Ces agents du système ne défendent pas les marocains et le Maroc mais leurs régime et l'interet de l'impérialiste.
C'est exactement ce que je pense. L'administration marocaine et ses différents services de sécurité et de renseignement comprennent des patriotes qui servent les intérêts du Maroc et des Marocains, et des traîtres qui servent des agendas étrangers, ou en d'autres termes, des mercenaires qui manœuvrent au profit du lobby ou de l'État qui leur offre le plus d'argent.
Dans le passé, ces traîtres n’avaient pas le courage de dire explicitement que c’était Israël qui avait construit le mur du Sahara. Ils ont menti au peuple marocain, et très probablement même à Hassan II en leur disant que l’entreprise qui construira ce mur est une entreprise américaine. Récemment, ils l'ont affirmé noir sur blanc que cette société n’était pas américaine, mais plutôt israélienne.
Il s'agit là d'une infraction sanctionnée par le Code pénal marocain (article 189), qui stipule qu'il est coupable d'atteinte à la sûreté extérieure de l'Etat et puni de la réclusion de cinq à trente ans, tout Marocain qui, en temps de guerre, au mépris des prohibitions édictées, fait directement ou par intermédiaire des actes de commerce avec les sujets d'une puissance ou les agents d'une autorité ennemie.
Il en va de même pour les pourparlers entre les dirigeants arabes à Casablanca qui ont été transmis aux services de renseignements israéliens. Le Code pénal marocain (article 181) est clair à ce sujet : il est, en temps de paix ou en temps de guerre, coupable de trahison et puni de mort, tout Marocain qui livre à une autorité étrangère ou à ses agents, sous quelque forme et par quelque moyen que ce soit, un secret de la défense nationale ou qui s'assure par quelque moyen que ce soit la possession d'un secret de cette nature en vue de le livrer à une autorité étrangère ou à ses agents.
De même pour ceux qui ont aidé les renseignements israéliens à infiltrer le système marocain d'une manière qui leur permettra d'orientater ses décisions politiques, économiques et sociales en fonction des besoins d'Israël, il s'agit également d'un acte puni par le Code pénal marocain (article 182) qui stipule qu'il est, en temps de guerre, coupable de trahison et puni de mort, tout Marocain qui entretient des intelligences avec une autorité étrangère ou avec ses agents en vue de favoriser les entreprises de cette autorité contre le Maroc.
Tous ces sujets nécessitent simplement que quelqu'un s'en occupe et les porte devant la justice marocaine... À cet égard, je ne vois personne de mieux qu'Aziz Hannaoui, le secrétaire général de l’Observatoire marocain contre la normalisation avec Israël.
Idem, ceux appartenant au courant du "sionisme islamique" doivent à leur tour faire l'objet d'une enquête... Obtenir des fonds étrangers pour promouvoir des idées hérétiques au Maroc est un acte puni par le droit pénal.