement existe bel et bien,,,sinon on ne constaterais pas une montée des océans du à la fonte de la banquise ou glaciers montagnards des innondations, les océans qui avancent et grignotent chaque année de la terre,,,,
Pour des raisons purement économiques, des chefs d'états, réfutent et continuent à réfuter ce phénomène... En Europe la prise de conscience est grande, elle investit un travail fait plus ou moins par les dirigeants,,que ce soit des plus grandes nations ou des pays en voie de dévellopement demandeurs de grande énergie,,,, au détriment de l'environnement qui n'est pas la priorité pour eux,,,,
A part peut-être celle de la population ou il y a une réelle prise de conscience,,,, puisque les "locaux' sont à même de constater les perturbations et dégats que le réchauffement cause au niveau de l'agriculture, pêche ect,,,,, leur vie chaque année en est affectée,
il y aura certes un grand changement d'ici une cinquantaine d'années, les phénomènes catastrophiques que l'on connait depuis une dizaine d'années notamment des étés de plus en chauds, des hivers de plus en plus en froid, selon la partie du monde ou l'on se trouve, ne seront vus comme banalités par rapport à ce qui se préparera dans une cinquantaine d'années,,,, I faut se préparer,,,, nous verrons des terres innondées,,,, inhabitables, il y aura une nouvelle génération de migrants,,, ceux que l'on appelera les migrants climatiques,,,,
Il y a régulièrement des COP ou les chefs d'états s'engagent à améliorer leur politiques en matières d'environnement, à y mettre aussi un paquet de dollars ou d'euros pour investir vers les énergies non polluantes, solaires,,,, pour aboutir à la disparition des énergies fossiles,,, malheureusement,,, tant que ces chefs d'états nieront et penseront à l'économie et le prospérisme de leur pays,,, nous serons sur une côte d'alerte rouge,,, il sera trop tard, Nos enfants risquent d'en faire les frais,,,
 
Ça va plus vite que les consciences ! Il est temps de prendre les issues de secours la maison brule et le feu est hors contrôle !


Avec localement plus de 50 °C, l’Australie va connaître un intense épisode de canicule


16 décembre 2019,
Depuis plusieurs mois maintenant, sécheresse et virulents feux de brousse font rage sur le continent australien. Jamais la saison des incendies n’avait débuté de manière aussi brutale. Et la configuration météorologique attendue cette semaine ne va rien arranger. En effet, une très forte canicule va se mettre en place sur le pays.

 
Le toit du monde prend l'eau
lundi 16 décembre 2019

Les glaciers des hautes montagnes d'Asie du sud sont en train de fondre. D'immenses lacs se forment. Avec un risque d'inondations catastrophiques.

Le Centre international de mise en valeur intégrée des montagnes a publié cette année l’analyse la plus complète à ce jour des effets du changement climatique sur les glaciers de la zone. Il en ressort que, en fonction de la vitesse du réchauffement de la planète, entre un et deux tiers des quelque 56 000 glaciers de la région disparaîtront d’ici à 2100.

C’est là une prévision catastrophique pour 1,9 milliard de Sud-Asiatiques. Car les glaciers leur sont une source d’eau essentielle – d’eau potable et pour les sanitaires, mais aussi pour l’agriculture, l’hydroélectricité, le tourisme. L’étude aborde également une question à court terme : les glaciers fondant à un rythme accéléré, où toute cette eau (environ 3 850 km3, soit plus de trente fois le lac Léman) ira-t-elle?

La réponse est que l’Himalaya, longtemps défini par ses glaciers, est en train de devenir rapidement une chaîne de montagnes caractérisée par des lacs. Une autre étude a révélé que plus de 900 nouveaux lacs alimentés par des glaciers se sont formés dans les hautes montagnes asiatiques entre 1990 et 2010.

Selon Alton Byers, explorateur National Geographic et géographe spécialiste de la montagne à l’université du Colorado à Boulder, « tout cela se déroule beaucoup plus vite qu’on ne le prévoyait il y a seulement cinq ou dix ans ».

https://www.nationalgeographic.fr/environnement/2019/12/le-toit-du-monde-prend-leau
 
L'Iran à court d'eau

En Iran, la pénurie d’eau devient une urgence nationale.
Comment la république islamique a-t-elle sacrifié cette ressource vitale ? Un documentaire éclairant.

Quel est le plus grand danger qui menace l'Iran ? C'est à l'intérieur de ses frontières, et non à l'extérieur, que la réponse est à chercher. Le pays traverse une dramatique crise de l'eau : ses étangs et ses zones humides disparaissent, ses nappes phréatiques se vident tandis que ses rivières s'assèchent. Le phénomène a des conséquences graves pour l'agriculture et de nombreux villages sont en voie de désertification. "Une véritable banqueroute", selon les experts locaux, qui déplorent aussi la frénésie de construction de barrages – plus de six cent cinquante, dont 40 % ne servent plus. Si rien ne change, "l’Iran, avec ses sept mille ans d’histoire, ne sera plus vivable dans vingt ans", s'alarment-ils. Qu'est-il arrivé aux descendants des Perses, réputés pendant des millénaires pour leurs ingénieux systèmes d'irrigation ?

Failles et malversations
Le changement climatique et la baisse de la pluviométrie sont les premières causes identifiables de cette crise environnementale, qui, par son ampleur, crée des tensions régionales au cœur du pays.
L'enquête de Laurent Cibien et Komeil Sohani fait aussi affleurer les failles systémiques de la politique hydrologique iranienne. À une gestion défaillante de l'urbanisation, à des décisions ubuesques et des passe-droits aux effets dévastateurs se surajoutent les malversations qui permettent aux ingénieurs de construire toujours plus et aux entreprises sous contrat avec l'armée de tourner. Suivant le cours de l'emblématique rivière Zayandeh Rud, ce documentaire éclairant raconte une désertification en marche.
https://www.arte.tv/fr/videos/076642-000-A/l-iran-a-court-d-eau/
 
Sur cette vidéo par exemple, je trouve le passage sur la démographie énorme, il y a des sous-entendus dangereux, il dit des choses incroyables sur les futurs déplacements de populations -->c'est révélateur d'un grand bouleversement très proche qui s'annonce et les gens sont insouciants.
Voilà pourquoi j'aime ce topic
 
Mon fils fait actuellement ces études en Finlande . Il a fait plusieurs saisons en Laponie et pense monter son entreprise dans le pays ! Mais même là bas les nouvelle ne sont pas bonnes !

 
Mon fils fait actuellement ces études en Finlande . Il a fait plusieurs saisons en Laponie et pense monter son entreprise dans le pays ! Mais même là bas les nouvelle ne sont pas bonnes !

Gaël Giraud a dit dans une de ses vidéos que certains riches programmaient de s'installer dans les pays scandinaves, loin des littoraux, dans le cas ou le dérèglement passait à une vitesse incontrôlable.

Aujourd'hui en faisant mon footing, j'ai remarqué un grand nombre d'arbres en fleurs ---> mi février,
c'est incroyable.
 
Un rapport scientifique majeur d'universitaires japonais conclut que le réchauffement planétaire n'est pas dû à l'homme et que la tendance au réchauffement généralisé depuis le milieu de 20ème siècle est désormais arrêtée.

La première partie met en évidence l'arrêt du réchauffement planétaire, notant que, depuis 2001, la hausse de la température à l'échelle mondiale a pris fin
, malgré la montée continue des émissions de CO2.
Les conclusions de ce rapport concordent avec celles de centains de scientifiques occidentaux, qui ont fait l'objet de dérision et ont même été comparés à des négationnistes pour avoir remis en cause le soi-disant « consensus » sur le réchauffement climatique.


 
Climat : des températures invivables pour l'homme atteintes plus tôt que prévu

" Des conditions de température et d’humidité que le corps humain est incapable de supporter ont été atteintes pour la première fois dans l’histoire des mesures météorologiques, souligne une étude parue dans la revue Science Advances. Les climatologues n'attendaient pas l'émergence de telles conditions à cause du réchauffement avant 2050.

Des terres gelées du Groenland au désert du Sahara, l’être humain est capable de s’adapter, et même de vivre, dans des conditions extrêmes. Mais il existe une limite à l’adaptation. Des niveaux de températures et d’humidité telles que le corps humain est incapable de survivre. Que vous soyez en parfaite santé, à l’ombre, allongé, immobile, hydraté et ventilé n’y changerait rien : l’être humain meurt en quelques heures à peine dans de telles conditions. Heureusement, ces conditions n’existent plus sur Terre depuis plus de 3 millions d’années. Malheureusement, avec le réchauffement climatique, elles viennent à nouveau d’être atteintes.
C’est ce qu’affirme une étude publiée dans la revue scientifique Science Advances le 8 mai 2020 par des chercheurs américains et britanniques. Ils ont étudié les données de nombreuses stations météorologiques en analysant à la fois les températures et le niveau d’humidité, s’intéressant plus précisément ce qu’on appelle la « température humide », notée TW. Résultat : la fréquence des évènements météo extrêmes compris entre 27°C TW et 35°C TW a doublé depuis 1979. Et pour la première fois depuis que l’on enregistre ces données météo, les 35°C TW ont été dépassés « pendant une heure ou deux » à Jacobabad, au Pakistan, et à Ras al Khaimah, dans les Émirats arabes unis (EAU). "

https://usbeketrica.com/article/climat-temperatures-invivables-atteintes-plus-tot-que-prevu
 
Sécheresse historique en Pologne, Tchéquie et Slovaquie
Article publié le 05.05.2020

« Des ressources comparables à celles de l’Égypte »

La situation est assez similaire en Slovaquie, essentiellement dans l’ouest du pays, limitrophe de la Tchéquie. En Pologne, selon l’agence météorologique nationale, le pays connaît sa pire sécheresse depuis « plus de cent ans ». Un rapport publié l’année dernière et intitulé « Pologne, désert européen » indiquait à cet égard que ses « ressources [en eau] sont comparables à celles de l’Égypte ». « Nous découvrons seulement que la Pologne a un problème avec l’eau, » déclarait alors un expert environnemental de Greenpeace en Pologne, Leszek Pazderski, « nous pensions que c’était un problème de l’Afrique subsaharienne, pas un problème européen »

 

Moins bonne nouvelle pour moi , c'est ma région ! Cette année j'ai mis un max de bois fragmenté dans le jardin pour limité l'évaporation , pas trop coupé les arbres pour avoir de l'ombre...Et rajouter encore une tonne à eau pour récupérer l'eau de pluie ...
 
La Sibérie est touchée par une vague de chaleur exceptionnelle, 35°C au mois de mai
27 mai 2020

La Sibérie, située au Nord de la Russie, est une des régions les plus glaciales de la Terre. Le froid peut y atteindre -70°C, et dans des nombreuses régions, le sol est un permafrost. Il est gelé en permanence depuis des milliers d’années sur des centaines de mètres et ne dégèle qu’en surface.
En général, les températures deviennent positives autour du mois d’avril, et avoisinent les 10 degrés en mai. Cette année, les températures de la Sibérie sont anormalement élevées depuis janvier, et mai a apporté une vague de chaleur exceptionnelle, des températures de 30 à 35°C.


https://blogs.letemps.ch/dorota-ret...de-chaleur-exceptionnelle-35c-au-mois-de-mai/
 
Retour
Haut