L'Empire ottoman et les minorités religieuses

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion Ebion
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Une des ironies de l'histoire est que l'impôt aux dhimmis, qui en soi est discriminatoire, a cependant servi à contenir pendant plusieurs siècles un débordement de violence religieuse contre les minorités, justement parce que les autorités en tiraient profit (l'appât du gain).

Pendant ce temps, en Europe et dans les colonies américaines et africaines, la violence se déchaînait sauvagement et faisait honte au nom des chrétiens!!

Les droits humains des minorités, du moins les gens du livre ont été mieux protégés avec le statut de dhimmi qu'en Europe, jusqu'à récemment.
Il n y a pas de dhimi comme vous l'ont enseigné les islamophobes dans les médias.
Les chrétiens avaient un statut enviable, car ils avaient un engagement de la part des dirigeants musulmans à leurs garantir une vie décente et saine et les chrétiens devaient s'engager à participer à la bonne vie de la cité et etre solidaire sans avoir à renier ce qu'ils sont.
 
Il n y a pas de dhimi comme vous l'ont enseigné les islamophobes dans les médias.
Les chrétiens avaient un statut enviable, car ils avaient un engagement de la part des dirigeants musulmans à leurs garantir une vie décente et saine et les chrétiens devaient s'engager à participer à la bonne vie de la cité et etre solidaire sans avoir à renier ce qu'ils sont.
Et les athés ils avaient.quel statut ?le problème avec le coran ce qu il est la parole de dieu inchangé valable pour toute les époques une loi pour l éternité il est la le fond de problème quand aux européens chrétiens eux aussi ont commit des crimes horribles mais ils ont évolués et passé à autres chose alors que les musulmans sont restés bloquer au 7eme siècles ce qui explique les problèmes du monde Musulman aujourd'hui
 
Et les athés ils avaient.quel statut ?
L'athéisme est croyance récente, inventée ou formulée pour la première fois par l'abbé Meslier.
Mais c'est surtout après la révolution bourgeoise et FM de 1789 que cette croyance fut imposé radicalement par le terrorisme républicain et amener à son paroxysme par les bolchéviques après le meme type de révolution (normal fait par les meme) que celui mené ailleurs en UE.
 
L'athéisme est croyance récente, inventée ou formulée pour la première fois par l'abée Meslier.
Mais c'est surtout après la révolution bourgeoise et FM de 1789 que cette croyance fut imposé radicalement par le terrorisme républicain et amener à son paroxysme par les bolchéviques après le meme type de révolution (normal fait par les meme) que celui mené ailleurs en UE.
L athéisme c est de ne pas croire au dieu des monothéistes et sur ce point les boudistes et les hindouistes sont athés donc ne me dis pas que c est quelque chose de récent
 
Pour qu'il n'y ait pas de confusion à propos du pacte d`Umar Ibn Al-Khattâb « radhia Allâhou ‘anhou » :
https://web.archive.org/web/2004110.../fatwa/arabic/FatwaDisplay.asp?hFatwaID=30452


السياسة الشرعية​
ما هـو نص المعاهدة التي كانت بين النصارى و بين الفاروق عمر بن الخطاب - رضي الله عنه - عند فتحه لبيت المقدس ؟
بسم الله و الحمد لله و الصلاة والسلام على رسول الله وبعد :
دخل أمير المؤمنين عمر بن الخطاب ـ رضي الله عنه ـ بيت المقدس يوم الاثنين، وأقام بها إلى يوم الجمعة ، وخطب خطبة الجمعة هناك .ثم أقام ببيت المقدس عشرة أيام، وارتحل بعد أن كتب لأهله عهداً ، وأقرهم في بلدهم على الجزية، وسار بمن معه في العساكر إلى الجابية، فأقام بها ودوَّن الدواوين ، وأخذ الخمس الذي للّه مما أفاء اللّه على المسلمين، ثم قسَّم الشام إلى قسمين فأعطى أبا عبيدة من حوران إلى حلب ويليها، وأمره بالمسير إلى حلب ، وأن يقاتل أهلها إلى أن يفتحها اللّه على يديه، وأعطى أرض فلسطين وأرض القدس والساحل ليزيد بن أبي سفيان، وجعل أبا عبيدة والياً عليه.

عهد الفاروق عمر لأهل بيت المقدس:
ذكر الشيخ رشيد رضا في كتابه : "عمر بن الخطاب" نص معاهدة الفاروق عمر لأهل بيت المقدس نقلاً عن الطبري في كتابه : "تاريخ الأمم والملوك" فقال:
هذا نص عهد أهل بيت المقدس الذي أعطاه لهم عمر بن الخطاب:

"بسم اللّه الرحمن الرحيم. هذا ما أعطى عبد اللّه عمر أمير المؤمنين أهل إيلياء من الأمان. أعطاهم أماناً لأنفسهم وأموالهم وكنائسهم وصلبانهم، وسقيمها وبريئها ،وسائر ملتها. إنه لا تسكن كنائسهم ولا تهدم ،ولا ينتقض منها ،ولا من خيرها، ولا من صليبهم، ولا من شيء من أموالهم، ولا يكرهون على دينهم ، ولا يضار أحد منهم، ولا يسكن بإيلياء معهم أحد من اليهود.
وعلى أهل إيلياء أن يعطوا الجزية كما يعطي أهل المدائن، وعليهم أن يخرجوا منها الروم واللصوص فمن خرج منهم. فإنه آمن على نفسه وماله حتى يبلغوا مأمنهم، ومن أقام منهم فهو آمن، وعليه مثل ما على أهل إيلياء من الجزية ، ومن أحب من أهل إيلياء أن يسير بنفسه وماله مع الروم ويخلى بِبَعِهم وصلبهم؛ فإنهم آمنون على أنفسهم ،وعلى بيعهم وصلبهم حتى يبلغوا مأمنهم.
ومن كان بها من أهل الأرض قبل مقتل فلان فمن شاء منهم قعد ، وعليه مثل ما على أهل إيلياء من الجزية، ومن شاء سار مع الروم، ومن شاء رجع إلى أهله فلا يؤخذ منهم شيء حتى يحصد حصادهم .

وعلى ما في هذا الكتاب عهد اللّه وذمة رسوله وذمة الخلفاء وذمة المؤمنين إذا أعطوا الذي عليهم من الجزية.

شهد ذلك خالد بن الوليد، وعمرو بن العاص، وعبد الرحمن بن عوف، ومعاوية ابن أبي سفيان .وكتب وحضر سنة خمسة عشر".

والله أعلم​
 
Traduction pour les non-arabophones :
http://www.islamophile.org/spip/Le-Pacte-de-Umar-aux-habitants-de.html

Le Pacte de `Umar aux habitants de Jérusalem​

mardi 12 novembre 2002

Question​

Quel est le texte du pacte ratifié entre les Chrétiens et le Fârûq `Umar Ibn Al-Khattâb — que Dieu l’agrée — lorsque celui-ci conquit Jérusalem ?

Réponse​

Au nom de Dieu, louanges à Dieu et paix et bénédiction sur le Messager de Dieu.
Le Commandeur des Croyants (Amîr Al-Mu’minîn), `Umar Ibn Al-Khattâb — que Dieu l’agrée — entra à Jérusalem un lundi. Il y demeura jusqu’au vendredi, jour où il prêcha le sermon du vendredi. Il resta encore à Jérusalem pendant une dizaine de jours puis il partit, non sans avoir préalablement rédigé un pacte à l’intention des habitants de la ville, pacte dans lequel il entérina leur résidence dans la ville moyennant la capitation (jizyah). Il partit ensuite avec son armée à Al-Jâbiyah où il s’établit pour y tenir les cahiers administratifs et prélever le quint du butin redevable à l’État islamique. Il divisa ensuite le Shâm (Proche-Orient) en deux régions. Il confia à Abû `Ubaydah la partie qui allait de Hawrân à Alep ainsi que les régions avoisinantes. Il lui ordonna de se mettre en route pour Alep et de combattre ses habitants jusqu’à la chute de la ville. Il confia par ailleurs la Palestine, Jérusalem et la côte méditerranéenne à Yazîd Ibn Abî Sufyân. Abû `Ubaydah était néanmoins le gouverneur général de toutes ces régions.

Le Pacte du Fârûq `Umar aux habitants de Jérusalem​

Sheikh Rashîd Ridâ a mentionné dans son livre `Umar Ibn Al-Khattâb le texte du pacte du Fârûq `Umar aux habitants de Jérusalem, s’appuyant sur l’ouvrage d’At-Tabarî : L’histoire des nations et des rois. Le Sheikh dit :
« Voici le texte du pacte octroyé par `Umar Ibn Al-Khattâb aux habitants de Jérusalem :
Au nom de Dieu, Clément et Miséricordieux.

Voici ce que garantit le Serviteur de Dieu, `Umar, Commandeur des Croyants, aux habitants d’Aelia [1] en terme de sécurité. Il leur garantit la sécurité de leurs personnes, de leurs biens, de leurs églises et de leurs croix, le malade d’entre eux comme le bien-portant, ainsi qu’à toute leur communauté. Leurs églises ne seront ni investies ni détruites. Rien ne leur sera ôté, ni à leurs propriétés ni à leurs croix ni à leurs biens. Ils ne seront pas convertis malgré eux et nul d’entre eux ne sera opprimé. Ne résidera aucun Juif avec eux à Aelia [1]. Les habitants d’Aelia [1] devront s’acquitter de la capitation comme les habitants des autres villes. Ils devront en chasser les Byzantins et les brigands. Quiconque d’entre eux partira aura la garantie de la sécurité de sa personne et de ses biens jusqu’à ce qu’il parvienne à sa destination. Quiconque d’entre eux restera à Aelia [1] sera en sécurité et il devra, comme les habitants d’Aelia , s’acquitter de la capitation. Ceux, parmi les habitants d’Aelia [1], qui désirent rejoindre les Byzantins avec leurs biens, abandonnant leurs églises et leurs croix, auront la garantie de la sécurité de leur personne, de leurs églises et de leurs croix, jusqu’à ce qu’ils parviennent à leur destination.
Quiconque, parmi les habitants de la terre, habitait dans la ville avant le meurtre d’untel, pourra, s’il le souhaite, y demeurer, et devra, comme les habitants d’Aelia [1], s’acquitter de la capitation. S’il le souhaite, il pourra rejoindre les Byzantins. S’il le souhaite, il pourra retourner chez les siens. Aucune capitation ne sera prélevée avant la récolte.
Le contenu de cet écrit en ce qu’il stipule du Pacte de Dieu, de la protection (dhimmah) de Son Messager, de la protection des Califes et de la protection des Croyants sera intégralement appliqué s’ils s’acquittent de la capitation.
Sont témoins Khâlid Ibn Al-Walîd, Amr Ibn Al-Âs, `Abd Ar-Rahmân Ibn Awf et Muâwiyah Ibn Abî Sufyân. Ecrit et entré en vigueur en l’an 15.
»
Et Dieu est Le plus Savant.
 
Traduction pour les non-arabophones :
http://www.islamophile.org/spip/Le-Pacte-de-Umar-aux-habitants-de.html

Le Pacte de `Umar aux habitants de Jérusalem​

mardi 12 novembre 2002

Question​

Quel est le texte du pacte ratifié entre les Chrétiens et le Fârûq `Umar Ibn Al-Khattâb — que Dieu l’agrée — lorsque celui-ci conquit Jérusalem ?

Réponse​

Au nom de Dieu, louanges à Dieu et paix et bénédiction sur le Messager de Dieu.
Le Commandeur des Croyants (Amîr Al-Mu’minîn), `Umar Ibn Al-Khattâb — que Dieu l’agrée — entra à Jérusalem un lundi. Il y demeura jusqu’au vendredi, jour où il prêcha le sermon du vendredi. Il resta encore à Jérusalem pendant une dizaine de jours puis il partit, non sans avoir préalablement rédigé un pacte à l’intention des habitants de la ville, pacte dans lequel il entérina leur résidence dans la ville moyennant la capitation (jizyah). Il partit ensuite avec son armée à Al-Jâbiyah où il s’établit pour y tenir les cahiers administratifs et prélever le quint du butin redevable à l’État islamique. Il divisa ensuite le Shâm (Proche-Orient) en deux régions. Il confia à Abû `Ubaydah la partie qui allait de Hawrân à Alep ainsi que les régions avoisinantes. Il lui ordonna de se mettre en route pour Alep et de combattre ses habitants jusqu’à la chute de la ville. Il confia par ailleurs la Palestine, Jérusalem et la côte méditerranéenne à Yazîd Ibn Abî Sufyân. Abû `Ubaydah était néanmoins le gouverneur général de toutes ces régions.

Le Pacte du Fârûq `Umar aux habitants de Jérusalem​

Sheikh Rashîd Ridâ a mentionné dans son livre `Umar Ibn Al-Khattâb le texte du pacte du Fârûq `Umar aux habitants de Jérusalem, s’appuyant sur l’ouvrage d’At-Tabarî : L’histoire des nations et des rois. Le Sheikh dit :
« Voici le texte du pacte octroyé par `Umar Ibn Al-Khattâb aux habitants de Jérusalem :
Au nom de Dieu, Clément et Miséricordieux.

Voici ce que garantit le Serviteur de Dieu, `Umar, Commandeur des Croyants, aux habitants d’Aelia [1] en terme de sécurité. Il leur garantit la sécurité de leurs personnes, de leurs biens, de leurs églises et de leurs croix, le malade d’entre eux comme le bien-portant, ainsi qu’à toute leur communauté. Leurs églises ne seront ni investies ni détruites. Rien ne leur sera ôté, ni à leurs propriétés ni à leurs croix ni à leurs biens. Ils ne seront pas convertis malgré eux et nul d’entre eux ne sera opprimé. Ne résidera aucun Juif avec eux à Aelia [1]. Les habitants d’Aelia [1] devront s’acquitter de la capitation comme les habitants des autres villes. Ils devront en chasser les Byzantins et les brigands. Quiconque d’entre eux partira aura la garantie de la sécurité de sa personne et de ses biens jusqu’à ce qu’il parvienne à sa destination. Quiconque d’entre eux restera à Aelia [1] sera en sécurité et il devra, comme les habitants d’Aelia , s’acquitter de la capitation. Ceux, parmi les habitants d’Aelia [1], qui désirent rejoindre les Byzantins avec leurs biens, abandonnant leurs églises et leurs croix, auront la garantie de la sécurité de leur personne, de leurs églises et de leurs croix, jusqu’à ce qu’ils parviennent à leur destination.
Quiconque, parmi les habitants de la terre, habitait dans la ville avant le meurtre d’untel, pourra, s’il le souhaite, y demeurer, et devra, comme les habitants d’Aelia [1], s’acquitter de la capitation. S’il le souhaite, il pourra rejoindre les Byzantins. S’il le souhaite, il pourra retourner chez les siens. Aucune capitation ne sera prélevée avant la récolte.
Le contenu de cet écrit en ce qu’il stipule du Pacte de Dieu, de la protection (dhimmah) de Son Messager, de la protection des Califes et de la protection des Croyants sera intégralement appliqué s’ils s’acquittent de la capitation.
Sont témoins Khâlid Ibn Al-Walîd, Amr Ibn Al-Âs, `Abd Ar-Rahmân Ibn Awf et Muâwiyah Ibn Abî Sufyân. Ecrit et entré en vigueur en l’an 15.
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Et Dieu est Le plus Savant.
J image si Omar radina allah a ho gouvernais aujourd’hui, l occidentale va sle traiter de da3ich et terroriste ect
les esclaves aiment bien leurs maîtres en occident.
 
On peut supposer qu'il s'agit de ce qui suit car "el Nabi" doit être de l'espagnol. (??)

النَّبی an-nâbi, donc.

L'article arabe se prononce "al", mais.....
Intervient ici une règle du tajwid à cause du ن , (an-nûn as-sâkin) équivalent phonétique du "n" en français.

Cette règle est nommée "nûn mushaddad". ("n" redoublé)
Dans le cas qui nous intéresse, il s'agit d'incorporer le "l" - "lam" à une lettre mutaHarrik (portant voyelle) de façon à ce que celle-ci devienne redoublée.

On ne prononcera donc pas le "l" de "al" mais on l'inclura avec le "n" suivant. Ce qui donnera an-nâbi. (écrit : "al-nâbi)

On peut trouver cette règle, par exemple, dans la sourate que tout le monde connaît : an-nâs (114 : 1) (qui s'écrit "al-nâs")

Détail : inutile d'utiliser une majuscule. Celle-ci n'existant pas en arabe.
En revanche, autre détail d'importance : un musulman se doit de formuler (écrit ou oral) l'eulogie destinée au Prophète (an-nâbi ). Elle consiste à dire ou écrire :
"sallallahu 'alayhi wa salam" (trad. approximative : que la paix d'Allah et Ses bénédictions soient sur lui) ( صلّى اللّه عليه و سلّم )

Les ignorants ou paresseux se contentent souvent d'un "saws", ce qui est un manque flagrant de respect. Pire, d'autres écrivent "as" ('alayhi salam) eulogie simplifiée destinée cette fois aux autres Prophètes.

Mais le sunnite ne manque aucune occasion d'honorer an-nâbi, notre Prophète en faisant suivre son nom par -sallallahu 'alayhi wa salam".

Un musulman se doit également de pratiquer la da'wa ( دَعْوة )comme par exemple cette simple explication.

Dommage que certains se faisant passer pour musulmans penchent plutôt pour la dawa provocante et agressive.

(ne pas confondre "da'wa" et "dawa" :) )
 
Une des ironies de l'histoire est que l'impôt aux dhimmis, qui en soi est discriminatoire, a cependant servi à contenir pendant plusieurs siècles un débordement de violence religieuse contre les minorités, justement parce que les autorités en tiraient profit (l'appât du gain).

Pendant ce temps, en Europe et dans les colonies américaines et africaines, la violence se déchaînait sauvagement et faisait honte au nom des chrétiens!!

Les droits humains des minorités, du moins les gens du livre ont été mieux protégés avec le statut de dhimmi qu'en Europe, jusqu'à récemment.
Ne pas oublier qu'il n'y a pas que les dhimmis dans l'histoire qui étaient écrasés par les taxes, la première grande révolte berbère contre les Omeyyades au 8e siècle, la bataille des "nobles" avaient aussi ce fondement, et pourtant les berbères étaient déjà musulmans.
 
Mes chers forumeurs,

Dans notre XXIe siècle crispé et obsédé par les rapports entre l’Occident et l’islam, le sujet brûlant du Sir @Ebion fait couler beaucoup d’encre, il est sensible et souvent manipulé dans un sens ou dans l’autre. Comme cela est fréquent, on a tendance à l’aborder en relisant l’histoire par la fin, et cela brouille tout. Le déclin du monde ottoman au XIXe siècle et les épouvantables exactions à l’égard de nombreuses minorités qui ont scandé cette agonie; la création de l’État d’Israël et les guerres judéo-arabes qui s’en sont suivies; ou encore l’explosion d’un islamisme haineux et intolérant au XXIe siècle brouillent le regard et poussent chacun, selon ses convictions politiques, sa propre mémoire ou ses blessures, à réécrire l’Histoire.

On se trouve le plus souvent face à deux excès inverses. Le premier consiste à tisser une légende rose faisant de l’islam classique une religion qui n’a été que tolérance et ouverture. Le second n’a de cesse de repeindre cette légende dans le noir de l’exclusion, du sectarisme et de la domination. Comme toujours, l’un et l’autre sont vrais et faux à la fois, puisque l’un et l’autre prétendent s’appuyer sur une réalité dont ils ne font qu’extraire des éléments pour la distordre.

Tâchons chers croyants, chers incroyants, chers agnostiques et membres des toutes les religions et obédiences donc, d’être plus juste en synthétisant les choses sans trahir la vérité.
 
Salam,

J'ai lu quelque part que pour aller contre les moustaches des turcs de l'empire ottoman, les arabes ont commencé à se raser la moustache, ce qui aurait donné les fameuses barbes sans moustaches que l'on connait aujourd'hui...

Est ce quelqu'un dans ses pérégrinations littéraires et historiques aurait croisé des choses parlant de ça, s'il vous plaît?

Je souhaiterai recroiser les sources sur le sujet
 
Salam,

J'ai lu quelque part que pour aller contre les moustaches des turcs de l'empire ottoman, les arabes ont commencé à se raser la moustache, ce qui aurait donné les fameuses barbes sans moustaches que l'on connait aujourd'hui...

Est ce quelqu'un dans ses pérégrinations littéraires et historiques aurait croisé des choses parlant de ça, s'il vous plaît?

Je souhaiterai recroiser les sources sur le sujet
Le niveau de votre secte (la seule de l'histoire à exister que sur le net) est de plus en plus affligeant.
 
Tant que ta secte reste sur le net, les températures devrait etre votre dernier soucis.

c'est mignon de t'inquiéter, t'as un coté shtroumpf grogon je trouve

Grouchy_Smurf_(SA).png


après je sais pas si t'as une barbe sans moustache anti-ottoman...
 
Tu te marres la? :D

pas vraiment, j'avais l'espoir secret que tu dises quelque chose avec du fond, mais bon...

j'ai hésité longtemps en pensant te répondre avec une photo qui illustrerait la réaction que tes posts suscitent chez moi, à savoir la photo de ma jambe, oui parce que tes posts me font une belle jambe... mais je ne le ferai pas, étant donné que je vais devoir te mettre une partie de mon corps au dessus du genou (à savoir ma cuisse), je ne vais pas prendre le risque que tes yeux fondent en voyant cette partie de ma awra

du coup, j'ai trouvé autre chose pour te répondre :

la voici et apprécie la bien à sa juste valeur :

picking-nose-emoticon-illustration-id164455300


voilà cher ami, le niveau que tu amènes, oui tu en es entièrement et le seul responsable, pour ce qui me concerne je voulais en arriver là pour introduire cet état de fait

un jour peut-être, consentiras tu à discuter sur le fond et ne pas répéter en boucle des phrases toute-faites dignes des pires sophistes et qui ne te font pas du tout honneur
 
Tant mieux, y a peut etre de l'espoir que votre secte disparaisse.

j'espère que toutes les sectes (absolument toutes) disparaitront : salafistes, sunnites, coranistes, chiites, karadjites, zaidites, duodécimains, catholiques, protestants, karaites, talmudistes, zoroastres, hindouistes, bouddhistes, scientistes, covidistes, ...
 
Seules les sectes disparaissent et la tiennent qui n'a en réalité jamais existé (puisque uniquement sur le net) le problème ne se pose meme pas.

secte​

nom féminin
(latin secta, de sequi, suivre)
  • 1. Ensemble de personnes professant une même doctrine (philosophique, religieuse, etc.) : La secte d'Épicure.
  • 2. Groupement religieux, clos sur lui-même et créé en opposition à des idées et à des pratiques religieuses dominantes.
  • 3. Clan constitué par des personnes ayant la même idéologie : Ce petit groupe constituait une secte à l'intérieur du parti.

je pense que t'as une préférence pour la définition 2. tout comme l'église (c'est un peu comme suivre BFMTV, tu ne trouves pas?)


Étymologie[modifier | modifier le code]​

D'un point de vue étymologique, le terme « secte » vient du latin secta signifiant « voie que l'on suit, parti, cause, doctrine »7,8. Le substantif secta est lui-même issu du verbe sequi, qui signifie « suivre » : tous les auteurs latins de la période classique ou des premiers siècles de l'Empire ont bien conscience de cette origine9. La dérivation étymologique à partir du latin secare (« couper ») — dont le supin10 est sectum et le participe passé sectus, -a, -um, homonyme, au féminin, du substantif secta, d'où la confusion — est indiscutablement erronée, mais ce phénomène tardif (première attestation autour de 400 ap. J.-C.), encouragé par le développement de l'hérésiologie chrétienne, a connu des résurgences intermittentes jusqu'à notre époque11. Par exemple, le Littré (dont les déficiences en matière étymologique sont bien connues)12, mentionne les deux étymologies13.


tu es bien un sectaire selon l'étymologie du terme, mais tu ne l'es pas par rapport à la terminologie moderniste (et tu dois adorer ça la modernité)

jouer sur les mots, le jeu préféré des sophistes...

moi je n'ai pas de secte et je le vis très bien :)
tu peux t'obstiner autant que tu le veux, je suis aussi coraniste que tu es chiite 😘
 
Bonjour :timide:

Une question pour les férus d'histoire :

Quel était le statut et quels étaient les droits des minorités religieuses dans l'Empire ottoman (les chrétiens orthodoxes, les chiites, les Juifs, les baha'is, etc.)?

J'ai lu quelque part que cet empire était assez softcore envers ses minorités, malgré l'image négative qu'il a en Occident depuis des siècles.

Des infos? :)
Salam Ebion,
Le statut était inversement proportionnel à l'humeur du Calife :)

Bonne année
 
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