Le mensonge du réchauffement climatique

Inde : le thermomètre affiche 47,6 °C à New Delhi, en proie à une vague de chaleur
27/05/2020

Les mois de mai et juin sont extrêmement chauds et secs en Inde, avec des températures dépassant régulièrement les 40 °C. Cette chaleur retombe avec l'arrivée progressive de la mousson au cours du mois de juin.

La canicule écrase la capitale indienne. Avec un mercure grimpant jusqu'à 47,6 °C mardi 26 mai, New Delhi est frappée de plein fouet par la vague de chaleur sèche qui sévit sur le nord de l'Inde. Elle a affiché ce jour-là sa plus haute température pour un jour de mai depuis dix-huit ans.

Dans l'État voisin du Rajasthan, la ville de Churu était au même moment le point le plus chaud du pays, avec 50 °C enregistrés.

https://www.francetvinfo.fr/meteo/c...-en-proie-a-une-vague-de-chaleur_3983163.html
 

citation : là aussi devenu un lieu commun: «l’homme est un prédateur, une espèce nuisible qui détruit la planète!». Que l’homme disparaisse, et ce serait tant mieux pour la nature! Dans son ouvrage récent L’esprit malin du capitalisme, Pierre-Yves Gomez parle d’ «anti-humanisme» et analyse ainsi la situation: «Honte d’être un homme, plutôt que critique du capitalisme spéculatif: la leçon apprise est restituée dans la vie quotidienne. Le fatalisme anti-humaniste est la philosophie convenue de Narcisse. Ce qui ne l’empêche pas de passer à autre chose, car c’est une philosophie de convenance.»
 
Il a fait 38 °C en Sibérie : record de température au-delà du cercle arctique

22 Juin 2020

En Sibérie, la ville de Verkhoïansk, située à 67° de latitude nord, a enregistré samedi 38° C. Voilà plusieurs mois que des températures anormalement élevées sont régulièrement relevées dans la région.

 
Selon de hauts scientifiques japonais, le réchauffement climatique na rien à voir avec lactivité humaine


Steve Watson, 27 février 2009

Un rapport scientifique majeur duniversitaires japonais conclut que le réchauffement planétaire n'est pas dû à l'homme et que la tendance au réchauffement généralisé depuis le milieu de 20ème siècle est désormais arrêtée.

Comme il fallait sy attendre, ce rapport publié le mois dernier a été totalement passé sous silence par les médias occidentaux. Ce rapport a été entrepris par la Société de lÉnergie et des Ressources (JSER) japonaise, une société représentant les scientifiques universitaires des domaines de l'énergie et des ressources. La JSER agit en comité consultatif gouvernemental, tout comme le fait pour lONU le Groupe Intergouvernemental d'Experts sur l'Évolution Climatique (GIEC).

Ses conclusions contrastent fortement de celles du GIEC, avec cependant un seul hauts chercheurs sur les cinq d'accord avec l'affirmation du fait que le réchauffement récent a été accéléré par les émissions carbonées de l'homme.

Ce rapport commandé par le gouvernement critique la modélisation informatique du climat et dit aussi que les données des États-Unis sur la température au sol, utilisées pour appuyer les dires de la responsabilité humaine dans le réchauffement, manquent trop de perspicacité.Le mois dernier, aucun grand média occidental nayant couvert la sortie du rapport, cela a incité le site Internet de science et technologie de Grande-Bretagne The Registre à commander la traduction du document.

La première partie met en évidence larrêt du réchauffement planétaire, notant que, depuis 2001, la hausse de la température à l'échelle mondiale a pris fin, malgré la montée continue des émissions de CO2. Le rapport indique ensuite que le récent réchauffement subi par la planète est essentiellement dû au rétablissement de ce que l'on appelle le « Petit Âge Glaciaire, » qui a eu lieu aux alentours de 1400 jusquà 1800 et fait partie d'un cycle naturel. Les chercheurs concluent en plus que le réchauffement climatique et l'arrêt de la montée de la température sont liés à l'activité solaire, une idée rejetée auparavant par le GIEC.

Lintroduction du rapport déclare : « L'hypothèse selon laquelle la majorité du réchauffement mondial pourrait être attribué à l'effet de serre est fausse. »

Kanya Kusano, directeur de programme et chef du groupe de simulation de la Terre à lagence japonaise des sciences marines de la Terre et des technologies (JAMSTEC) confirme ce point : Les conclusions [du GIEC], selon lesquelles le température atmosphérique actuelle est susceptible de présenter un processus uniforme de montée continue, devraient être perçues comme une hypothèse indémontrable.

Shunichi Akasofu, chef du Centre International de Recherche Arctique en Alaska, cite des données historiques pour contester l'affirmation de lanomalie des températures très récentes : Nous devons faire preuve de prudence, la théorie du GIEC, selon laquelle la température atmosphérique a augmenté depuis 2000 parallèlement au CO2 n'est qu'une hypothèse. Avant que quelqu'un lait remarqué, cette hypothèse a été substituée à la vérité ... Il doit être mis fin à l'opinion selon laquelle une grande catastrophe se produira réellement.

Les conclusions de ce rapport concordent avec celles de centains de scientifiques occidentaux, qui ont fait lobjet de dérision et ont même été comparés à des négationnistes pour avoir remis en cause le soi-disant « consensus » sur le réchauffement climatique.
L'absence totale de couverture de cet important rapport, qui a été reçu [diffusé aux agences de presse, ndt], est un autre exemple de la manière dont est détournée la couverture du changement climatique en faveur dun seul jeu d'hypothèses.

Ça sert intentionnellement un ordre du jour destiné à susciter l'hystérie de masse, au nom de tous les gouvernements trop désireux dintroduire une fiscalité et des mesures de contrôle draconiennes qui ne feront rien pour lutter contre quelque forme de réchauffement planétaire, qu'il soit naturel ou artificiel.

source: Infwars.net


Les principaux passages de la traduction [anglaise] du rapport sont consultables: http://www.theregister.co.uk/2009/02/25/jstor_climate_report_translation/page2.html

faut écouter nos sages ...

 
Le réchauffement climatique lié aux activités humaines est connu depuis 40 ans
Par Stéphane Foucart
Publié le 01 décembre 2019

La communauté internationale et les politiques ont ignoré les avertissements des scientifiques, et des entreprises ont sciemment semé le doute dans l’opinion.


 
@Personne2 Ouais c'est vraiment la m.erde quand tu vois que les gens sont là à chipoter sur les mesurettes de la convention citoyenne pour le climat alors que l'humanité en a plus pour longtemps quelques décennies tout au plus avant que le monde se transforme en enfer
 
L’Europe atteint déjà des records de sécheresse

28 juin 2020

L’hiver 2019-2020 en Europe a été le plus chaud jamais enregistré , avec peu de neige. Le printemps a également été plus sec et plus chaud que la normale, avec une vague de chaleur historique à la mi-mai. Les prévisions pour l’été 2020 ne s’annoncent pas beaucoup mieux. Pour la troisième année consécutive, l’Europe est confrontée à des problèmes de sécheresse.

https://issues.fr/leurope-atteint-deja-des-records-de-secheresse/
 
3e été consécutif de sécheresse: Des agriculteurs découragés
23 juin 2020

Une sécheresse historique et devenue chronique sévit partout sur le Québec, qui connaît déjà sa 4e canicule depuis le début du printemps. Nos agriculteurs font face à des pertes et des pénuries qu’ils qualifient d’« insurmontables » et parlent littéralement d’une « véritable catastrophe ».

« Les quantités de pluie ont été exceptionnellement faibles en mai et en juin : presque toutes les régions ont reçu la moitié des précipitations habituelles ».

« on a environ 70 % de pertes, comparé à une année normale. » - Éric Desrosiers, producteur de foin et consultant spécialisé en plantes fourragères

« Moi, je me demande : est-ce que je vais être capable de nourrir mes chevaux?! » s'exclame Lune Hubert, qui craint aussi une « recrudescence de cas de négligence et de malnutrition d'animaux, ou encore qu'il y ait davantage de chevaux envoyés à l'abattoir parce que leurs propriétaires ne peuvent plus en prendre soin. »

« On a perdu des champs au complet. Il a fallu resemer, parce que tout était brûlé. » se désole Marc-André Chenail, producteur maraîcher en Montérégie, qui doit recourir aux lacs avoisinant pour irriguer ses champs depuis le début du printemps.

« Les abeilles ont à peine pu produire suffisamment de miel pour pouvoir survivre. «On a laissé le miel là parce que c'est la santé des abeilles qui passent avant tout » raconte Mireille Lechasseur, apicultrice de 3e génération à Rimouski. « Même mon grand-père n'a jamais eu connaissance d’une sécheresse aussi dramatique »

Alors que « la saison 2020 pourrait représenter une quatrième année de sécheresse pour ces producteurs » , « depuis 20 ans, les canicules sont de plus en plus fréquentes au Québec. Selon prévisions de Santé Canada, le nombre de journées à 30 °C ou plus dans plusieurs villes canadiennes va tripler d’ici 2080. »

Ces témoignages de nos agriculteurs devraient suffir à nous rappeler que l’#UrgenceClimatique, c’est carrément un enjeu de #SécuritéAlimentaire. Est-ce que suffisamment de gens le réalisent? Clairement pas. Et si on partageait ce cri du coeur de nos producteurs agricoles? À nos concitoyen.ne.s ainsi qu’à nos élu.e.s? À vous de jouer. Le feu est en train de gagner le grenier de notre maison, et les GES que nous émettons l’alimentent…

 
3e été consécutif de sécheresse: Des agriculteurs découragés
23 juin 2020

Une sécheresse historique et devenue chronique sévit partout sur le Québec, qui connaît déjà sa 4e canicule depuis le début du printemps. Nos agriculteurs font face à des pertes et des pénuries qu’ils qualifient d’« insurmontables » et parlent littéralement d’une « véritable catastrophe ».

« Les quantités de pluie ont été exceptionnellement faibles en mai et en juin : presque toutes les régions ont reçu la moitié des précipitations habituelles ».

« on a environ 70 % de pertes, comparé à une année normale. » - Éric Desrosiers, producteur de foin et consultant spécialisé en plantes fourragères

« Moi, je me demande : est-ce que je vais être capable de nourrir mes chevaux?! » s'exclame Lune Hubert, qui craint aussi une « recrudescence de cas de négligence et de malnutrition d'animaux, ou encore qu'il y ait davantage de chevaux envoyés à l'abattoir parce que leurs propriétaires ne peuvent plus en prendre soin. »

« On a perdu des champs au complet. Il a fallu resemer, parce que tout était brûlé. » se désole Marc-André Chenail, producteur maraîcher en Montérégie, qui doit recourir aux lacs avoisinant pour irriguer ses champs depuis le début du printemps.

« Les abeilles ont à peine pu produire suffisamment de miel pour pouvoir survivre. «On a laissé le miel là parce que c'est la santé des abeilles qui passent avant tout » raconte Mireille Lechasseur, apicultrice de 3e génération à Rimouski. « Même mon grand-père n'a jamais eu connaissance d’une sécheresse aussi dramatique »

Alors que « la saison 2020 pourrait représenter une quatrième année de sécheresse pour ces producteurs » , « depuis 20 ans, les canicules sont de plus en plus fréquentes au Québec. Selon prévisions de Santé Canada, le nombre de journées à 30 °C ou plus dans plusieurs villes canadiennes va tripler d’ici 2080. »

Ces témoignages de nos agriculteurs devraient suffir à nous rappeler que l’#UrgenceClimatique, c’est carrément un enjeu de #SécuritéAlimentaire. Est-ce que suffisamment de gens le réalisent? Clairement pas. Et si on partageait ce cri du coeur de nos producteurs agricoles? À nos concitoyen.ne.s ainsi qu’à nos élu.e.s? À vous de jouer. Le feu est en train de gagner le grenier de notre maison, et les GES que nous émettons l’alimentent…

Ça c’est moins drôle par contre ...
 
Et la pollution de la mer, la pollution de l'eau douce et sa surexploitation, la surpêche, les pesticides, l'explosion de la pollution et des cancers liés à la pollution, etc... c'est un mythe peut être ?
Ne pas lire si vous avez une propension à la dépression (gerontocrat)
Les humains exploitent et détruisent la nature à une échelle sans précédent - rapport
Les populations animales ont chuté de 68% en moyenne depuis 1970, alors que l'humanité pousse les systèmes de survie de la planète à leurs limites
Selon une nouvelle évaluation majeure de l'abondance de la vie sur Terre, les populations d'animaux sauvages sont en chute libre dans le monde entier, sous l'effet de la surconsommation humaine, de la croissance démographique et de l'agriculture intensive.
En moyenne, les populations mondiales de mammifères, d'oiseaux, de poissons, d'amphibiens et de reptiles ont chuté de 68 % entre 1970 et 2016, selon le rapport biennal sur la planète vivante 2020 du WWF et de la Zoological Society of London (ZSL). Il y a deux ans, ce chiffre était de 60 %.
Cette recherche est l'une des évaluations les plus complètes de la biodiversité mondiale disponibles et a été réalisée par 134 experts du monde entier. Elle a révélé que, des forêts tropicales humides d'Amérique centrale à l'océan Pacifique, la nature est exploitée et détruite par l'homme à une échelle jamais enregistrée auparavant.
L'analyse a permis de suivre les données mondiales sur 20 811 populations de 4 392 espèces de vertébrés. Parmi les espèces surveillées figurent des animaux menacés très en vue, tels que les pandas et les ours polaires, ainsi que des amphibiens et des poissons moins connus. Les chiffres, les plus récents disponibles, montrent que dans toutes les régions du monde, les populations de vertébrés sauvages s'effondrent, diminuant en moyenne de plus de deux tiers depuis 1970.


https://www.theguardian.com/environ...ying-nature-on-unprecedented-scale-report-aoe
 
suite de l'article :

Robin Freeman, qui a dirigé les recherches à la ZSL, a déclaré "Il semble que nous ayons passé 10 à 20 ans à parler de ces déclins et que nous n'ayons pas vraiment réussi à y faire quelque chose. Cela me frustre et me bouleverse. Nous sommes assis à nos bureaux et nous compilons ces statistiques, mais elles ont des implications dans la vie réelle. Il est vraiment difficile de faire comprendre à quel point certaines de ces baisses sont dramatiques".
L'Amérique latine et les Caraïbes ont enregistré la baisse la plus alarmante, avec une diminution moyenne de 94 % des populations d'animaux sauvages vertébrés. Les reptiles, les poissons et les amphibiens de la région ont été les plus touchés, en raison de la surexploitation des écosystèmes, de la fragmentation des habitats et des maladies.
Les régions de l'Afrique et de l'Asie-Pacifique ont également connu une forte baisse de l'abondance des mammifères, des oiseaux, des poissons, des amphibiens et des reptiles, avec une diminution de 65 % et 45 % respectivement. L'Europe et l'Asie centrale ont enregistré une baisse de 24 %, tandis que les populations ont chuté de 33 % en moyenne en Amérique du Nord. Pour former l'Indice Planète Vivante (IPV), qui s'apparente à un indice boursier de la faune, les régions du monde les plus riches en biodiversité, comme les régions tropicales, se voient attribuer un poids plus important.
Selon les experts, l'IPV est une preuve supplémentaire de la sixième extinction massive de la vie sur Terre, avec un million d'espèces en danger à cause de l'activité humaine, selon le rapport d'évaluation mondial des Nations unies en 2019. La déforestation et la conversion des espaces sauvages pour la production alimentaire humaine ont été largement accusées de la destruction de la toile de la vie sur Terre.
Le rapport souligne que 75 % des terres libres de glace ont été considérablement modifiées par l'activité humaine et que près de 90 % des zones humides mondiales ont disparu depuis 1700.
Mike Barrett, directeur exécutif de la conservation et de la science au WWF, a déclaré : "Une action urgente et immédiate est nécessaire dans le secteur de l'alimentation et de l'agriculture. Tous les indicateurs de la perte de biodiversité vont rapidement dans la mauvaise direction. Pour commencer, il doit y avoir une réglementation afin de sortir immédiatement la déforestation de notre chaîne d'approvisionnement. C'est absolument vital".
Les surfaces d'eau douce sont parmi les habitats les plus endommagés, selon le rapport, avec une espèce sur trois menacée d'extinction dans ces zones et une baisse moyenne de la population de 84 %. Parmi les espèces touchées, on trouve l'esturgeon chinois, une espèce en danger critique d'extinction, dans le fleuve Yangtze, dont la population a diminué de 97 %.
Grâce à l'analyse par satellite, le rapport constate également que les zones de nature sauvage - définies comme n'ayant pas d'empreinte humaine - ne représentent que 25 % de la surface terrestre de la Terre et sont largement limitées à la Russie, au Canada, au Brésil et à l'Australie.
Tanya Steele, directrice générale du WWF, a déclaré "Nous sommes en train de rayer la vie sauvage de la surface de la planète, de brûler nos forêts, de polluer et de surpêcher nos mers et de détruire des surfaces sauvages. Nous détruisons notre monde - le seul endroit où nous sommes chez nous - en mettant en danger notre santé, notre sécurité et notre survie ici sur Terre".

https://www.theguardian.com/environ...ying-nature-on-unprecedented-scale-report-aoe
 
Encore un article édifiant sur la vitesse du réchauffement climatique actuel, qui ne fait que commencer :(

La Terre ne s'est pas rechauffée aussi vite depuis des dizaines de millions d'années

Alors que la France connait un épisode de forte chaleur tardif, des chercheurs montrent, avec une précision inégalée, comment le climat de la Terre a évolué depuis 66 millions d'années. De quoi juger de l'impact les changements qui apparaissent périodiquement dans l'orbite de notre planète, des variations des niveaux de gaz à effet de serre ou encore de celles de l'étendue des calottes glaciaires polaires. Et confirmer que notre Terre se réchauffe actuellement à une allure qui va bien au-delà des variations naturelles du climat.

La suite :

 
Voici l'évolution de la température moyenne sur notre planète depuis 22000 ans.

Les variations de température ont été légion par le passé. Mais aucune n'a été aussi soudaine et intense que celle que nous connaissons actuellement...
 
Retour
Haut