Les médias

Dans le plus grand des calmes :D
Et la marionnette Greta elle dit quoi cette fois ?

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Davos. 1 500 jets privés, hélicoptères et limousines pour discuter du… réchauffement climatique​

Si le changement climatique figure en bonne place des préoccupations du Forum économique mondial, qui se tient du 22 au 25 janvier à Davos, en Suisse, c’est le plus souvent en jet privé que viennent en discuter les grands patrons et les responsables politiques. Ce qui fait grincer pas mal de dents.

 

Voici les astuces utilisées par les médias pour déformer chaque histoire en fonction de leur programme​


 

Free héberge la moitié des fichiers pédopornographiques recensés sur internet​

Free, le géant français des télécommunications détenu majoritairement par le milliardaire Xavier Niel , ne fait pas assez pour lutter contre les images d’abus pédosexuels sur ses serveurs, selon le Centre canadien de protection de l’enfance. L’association à but non lucratif a ainsi découvert après une enquête de plus de deux ans, que près de la moitié du matériel pédopornographique mondial était « hébergé physiquement » et téléchargé à l’aide des services de télécommunications de Free.

Le rapport de recherche, publié mercredi, a examiné la disponibilité de matériel pédopornographique et le rôle des fournisseurs de services électroniques dans sa diffusion, en révélant que Free était utilisé par ceux qui « hébergeaient et partageaient » environ 1,1 million d’images ou de fichiers vidéo pédopornographiques.

Dans le rapport intitulé « Project Arachnid », le Centre canadien de protection de l’enfance démontre l’utilisation massive du du service d’hébergement de Free pour stocker anonymement des médias pédopornographiques en ligne, puis diffuser les liens de téléchargement direct sur des forums en ligne.

Rien n’indique pour le moment que Free ou le propriétaire majoritaire Xavier Niel, qui détient plus de 70% du groupe-mère Iliad, étaient au courant du problème. Xavier Niel et Iliad n’ont pas encore réagit publiquement à ce rapport.

Le project Arachnid ne prétend pas avoir pu faire une recherche exhaustive des fichiers pédocriminels sur internet. La recherche a utilisé des bots de repérage pour accéder aux contenus criminels sur le web et le darknet. Au cours de ces deux dernières années, le système de recherche et de détection a trouvé plus de 5,4 millions d’images. Reste encore 32,5 millions de médias suspects qui n’ont pas encore été évalués.

Le rapport désigne Free comme l’unique fournisseur d’accès Internet responsable d’« un volume très important » d’images d’abus d’enfants, ne faisant pas assez pour s’attaquer au problème. Le rapport ajoute que, 48% de tous les supports d’images d’abus d’enfants trouvés au cours des deux années d’enquête (images et vidéos) sont à la fois « liés » et physiquement hébergés sur le service d’hébergement de fichiers de Free.

Plus précisément, le rapport a révélé qu’en utilisant des forums de discussion basés sur Tor et des téléchargements directs plutôt que des pages Web traditionnelles, “un nombre inconnu d’utilisateurs anonymes peuvent afficher les liens de téléchargement direct et les mots de passe requis pour déverrouiller et accéder au contenu ». La disponibilité totale connue d’images ou de vidéos nuisibles et abusives accessibles via le service d’hébergement de Free a déclenché plus de 2,7 millions alertes, selon le rapport.

Dans ses résultats du premier trimestre 2021, Free a indiqué que 3 millions de foyers français sont actuellement abonnés à son haut débit Fibre Free. En mars de cette année, Iliad a affiché des revenus consolidés pour 2020 en hausse de 10,1% à 5,871 milliards d’euros.

Selon l’ONG canadienne, Free a une “responsabilité légale et morale” de s’assurer que ses services ne sont pas utilisés à mauvais escient, alors que les données du rapport montrent que « le service de Free est massivement utilisé pour le partage d’images et de fichiers pédocriminels ».

La Commission européenne a introduit le règlement provisoire de e-Privacy en septembre 2020 obligeant les entreprises en ligne à détecter et à supprimer activement les abus sexuels sur des enfants en ligne.


Le rapport :
 
:D Ce papier a quelques lacunes, mais c'est un bon début...

Accident de laboratoire à Wuhan : quand les théories du complot sont parfois vraies​

Si les cabales relèvent souvent du fantasme, des théories conspirationnistes ont aussi vu juste dans l'Histoire, du massacre de Katyn au projet MK-Ultra.​


Les théories du complot sont le nouveau mal de notre siècle - du moins, c'est ce qu'on a tendance à penser. Ces six derniers mois, politiciens et grandes entreprises technologiques ont uni leurs forces pour mettre à l'index d'Internet toutes les théories et tous les théoriciens du complot. QAnon, Alex Jones, David Icke, un paquet d'anti-vax et Donald Trump ont été bannis ou suspendus de Twitter et YouTube, ainsi que des dizaines de personnalités publiques, tandis que Facebook et Instagram allaient supprimer plus de 12 millions de contenus qui, selon eux, diffusaient de la désinformation et promouvaient des théories du complot fausses, discréditées et dangereuses.

Il y a dix ans, d'aucuns croyaient qu'un réseau mondial et non réglementé pouvait être le sauveur de la liberté d'expression et conduire (dans le cas du Printemps arabe) à une émancipation révolutionnaire ardemment espérée. Plus récemment - et notamment depuis l'assaut du Capitole américain en janvier 2021 - l'idée que des théories du complot puissent alimenter la violence extrémiste en a fait naître une autre : si nous arrivons à effacer toutes les fake news et théories du complot, alors il sera possible de créer une société meilleure régie par la transparence et la vérité.

L'interdiction intégrale du conspirationnisme promet d'être une gigantesque entreprise. Rien qu'aux États-Unis, la moitié des Américains adhèrent aujourd'hui à au moins une théorie du complot. Ce qui n'empêche pas les grands de ce monde de s'associer à ce noble projet visant à effacer à tout jamais, et pour le bien de tous, erreurs et fausses théories.

Laboratoire de Wuhan : de "théorie parallèle discréditée" à piste plausible​

Mais ce vaste projet a été chamboulé courant mai, car l'une des théories du complot largement condamnées l'année dernière - l'hypothèse selon laquelle la pandémie de SARS-CoV-2 serait le résultat d'une fuite accidentelle d'un laboratoire de l'Institut de virologie de Wuhan - s'est avérée ne pas du tout en être une.

En 2020, cette théorie d'une fuite de laboratoire a été tournée en dérision par les grands médias. De l'avis de Jake Tapper de CNN, il fallait la "fourrer dans le grand sac des théories du complot". Selon le New York Times, il s'agissait d'une "théorie parallèle". Pour le Huffington Post, il fallait y voir une "théorie parallèle d'ores et déjà discréditée". Pour le Washington Post, une "théorie du complot déjà discréditée". Sites d'information et plateformes de médias sociaux ont eux aussi copié et collé les mêmes rejets hâtifs, affirmant que l'hypothèse de la fuite de laboratoire n'était pas scientifique, qu'elle relevait d'un fantasme droitier, raciste et anti-chinois, et qu'elle était étayée par des mensonges à motivation politique. Faire la liste de tous les médias à avoir suivi cette ligne nous occuperait pour le reste de cet article.

Mais depuis mai, des scientifiques de renommée mondiale, des journalistes scientifiques et l'OMS demandent de repartir à zéro sur la théorie d'une fuite d'un laboratoire, affirmant qu'elle "doit être étudiée plus avant". Cette théorie "[s'est] imposée" et "reste plausible". Même Reuters affirme qu'elle "ne peut pas être exclue" et le président des États-Unis, Joe Biden, en appelle désormais à une enquête plus complète et plus transparente sur les origines du SARS-CoV-2, revenant sur la clôture par son administration de l'enquête sur les origines du Covid-19 menée en 2020 par le département d'État de l'ère Trump. Et le 28 mai 2021, Facebook levait également l'interdiction des publications mentionnant une origine humaine au Covid-19.

Ce qui est très embarrassant pour tous les journalistes et médias sociaux qui ont bloqué, interdit, ridiculisé et passé sous silence cette théorie, ainsi que pour tous les Big Tech qui l'ont déclassée sur leurs moteurs de recherche et leurs applications. Mais en outre, si un sujet entier peut passer de "folle théorie du complot" à "plausible" en moins d'un an, cela ne détruit-il pas également l'argument voulant que les théories du complot sont dangereuses et devraient être interdites ? Comment pouvons-nous enquêter sur un sujet qui a été privé d'existence par la censure?
 
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Projet MK-Ultra​

Ce n'est pas la première fois qu'une telle situation se présente. Au cours de l'histoire, un certain nombre de théories du complot se sont avérées vraies - et les tête-à-queue politiques ont souvent eu d'inquiétantes implications.

On pense, par exemple, à la théorie, répandue dans les écrits de science-fiction de Phillip K. Dick dans les années 1950 et 1960, selon laquelle le gouvernement américain versait dans le "contrôle mental" et rendait les gens fous, jusqu'au suicide. À l'époque, cette idée fut rejetée comme traduisant des élucubrations paranoïaques et "anti-américaines"- d'autant plus que Dick était un génie perturbé et sa santé mentale fragile.

Sauf que des documents déclassifiés, des fuites et des témoignages de première main ont maintenant prouvé que l'armée américaine a effectivement mené des expériences de manipulation mentale, dans le cadre du projet MK-Ultra, sous le contrôle du chimiste Sidney Gottlieb. Ces expériences ont été secrètement financées et menées sur des étudiants de 44 universités et collèges américains et de 80 universités et collèges canadiens, ainsi que sur des détenus de prisons américaines et dans des centres de détention au Japon, en Allemagne et aux Philippines. Ces sujets humains, pour la plupart involontaires, furent ainsi soumis à "la recherche la plus soutenue de l'histoire des techniques de contrôle de l'esprit". Les cobayes de Gottlieb furent l'objet de tortures psychologiques, reçurent de fortes doses de LSD et furent soumis à des privations de sommeil, des électrochocs et des interrogatoires répétés. Beaucoup ne s'en sont jamais remis. L'Unabomber était l'un de ces cobayes et il est possible que les dommages psychologiques causés par les expériences MK-Ultra expliquent la destruction de sa santé mentale.

Surveillance gouvernementale​

L'idée que le gouvernement américain vous espionne et suivrait vos moindres faits et gestes est née pendant la guerre froide. Au départ, l'expression "chapeau d'aluminium" est apparue dans les années 1950 dans un sens péjoratif pour calomnier les critiques et les faire passer pour des conspirationnistes et déformer leurs propos. Il était de notoriété publique que l'Allemagne de l'Est communiste soumettait sa population civile à une surveillance intensive par la Stasi, mais on croyait le gouvernement américain au-dessus de ces pratiques. Malgré cela, dans les années 1980, la croyance en une surveillance gouvernementale généralisée s'est pleinement déployée dans certains cercles anarchistes et libertariens anti-technologie. Elle allait même prendre un tour paradoxal puisque ce qui était au départ un fantasme paranoïaque est devenu une réalité au début des années 2000, avec l'avènement des smartphones. Peut-être que si la théorie du complot n'avait jamais existé, jamais les gouvernements n'auraient eu l'idée de collaborer avec des entreprises technologiques pour mettre au point des technologies intelligentes de surveillance civile. Il faut peut-être y voir le premier cas historique d'une théorie du complot inspirant un authentique complot.



 
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À maintes reprises, la NSA (fondée en 1952) a publiquement nié tout engagement dans la surveillance de masse de la population civile. Mais cette façade a volé en éclats en 2013, lorsque des documents classifiés concernant le programme PRISM ont été divulgués à des journalistes du Guardian et du Washington Post par Edward Snowden, alors contractant de la NSA. Selon Snowden, la NSA pouvait accéder secrètement à des données provenant de chats vocaux, d'e-mails, de photos, de vidéos, de signaux de localisation, de voix sur IP (comme Skype), de transferts de fichiers et d'informations sur les réseaux sociaux pour effectuer une "surveillance étendue et approfondie des communications en direct et des informations stockées". Snowden a affirmé que la NSA, le FBI, la CIA et la DIA peuvent tous accéder aux données de n'importe quel individu dans le cadre du programme PRISM.

En 2013, le Washington Post rapportait que la NSA avait la capacité de localiser les téléphones portables même éteints. Cette technologie n'est pas nouvelle : la NSA utilise cette technique, "the find", depuis septembre 2004. Selon un officier des opérations spéciales, elle a servi à identifier "des milliers de nouvelles cibles, y compris des membres d'une insurrection naissante soutenue par Al-Qaida en Irak".

Le gouvernement, la police et des pirates informatiques peuvent accéder à votre téléphone et activer le microphone, la caméra et le GPS. Tout appareil intelligent recherche constamment les bornes de téléphonie mobile à proximité et, chaque fois que votre téléphone émet un signal, l'une de ces tours enregistre les métadonnées de votre téléphone, qui sont recueillies par votre fournisseur et conservées pendant cinq ans. Nous savons maintenant que, depuis les années 1970, le réseau de surveillance secret de la NSA collabore avec pas moins de 100 "entreprises américaines de confiance" pour espionner des centaines de millions d'appels téléphoniques de citoyens américains.

Depuis des années, et comme l'affirment les "complotistes", le gouvernement américain a été surpris en train d'espionner le public. Qu'on s'en réfère à Room 614A, SCS, Turbulence, XKeystore, Fairview, au NDNAD au Royaume-Uni ou encore aux projets Matrix et ThinThread.

Expériences sur les enfants​

Une autre théorie du complot, populaire entre les années 1920 et 1940, voulait que les Soviétiques et les fascistes menaient conjointement des expériences inhumaines sur des enfants. Cette théorie fut tournée en dérision comme de la propagande par les mêmes qui affirmaient que les Soviétiques ne collaboreraient jamais avec les fascistes. Mais cette théorie reposait sur une base horriblement réelle : Ivan Pavlov (1849-1936) a bien soumis des enfants aux mêmes tests que ceux qu'il a effectués sur ses chiens éponymes : des expériences consistant à percer un trou dans la joue du sujet testé et à y installer un dispositif de mesure de la salive pour contrôler les "réflexes conditionnés", comme la salivation au son d'une cloche. Les enfants en question avaient été retirés des orphelinats de l'Italie de Mussolini, tandis que le financement provenait de l'URSS. Et un véritable complot fut ourdi pour cacher ces expériences inhumaines et illégales, d'autant plus que les Alliés ont voulu dissimuler les collaborations soviéto-fascistes après que l'URSS a rejoint la lutte des Alliés en 1941. La vérité sera accidentellement révélée avec la sortie des archives du documentaire "La mécanique du cerveau" de Vsevolod Poudovkine (1926) après l'effondrement de l'Union soviétique.

Parmi les autres théories du complot qui se sont avérées vraies, citons le projet Sunshine (1953-1956), au cours duquel des humains furent délibérément exposés à des essais atomiques et leur peau utilisée pour recueillir des données sur les effets des radiations.

Il y a eu la théorie selon laquelle des entreprises pharmaceutiques propageaient le sida par le biais du sang contaminé, ce qui semble avoir été vrai dans certains cas.

Celle selon laquelle le gouvernement américain avait employé des scientifiques nazis après la Seconde Guerre mondiale, histoire que l'on sait maintenant vraie. Il s'agissait de l'opération Paperclip.

On peut également citer le massacre de Katyn en mai 1940, au cours duquel le NKVD (la police secrète soviétique) tua 22 000 officiers militaires et représentants de l'élite polonais. Staline allait faire passer cette tragédie pour une théorie du complot nazie et, tandis que les États-Unis et les Soviétiques devenaient alliés dans la lutte contre les nazis, les Américains allaient adhérer à la version soviétique des faits. Il faudra attendre la fin des années 1980 et la perestroïka pour que la vérité éclate au grand jour.

 
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Fabrications névrotiques​

Dans cette optique, une théorie du complot est un terme péjoratif utile aux personnes au pouvoir pour discréditer ceux qui soupçonnent ou connaissent une vérité que les puissants tentent de dissimuler. Des faits presque trop horribles pour y croire peuvent facilement être soustraits à l'examen du public en affirmant qu'il ne s'agit que d'une théorie du complot.

L'autre façon d'écarter les théories du complot est de laisser entendre qu'il est impossible pour l'être humain de mener à bien certains projets parce qu'ils seraient trop complexes et nécessiteraient donc l'implication de trop de comploteurs pour être réalisables. C'est souvent vrai, bien sûr : il n'y a pas et il n'y a jamais eu de conspiration secrète ayant réussi à dominer le monde.

La plupart des théories de la grande cabale sont des fabrications névrotiques et souvent des variantes du même thème : le monde est gouverné par une société secrète de croquemitaines, qu'ils soient la conspiration de la Banque mondiale, les Illuminati, le cartel bancaire mondial des Rothschild, le ZOG (Zionist Occupation Government, le Gouvernement d'occupation sioniste) ou même une espèce secrète de lézards. Étant donné que la plupart de ces théories contiennent un élément racial - beaucoup sont antisémites - les critiques affirment parfois que toutes ces croyances sont fondées sur la xénophobie. Un exemple clairement faux, censé prouver l'existence d'une telle conspiration, est celui des Protocoles des Sages de Sion de 1903, un texte créé à l'origine par la police secrète tsariste et ensuite utilisé par les nazis pour laisser entendre l'existence d'une conspiration juive visant la domination mondiale.

Pourtant, l'histoire est jonchée de cabales bien réelles et de complots pour renverser des nations et s'emparer du monde. La Conspiration des poudres est peut-être la plus célèbre, mais elle n'est que l'une des six conspirations de ce type à avoir eu lieu à cette seule époque (on peut aussi citer le Complot de Ridolfi, la Conspiration de Throgmorton, la Révolte des comtes du Nord, la Conspiration de Babington et la Conspiration accessoire).

 
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Komintern et CIA​

Une autre théorie du Nouvel Ordre Mondial qui s'est avérée vraie est celle de la conspiration communiste pour la domination du monde : une théorie à la fois très crue et très critiquée pendant l'ère McCarthy aux États-Unis. De fait, l'Internationale communiste (Komintern) a été une cabale de conspirateurs planifiant la domination du monde et qui a tenu sept réunions internationales entre 1919 et 1943. Parmi ses plans, des organisations de façade financées au niveau international qui visaient à fomenter des révoltes, à provoquer des grèves générales dans les pays en développement et les territoires colonisés, et à infiltrer les partis réformistes en Occident.

(L'ironie de l'histoire et qu'à l'époque de la peur rouge de McCarthy, le Komintern n'avait plus grand-chose d'une réelle menace).

La CIA et le MI6 se sont également ingérés au Moyen-Orient à plusieurs reprises : du coup d'État de 1953 qui renversera le Premier ministre iranien Mohammad Mossadegh à l'affaire Iran-Contra de 1987. Ces ingérences constituent des complots de type "grande cabale" visant à contrôler d'autres nations et à influencer l'avenir du commerce mondial, de l'économie et de l'hégémonie politique. Que les comploteurs se rassemblent devant une mappemonde dans des salles enfumées ou par vidéoconférence entre leaders internationaux n'y change rien : les nations occidentales ne cessent de conspirer pour contrôler le Moyen-Orient et ses ressources.

Dès lors, vu les nombreuses théories du complot qui se sont avérées vraies dans l'histoire, et que de réelles conspirations réelles visant à contrôler les populations et à façonner l'avenir des nations et du monde ont réellement existé et existent toujours, quelles pourraient être les conséquences du nettoyage de nos médias et de nos réseaux sociaux des théories du complot ayant cours aujourd'hui ?

Voudrions-nous effacer la vérité, désormais certifiée, du projet MK Ultra ou du projet Sunshine ? Ou de la manière dont la société Bayer a accidentellement propagé le sida en 1983, parce que des gens au pouvoir ont un jour prétendu qu'il s'agissait de théories du complot ?

Si la théorie de la fuite du laboratoire du SARS-CoV-2 s'avère être une vérité scientifiquement vérifiée, de nombreux médias grand public qui l'ont rejetée comme une théorie du complot pourraient avoir été complices de la dissimulation de la véritable raison de la mort de 3,4 millions de personnes.

Il y aura toujours des conspirations et il y aura toujours des théories à leur sujet. Et certaines de ces théories s'avéreront vraies. Et en attendant, nous devons nous méfier de ceux qui tentent de faire taire leurs ennemis politiques en les qualifiant de conspirationnistes.

 
Bonjour tout le monde ++++
Je rappelle que nous sommes tous des êtres humains fragile. les médias ont un but précis manifesté par la trahison et le complotisme, ceci est le témoignage de nous tous !!!!! surtout quand il s'agit de mettre à mal ou compromettre les personnes sérieux pour la simple raison vouloir se venger d'un être humain au lieu d'attaquer un systém pourri .. c'est banal ++++
 

La méthode Bolloré​



Crise à Europe 1 : censurée pour une blague sur Zemmour, Christine Berrou claque la porte : "C'est gravissime !"​


L’humoriste a annoncé vendredi 18 juin sa démission d’Europe 1. Sa hiérarchie lui demandait de retirer une blague sur Eric Zemmour, dans une chronique prévue à l’antenne ce dimanche. Elle se confie dans un entretien… où l’on apprend qu’un journaliste aurait récemment été convoqué pour une pique sur le même Eric Zemmour.

A Europe 1, l’orage éclate, et semble parti pour durer. Inquiets de voir leur radio se rapprocher éditorialement de CNews, les équipes ont décidé ce vendredi de se mettre en grève jusqu'à lundi matin, pour protester contre la mise à pied d’un journaliste. La veille, leurs élus et la Société des rédacteurs de la station publiaient une tribune dans Le Monde, pour alerter sur l’avenir d’Europe 1 au sein d’un groupe - Lagardère - où Vincent Bolloré est désormais majoritaire, via Vivendi.

Quelques dizaines de minutes après l’annonce de la grève, l’humoriste Christine Berrou annonçait sa démission sur Twitter et Instagram. Chroniqueuse dans la matinale du week-end animée par Pierre de Vilno, mais aussi autrice pour la quotidienne d’Anne Roumanoff (qui s’arrête à la fin de la saison), elle avait prévu, dans sa chronique de ce dimanche, une blague sur Eric Zemmour tirée de son spectacle “Depuis 1982”. Comme en atteste le message qu’elle a publié sur les réseaux sociaux, sa hiérarchie lui a demandé de retirer "cette allusion à Zemmour".

Une censure d’autant plus alarmante que plusieurs voix pressenties sur la future grille de rentrée officient sur CNews...où elles côtoient Eric Zemmour. Notamment Dimitri Pavlenko, annoncé par Le Parisien comme potentiel futur matinalier d’Europe 1. Eric Zemmour serait-il d’ores et déjà intouchable sur Europe 1 ?

Jointe par téléphone, Christine Berrou revient, remuée, sur la journée de vendredi. Sa démission signe la fin d'une longue collaboration avec Europe 1, qui a couru sur six saisons depuis 2014. De son côté, le service communication de la station fait savoir que la direction ne commente pour l’instant pas la situation.

Que s’est-il passé ce vendredi ?

Le matin, j’ai enregistré une chronique sur la fête des pères, qui imaginait un enseignant en classe, proposant aux élèves de préparer le traditionnel cadeau :
“on va faire des colliers de nouilles ! Non, mon papa il est allergique au gluten ! Bon alors on va faire des porte-clefs en cuir ! Non mon papa il est vegan, il ne porte pas de cuir ! Bon alors on va dessiner des bonhommes qui sourient ! Non mon papa c'est Eric Zemmour, il aime pas les gens heureux.”

C’est ce qu’on appelle une “vanounette”. J’ai donc été très surprise, quand Pierre de Vilno m’a mise en garde en m’expliquant que la semaine dernière, un journaliste a été convoqué par la direction pour un lancement envoyant une petite pique à Eric Zemmour. Il m’a dit qu’il se devait de me prévenir. Que ça pouvait être grave. Je n’ai pas voulu modifier mon texte, et je suis rentrée chez moi. Puis j’ai reçu ce fameux message. J’ai eu une réaction animale, je n’ai pas réfléchi : j’ai répondu tout de suite et j’ai posté la capture d’écran dans la foulée, les mains tremblantes. Après-coup, je suis triste d’avoir publié ce message personnel, envoyé par une personne très professionnelle. Mais il fallait que ça se sache.

Aviez-vous déjà été censurée par le passé ?

Jamais ! En sept ans à Europe 1, et même ailleurs, à la télévision, jamais ! C’est d’autant plus choquant : ça arrive d’un coup, et ça ne concerne pas n’importe qui.

“Une personne dangereuse est en train de devenir intouchable”

Suite et source
 
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