Mon journal ramadanier!

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L'art du baiser : un doux préliminaire

Embrassez qui vous voulez !

La bouche est l'antichambre de votre âme et du plaisir.

Doux préliminaire, le baiser est révélateur de sentiments, d'intentions et de suaves promesses.
Chaste et subtile ou mâle et viril, il en dit long sur l'homme que vous êtes au lit !


Le french kiss, c'est bon...


- En embrassant avec la langue, vous faites travailler 29 muscles, labiaux et linguaux
- Une minute de baiser vous fait dépenser à peu près 100 calories
- La bouche est une des zones les plus érogènes du corps
- Le baiser fait durer les couples ! Lors d'un baiser, l'hypophyse produit une hormone (l'ocytocine) à profusion, qui renforce l'attachement.
- Le baiser, ça fait saliver et la salive, c'est bon contre les caries !


Tout un art


Véritable mise en bouche érotique, le baiser en dit long sur l'amant que vous êtes.
La souplesse, le bon tempo des mouvements et de la respiration sont requis dans l'art du baiser.

A vous de trouver le bon rythme !
La position du visage et des membres, la pression exercée par les lèvres et la gestuelle participent également aux variations du baiser et du plaisir provoqué.

Du baiser volé au jeu de langues, le Kama Sutra expose quelques façons de faire grimper votre partenaire au 7e Ciel.

Que peut-on faire à quatre lèvres et deux langues ?

Titiller la lèvre inférieure de votre partenaire avec votre langue ou vos dents par exemple ; mordiller légèrement les lèvres de votre partenaire accélère les préliminaires et marque son appartenance ; le Baiser Direct qui se pratique face à face exprime une passion franche.
A l'équerre, les visages permettent une prise plus directe et plus intense entre les lèvres : c'est le Baiser Incliné.

Sortez les mains de vos poches

Si vous ne savez pas quoi faire de vos bras, tenez les mains de votre partenaire pendant que vous l'embrassez en signe d'attachement. Prenez son visage à deux mains pour lui montrer votre affection, ou enlacez la carrément pour un baiser plus passionné. Un doigt posé sur sa bouche jusqu'à ce que vos lèvres se rejoignent pour marquer votre tendresse profonde, il s'agit du Baiser Appuyé.


Par contre, on dit non !
- Au « baiser fleuve » qui inonde la bouche de votre partenaire de salive

- La « grosse langue molle »

- La « langue fureteuse » qui donne l'impression de passer un examen dentaire.

Et si vous n'êtes pas un pro du baiser, sachez que rien ne vaut un baiser fougueux et passionné ;-)
 
Letranger a dit:
L'art du baiser : un doux préliminaire

Embrassez qui vous voulez !

La bouche est l'antichambre de votre âme et du plaisir.

Doux préliminaire, le baiser est révélateur de sentiments, d'intentions et de suaves promesses.
Chaste et subtile ou mâle et viril, il en dit long sur l'homme que vous êtes au lit !


Le french kiss, c'est bon...


- En embrassant avec la langue, vous faites travailler 29 muscles, labiaux et linguaux
- Une minute de baiser vous fait dépenser à peu près 100 calories
- La bouche est une des zones les plus érogènes du corps
- Le baiser fait durer les couples ! Lors d'un baiser, l'hypophyse produit une hormone (l'ocytocine) à profusion, qui renforce l'attachement.
- Le baiser, ça fait saliver et la salive, c'est bon contre les caries !


Tout un art


Véritable mise en bouche érotique, le baiser en dit long sur l'amant que vous êtes.
La souplesse, le bon tempo des mouvements et de la respiration sont requis dans l'art du baiser.

A vous de trouver le bon rythme !
La position du visage et des membres, la pression exercée par les lèvres et la gestuelle participent également aux variations du baiser et du plaisir provoqué.

Du baiser volé au jeu de langues, le Kama Sutra expose quelques façons de faire grimper votre partenaire au 7e Ciel.

Que peut-on faire à quatre lèvres et deux langues ?

Titiller la lèvre inférieure de votre partenaire avec votre langue ou vos dents par exemple ; mordiller légèrement les lèvres de votre partenaire accélère les préliminaires et marque son appartenance ; le Baiser Direct qui se pratique face à face exprime une passion franche.
A l'équerre, les visages permettent une prise plus directe et plus intense entre les lèvres : c'est le Baiser Incliné.

Sortez les mains de vos poches

Si vous ne savez pas quoi faire de vos bras, tenez les mains de votre partenaire pendant que vous l'embrassez en signe d'attachement. Prenez son visage à deux mains pour lui montrer votre affection, ou enlacez la carrément pour un baiser plus passionné. Un doigt posé sur sa bouche jusqu'à ce que vos lèvres se rejoignent pour marquer votre tendresse profonde, il s'agit du Baiser Appuyé.


Par contre, on dit non !
- Au « baiser fleuve » qui inonde la bouche de votre partenaire de salive

- La « grosse langue molle »

- La « langue fureteuse » qui donne l'impression de passer un examen dentaire.

Et si vous n'êtes pas un pro du baiser, sachez que rien ne vaut un baiser fougueux et passionné ;-)
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merci g appris beaucoup :D
 
missarah a dit:
eeeeeeeeee quoi????:rolleyes: :D
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Bonsoir Sarah
Un poeme,ton cadeau de ton mariage de ma part!!!!



Un baiser dans le cou,
Une ceinture qu’on dégrafe,
J’effleure ton genou,
Je peine avec l’agrafe.

Mes mains passent sous ton pull,
Ta peau fine qui frissonne,
Un doigt un peu crapule,
Faut que tu me déboutonnes.

Juste au-dessus d’ tes bas
C’est un peu du vélin
Je m’fais mon cinéma
Mon dû est léonin

Ta bouche qui m’envahit,
Ma langue qui trouve la tienne,
L’air qui se raréfie,
Faut que je me retienne.

De la soie sous mes doigts,
Juste un peu de dentelle,
Je vais perdre mon sang froid,
Faut que tu m’ désensorcelles.

Un élastique passé,
Tes cheveux dans mes yeux,
Un pubis épilé,
Je suis en haut des cieux.

Des lèvres qui s’entrouvrent,
Tu commences à couler,
Je sens que tu approuves,
Toi tu me fais planer.

Une caresse furtive,
Tu cherches à m’libérer,
Juste un peu de salive,
Je me suis fait happer.

Tu es par-dessus moi,
Ton corps qui s’abandonne,
J’ai très envie de toi,
Mais qu’est ce que tu marmonnes ?

Je suis au fond de toi,
Tu refermes tes bras,
Le plaisir tu tutoies,
Tu sens le seringat.

Tes ongles dans ma chair,
Tu cries trop fort mon nom,
Ça a l’air de te plaire,
Tu m’as fait un suçon.

Ton orgasme est violent,
Les sursauts de ton corps
Sont des spasmes inconscients,
Tu es un vrai ressort.

Ton souffle devient court,
Je viens de te rejoindre,
C’est vrai que tu savoures,
L’aube commence à poindre.

Tu viens de t’écrouler,
Je sens que tu as froid,
Il faut te réchauffer,
Une idée j’entrevois
 
Letranger a dit:
Bonsoir Sarah
Un poeme,ton cadeau de ton mariage de ma part!!!!



Un baiser dans le cou,
Une ceinture qu’on dégrafe,
J’effleure ton genou,
Je peine avec l’agrafe.

Mes mains passent sous ton pull,
Ta peau fine qui frissonne,
Un doigt un peu crapule,
Faut que tu me déboutonnes.

Juste au-dessus d’ tes bas
C’est un peu du vélin
Je m’fais mon cinéma
Mon dû est léonin

Ta bouche qui m’envahit,
Ma langue qui trouve la tienne,
L’air qui se raréfie,
Faut que je me retienne.

De la soie sous mes doigts,
Juste un peu de dentelle,
Je vais perdre mon sang froid,
Faut que tu m’ désensorcelles.

Un élastique passé,
Tes cheveux dans mes yeux,
Un pubis épilé,
Je suis en haut des cieux.

Des lèvres qui s’entrouvrent,
Tu commences à couler,
Je sens que tu approuves,
Toi tu me fais planer.

Une caresse furtive,
Tu cherches à m’libérer,
Juste un peu de salive,
Je me suis fait happer.

Tu es par-dessus moi,
Ton corps qui s’abandonne,
J’ai très envie de toi,
Mais qu’est ce que tu marmonnes ?

Je suis au fond de toi,
Tu refermes tes bras,
Le plaisir tu tutoies,
Tu sens le seringat.

Tes ongles dans ma chair,
Tu cries trop fort mon nom,
Ça a l’air de te plaire,
Tu m’as fait un suçon.

Ton orgasme est violent,
Les sursauts de ton corps
Sont des spasmes inconscients,
Tu es un vrai ressort.

Ton souffle devient court,
Je viens de te rejoindre,
C’est vrai que tu savoures,
L’aube commence à poindre.

Tu viens de t’écrouler,
Je sens que tu as froid,
Il faut te réchauffer,
Une idée j’entrevois
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je veux la suite :rouge:
ça c'est pour les fiancailles alors je n'imagine pas pour le mariage:D
 
missarah a dit:
je veux la suite :rouge:
ça c'est pour les fiancailles alors je n'imagine pas pour le mariage:D
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Sarah la gourmande!!!
Deguste ça!!!!!



Douce est ta peau quand mes lèvres t’explorent.

Tu navigues dans mes pensées et dans mes rêves toutes voiles au vent.
Si ma main ne se pose pas sur ton corps -
pas encore, hélas –
mon esprit, lui, rebelle et insouciant,
te fait l’amour toutes les nuits.

Étreinte des mots, mélange des sensations, nos âmes virevoltent dans un écrin de soie.

Coulent, coulent les mots à l’encre de pixel, tout n’est que vent quand l’amour est tempête.
Aussi saisissable qu’une poignée de sable fin,
je t’enserre dans mes bras fantômes.
Sens-tu mon cœur battre à l’unisson du tien alors que je suis près de toi et pourtant si loin?

Je courre et courre encore, pourtant jamais je ne te rattrape.
Mes pas font-ils fuir les tiens?
Lorsque je pense enfin te toucher,
il ne me reste que l’emprunte de ton cœur sur les doigts.
Artefacts de l’Amour, je n’ose alors plus vivre et admire sans fin l’ombre de ta présence sur ma main d’amant.

Si mes baisers se font papillons et abeilles pour butiner ta fleur,
mes lèvres deviennent coupe pour ton miel.
Délice de la déraison,
je suis infiniment toi dans l’infini de mes désirs.
En eux, te rejoindrai-je un jour, une nuit ?
 
Et ce poeme ,c'est pour ta nuit de noce,à ta place,il faut l'editer et.........


Sa courbe delitait les voiles de son lit
L'étoffe semblait tendrement son corps épouser
Les draps absorbaient les parfums de sa vie
Naviguant sur la lame des seins aiguisés

Cette douce image d'un rêve semblait sortie
Alanguie, elle laissait sa main courir sur sa peau
Ses pensées allant à l'évocation d'un vit
Celui de ce beau prince lui tournant le dos

Cet être si fort et si puissant la troublait
Maintes fois sa voix d'homme attisait son désir
Elle l'aimait tant, mais c'est son sexe, qu'elle désirait:
C'est par la bas qu'elle desirait le voir fremir.

Son corps, en harmonie avec ses douces pensées,
Attendait patiemment le toucher de ses mains,
Ondulant, s'offrant d'une manière effrontée,
Accentuant de désir la courbure de ses reins.

Il s'approcha d'elle, la découvrant bien plus belle,
Ses yeux, d'abord, commencèrent une longue caresse
qui, douce, brûlante, exitante, lui donnait des ailes,
Puis ses mains tirèrent le voile recouvrant ses fesses,

Fremissante sous la caresse du léger voile
Bouillonante du désir de se donner,
Comme elle l attendait allongee sur la toile,
Son intimité devenait toute mouillée

Doucement ses doigts effleurerent le creux des reins,
Provoquant chez elle un délicieux frisson,
Comme une extreme douceur en son sein,
Elle bouillonait de l'accueillir en son giron

Doucement il vint en elle et lecha un sein
Et sa main descendit sur sa chatte énervée
La trouver si mouillée accentua son entrain
A tel point qu'il mordit son teton bien dressé.

Il lui présenta le fier objet de son désir
Qu'avec gourmandise elle s'empressa de gober
Sa bouche s'affairant à aller et venir
Le long du beau membre qui s'était redressé.

D'une main malhabile elle caresse les fesses
De son amant vibrant, qui est tout à son aise
Elle parcourt ses rondeurs avec force tendresse
Hardie à l'ouvrage elle voudrait que ça lui plaise

Alors qu'elle ressent la chaleur l'envahir
Son souffle se fait court et son corps se raidit
De plus en plus vite monte en elle un fort désir
De sentir en elle la brulure de son gros vît

Mais il ne l'entend pas ainsi et à son tour
Il veut l'intimité de sa bel' déguster:
Sa bouche sur le corps couvre de baisers lourds
Le moindre des recoins, le plus petit ourlet.

Sa douce langue parcourt les pleins et les déliés
 
Letranger a dit:
Sarah la gourmande!!!
Deguste ça!!!!!



Douce est ta peau quand mes lèvres t’explorent.

Tu navigues dans mes pensées et dans mes rêves toutes voiles au vent.
Si ma main ne se pose pas sur ton corps -
pas encore, hélas –
mon esprit, lui, rebelle et insouciant,
te fait l’amour toutes les nuits.

Étreinte des mots, mélange des sensations, nos âmes virevoltent dans un écrin de soie.

Coulent, coulent les mots à l’encre de pixel, tout n’est que vent quand l’amour est tempête.
Aussi saisissable qu’une poignée de sable fin,
je t’enserre dans mes bras fantômes.
Sens-tu mon cœur battre à l’unisson du tien alors que je suis près de toi et pourtant si loin?

Je courre et courre encore, pourtant jamais je ne te rattrape.
Mes pas font-ils fuir les tiens?
Lorsque je pense enfin te toucher,
il ne me reste que l’emprunte de ton cœur sur les doigts.
Artefacts de l’Amour, je n’ose alors plus vivre et admire sans fin l’ombre de ta présence sur ma main d’amant.

Si mes baisers se font papillons et abeilles pour butiner ta fleur,
mes lèvres deviennent coupe pour ton miel.
Délice de la déraison,
je suis infiniment toi dans l’infini de mes désirs.
En eux, te rejoindrai-je un jour, une nuit ?
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Letranger a dit:
Et ce poeme ,c'est pour ta nuit de noce,à ta place,il faut l'editer et.........


Sa courbe delitait les voiles de son lit
L'étoffe semblait tendrement son corps épouser
Les draps absorbaient les parfums de sa vie
Naviguant sur la lame des seins aiguisés

Cette douce image d'un rêve semblait sortie
Alanguie, elle laissait sa main courir sur sa peau
Ses pensées allant à l'évocation d'un vit
Celui de ce beau prince lui tournant le dos

Cet être si fort et si puissant la troublait
Maintes fois sa voix d'homme attisait son désir
Elle l'aimait tant, mais c'est son sexe, qu'elle désirait:
C'est par la bas qu'elle desirait le voir fremir.

Son corps, en harmonie avec ses douces pensées,
Attendait patiemment le toucher de ses mains,
Ondulant, s'offrant d'une manière effrontée,
Accentuant de désir la courbure de ses reins.

Il s'approcha d'elle, la découvrant bien plus belle,
Ses yeux, d'abord, commencèrent une longue caresse
qui, douce, brûlante, exitante, lui donnait des ailes,
Puis ses mains tirèrent le voile recouvrant ses fesses,

Fremissante sous la caresse du léger voile
Bouillonante du désir de se donner,
Comme elle l attendait allongee sur la toile,
Son intimité devenait toute mouillée

Doucement ses doigts effleurerent le creux des reins,
Provoquant chez elle un délicieux frisson,
Comme une extreme douceur en son sein,
Elle bouillonait de l'accueillir en son giron

Doucement il vint en elle et lecha un sein
Et sa main descendit sur sa chatte énervée
La trouver si mouillée accentua son entrain
A tel point qu'il mordit son teton bien dressé.

Il lui présenta le fier objet de son désir
Qu'avec gourmandise elle s'empressa de gober
Sa bouche s'affairant à aller et venir
Le long du beau membre qui s'était redressé.

D'une main malhabile elle caresse les fesses
De son amant vibrant, qui est tout à son aise
Elle parcourt ses rondeurs avec force tendresse
Hardie à l'ouvrage elle voudrait que ça lui plaise

Alors qu'elle ressent la chaleur l'envahir
Son souffle se fait court et son corps se raidit
De plus en plus vite monte en elle un fort désir
De sentir en elle la brulure de son gros vît

Mais il ne l'entend pas ainsi et à son tour
Il veut l'intimité de sa bel' déguster:
Sa bouche sur le corps couvre de baisers lourds
Le moindre des recoins, le plus petit ourlet.

Sa douce langue parcourt les pleins et les déliés
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c'étais absorbant, du premier mot au dernier....:rouge:
j'ai le droit a plusieurs cadeaux de fiancailles :rouge: :-D
 
salam letranger
salut missarah
comment ca va aujourd hui
moi ca peu aller
suis trop énervée
mais bon ca va passer avec le temps et la rigolade incha allah
:D
 
missarah a dit:
c'étais absorbant, du premier mot au dernier....:rouge:
j'ai le droit a plusieurs cadeaux de fiancailles :rouge: :-D
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Puisque tu aimes les mots
Je vais te faire l'amour avec les mots(attention ma belle,c'est une metaphore,je sais que tu es intelligente et tu vas aimer ce passage)


Sarah aime faire l'amour avec des mots!!!

L'amour des Mots !

Savez-vous qu’elle a rêvé de vous ?!
Oh ! Non ! Elle ne vous à pas fait l’amour, et non vous ne lui avez pas fait l’amour.
C’était plus fort, plus intense…
Pas de physique, pas de soupire, non !
Juste des mots, juste des dires mais si…

Parler d’amour, parler d’aimer combien de couple en parle vraiment,
combien d’homme et de femme se disent-ils avec les mots, les phrases ?
Combien osent-ils trouver les expressions à ce qu’ils souhaitent, à ce qu’ils désirent ? Combien ont-ils fait l’acte de la parole, de l’écrit…

Elle a aimé discuter d’elle,
elle a aimé les questions et les réponses,
elle s’est sentie vivre, elle a ressenti du plaisir au partage de ses envies encore non dévoilée entièrement…
mais frôlée,
cajolée…
elle s’est roulée dans les vocables, enroulée dans les phrases…
Comme c’est bon de parler de sentiments, d’émotions sans jugements, sans tabou….

Finalement c’est quoi faire l’amour…
n’est-ce pas donner du plaisir et en recevoir,
n’est-ce pas faire vibrer l’autre, lui donner des frissons, des sensations…
faire exister sous des caresses douces et choisies,
trouver les passages sensitifs, pénétrer les sillons de ses doigts,
de sa langue, de son sexe.
Apprendre à connaître, reconnaître ce qui fait vibrer,
faire tourner la tête,
enivrer l’autre, la pousser à ce qu’elle en redemande,
à ce qu’elle guide de ses mains, de sa voix gémissante…

Donner se donner entièrement passe aussi par de simple mots,
faire l’amour rapidement sans connaître l’autre est parfois exaltant,
mais si frustrant…
le plaisir le vrai est celui de savoir comment faire hurler un corps,
comment le faire se tortiller.

Savoir faire mouiller une chatte sans même l’avoir touchée n’est possible que par la connaissance de l’art d’aimer et pour cela il faut savoir se laisser aller dans les mains expertes de la perception de l’autre…

Oui !
Elle a passé la nuit avec vous,
elle s’est laissée prendre par tous ses orifices,
sa peau porte les marques de chacun de ses mots,
elle a vibré,
transpiré.
Ses pensées ce sont glissées partout sur son corps,
la marquant de griffure, de sensation rare.
Vous avez pris le temps de lui faire plaisir,
vous avez su reconnaître le moindre de ses soupires,
la moindre de ses réactions…
oui,
elle a rêvé de vous et ce matin elle vous sourit !
 
Letranger a dit:
Je m apelais Ethan j avais la vie devant moi
Je n avais que 19 mois , j etais un enfant plein de vie , aimé de mes parents , je croquais la vie
a pleine dent et surtout j etais tres curieux....
le jour du 25 mai 2007 ma vie c est arreté ...apres un petite sieste je rale comme a mon habitude
ma maman viens donc me voir, je joue un peu avec elle , je lui montre les photos et je lui fais comprendre que je veux qu elle ouvre le volet , elle l ouvre tres peu
quelques centimetres.apres un merveilleux calin, ce fu le dernier, elle me pose par terre pour que je rejoigne mon frere et mon papa .elle me passe devant ,
en effet elle viens de se souvenir que mon grand frere a laisser ses legos par terre dans sa chambre et elle me connait bien ma maman elle sait que je suis un filou
et que je vais vouloir aller dans la chambre de mon frere.elle va donc fermer la chambre .
moi je ne rejoins pas mon papa et mon frere , non , j ai vu que maman avait oublier la clanche de la fenetre sur le marbre, je suis curieux je monte donc sur ce marbre
situer juste sous la fenetre et j ouvre la fenetre je me penche et la je tombe .ma maman rejoint mon papa et mon grand frere en pensant que je suis avec eux
mais la elle ne me vois pas tout de suite elle se precipite dans la chambre mais il est trop tard....elle voit la fenetre ouverte elle a compris ...elle hurle
mon papa accourt .maman devale les marches elle me rejoint je suis la sur le bitume je ne respire plus , je l entend me parler elle me dit de me battre que les
docteur vont arriver , je ressens tout son amour sa me donne de la force je respire de nouveau j entend au loin les sirenes des pompiers ils arrivent pour m aider
papa arrive a son tour maman lui demande de prevenir une voisine pour qu elle garde hugo et qu il me ramene mon doudou.il me suis partout papa reviens avec mon doudou
il fait remarquer a maman que j ai du sang dans la bouche et il y a des rales quand je respire.les pompiers arrivent maman se pousse pour leur laisser de la place
ils font de leur mieux , le samu arrive a son tour ils eloigne maman encore plus je ne la vois plus .tout autour de moi l equipe medical s agite .ils decident de m emener a l hopital
mais il n y a pas de place pour maman dans le camion ...sur la route de l hopital dans le camion de pompier je commence a m envoler un pompier me fais un massage cardiaque
on arrive a l hopital il m emmene pour faire des examens pendant se temps ils mettent papa et maman dans une piece .l attente et longue pour eux...un medecin reanimateur viens voir mes parents
elle leur dit"vous savez le gravite de la chute" maman repond "oui il est mort"et maman s ffondre sans attendre la reponse ...7 etages ....20 metres...on dit alors a mes parents qu on me prepare
au cas ou ils voudraient me voir , bien sur ils veulent me voir , me parler.on vions les chercher je suis pret ils m ont mis dans un service ou il y a des enfants , dur pour ma maman d entendre les enfants
pleurer elle realise qu elle ne m entendra plus.maman me parle elle me dis "bonne nuit mon ange" ses larmes coulent sur mon visage.une infirmiere entre dans la
chambre elle dit a mes parents qu il va falloir des papiers elle leur dis qu ils pourront venir me revoir.mes parents doievnt se rendre au poste de police ou ils
sont entendu .mes parents ne m ont pas revu avant la fin de l enquete , j ai subit une autopsie.mes parents on du attendre une semaine pour me revoir et encore 5 jours pour me dire aurevoir
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j'ai fais la mm quand j'avais un an et demi sauf que je suis tombé que d'un étage...hamdoulah je m'en suis bien sortis.
 
Letranger a dit:
Puisque tu aimes les mots
Je vais te faire l'amour avec les mots(attention ma belle,c'est une metaphore,je sais que tu es intelligente et tu vas aimer ce passage)


Sarah aime faire l'amour avec des mots!!!

L'amour des Mots !

elle a rêvé de vous et ce matin elle vous sourit !
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wouaou, qui a écrit ce texte?
 
Letranger a dit:
Puisque tu aimes les mots
Je vais te faire l'amour avec les mots(attention ma belle,c'est une metaphore,je sais que tu es intelligente et tu vas aimer ce passage)


Sarah aime faire l'amour avec des mots!!!

L'amour des Mots !

Savez-vous qu’elle a rêvé de vous ?!
Oh ! Non ! Elle ne vous à pas fait l’amour, et non vous ne lui avez pas fait l’amour.
C’était plus fort, plus intense…
Pas de physique, pas de soupire, non !
Juste des mots, juste des dires mais si…

Parler d’amour, parler d’aimer combien de couple en parle vraiment,
combien d’homme et de femme se disent-ils avec les mots, les phrases ?
Combien osent-ils trouver les expressions à ce qu’ils souhaitent, à ce qu’ils désirent ? Combien ont-ils fait l’acte de la parole, de l’écrit…

Elle a aimé discuter d’elle,
elle a aimé les questions et les réponses,
elle s’est sentie vivre, elle a ressenti du plaisir au partage de ses envies encore non dévoilée entièrement…
mais frôlée,
cajolée…
elle s’est roulée dans les vocables, enroulée dans les phrases…
Comme c’est bon de parler de sentiments, d’émotions sans jugements, sans tabou….

Finalement c’est quoi faire l’amour…
n’est-ce pas donner du plaisir et en recevoir,
n’est-ce pas faire vibrer l’autre, lui donner des frissons, des sensations…
faire exister sous des caresses douces et choisies,
trouver les passages sensitifs, pénétrer les sillons de ses doigts,
de sa langue, de son sexe.
Apprendre à connaître, reconnaître ce qui fait vibrer,
faire tourner la tête,
enivrer l’autre, la pousser à ce qu’elle en redemande,
à ce qu’elle guide de ses mains, de sa voix gémissante…

Donner se donner entièrement passe aussi par de simple mots,
faire l’amour rapidement sans connaître l’autre est parfois exaltant,
mais si frustrant…
le plaisir le vrai est celui de savoir comment faire hurler un corps,
comment le faire se tortiller.

Savoir faire mouiller une chatte sans même l’avoir touchée n’est possible que par la connaissance de l’art d’aimer et pour cela il faut savoir se laisser aller dans les mains expertes de la perception de l’autre…

Oui !
Elle a passé la nuit avec vous,
elle s’est laissée prendre par tous ses orifices,
sa peau porte les marques de chacun de ses mots,
elle a vibré,
transpiré.
Ses pensées ce sont glissées partout sur son corps,
la marquant de griffure, de sensation rare.
Vous avez pris le temps de lui faire plaisir,
vous avez su reconnaître le moindre de ses soupires,
la moindre de ses réactions…
oui,
elle a rêvé de vous et ce matin elle vous sourit !
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quel honneur letranger
un poeme de toi,
un vers de toi,
un mot de toi,
une syllabe de toi,
un soupir de toi,
et mon coeur est en émoi....
 
Letranger a dit:
Wawwww t as echappé belle,c'est pour ça que tu es infermiere maintenant?
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lol , heu j'y ai pas pensé :eek:
mais non je pense pas!
j'avais juste un gros hématome sur le visage! pas de fractures ..rien! je suis solide :D c'est le gardien qui m'a vu étendu ds le jardin

quand on y pense ça fait rire.. mais bon sur le coups ma mère n'as pas du tout rigolait!!!
 
missarah a dit:
tes mots sont doux
comme des bisous
dans le cou....
il me transporte
et me reconforte,
je fais en sorte
que nous prenions tout deux notre pied....;)
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Celui qui maitrise le mot peut dominer le monde Sarah
Un poeme:special Mot:



Il y a des mots qu’on ne peut oublier
D’autres qu’on voudrait oublier
Des mots qui nous pénètrent en flèche
Des mots qui rallument la mèche
Des mots qui nous vont droit au cœur
Des mots qui nous font très peur
Des mots tendres qu’on aimerait entendre
Des mots durs à nous faire fendre
Des mots qui trahissent et qui blessent
Des mots qu’on savoure comme une caresse
Des mots qui nous font plaisir
Des mots qui nous font souffrir
Des mots qui nous font rêver
Des mots qui nous mettent face à la vérité
Des mots simples et convaincants
Des mots compliqués et choquants
Des mots qu’il ne faut pas prononcer
Car ils peuvent tout faire basculer
Parmi tous ces mots , il existe un mot
Sur lequel , il faut insister
Qu’il faut dire et répéter
A conjuguer dans tous les temps
Au passé , au future et au présent
Il doit être mis sur la sellette
Pour être chanter à tue-tête
Au fil des jours et des années
Il n’est autre que le mot « aimer
 
Letranger a dit:
Celui qui maitrise le mot peut dominer le monde Sarah
Un poeme:special Mot:



Il y a des mots qu’on ne peut oublier
D’autres qu’on voudrait oublier
Des mots qui nous pénètrent en flèche
Des mots qui rallument la mèche
Des mots qui nous vont droit au cœur
Des mots qui nous font très peur
Des mots tendres qu’on aimerait entendre
Des mots durs à nous faire fendre
Des mots qui trahissent et qui blessent
Des mots qu’on savoure comme une caresse
Des mots qui nous font plaisir
Des mots qui nous font souffrir
Des mots qui nous font rêver
Des mots qui nous mettent face à la vérité
Des mots simples et convaincants
Des mots compliqués et choquants
Des mots qu’il ne faut pas prononcer
Car ils peuvent tout faire basculer
Parmi tous ces mots , il existe un mot
Sur lequel , il faut insister
Qu’il faut dire et répéter
A conjuguer dans tous les temps
Au passé , au future et au présent
Il doit être mis sur la sellette
Pour être chanter à tue-tête
Au fil des jours et des années
Il n’est autre que le mot « aimer
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une petite faute au passage :-D

ce poeme est bien vrai, mais est ce que le mot aimer n'est-il pas un mot qui
-ne peut être oublier
-qu'on voudrait oublier
-qui nous penetre en fleche
-qui rallume la mèche
-qui va droit au coeur
-qui fait tres peur
-qu'on aimerait entendre
-qui blesse
-qu'on savoure comme une caresse
-qui fait plaisir
-qui fait souffrir
-qui fait rêver
-qui est simple
-qui est convaincant
-qui est compliqué
-qui est difficile a prononcer

:rolleyes: je te taquine;)
 
missarah a dit:
une petite faute au passage :-D

ce poeme est bien vrai, mais est ce que le mot aimer n'est-il pas un mot qui
-ne peut être oublier
-qu'on voudrait oublier
-qui nous penetre en fleche
-qui rallume la mèche
-qui va droit au coeur
-qui fait tres peur
-qu'on aimerait entendre
-qui blesse
-qu'on savoure comme une caresse
-qui fait plaisir
-qui fait souffrir
-qui fait rêver
-qui est simple
-qui est convaincant
-qui est compliqué
-qui est difficile a prononcer

:rolleyes: je te taquine;)
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Passe une soirée agreable avec ces mots


Ouvre ta chair ; je sais la mort de l’impuissance.
Au bout du bras coulé dans les aines, serpent,
Mon doigt peut t’enfiler tant que ma verge pend
Et soûler ton désir rageur de jouissance.

Le sens-tu, comme il entre avec une chaleur,
Et se promène et te caresse toute rouge
Tandis que ton grand corps se contracte, et que bouge
Le clitoris extasié par la douleur.

II s’enfonce, mon doigt pénétrant, il te perce.
Ton vagin vorace et vallonné qui s’exerce,
Intarissablement liquide autour de lui,

Tête et gargouille, bouche encore puérile,
Et trompe avec mon doigt consolateur l’ennui
De la trêve imposée à la vigueur virile.
 
Letranger a dit:
Passe une soirée agreable avec ces mots


Ouvre ta chair ; je sais la mort de l’impuissance.
Au bout du bras coulé dans les aines, serpent,
Mon doigt peut t’enfiler tant que ma verge pend
Et soûler ton désir rageur de jouissance.

Le sens-tu, comme il entre avec une chaleur,
Et se promène et te caresse toute rouge
Tandis que ton grand corps se contracte, et que bouge
Le clitoris extasié par la douleur.

II s’enfonce, mon doigt pénétrant, il te perce.
Ton vagin vorace et vallonné qui s’exerce,
Intarissablement liquide autour de lui,

Tête et gargouille, bouche encore puérile,
Et trompe avec mon doigt consolateur l’ennui
De la trêve imposée à la vigueur virile.
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je te reconnait plus dans ce poeme;)


pour toi:

Caresse mon corps comme tu caresse mon coeur,
Fais moi passer des heures,
A hurler de plaisir sous toi,
Qu'on finisse sous la couette toi et moi.

Embrasse moi de haut en bas,
Ne me laisse pas comme ça,
J'ai faim de ton corps,
Aime moi à mort.

Rentre en moi comme tu voudras,
Je voudrais juste te sentir tout contre moi,
Que ta respiration traine sur moi,
Et que ta respiration se mele avec la mienne qui se noie.

Donne moi une dose de plaisir,
Pour que mon coeur personne ne puisse reconquerir,
Je t'offre tout mon corps entre tes doigts,
Fait de moi ce que tu voudras...

Car sache que je ne veux que toi,
Fais moi l'amour comme tu ne le referas pas.
 
missarah a dit:
je te reconnait plus dans ce poeme;)


pour toi:

Caresse mon corps comme tu caresse mon coeur,
Fais moi passer des heures,
A hurler de plaisir sous toi,
Qu'on finisse sous la couette toi et moi.

Embrasse moi de haut en bas,
Ne me laisse pas comme ça,
J'ai faim de ton corps,
Aime moi à mort.

Rentre en moi comme tu voudras,
Je voudrais juste te sentir tout contre moi,
Que ta respiration traine sur moi,
Et que ta respiration se mele avec la mienne qui se noie.

Donne moi une dose de plaisir,
Pour que mon coeur personne ne puisse reconquerir,
Je t'offre tout mon corps entre tes doigts,
Fait de moi ce que tu voudras...

Car sache que je ne veux que toi,
Fais moi l'amour comme tu ne le referas pas.
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ce passage,ne peut pas me laisse indeffirent!!!!
C'est le must de tous les poemes!!!!


""""Donne moi une dose de plaisir,
Pour que mon coeur personne ne puisse reconquerir,
Je t'offre tout mon corps entre tes doigts,
Fait de moi ce que tu voudras...""""""
 
Letranger a dit:
ce passage,ne peut pas me laisse indeffirent!!!!
C'est le must de tous les poemes!!!!


""""Donne moi une dose de plaisir,
Pour que mon coeur personne ne puisse reconquerir,
Je t'offre tout mon corps entre tes doigts,
Fait de moi ce que tu voudras...""""""
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c'étais egalement mon passage preferé :eek:

retiens le pour tes nouvelles conquete :D
 
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