Mouvement gilets jaunes

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j ai vu ce matin dans les infos la phrase assassine de Macron sur les gilets jaune ....c est juste incroyable...

on se croirait dans l' Egypte de Moubarak lorsque on faisait tout pour dissuader les manifestants de manifester...

Sans parler des photos et vidéo balancées ces derniers jours.....dont je doute de la sincérité
 
Les dirigeants sont � l'image du peuple 1/2

Au nom d'Allah, le Tout Mis�ricordieux, le Tr�s Mis�ricordieux.

Les textes de l'Islam montrent que les dirigeants qu'Allah place � la t�te d'un peuple sont � l'image de ce peuple et des actes des gens qui composent ce peuple.
(Voir le point n�1 ci-dessous)

Ainsi si un peuple n'est pas satisfait de ses dirigeants, il faut qu'il change sa propre situation en se repentant des p�ch�s commis et en cessant de commettre des actes de d�sob�issance.
(Voir le point n�2 ci-dessous)

Par contre, le fait de se rebeller contre le gouverneur que ce soit sous la forme de manifestations ou en prenant les armes contre lui n'est pas une m�thode qui permet d'arranger les choses.

En effet, en plus du fait que ceci soit contraire aux pr�ceptes de l'Islam, l'Histoire montre que ceci entra�ne une d�t�rioration de la situation.
(Voir le point n�3 dans le sujet de demain)

1. Les dirigeants sont � l'image du peuple

Allah a dit dans la sourate Al An'am n�6 verset 129 (traduction rapproch�e du sens du verset) : � Ainsi nous pla�ons certains injustes � la t�te d'autres injustes � cause de ce qu'ils ont commis �.

Al Hassan Al Basri (mort en 110 du calendrier h�girien) a entendu un homme invoquer contre Al Hajjaj (*) alors il lui a dit : � Ne fais pas cela ! C'est certes vous qui l'avez mis l�.
Nous craignons certes que si Al Hajjaj perd le pouvoir ou s'il meurt, ce seront alors des singes et des porcs qui seront vos dirigeants.
Il a certes �t� rapport� que vos actes sont vos dirigeants et le dirigeant est � l'image du peuple �.
(Rapport� par Tabarani comme ceci est mentionn� dans Al Maqasid Al Hasana de l'imam Sakhawi n�835 p 326)

(*) Il s'agit de Al Hajjaj Ibn Yousouf Al Thaqafi qui �tait un dirigeant mauvais et tyrannique.
(Voir sa biographie dans Siyar A'lam An Noubala de l'imam Dhahabi vol 4 p 343)
 
Les semaines se suivent et les "gilets jaunes" continuent leur mouvement, partout en France. Plusieurs appels à des rassemblements samedi 2 mars, à Paris, Bordeaux, Lyon ou encore Lille, ont été lancés sur les réseaux sociaux, en amont de ce seizième week-end consécutif de mobilisation.

Va-t-elle se maintenir au même niveau ? Alors que 55% des Français souhaitent l'arrêt du mouvement, selon un récent sondage, Emmanuel Macron a estimé que les participants aux manifestations violentes se rendaient "complices du pire". Lors du précédent samedi, le 23 février, la mobilisation était même repartie légèrement à la hausse selon les chiffres du ministère de l'Intérieur, avec 46 000 manifestants dont 5 800 à Paris. Voici ce que l'on sait des rassemblements prévus.

Plusieurs rassemblements à Paris
Comme chaque semaine, difficile de savoir à l'avance quels sont les appels à se rassembler qui rencontreront le plus de succès. A Paris, ils sont multiples. Sur Facebook, celui qui réunit le plus de personnes "intéressées" – plus de 4 800 dans l'après-midi de vendredi – est intitulé "Gilets jaunes acte 16 : Insurrection". Ses initiateurs appellent à bloquer la place de l'Etoile à Paris, où se trouve l'Arc de triomphe, à en finir avec "le pacifisme" et à ne pas déclarer la manifestation en préfecture, pour "retrouver ce côté spontané qui faisait vraiment peur au gouvernement". Un message que partage un autre appel, "Acte 16 : Déclare ta colère, pas ta manif !", qui "intéressait" 1 500 personnes, mais ne donne pas de lieu de rassemblement.

Un autre appel au rassemblement au niveau de l'Arc de triomphe réunit, lui, 2 200 personnes "intéressées". Un autre événement appelle à se rendre devant le siège de BFMTV, dans le 15e arrondissement de la capitale. Enfin, un groupe baptisé "Rassemblement des gilets jaunes citoyens" organise un pique-nique sur le Champ-de-Mars, qui "intéresse" 3 000 personnes.

Des manifestations dans les grandes villes
• A Bordeaux, une des villes où la mobilisation a été la plus importante depuis le début du mouvement, pas moins de quatre événements Facebook différents appelant à se réunir à 13 heures sur la place de la Bourse ont réuni plus de 1 000 personnes "intéressées". Le plus détaillé appelle à une manifestation dont le parcours reste à définir suivie d'une "assemblée citoyenne" puis d'une "nuit des jaunes".

• A Lyon, un appel à une "mobilisation régionale" a été lancé, et réunit plus de 5 000 personnes "intéressées". Il donne rendez-vous à 13 heures devant le palais de justice de la ville.

• A Toulouse, autre ville où les manifestations ont réuni une foule conséquente, un rassemblement est prévu au niveau du métro Jean-Jaurès.

• A Lille, des "gilets jaunes" des Hauts-de-France appellent à une manifestation régionale et même "internationale", au départ de la place de la République, à 13 heures.

Une action plus importante en préparation le week-end suivant
Sur les réseaux sociaux, les figures les plus médiatiques du mouvement depuis ses débuts n'ont pas relayé d'appel concernant la journée de samedi. Christophe Chalençon, ancien porte-parole d'une éphémère liste de "gilets jaunes" pour les élections européennes, a en revanche lancé mercredi, sur Facebook, un mystérieux compte à rebours qui se termine samedi
 
Le 12 janvier 2019, en marge d'une manifestation des "gilets jaunes" à Strasbourg (Bas-Rhin), Lilian Le Page, 15 ans, est touché au visage par un tir de LBD. Il assure ne pas être un manifestant et qu'il sortait d'un magasin de sport, mais se retrouve la mâchoire fracturée. Depuis, il porte des broches en métal jour et nuit et vie à l'arrêt. À cause du risque d'infection, il ne peut pas sortir de chez lui.

Pas de dédommagement avant la fin de l'enquête
Il suit donc des cours par correspondance et son alimentation est soigneusement choisie : sa mâchoire n'est pas encore solidifiée. Pour sa mère, les factures s'accumulent et deviennent un problème. Elle a porté plainte, mais ne peut pas être dédommagée avant les conclusions de l'enquête, prévues pour la fin du mois de mars. Lilian, lui, ne pourra retourner en cours avant les vacances de Pâques

francetvinfo
 
Le parquet de Marseille a annoncé, samedi 2 mars, qu'une information judiciaire avait été ouverte après la mort d'une octogénaire, en décembre, touchée chez elle par un tir de grenade lacrymogène en marge de manifestation de "gilets jaunes", de la CGT et de militants contre l'habitat insalubre. La femme était morte à l'hôpital, le lendemain de sa blessure.

Cette enquête menée par un juge d'instruction a été "ouverte pour recherche des causes de la mort" et est "toujours en cours", selon le procureur. Le parquet avait préalablement saisi l'IGPN, "la police des polices", dans le cadre d'une enquête préliminaire. Après l'autopsie, le parquet avait expliqué que la victime était morte "d'un arrêt cardiaque sur la table d'opération" et que le "choc facial" n'était "pas la cause du décès".

Samedi, des proches de la victime, Zineb Redouane, ont déposé des fleurs devant l'immeuble où elle vivait, au coin de la Canebière. "On n'oublie pas et on cherche toujours la vérité jusqu'à ce que justice soit faite", a déclaré sa fille, Milfet, 42 ans, venue spécialement d'Algérie et très émue. "Il est trop tôt pour savoir quelles sont les responsabilités, une enquête est en cours et il ne faut pas précipiter les choses", a-t-elle ajouté.
 
Il estime avoir été privé de sa liberté de manifester. Un homme, interpellé juste avant la manifestation des "gilets jaunes" organisée le 26 janvier à Paris, a déposé une plainte contre X, vendredi 1er mars, selon Le Parisien. Ses avocats, cités par le quotidien, y voient la conséquence d’une note du procureur de la République de Paris.

Dans ce document, révélé par Le Canard enchaîné, puis diffusé par franceinfo, Rémy Heitz s'adresse aux membres du parquet de Paris et précise les conduites à tenir au sujet des suites judiciaires concernant les "gilets jaunes". Parmi ces conseils, celui de privilégier les levées de garde à vue le samedi soir ou le dimanche matin, même si les faits sont ténus, et même s'il y a classement sans suite, afin d'empêcher les interpellés de "retourner grossir les rangs des fauteurs de troubles".

"Le fruit d'une politique pénale délibérée"
D'après Le Parisien, le manifestant qui a porté plainte est âgé de 20 ans. Il est étudiant en informatique et habite une ville du sud de la France. Le 26 janvier, lorsqu'il s'est rendu à Paris pour participer à la journée de mobilisation, il a été interpellé près des Champs-Elysées en fin de matinée. Selon lui, les policiers l'ont placé en garde à vue après avoir découvert un masque pour se protéger des lacrymogènes, des gants et deux drapeaux dans son sac à dos. Il est libéré à 17h30. "Son dossier est classé, un rappel à la loi prononcé", précise Le Parisien.

Ce qui lui est arrivé est "constitutif" d'un éventuel délit d'"atteinte arbitraire à la liberté individuelle par personne dépositaire de l'autorité publique, d'abstention volontaire de mettre fin à une privation de liberté illégale, d'entrave à la liberté de manifester et de collecte illicite de données personnelles", d'après Raphaël Kempf, l'un de ses avocats. "Tout cela est le fruit d'une politique pénale délibérée", estime-t-il. "Nous déposons plainte à Paris car les faits s'y sont déroulés, mais nous demandons le dépaysement de ce dossier, car le parquet de Paris qui a rédigé cette note ne peut évidemment pas enquêter sur un tel dossier dans lequel il serait juge et partie", ajoute Raphaël Kempf

francetvinfo
 
cela se voit que c'est une dictature "déguisée" en relation avec l'entité illégale créée en 1948 par l'onu ex sdn
ce sont les mêmes intérêts qui sont très sales .
***
Les images sont violentes. Un couple de personnes âgées a été frappé par des CRS, samedi 2 mars, en marge d'une manifestation des "gilets jaunes" à Toulouse (Haute-Garonne), rapporte France 3 Occitanie. L'incident, qui s'est déroulé aux abords de la place Jeanne-d'Arc, a été filmé par un internaute de la page Facebook pro-gilets jaunes "Born to be Media Rider".
 
reporterre.net, Priscillia Ludosky s'en prend directement à Christophe Castaner et annonce qu'elle compte saisir la Cour pénale internationale (CPI) sur les faits de violences policières constatés depuis le début de la fronde des gilets jaunes.

L'une des porte-voix du mouvement prévient: "Nous réunissons des vidéos, des photos ou tout autre témoignage à propos des violences subies par les manifestants." Derrière ce "nous" se trouve le collectif "article 35", en référence à l'article de la Constitution de 1793 selon lequel "quand le gouvernement viole les droits du peuple, l'insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs" et dont Priscillia Ludosky fait partie.

voix nationales[/a] et internationales s'élèvent pour demander à l'État de stopper l'usage des lanceurs de balles de défense (LBD), qui ont déjà fait de nombreuses victimes au cours de manifestations, Priscillia Ludosky vise personnellement le ministre de l'Intérieur: "Christophe Castaner a quand même une liberté incroyable. Je ne sais pas comment il peut être encore en poste", lance-t-elle. Mais elle n'épargne pas non plus les forces de l'ordre.

"J'en veux aux personnes qui donnent des ordres, et quand même un peu aux personnes qui les exécutent. On a quand même un peu de libre arbitre, à un moment donné! On peut dire '*****', y compris au travail."
 
Pour sortir de la crise des "gilets jaunes", il faut "donner des droits et du pouvoir nouveau à ces populations périurbaines qui se sentent invisibles, oubliées", a estimé Jean Viard, sociologue, directeur de recherches CNRS au Cevipof (Centre de recherches politique de Sciences Po Paris), dimanche 3 mars sur franceinfo. Selon le spécialiste, également candidat La République en marche aux dernières élections législatives, on ne va pas "se débarrasser comme ça" du mouvement débuté en novembre. Pour la journée de mobilisation du samedi 2 mars, 39 300 manifestants ont été comptabilisés en France, dont 4 000 personnes à Paris, selon le ministère de l'Intérieur.

franceinfo : Jusqu'à quand va durer le mouvement des "gilets jaunes" selon vous ?

Jean Viard : Jusqu'à quand ? Je ne sais pas très bien. Cela peut traîner pas mal. Il y a un essoufflement. Il y a aussi un essoufflement du grand débat. Au fond, tout le monde a envie qu'on sorte quelque chose, un projet. Partout dans les grandes démocraties, le périurbain est en révolte sous des formes différentes. Ils peuvent voter pour le Brexit, ils peuvent voter pour Trump.

Les gens se sont installés autour des villes depuis cinquante ans. Le modèle "une maison individuelle et deux voitures" a entraîné une transformation de notre société. Ces maisons individuelles, il y en a 16 millions, il n’y a que 12 millions d'appartements. Ces gens-là, c'étaient des "prolos", des petits patrons, des infirmières. Au fond, ils avaient l'impression d'avoir réussi leur vie. Après est arrivée la révolution numérique qui attire la lumière vers les métropoles, la ville piétonne, vers l'écologie urbaine. Du coup, même leurs propres enfants à eux ont eu envie d'aller en ville. Il y a un renversement où ces gens se sentent invisibles, oubliés et c'est vrai que nulle part on ne fait pour eux de grandes politiques.

Quels points communs voyez-vous entre le Brexit, l'élection de Trump et les "gilets jaunes" ?

C'est une révolte contre le pouvoir nouveau des métropoles dans nos sociétés. C'est le même phénomène sociologique et c'est un peu le même type d'électeurs. Ce sont des gens qui travaillent avec leur corps, leurs parents appartenaient à la classe ouvrière, souvent, ils habitaient dans les HLM et puis ils sont partis. Ils ont acheté une maison. C'est la réussite de leur vie. Les HLM ont été occupés par des gens venus de pays étrangers. On est dans ce mouvement.

On a entre trois et cinq millions de Français qui déménagent tous les ans. La population est assez mobile. Ça, c'est la toile de fond. En France, c'est la même rupture. Les huit plus grandes métropoles, c'est 40% de la population et 61% de la création des richesses. Les métropoles font plus de richesses et attirent plus la jeunesse. La question qui est posée, c'est comment donner des droits et du pouvoir nouveau à ces populations périurbaines.

De quelle façon ?

Il y a deux lignes si on veut s'en sortir. La première ligne, c'est de protéger les plus fragiles. Les retraités à moins de 2 000 euros et les femmes seules avec enfants. C'est 25% des mamans. C'est le cœur de la pauvreté. Il faut faire un geste social. Sans doute un geste symbolique pour une nouvelle tranche fiscale pour la forme. La deuxième chose, il faut dire aux gens qui se sont éloignés, non on ne va pas mettre des hôpitaux à tous les coins de rue, non on ne va pas remettre des postes. Il y a deux équilibres de l'égalité. Il y a l'égalité par hectare et l'égalité par citoyen. Il est clair que là où il y a peu de citoyens, il y a moins de services. Par exemple, la TIPP peut être différente. On peut payer moins cher l'essence en Lozère qu'à Paris. Il faut qu'ils aient le sentiment de la compensation républicaine.
 
De l'ampleur des solutions proposées par le gouvernement dépendra la durée du mouvement ?

Bien sûr. Les "gilets jaunes" ne seront jamais contents, ceux qui continuent de manifester. Comment trouver des mesures qui donnent le sentiment d'une nouvelle force démocratique pour le périurbain et la campagne et qui fait que la majorité des Français ont le sentiment qu'on avance ? Quand il y aura un sondage qui dira que 70% des Français en ont marre des manifestations des "gilets jaunes", on pourra arrêter le mouvement.

C'est l'opinion publique qu'on est en train de séduire. On vient de passer à 55% des gens qui trouvent que cela devrait s'arrêter, mais il y en a en même temps 50% qui trouvent qu'ils sont sympas. La société n'a pas encore complètement bougé. Le problème du gouvernement est de faire bouger la société en sachant qu'il va rester entre 20 000 et 30 000 "gilets jaunes" qui vont de temps en temps casser des trucs. Après 1968, pendant vingt ans, on a eu des mouvements gauchistes. Pendant vingt ans, on va avoir des mouvements durs. Les gens se sont organisés, structurés, mis en réseau. On ne va pas s'en débarrasser comme ça
 
- La Haut-Commissaire aux droits de l'homme de l'ONU a réclamé mercredi à la France une "enquête approfondie" sur les violences policières qui se seraient produites pendant les manifestations des "gilets jaunes" depuis la mi-novembre.


"Nous encourageons le gouvernement (français) à poursuivre le dialogue et demandons urgemment une enquête approfondie sur tous les cas rapportés d'usage excessif de la force", a-t-elle ajouté.

Bachelet a rappelé que "les inégalités touchent tous les pays" et que "même dans des Etats prospères, des gens se sentent exclus des bénéfices du développement et privés de droits économiques et sociaux".

Elle n'a toutefois cité que la France comme pays prospère, mais a dénoncé les répressions violentes des manifestations qui se sont produites récemment au Soudan, au Zimbabwe et en Haïti.

Les manifestants "réclament un dialogue respectueux et de vraies réformes. Et pourtant, dans plusieurs cas, ils sont accueillis par un usage violent et excessif de la force, par des détentions arbitraires, des tortures et même selon certaines informations des exécutions extra-judiciaires", a-t-elle déploré.

IGPN) a été saisie d'une centaine de cas d'accusations de violences policières.">Depuis le début en France du mouvement de contestation des "gilets jaunes" à la mi-novembre, l'Inspection générale de la Police nationale (IGPN) a été saisie d'une centaine de cas d'accusations de violences policières.
Le HuffPost :
 
Paris
Plusieurs rassemblements sont prévus : sur le Champs-de-Mars, devant la tour Eiffel, où un "sit-in" a eu lieu plus tôt. Toujours devant la tour Eiffel, manifestants "gilets jaunes" et manifestants pro-climat protestent côte-à-côte contre le changement climatique. Un autre rassemblement est en cours dans la capitale sur les Champs-Élysées, en direction le jardin du Luxembourg. En plus des femmes en tête de cortège au lendemain de la journée internationale des droits des femmes, des assistantes maternelles de la région parisienne en "gilets roses" sont également présentes. Elles dénoncent la réforme de l'assurance chômage.

Auvergne-Rhône-Alpes
Dans le Puy de Dôme à Clermont-Ferrand, environ 150 "gilets jaunes" manifestent en ce moment. Ils mènent une opération escargot dans le calme, d'après France Bleu Pays d'Auvergne.

En Haute-Loire, un rassemblement est prévu à 14 heures au Puy-en-Velay où des mesures de précaution particulières ont été prises, y compris par les commerçants. En effet, après Valence, Bourg-en-Bresse, et Clermont-Ferrand, c'est au Puy-en-Velay que la grande manifestation de la région fait étape samedi 9 mars. Plusieurs milliers de manifestants sont attendus.

Hauts-de-France
Un important dispositif de sécurité a été mis en place ce dans la zone commerciale de Longuenesse dans l'agglomération de Saint-Omer, dans le Pas-de-Calais, a indiqué à franceinfo Jean-Luc Blondel, sous-préfet de Saint-Omer qui se trouve sur place. Le but était d'éviter le blocage de cette zone commerciale par "70 gilets jaunes qui sont en mouvement pour bloquer" un rond-point à l'entrée de la zone commerciale alors que la collecte des Restos du Cœur se déroule jusqu'à dimanche soir. Toujours selon Jean-Luc Blondel, "il s'agit d'une manifestation non-déclarée, c'est donc un attroupement".

D'autres rassemblements sont également en cours ou prévus notamment à Lille, Bordeaux, Toulouse, Doullens (Somme), Foix, (Ariège), ou encore Périgueux (Dordogne).
 
Plus de 13 000 tirs de lanceurs de balles de défense (LBD) ont été enregistrés depuis le début du mouvement des "gilets jaunes", a annoncé, jeudi 7 mars, le secrétaire d'Etat auprès du ministre de l'Intérieur, Laurent Nuñez. Il a ajouté que 83 enquêtes concernant des tirs de cette arme controversée étaient en cours.

S'exprimant au Sénat, avant le rejet d'une proposition de loi demandant l'interdiction de l'usage des LBD dans les manifestations, Laurent Nuñez a fait état d'"environ 2 200 blessés" parmi les manifestants et de "près de 1 500 blessés parmi les forces de l'ordre" depuis novembre.

"Le LBD répond à la multiplication des situations où les forces de l'ordre se trouvent aux limites de la légitime défense, a plaidé le secrétaire d'Etat. Si nous supprimions le LBD, il ne resterait dans bien des cas que le corps à corps ou les armes de service."
 
il y a une certaine force, il faut le reconnaitre.

mais le doigt d'honneur, la quenelle et la phrase "je suis pas charlie, mais... le boxeur Dettinger et Dieudonné" :bof
 
Plus de 13 000 tirs de lanceurs de balles de défense (LBD) ont été enregistrés depuis le début du mouvement des "gilets jaunes", a annoncé, jeudi 7 mars, le secrétaire d'Etat auprès du ministre de l'Intérieur, Laurent Nuñez. Il a ajouté que 83 enquêtes concernant des tirs de cette arme controversée étaient en cours.

S'exprimant au Sénat, avant le rejet d'une proposition de loi demandant l'interdiction de l'usage des LBD dans les manifestations, Laurent Nuñez a fait état d'"environ 2 200 blessés" parmi les manifestants et de "près de 1 500 blessés parmi les forces de l'ordre" depuis novembre.

"Le LBD répond à la multiplication des situations où les forces de l'ordre se trouvent aux limites de la légitime défense, a plaidé le secrétaire d'Etat. Si nous supprimions le LBD, il ne resterait dans bien des cas que le corps à corps ou les armes de service."

LBD
35 ophtalmologues demandent à Macron un moratoire sur son utilisation

https://actus.nouvelobs.com/societe...ia-_-edito&from=wm#xtor=EREC-10-[WM]-20190310

mam
 
Acte XVII - 90 469 Manufestants comptabilisés pour 204 actions recensées.208311
Détail à suivre sur notre page et téléchargeable sur notre groupe Facebook Le Nombre Jaune - Le groupe pour ceux souhaitant analyser nos sources.

Quelques départements manquent toujours à l'appel. N'hésitez pas à nous contacter en MP si vous avez un peu de temps et d'énergie à consacrer au projet, toute aide est la bienvenue.

Encore une fois, ce chiffre n'est pas exhaustif mais se veut objectif, nous faisons tout pour ne pas tomber dans le piège des chiffres gonflés pour le plaisir de certains. Toute critique est constructive mais toute aide l'est également.

Nous nous excusons par avance si nous avons oublié une contribution. Nous étions en effectif très réduit ce weekend.

Merci à toutes et tous pour votre soutien. Chaque partage, chaque invitation à aimer cette page auprès de vos amis, c'est un pas de plus vers la visibilité auprès des médias et une perte de crédit aux chiffres de l'Intérieur remis en question maintenant par plusieurs médias




https://www.facebook.com/lenombreja...1494865/388793798365448/?type=3&theater&ifg=1
 

Pièces jointes

  • acte XVII chifrage NJ.jpg
    acte XVII chifrage NJ.jpg
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Le LBD est une arme intermédiaire des pays démocratiques, avant l'utilisation des armes à feu comme ultime moyen, à l'exemple des pays dictatoriaux. Les dégâts occasionnés sont justement le but recherché, le gouvernement le sait très bien, c'est sans doute ce qui a motivé le choix porté sur ces armes.
 
Acte XVII des gilets jaunes: à Tarbes, le temple des francs-maçons saccagé

l'acte XVII[/a] à Tarbes. Comme le rapportent les médias locaux, le temple des francs-maçons du chef-lieu des Hautes-Pyrénées a été saccagé dans la soirée du samedi 9 au dimanche 10 mars par un groupe de manifestants resté dans le centre-ville, à la suite d'un rassemblement qui "s'était pourtant déroulé dans un calme relatif", d'après La Nouvelle République des Pyrénées.

Un manifestant, "gilet jaune et masque sur le visage a commencé à s'en prendre à l'interphone qu'il a arraché. Il a ensuite saccagé la boîte aux lettres et tiré violemment sur le portail de la loge [...] sous les encouragements d'une dizaine de personnes qui lançaient des projectiles sur la façade", décrit le quotidien local, qui ajoute que cet homme a ensuite franchi les grilles et ouvert le portail, permettant à d'autres manifestants d'entrer dans le temple et de commettre des dégradations.

précise France Bleu qui cite la police et évoque une centaine de personnes présentes aux abords de la loge maçonnique. Quelque 450 gilets jaunes avaient participé à la manifestation qui se tenait plus tôt à Tarbes.

La Nouvelle République des Pyrénées. Les responsables du Grand Orient de Tarbes devaient porter plainte ce dimanche, rapporte France 3 Occitanie, et une enquête a été ouverte par la sûreté urbaine.

Plus faible mobilisation depuis le début de la contestation, programme avorté à Paris, éclatement des revendications et des cortèges: les gilets jaunes ont connu un coup de mou samedi 9 mars pour leur acte 17, une semaine avant leur mobilisation cruciale pour la fin du grand...

Huffington Post
 
Gilets jaunes: suite aux demandes de l’Onu, un maire interdit le LBD40

S’appuyant sur la requête des Nations unies, qui sollicitent «une enquête sur l'usage excessif de la force dans le maintien de l'ordre en France», le maire de Phalsbourg en Moselle a interdit ce samedi 9 mars l’utilisation du LBD40.

Le maire de Phalsbourg en Moselle, Dany Kocher, a signé un arrêté interdisant ce samedi 9 mars l'utilisation par les forces de l'ordre du LBD40 à l'occasion de l'acte 17 des Gilets jaunes. Le document a été révélé par Le Républicain lorrain et le journaliste David Dufresne.

L'élu justifie sa décision par la requête de l'Onu «qui sollicite une enquête sur l'usage excessif de la force dans le maintien de l'ordre en France».

Adressé au Commandant de la brigade de gendarmerie de Phalsbourg, le texte interdit notamment «les lanceurs de balles de défense sur le ban de Phalsbourg le 9 mars 2019».

Plus de 13.000 tirs de LBD avaient été enregistrés depuis le début de la mobilisation des Gilets jaunes le 17 novembre, selon le bilan annoncé le 7 mars par le secrétaire d'État à l'Intérieur Laurent Nunez. Il a également fait état de 2.200 blessés parmi les manifestants et de près de 1.500 blessés parmi les forces de l'ordre.


Le 6 mars, le Haut-commissaire de l'Onu aux droits de l'Homme, Michelle Bachelet, a demandé à la France d'ouvrir une enquête sur «l'usage excessif de la force» pendant les manifestations des Gilets jaunes. En réagissant sur ce discours, le porte-parole du gouvernement français, Benjamin Griveaux, s'est étonné que la France se soit retrouvée sur «une liste entre le Venezuela et Haïti».

sputniknews
 
Gilets jaunes: suite aux demandes de l’Onu, un maire interdit le LBD40

S’appuyant sur la requête des Nations unies, qui sollicitent «une enquête sur l'usage excessif de la force dans le maintien de l'ordre en France», le maire de Phalsbourg en Moselle a interdit ce samedi 9 mars l’utilisation du LBD40.

Le maire de Phalsbourg en Moselle, Dany Kocher, a signé un arrêté interdisant ce samedi 9 mars l'utilisation par les forces de l'ordre du LBD40 à l'occasion de l'acte 17 des Gilets jaunes. Le document a été révélé par Le Républicain lorrain et le journaliste David Dufresne.

L'élu justifie sa décision par la requête de l'Onu «qui sollicite une enquête sur l'usage excessif de la force dans le maintien de l'ordre en France».

Adressé au Commandant de la brigade de gendarmerie de Phalsbourg, le texte interdit notamment «les lanceurs de balles de défense sur le ban de Phalsbourg le 9 mars 2019».

Plus de 13.000 tirs de LBD avaient été enregistrés depuis le début de la mobilisation des Gilets jaunes le 17 novembre, selon le bilan annoncé le 7 mars par le secrétaire d'État à l'Intérieur Laurent Nunez. Il a également fait état de 2.200 blessés parmi les manifestants et de près de 1.500 blessés parmi les forces de l'ordre.


Le 6 mars, le Haut-commissaire de l'Onu aux droits de l'Homme, Michelle Bachelet, a demandé à la France d'ouvrir une enquête sur «l'usage excessif de la force» pendant les manifestations des Gilets jaunes. En réagissant sur ce discours, le porte-parole du gouvernement français, Benjamin Griveaux, s'est étonné que la France se soit retrouvée sur «une liste entre le Venezuela et Haïti».

sputniknews

Enfin !

Pourvu que d’autres osent lui emboiter le pas
 
Ingrid Levavasseur renonce à conduire la liste de « gilets jaunes » jusqu’aux élections européennes, annonce RTL ce lundi. La figure du mouvement jette l’éponge, écœurée par les divergences irréconciliables entre les différents courants de « gilets jaunes ».

La décision a été prise dans le week-end, précise RTL. Déçue, Ingrid Levavasseur regrette le manque d’orientation politique claire du mouvement. « On passe pour des gus », a-t-elle réagi. « Ce sont eux qui ont détruit le mouvement. » Elle désigne par là les « leaders » du mouvement, très populaires sur les réseaux sociaux et dont elle reconnaît avoir sous-estimé l’ego.
 
le 16 MARS des millions de personnes vont manifester dans les rues pour pousser MACRON à la démission, à l'identique des Algériens ......
puis MELENCHON ou LEPEN élu président .....
MACRON démission , halte à la dictature, le pouvoir au peuple, le RIC, le retour de l'ISF, on lâche rien on ira jusqu'au bout.....
Si seulement ce scénario permettait aux gilets jaunes radicalisés, quelques jours de rêve au milieu de leur malheur quotidien je pense que ce serait déjà bien.... pour leur santé.....
les aigreurs d'estomac çà peut se transformer en ulcères....
Surtout c'est pas le moment de prendre des initiatives pour améliorer votre condition de vie personnelle, çà va venir tout seul grâce aux gilets jaunes: bientôt la justice fiscale et sociale garantie par MELENCHON ou LEPEN.....
comme pour les Algériens, maintenant que BOUTEFLIKA a annoncé son renoncement, (y a qu'à voir les défilés de joie dans la rue à ALGER après cette annonce)....demain la vie quotidienne va être formidable pour tous les Algériens....
les ALGÉRIENS qui montrent la voie aux FRANÇAIS c'est pas beau çà?????
 
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