Mouvement gilets jaunes

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«Gilets jaunes»: 147.365 manifestants hier selon un collectif du mouvement

Le groupe Facebook "Le Nombre Jaune", compteur des "Gilets jaunes"', indique ce dimanche avoir compté hier "147.365 manifestants (minimum) dans les rues".

La ministère de l'Intérieur a compté lui quelque 84.000 «gilets jaunes» en France hier, comme la semaine dernière. Il affirmait que la mobilisation était en léger recul à Paris, avec 7000 manifestants contre 8000 samedi dernier.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2...nimum-dans-les-rues-selon-le-nombre-jaune.php

Sur les Champs Elysées en 1998 on a dit qu'il y avait plus d'un millions de personnes pour fêter la coupe du monde. Mais s'il n'y avait eu que des manifestants, alors la police aurait dit qu'il n'y avait eu que 100.000.
 
Les gilets jaunes, les élites et la faillite du système éducatif

D’innombrables analyses ont été publiées sur la crise des « gilets jaunes », ses causes, sa portée, et les moyens de calmer l’agitation qui secoue le pays depuis deux mois. Et pourtant, à l’heure où s’engage le « grand débat national », une question semble singulièrement absente des discussions, alors qu’elle joue un rôle clé dans ce mouvement : celle de l’éducation. Or l’éducation – ou plutôt la faillite du système éducatif – est à la fois la toile de fond et le grand impensé de la crise des gilets jaunes.

Qu’est-ce qui explique, en effet, que nombre de ceux qui protestent depuis plusieurs semaines sont enfermés dans la précarité, les emplois peu rémunérés, le chômage ou la pauvreté ? Avant tout, le manque de qualification, le déficit de formation. Dans une société qui demande toujours plus de compétences, de « savoir-être », d’agilité, d’ouverture au monde, ils n’ont pas les bons atouts. Résultat, ils se retrouvent menacés par la robotisation, l’essor de l’intelligence artificielle, la concurrence des pays à bas coût de main-d’oeuvre…

Nombre d’observateurs soulignent en outre le fossé vertigineux qui s’est creusé entre une partie de la population, souvent peu qualifiée et peu armée face aux évolutions technologiques, ou n’ayant pas « le bon diplôme » (pour cause d’orientation ratée), et les élites, le plus souvent diplômées, à l’aise dans la mondialisation, le numérique, les nouvelles technologies. Et le rejet des élites est aussi, pour une bonne part, un rejet des mieux formés, des diplômés des grandes écoles et des universités – de ceux qui réussissent. Pire : beaucoup des plus modestes et des « gilets jaunes » ne croient plus aux bienfaits de l’éducation : ils ont cessé d’espérer qu’elle leur apporte de meilleures conditions de vie, qu’elle joue son rôle d’ascenseur social. Non sans raison, d’ailleurs.



Il est vrai que cette colère contre « les élites » peut se comprendre,
quand les écarts de richesse s’accroissent dans des proportions vertigineuses,
quand s’étalent dans les journaux les rémunérations et les avantages multiples dont bénéficient certains, quand se répand le sentiment d’un « entre-soi » réservé à une « caste » de privilégiés.

Remarquons cependant que cette colère est aussi pleine d’incohérences.

Nombre de « gilets jaunes » s’offusquent ainsi des rémunérations que perçoit tel ou tel grand patron, voire des 14.600 euros de salaire (brut) d’une Chantal Jouanno. Mais combien s’indignent quand des sportifs ou
des pseudo-stars de la chanson ou du petit écran gagnent une petite fortune chaque mois ?
Combien protestent quand les footballeurs bénéficient d’un statut fiscal dérogatoire ? Combien condamnent l’exil fiscal généralisé des tennismen, des champions automobiles, voire de certains animateurs de la télé ?



En réalité, ce que certains reprochent aux élites – leur cupidité, leur enrichissement excessif, leurs petits et gros avantages personnels (« parachutes en or », etc.) – n’est peut-être pas le plus grave.

Leur vraie faute est ailleurs : c’est de ne pas remplir leur mission au service de l’intérêt collectif.

C’est d’avoir conduit le pays sur des voies erronées, qui ont un impact direct sur la vie de millions de citoyens.

Exemple, le choix de la désindustrialisation, du « capitalisme sans usines », qui a conduit à la perte de centaines de milliers d’emplois en France.

Autre erreur funeste, à mettre au débit des « élites » françaises et européennes : ne pas avoir vu venir la vague du numérique et ses conséquences.

Avoir laissé les Gafam et quelques autres faire main basse sur la quasi-totalité de l’industrie numérique, pour en aspirer les bénéfices, asphyxier la concurrence et siphonner gratuitement les données – bien souvent sans même payer leur juste part d’impôts.
On pourrait allonger la liste des griefs – mais le sujet n’est guère d’actualité sur les ronds-points occupés par les gilets jaunes.


.../...
 
Dernière édition:
suite 1

Dans ce contexte, il faut rappeler une évidence :

malgré ses lacunes, l’éducation reste le meilleur moyen d’échapper au chômage, à la précarité et aux fins de mois difficiles.
Toutes les enquêtes le montrent : les diplômés sont ceux qui s’en sortent le mieux. Et les rares exceptions ne remettent pas en cause ce constat.
Aujourd’hui, par exemple, un jeune ingénieur, à sa sortie de l’école (et même avant sa sortie), ne connaît en général qu’un seul problème : choisir entre plusieurs offres d’emploi, toutes bien rémunérées, et toutes pour des projets passionnants.

Autre bienfait de l’éducation, qu’on oublie trop souvent :

elle est aussi une arme contre les fausses informations, la démagogie et même la violence, qui déferlent depuis deux mois. Elle permet de ne pas céder aux affirmations des « complotistes » et aux promesses simplistes, de ne pas se laisser berner par les inepties économiques assénées ici ou là, d’être mieux armé pour peser les arguments des uns et des autres.
Elle donne des repères pour évoluer dans un monde complexe.
L’éducation rend les citoyens informés et libres.

Dès lors, il faut s’interroger.

Comment est-il possible que, malgré les dizaines de milliards investis chaque année dans notre système éducatif (maternelles, primaire, collèges et lycées, universités et grandes écoles, enseignement technique, formation professionnelle), celui-ci laisse de côté tant de jeunes sans bagage, tant de décrocheurs, tant de personnes pour qui même la lecture pose problème ?

Comment a-t-on pu rendre l’école, au sens large, aussi peu efficace et aussi peu attractive pour tant de jeunes ?

Pourquoi peut-on entendre encore tant de raisonnements simplistes ou erronés, observer une telle méconnaissance des règles les plus élémentaires de l’économie, aboutir à une telle ignorance des principes de base de la vie en société – signes clairs d’un déficit massif d’éducation ?

.../...
 
suite 2

Alors, oui, il faut bien se poser la question douloureuse, sacrilège aux yeux de certains, de la faillite de notre modèle éducatif.

Tous les acteurs – pédagogues et enseignants, responsables politiques, parents d’élèves, entreprises, recruteurs, journalistes – doivent se la poser, sans esquiver, sans complaisance. Et prendre leur part de ce fiasco.

Comment y mettre fin ?
N’est-il pas temps d’engager un effort massif en faveur de l’éducation ?
De miser à fond sur quelques priorités clairement affichées – par exemple, les apprentissages de base, le numérique, l’alternance et le tutorat individualisé, l’orientation des jeunes ?

Ce serait sans doute la réponse la plus efficace et plus pertinente aux attentes des « gilets jaunes ».
Et dans cet effort, l’émergence des « edtech » pourrait être d’un grand secours.

Hélas, parmi les nombreuses revendications énumérées sur les ronds-points ou inscrites dans les cahiers de doléances,
l’école et l’éducation sont loin de figurer en tête de liste.

Rares sont ceux qui réclament davantage de bourses (sauf pour les étudiants étrangers…).

Il n’y a pas grand monde pour exiger une plus large ouverture sociale de l’enseignement supérieur.
Et pas davantage pour demander un effort accru en faveur de l’éducation…


mam
 
«Gilets jaunes»: 147.365 manifestants hier selon un collectif du mouvement

Le groupe Facebook "Le Nombre Jaune", compteur des "Gilets jaunes"', indique ce dimanche avoir compté hier "147.365 manifestants (minimum) dans les rues".

La ministère de l'Intérieur a compté lui quelque 84.000 «gilets jaunes» en France hier, comme la semaine dernière. Il affirmait que la mobilisation était en léger recul à Paris, avec 7000 manifestants contre 8000 samedi dernier.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2...nimum-dans-les-rues-selon-le-nombre-jaune.php
Beaucoup plus que 147365 . L'état ment .
 
Les gilets jaunes, les élites et la faillite du système éducatif

D’innombrables analyses ont été publiées sur la crise des « gilets jaunes », ses causes, sa portée, et les moyens de calmer l’agitation qui secoue le pays depuis deux mois. Et pourtant, à l’heure où s’engage le « grand débat national », une question semble singulièrement absente des discussions, alors qu’elle joue un rôle clé dans ce mouvement : celle de l’éducation. Or l’éducation – ou plutôt la faillite du système éducatif – est à la fois la toile de fond et le grand impensé de la crise des gilets jaunes.

Qu’est-ce qui explique, en effet, que nombre de ceux qui protestent depuis plusieurs semaines sont enfermés dans la précarité, les emplois peu rémunérés, le chômage ou la pauvreté ? Avant tout, le manque de qualification, le déficit de formation. Dans une société qui demande toujours plus de compétences, de « savoir-être », d’agilité, d’ouverture au monde, ils n’ont pas les bons atouts. Résultat, ils se retrouvent menacés par la robotisation, l’essor de l’intelligence artificielle, la concurrence des pays à bas coût de main-d’oeuvre…

Nombre d’observateurs soulignent en outre le fossé vertigineux qui s’est creusé entre une partie de la population, souvent peu qualifiée et peu armée face aux évolutions technologiques, ou n’ayant pas « le bon diplôme » (pour cause d’orientation ratée), et les élites, le plus souvent diplômées, à l’aise dans la mondialisation, le numérique, les nouvelles technologies. Et le rejet des élites est aussi, pour une bonne part, un rejet des mieux formés, des diplômés des grandes écoles et des universités – de ceux qui réussissent. Pire : beaucoup des plus modestes et des « gilets jaunes » ne croient plus aux bienfaits de l’éducation : ils ont cessé d’espérer qu’elle leur apporte de meilleures conditions de vie, qu’elle joue son rôle d’ascenseur social. Non sans raison, d’ailleurs.



Il est vrai que cette colère contre « les élites » peut se comprendre,
quand les écarts de richesse s’accroissent dans des proportions vertigineuses,
quand s’étalent dans les journaux les rémunérations et les avantages multiples dont bénéficient certains, quand se répand le sentiment d’un « entre-soi » réservé à une « caste » de privilégiés.

Remarquons cependant que cette colère est aussi pleine d’incohérences.

Nombre de « gilets jaunes » s’offusquent ainsi des rémunérations que perçoit tel ou tel grand patron, voire des 14.600 euros de salaire (brut) d’une Chantal Jouanno. Mais combien s’indignent quand des sportifs ou
des pseudo-stars de la chanson ou du petit écran gagnent une petite fortune chaque mois ?
Combien protestent quand les footballeurs bénéficient d’un statut fiscal dérogatoire ? Combien condamnent l’exil fiscal généralisé des tennismen, des champions automobiles, voire de certains animateurs de la télé ?



En réalité, ce que certains reprochent aux élites – leur cupidité, leur enrichissement excessif, leurs petits et gros avantages personnels (« parachutes en or », etc.) – n’est peut-être pas le plus grave.

Leur vraie faute est ailleurs : c’est de ne pas remplir leur mission au service de l’intérêt collectif.

C’est d’avoir conduit le pays sur des voies erronées, qui ont un impact direct sur la vie de millions de citoyens.

Exemple, le choix de la désindustrialisation, du « capitalisme sans usines », qui a conduit à la perte de centaines de milliers d’emplois en France.

Autre erreur funeste, à mettre au débit des « élites » françaises et européennes : ne pas avoir vu venir la vague du numérique et ses conséquences.

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Qui sont ces analystes ? Car ils se trompent . Il n'y a de toutes catégories qui protestent depuis 2 mois .
Il y a bien par contre la faillite du ministère de 'l'éducation" qui autrefois s'appelaient l'instruction .

Les gouvernements ont bien vu arriver et l'exemple de la chute du mur de Berlin en 1989 et de l'urss
sont des preuves . Mais en France les gouvernements ont préféré suivre justement le
modèle socialo-communiste criminel qui avait ruiné les pays de l'ancien pacte de Varsovie.
La RFA a fait un bon choix en récupérant la RDA mais la merkel a fait du sabotage

Coluche avait lui même lancer des alertes dans les années 80 et il a été élliminé pour ça .
14 ans de mitte rand la crapule qui est mort a favorisé une caste d'ordures de lâches et qui ont
grossi la dette qui est une arnaque avec ses intérêts en milliards sans compter la spéculation immobilère.
Ils ont revoté pour lui en 1988 en creusant leur tombe .

SUITE ..........................
 
"ON EMBAUCHE À TOUR DE BRAS"

"La progression modérée des emplois de l'Etat n'est donc qu'optique, puisque ses missions sont désormais accomplies par d'autres structures mais à ses frais, déplore M. Séguin. Les effectifs s'ajustent très peu à la baisse de la demande ou des besoins mais sont au contraire très réactifs aux nouvelles sollicitations. C'est comme un yo-yo qui ne cesserait de monter et ne descendrait jamais." Ainsi, les effectifs du ministère de l'agriculture et de ses opérateurs ont doublé, alors que le poids de l'agriculture dans l'emploi et la richesse nationale était divisé par deux.

PRIME AUX MAUVAIS ÉLÈVES

Quant à la règle de non-remplacement d'un fonctionnaire sur deux partant à la retraite appliquée par l'Etat, c'est une "récompense aux mauvais élèves", selon M. Séguin, qui ne constitue pas une solution à long terme. Cette règle forfaitaire, en vertu de laquelle 34 000 postes seront supprimés dans la fonction publique d'Etat en 2010, "résulte d'une démarche purement quantitative", qui n'évalue pas la qualité des missions de service public. Cette méthode profite en outre aux "administrations pléthoriques et sous-productives".

Les dépenses de personnel (pensions civiles et militaires comprises) ont représenté près de 300 milliards d'euros en 2007. Des dépenses de personnel qui représentent pour l'Etat près de la moitié des dépenses nettes de son budget, a souligné le premier président de la Cour. Lorsqu'il titularise un agent, l'Etat s'engage en moyenne à le rémunérer durant cinquante ans (salaires et retraites). Le coût moyen pour l'Etat d'un fonctionnaire tout au long de sa vie est estimé à environ 3,5 millions d'euros, selon la Cour des comptes.

figaro .

Voilà comment la dette augmente avec la impôts les taxes et la corruption . Sans compter la spéculation immobilière et la hausse des chômeurs du crime et la difficulté des entreprises
 
Publié le 16 December 2009


1,4 million d'agents supplémentaires depuis 1980. C'est le constat fait par la Cour des comptes, dans un rapport qui déplore l'absence de vision stratégique de l'Etat dans ce domaine.

1,4 million de fonctionnaires en plus depuis 1980. Les effectifs de l'ensemble de la fonction publique française ont augmenté de 36 % entre 1980 et 2008, alors que l'emploi total en France progressait deux fois moins vite (18 %), selon un rapport de la Cour des comptes qui déplore la rigidité et l'absence de vision stratégique de l'Etat dans ce domaine.

Début 2008, les trois fonctions publiques (Etat, collectivités territoriales et hôpitaux) employaient au total 5,3 millions d'agents, dont près de la moitié (2,5 millions) pour l'Etat. Cela représente un peu plus de 20 % de l'emploi total en France, a souligné mercredi 16 décembre le premier président de la Cour des comptes, Philippe Séguin. Ces chiffres masquent toutefois d'importantes disparités : la progression de l'emploi public résulte essentiellement des collectivités territoriales (+71 %) et, dans une moindre mesure, des hôpitaux (+ 54 %).

UNE PROGRESSION MODÉRÉE EN TROMPE-L'ŒIL

Avec une progression de seulement 14 %, "l'Etat a été très loin d'être exemplaire (...) parce que sa progression en apparence modérée masque son incapacité à s'adapter aux réformes de l'action publique qu'il a lui-même décidées", a jugé M. Séguin. L'Etat "aurait dû pourtant réduire sensiblement ses effectifs du fait de la décentralisation et de la montée en puissance des opérateurs publics [agences, offices et autres organismes publics autonomes]".


Malgré d'importants transferts de compétences aux collectivités, la décentralisation n'a entraîné aucune baisse ni même stabilisation des effectifs de l'Etat, a relevé M. Séguin. En 1980, la fonction publique d'Etat comptait 2,1 millions d'agents et 400 000 de plus fin 2007.

Le rapport s'inquiète aussi du recours accru aux "opérateurs" pour assurer des missions de service public. En 2007, ces opérateurs ont perçu 21 milliards d'euros de subventions de l'Etat et 6,5 milliards de ressources fiscales.

lefigaro



PS: Par conséquent créer des postes ou augmenter les salaires est pratiquement très dur .
D'ou le développement du travail non déclaré aussi .
 
Acte 10 : Les Gilets Jaunes rendent hommage aux victimes. Forte mobilisation

On voit des GJ accuser des personnes de la "cgt" CAR ILS SAVENT très bien
la tromperie .

 
Dernière édition:
Il y a beaucoup de monde dans les provinces .
ACTE 10 des Gilets Jaunes à BORDEAUX - Montpelier Toujours présents !
Gouvernement de collabos et sale . Des blindés de la G.
**
 
Dernière édition:
Estimation de la participation à l’acte 10 des Gilets jaunes à 16h : 350.000 manifestants selon le syndicat France Police – Policiers en colère

Selon bfmensonges 84 000 et 80 000 policiers lool....sincèrement je crois qu'ils mélangent les chiffres entre policiers/gendarmes etc...1 policier par gilet jaune à 4 000 près ça fait beaucoup....

depuis le début les médiats ne font que reprendre les chiffres du ministère, sans les remettre en question... chiffres évidemment sous évalués...
 
@remake réédite ton post 2641 c'est le bazar là ça fait désordre!!!! tu as encore le temps je crois...
 
France Police – Policiers en colère demande la démission de Benjamin Griveaux après ses déclarations ordurières contre les forces de police
20 JANVIER 2019SYNDICAT FRANCE POLICE - POLICIERS EN COLÈRE

Selon le porte-parole du gouvernement, 81 signalements de violences policières présumées feraient actuellement l’objet d’enquêtes en cours à l’inspection générale de la police nationale et c’est « tant mieux » pour Benjamin Griveaux qui incite les témoins à dénoncer les violences policières directement en ligne.

« On ne peut pas demander aux manifestants d’être exemplaires si on ne l’est pas soi-même » a cru bon devoir ajouter ce politicien, laissant ainsi entendre que les forces de l’ordre ne seraient pas exemplaires.

Cette boule puante lancée par monsieur Griveaux contre nos collègues est juste extraterrestre.

N’est-ce pas précisément ce gouvernement qui conditionne psychologiquement nos collègues à réprimer les Gilets jaunes en expliquant qu’ils seraient la peste brune à éradiquer ?

N’est-ce pas cet exécutif qui occasionne des mutilations à des manifestants en utilisant contre la foule des grenades GLI-F4 et des LBD dont la dangerosité est parfaitement connue puisque notre ministère a stoppé depuis belle lurette les commandes de cette grenade.

N’est-ce pas monsieur Castaner et les préfets qui encouragent nos collègues à vider les stocks de ces fameuses GLI-F4 sur la foule, occasionnant ainsi des blessures de guerre à des manifestants souvent pacifiques ?

Alors s’il vous plaît monsieur Griveaux, un peu de décence, les policiers n’ont aucune leçon d’exemplarité ni de moralité à recevoir de votre part.

Vos propos sont inacceptables, France Police – Policiers en colère vous invite à remettre votre démission et à quitter la vie politique. Le procès des forces de l’ordre, c’est le vôtre cher monsieur.
 
Certains journalistes dénoncent le fait que les gilets jaunes préfèrent passer sur RT plutõt que sur BFMWC ou France Info ils dénoncent le fait que c’est une chaîne d’état russe... et France Télévision c’est quoi alors ?

En tout cas là on essaye d ´ettouffer les revendications du mouvement en parlant des violences contre les journalistes, de la liberté de la presse, de la pluralité, les journalistes arrêtent pas de pleurnicher depuis 10 joues non stop sur ce sujet

Peut être qu’il faut recommencer à casser ???
 
Les poloticiens ne controle plus
Rien ils sont jamais rien controler
C est drs petites marionetes
Ce qui controle de nous jours
Ce sont les credits et les interets
Tout ca englober dans les marcher
Financier et les marcher financier
C est nous via nous features et les interets
 
GILETS JAUNES - Le débat national lancé par Emmanuel Macron pour répondre à la colère sociale des gilets jaunes est un moyen de "les endormir", a estimé Priscillia Ludosky, l'une des initiatrices du mouvement, regrettant le refus du gouvernement de recourir au référendum, ce dimanche 20 janvier.

"Pour moi, c'est un moyen d'endormir un petit peu l'affaire et de se dire : 'les manifestations ne vont plus se faire, on va faire un petit débat et on va les endormir'", a-t-elle déclaré à l'AFP, en marge d'une marche de femmes gilets jaunes à Paris.

"Tout ce qui tourne autour du débat est complètement flou pour moi", a estimé celle qui a recueilli plus d'un million de signatures avec sa pétition contre la hausse des taxes sur le carburant. "On ne sait pas très bien comment les réponses vont être restituées", et les deux ministres chargés de l'animer, Emmanuelle Wargon et Sébastien Lecornu, "ne sont certainement pas indépendants".

"Ils ne veulent pas aborder les sujets qui ne les arrangent pas"

Priscillia Ludosky n'appelle toutefois pas à boycotter le débat. "Que chaque personne aille communiquer ce qui ne va pas dans sa ville ou son département, je trouve ça intéressant si c'est fait correctement", a-t-elle poursuivi.

Cette autoentrepreneuse de Seine-et-Marne, 33 ans, a récemment lancé une deuxième pétition centrée autour de trois revendications: "la baisse des taxes sur les produits de première nécessité, la mise en place du référendum d'initiative citoyenne, la baisse des rentes et des salaires des hauts fonctionnaires et des élus".

Trois sujets issus de consultations menées au sein du mouvement, et sur lesquels elle avait réclamé "l'organisation d'un référendum" lors de rencontres avec des membres du gouvernement. "Ils ne veulent pas se saisir du référendum, ils ne veulent pas aborder les sujets qui ne les arrangent pas", a-t-elle estimé. "C'est important de continuer à se mobiliser pour dire que oui le débat il est là, mais non ce n'est pas ce qu'on a demandé", a-t-elle conclu.

Le HuffPost:
Pour l'acte X, les gilets jaunes comparent le grand débat de Macron à Hanouna
Avec son grand débat national, le président Emmanuel Macron ne semble pas avoir regagné le cœur des manifestants.
 
les forces de l'ordre qui utilisent des LBD seront équipées de caméras-piétons dès samedi, annonce Castaner

Les forces de l'ordre qui utilisent des lanceurs de balles de défense (LBD) seront équipés de caméras-piétons dès samedi 26 janvier, a annoncé le ministre de l'Intérieur mardi 22 janvier lors de son audition devant la commission des lois à l'Assemblée nationale.

La police des polices (IGPN) a été saisie de 81 enquêtes au titre des projectiles tirés par LBD depuis le début du mouvement des "gilets jaunes", a précisé Christophe Castaner.

Quatre personnes ont été gravement blessées à l'oeil par des lanceurs de balle de défense, a précisé le ministre.

https://www.francetvinfo.fr/economi...i-annonce-castaner_3157203]-20190122-[bouton]

mam
 
Peut être qu’il faut recommencer à casser ???
tu dis recommencer ? donc t'as déjà cassé si je comprends bien et t'as réussi à te sauver de la police????...
peut être que tu t'apprête vraiment à casser à nouveau malgré les risques encourus ??
ou peut être c'est juste de la fanfaronnade bien au chaud derrière l'anonymat de ton pseudo parce que t'as un peu peur de la prison???? ou de te faire arracher la mâchoire par une balle en PVC??????
méfie toi de ce type de message, çà peut te valoir quelques heures de garde à vue pour un appel à "casser" comme tu dis.......
les juges et les flics sont "chauds bouillant" en ce moment ...
si t'as vraiment trop la haine contre MACRON et que tu supporte plus l'injustice dans ce pays n'hésite pas: "rassemble tes copains et marche sur l'ELYSEE" ou sur la prison du boxeur"
tu nous racontera combien vous étiez pour faire la révolution et comment çà c'est passé???
mais casser des vitrines, piller des magasins et brûler des voitures avec des cagoules sur la tête tu trouve çà glorieux?????.
 
tu dis recommencer ? donc t'as déjà cassé si je comprends bien et t'as réussi à te sauver de la police????...
peut être que tu t'apprête vraiment à casser à nouveau malgré les risques encourus ??
ou peut être c'est juste de la fanfaronnade bien au chaud derrière l'anonymat de ton pseudo parce que t'as un peu peur de la prison???? ou de te faire arracher la mâchoire par une balle en PVC??????
méfie toi de ce type de message, çà peut te valoir quelques heures de garde à vue pour un appel à "casser" comme tu dis.......
les juges et les flics sont "chauds bouillant" en ce moment ...
si t'as vraiment trop la haine contre MACRON et que tu supporte plus l'injustice dans ce pays n'hésite pas: "rassemble tes copains et marche sur l'ELYSEE" ou sur la prison du boxeur"
tu nous racontera combien vous étiez pour faire la révolution et comment çà c'est passé???
mais casser des vitrines, piller des magasins et brûler des voitures avec des cagoules sur la tête tu trouve çà glorieux?????.
Ça fait bco de points d’interrogation

Relis mon com tu n’as pas bien compris
 
Ça fait bco de points d’interrogation

Relis mon com tu n’as pas bien compris
tu as écrit "peut être faut il recommencer à casser?" oui ou non ? çà me semble clair ....d'ou beaucoup d'interrogations à ce sujet????
je vois que tu confirme pas ton propos alors dis nous franchement "faut recommencer à casser oui ou non ???"

le reste de ton commentaire sur la presse et les médias je l'ai lu c'est un avis personnel que tu exprimes, c'est ton droit et çà me semble assez clair même si je partage pas
 
Il faut dire que si les manifestations s'étaient déroulées sans heurts, le gouvernement se serait dit qu'il fallait que l'orage passe comme lors des grèves. Les casseurs ont en quelque sorte permis de montrer la détermination du peuple à ne plus se faire arnaquer.
 
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