ah tu racontes de la ***** ! Quand les maghrébins étaient dans l'Islam Sunnite ils ont crée la plus vieille université encore en activitée etc etc c'est seulement lorsqu'ils sont partis dans les délires soufis de sorcellerie et polythéisme majeurs qu'ils se sont fais explosés la gueule et ça c'est clairement indiqués dans les thèses universitaires cela a commencé au 16 eme siècle
quand il y a eu un Islam pure axé sur le Tawhid des bédoins que tu méprises sans armées culture militaire ont conquis un territoire vaste et l'on gardé et fait fructifier comme ceux des romains ou d'Alexandre Le Grand même les historiens islamophobes le reconnaissent une fois que les musulmans sont partis dans leur délire de sorcellerie philosophie soufisme cela a été la fin de leur civilisation
et pour le maghreb c'est un dépotoir à ciel ouvert entre la pratique de la sorcellerie à grande échelle , la corruption , prostition , alcoolisme bref c'est la Thailande mais tu t'en fiche t'es surement une sorte gallo romain à la seauce maghrébine mdrr qui ^promènent son loulou de poméramie dans le quartier bourgogne de casa et qui profite de la misère des tiens pathétiques
D'après Ibn Chihab, 'Omar Ibn Al Khattab (qu'Allah l'agrée) a dit: « Nous étions certes le plus humilié des peuples et Allah nous a donné la puissance par l'Islam.
Si jamais nous recherchons la puissance dans une chose autre que ce par quoi Allah nous l'a donné, alors Allah nous humiliera ».
(Rapporté par Al Hakim dans son Moustadrak n°207 et il a dit que ce hadith est authentique selon les conditions de Boukhari et Mouslim, l'imam Dhahabi l'a approuvé dans cela et Cheikh Albani l'a authentifié dans la Silsila Sahiha vol 1 p 117)
Image à la une : Djebel Binna où se trouve, au pied du côté droit de la falaise, au dessus de la ligne d’arbres, Kef Lihoud ou grotte du Juif. Texte de Louis Brunot. 1918 dans Archives Berbèr…
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Le voyageur le moins averti peut constater sur tout le territoire du Maroc des traces non équivoques de cultes naturistes à peine déguisés. L’adoration des arbres, des sources, des eaux courantes, de la mer, des rochers, des grottes, se manifeste à la ville comme à la campagne. M. Doutté, dans
Magie et Religion, dans
En Tribu, dans
Merrâkech, a relevé, classé et expliqué les actes religieux ordinaires du peuple marocain profondément païen en réalité. On reste convaincu avec cet auteur que le culte de la nature a été et est encore, malgré un léger vernis d’Islam, la vraie, l’unique religion de l’indigène.
L’Islam orthodoxe n’a rien pu faire contre le naturisme, sinon l’absorber, le prendre à son compte. Sans doute, de nos jours, un cadi zélé a fait couper un arbre fétiche qui donnait son ombre à Sidi Bou-Ghaleb à Fès, mais cette exécution récente, faite avec l’autorisation au moins tacite des Chrétiens protecteurs du pays, n’a pas eu l’assentiment du peuple ; elle demeure une manifestation isolée, sans portée, de l’orthodoxie et souligne davantage par son unicité l’impuissance de l’Islam classique en face du paganisme traditionnel. M. Doutté a fait remarquer que le maraboutisme est une transition entre ce paganisme et l’Islam ; il a fait remarquer aussi que les santons usurpateurs occupent les lieux d’adoration des vieux cultes. À Sefrou, nous trouvons une illustration nouvelle des principes magistralement exposés par M. Doutté avec ce caractère particulièrement instructif que le vernis islamique dont nous parlions est pour ainsi dire insignifiant, plus insignifiant que partout ailleurs ; on trouve à Sefrou des cultes naturistes, peut-être diminués, mais non déformés.