Mouvement gilets jaunes
- Initiateur de la discussion Drianke
- Date de début
Ils jouent leur va-tout. Au lendemain de la fin du grand débat national et à l'occasion des quatre mois du mouvement, les "gilets jaunes" veulent marquer les esprits, samedi 16 mars, avec une 18e journée de mobilisation au niveau national présentée comme un "ultimatum" à Emmanuel Macron.
Depuis plusieurs semaines, cette date est annoncée comme un rendez-vous important, avec un appel à converger vers Paris pour renouer avec les démonstrations de force des premiers week-ends, alors que le nombre de manifestants a chuté ces dernières semaines. Voici à quoi il faut s'attendre.
Une journée d'action concentrée à Paris
Dès le soir de la 17e journée de mobilisation, Eric Drouet, l'une des figures du mouvement, appelait sur YouTube à se rassembler à Paris pour le 16 mars : "Maintenant, on va passer aux choses sérieuses : l'acte 18 arrive et ça, Macron, tu peux te méfier parce que ça va être un regain de mobilisation. Il va y avoir un seul point de convergence pour ceux qui peuvent : ça va être Paris." Objectif : faire venir le plus de monde possible après le plus bas niveau de mobilisation atteint samedi 9 mars. Selon les chiffres du ministère de l'Intérieur, 28 600 manifestants avaient été recensés dans toute la France, contre 282 000 le 17 novembre.
Il va y avoir beaucoup de personnes, il ne va pas falloir lâcher. (...) On attend les Toulousains avec impatience, les Bordelais, les Marseillais, les Rouennais...Eric Drouetsur YouTube
"A Paris le 16 mars, et partout ailleurs en France par la suite, quelle plus belle saison que le printemps pour reprendre pied sur terre ?", peut-on lire dans un texte intitulé "Ultimatum" et publié le 10 mars sur le site Lundi.am. Dans la capitale, cette date symbolique coïncide avec la "Marche du siècle" pour le climat, la "Marche des solidarités" contre les violences policières et une journée d'action des forains.
Du côté des "gilets jaunes", plusieurs événements Facebook ont été créés, dont un intitulé "Acte 18 - Ultimatum - La France entière à Paris", ainsi que des pages pour organiser covoiturages et hébergement depuis la province. "Ils s'organisent pour partir tous à Paris, en train ou en covoiturage, confirme une source locale des renseignements territoriaux à franceinfo. Ils y vont pour faire le nombre." Les services anticipent un très fort regain de mobilisation.
Depuis plusieurs semaines, cette date est annoncée comme un rendez-vous important, avec un appel à converger vers Paris pour renouer avec les démonstrations de force des premiers week-ends, alors que le nombre de manifestants a chuté ces dernières semaines. Voici à quoi il faut s'attendre.
Une journée d'action concentrée à Paris
Dès le soir de la 17e journée de mobilisation, Eric Drouet, l'une des figures du mouvement, appelait sur YouTube à se rassembler à Paris pour le 16 mars : "Maintenant, on va passer aux choses sérieuses : l'acte 18 arrive et ça, Macron, tu peux te méfier parce que ça va être un regain de mobilisation. Il va y avoir un seul point de convergence pour ceux qui peuvent : ça va être Paris." Objectif : faire venir le plus de monde possible après le plus bas niveau de mobilisation atteint samedi 9 mars. Selon les chiffres du ministère de l'Intérieur, 28 600 manifestants avaient été recensés dans toute la France, contre 282 000 le 17 novembre.
Il va y avoir beaucoup de personnes, il ne va pas falloir lâcher. (...) On attend les Toulousains avec impatience, les Bordelais, les Marseillais, les Rouennais...Eric Drouetsur YouTube
"A Paris le 16 mars, et partout ailleurs en France par la suite, quelle plus belle saison que le printemps pour reprendre pied sur terre ?", peut-on lire dans un texte intitulé "Ultimatum" et publié le 10 mars sur le site Lundi.am. Dans la capitale, cette date symbolique coïncide avec la "Marche du siècle" pour le climat, la "Marche des solidarités" contre les violences policières et une journée d'action des forains.
Du côté des "gilets jaunes", plusieurs événements Facebook ont été créés, dont un intitulé "Acte 18 - Ultimatum - La France entière à Paris", ainsi que des pages pour organiser covoiturages et hébergement depuis la province. "Ils s'organisent pour partir tous à Paris, en train ou en covoiturage, confirme une source locale des renseignements territoriaux à franceinfo. Ils y vont pour faire le nombre." Les services anticipent un très fort regain de mobilisation.
Des rendez-vous ont été donnés dès le matin, à 10 heures, aux abords de plusieurs gares, de la place du Chatelet, sur les Champs-Elysées...
Des appels à en finir avec le "pacifisme"
"Attendre aura été notre seule erreur, depuis toujours. Et nous convaincre d'attendre, tout l'art des gouvernants", prévient le mouvement dans le texte publié sur Lundi.am. Plusieurs figures des "gilets jaunes" ont laissé entendre qu'il fallait en finir avec le "pacifisme". "Cela fait 17 semaines que je prône le pacifisme, que je dis à tout le monde que je ne suis pas pour la violence. J'ai fait des appels au calme. Le 16, il va se passer ce qu'il va se passer. J'en ai plus rien à foutre", a déclaré Maxime Nicole dans un Facebook live diffusé dans la nuit de dimanche à lundi.
Je n'appellerai pas à la non-violence, je n'appellerai pas à la violence, je n'appelle plus à rien. Pendant dix-sept semaines, on a essayé, de façon majoritairement pacifique, de faire reprendre la raison [au gouvernement] et ils n'ont pas voulu nous écouter.Maxime Nicolesur Facebook
"Samedi, ils se démerdent et ils subiront les conséquences de 17 semaines de foutage de gueule", a-t-il ajouté. Et de prévenir : "Ça risque d'être mémorable."
"L'acte 18 doit marquer la fin des manifestations et le début des vrais samedis jaune !", prône de son côté Eric Drouet sur YouTube. "Le samedi 16, je resterai le temps qu'il faudra sur les Champs-Elysées et l'Arc de Triomphe. Après faudra penser à autre chose", a-t-il poursuivi. Même tonalité du côté de Priscillia Ludosky, pourtant plus modérée. Selon des propos rapportés par Le Journal du dimanche, elle se dit maintenant prête à étudier l'idée "de solutions non-violentes, mais radicales, précises, ciblées pour avoir la pleine attention attendue".
Signe d'un retour à l'ambiance des premiers rassemblements, seule une manifestation de "gilets jaunes" a été déclarée auprès de la préfecture de police de Paris. Dans un communiqué, celle-ci dit craindre le retour des "cortèges 'sauvages" et "de nombreux activistes violents".
Des appels à en finir avec le "pacifisme"
"Attendre aura été notre seule erreur, depuis toujours. Et nous convaincre d'attendre, tout l'art des gouvernants", prévient le mouvement dans le texte publié sur Lundi.am. Plusieurs figures des "gilets jaunes" ont laissé entendre qu'il fallait en finir avec le "pacifisme". "Cela fait 17 semaines que je prône le pacifisme, que je dis à tout le monde que je ne suis pas pour la violence. J'ai fait des appels au calme. Le 16, il va se passer ce qu'il va se passer. J'en ai plus rien à foutre", a déclaré Maxime Nicole dans un Facebook live diffusé dans la nuit de dimanche à lundi.
Je n'appellerai pas à la non-violence, je n'appellerai pas à la violence, je n'appelle plus à rien. Pendant dix-sept semaines, on a essayé, de façon majoritairement pacifique, de faire reprendre la raison [au gouvernement] et ils n'ont pas voulu nous écouter.Maxime Nicolesur Facebook
"Samedi, ils se démerdent et ils subiront les conséquences de 17 semaines de foutage de gueule", a-t-il ajouté. Et de prévenir : "Ça risque d'être mémorable."
"L'acte 18 doit marquer la fin des manifestations et le début des vrais samedis jaune !", prône de son côté Eric Drouet sur YouTube. "Le samedi 16, je resterai le temps qu'il faudra sur les Champs-Elysées et l'Arc de Triomphe. Après faudra penser à autre chose", a-t-il poursuivi. Même tonalité du côté de Priscillia Ludosky, pourtant plus modérée. Selon des propos rapportés par Le Journal du dimanche, elle se dit maintenant prête à étudier l'idée "de solutions non-violentes, mais radicales, précises, ciblées pour avoir la pleine attention attendue".
Signe d'un retour à l'ambiance des premiers rassemblements, seule une manifestation de "gilets jaunes" a été déclarée auprès de la préfecture de police de Paris. Dans un communiqué, celle-ci dit craindre le retour des "cortèges 'sauvages" et "de nombreux activistes violents".
Il y a des indications qui portent à une certaine inquiétude sur des ultraviolents qui pourraient se mobiliser.Christophe Castanerlors d'une conférence de presse
Un constat réalisé par le ministre de l'Intérieur, lors d'un déplacement au Centre national d'entraînement des forces de gendarmerie à Saint-Astier. Selon un haut gradé des renseignements de la gendarmerie joint par franceinfo, les appels à la violence les plus marqués pour la journée du 16 mars émanent surtout de l'ultragauche.
Des actions en région, notamment à Bordeaux
Malgré le mot d'ordre de se rassembler majoritairement dans la capitale, des actions sont aussi prévues dans plusieurs villes en régions. "Le 16 mars, il faut sortir. (...) Sortez, sortez, sortez le 16 mars", a encouragé le député François Ruffin. L'élu de La France insoumise a affirmé qu'il serait présent à Paris et à Dions (Gard), "le gros point de rassemblement du sud de la France". Selon nos informations, le ministère de l'Intérieur aura également un œil sur la mobilisation à Bordeaux, Dijon, Caen et Montpellier.
A Bordeaux, l'organisation d'un concert regroupant deux formations musicales issues de l'ultradroite inquiète les autorités, selon Rue89 et France Soir. Contactée par franceinfo, la préfecture de Gironde affirme que le lieu précis du concert ne serait connu qu'au dernier moment. Les autorités assurent aussi que les services de police seront particulièrement vigilants pour éviter toute confrontation entre l'extrême droite et l'extrême gauche. Dans un communiqué, SOS Racisme s'indigne de l'organisation de ce concert "par un groupuscule d'extrême droite, soutien du mouvement Bastion Social, qui a pourtant été dissous du fait de la violence de leurs actions".
Un dispositif de sécurité revu à la hausse
Pour faire face à cette nouvelle journée de mobilisation qui s'annonce chargée, le dispositif de sécurité a été revu à la hausse par rapport aux samedis précédents et atteindra les niveaux du mois de décembre, notamment la journée du 8, où 89 000 policiers et gendarmes avaient été mobilisés. Selon nos informations, 38 compagnies de CRS (sur 60) et 61 escadrons de gendarmes mobiles (sur 108) seront affectés au maintien de l'ordre sur tout le territoire, en dehors de la zone couverte par la préfecture de police de Paris. Dans la capitale, plus de 5 000 membres des forces de l'ordre seront mobilisés, selon la préfecture.
La circulation et les rassemblements seront interdits sur le secteur bas des Champs-Elysées, de la Concorde, de l'Elysée et de la place Beauvau. L'Assemblée nationale et ses abords, ainsi que le secteur Varenne-Grenelle, où siègent l'Hôtel de Matignon et de nombreux ministères, "feront l'objet d'une présence policière renforcée". Comme chaque samedi, des contrôles routiers seront effectués aux péages d'entrée en Ile-de-France et des contrôles d'identité, avec fouilles des sacs, seront pratiqués dans les gares et les transports en commun.
La préfecture précise que six blindés de la gendarmerie et des engins de la brigade de sapeurs-pompiers de Paris seront déployés en renfort. "Il est important de montrer qu'il y a aura toujours un dispositif à la hauteur", analyse une source policière auprès de franceinfo.
Le 16 mars, c'est la croisée des chemins, le point de rupture. Soit ça repart, soit c'est fini.Un agent local des renseignements territoriauxà franceinfo
Les services de renseignement regardent déjà au-delà du 16 mars. "Le véritable indicateur, ce sera la mobilisation du week-end d'après", confie-t-on. Les leaders des "gilets jaunes" l'ont bien compris. Ils appellent à un "blocage national total" visant les raffineries, ports et autres infrastructures économiques dans les prochaines semaines.
Un constat réalisé par le ministre de l'Intérieur, lors d'un déplacement au Centre national d'entraînement des forces de gendarmerie à Saint-Astier. Selon un haut gradé des renseignements de la gendarmerie joint par franceinfo, les appels à la violence les plus marqués pour la journée du 16 mars émanent surtout de l'ultragauche.
Des actions en région, notamment à Bordeaux
Malgré le mot d'ordre de se rassembler majoritairement dans la capitale, des actions sont aussi prévues dans plusieurs villes en régions. "Le 16 mars, il faut sortir. (...) Sortez, sortez, sortez le 16 mars", a encouragé le député François Ruffin. L'élu de La France insoumise a affirmé qu'il serait présent à Paris et à Dions (Gard), "le gros point de rassemblement du sud de la France". Selon nos informations, le ministère de l'Intérieur aura également un œil sur la mobilisation à Bordeaux, Dijon, Caen et Montpellier.
A Bordeaux, l'organisation d'un concert regroupant deux formations musicales issues de l'ultradroite inquiète les autorités, selon Rue89 et France Soir. Contactée par franceinfo, la préfecture de Gironde affirme que le lieu précis du concert ne serait connu qu'au dernier moment. Les autorités assurent aussi que les services de police seront particulièrement vigilants pour éviter toute confrontation entre l'extrême droite et l'extrême gauche. Dans un communiqué, SOS Racisme s'indigne de l'organisation de ce concert "par un groupuscule d'extrême droite, soutien du mouvement Bastion Social, qui a pourtant été dissous du fait de la violence de leurs actions".
Un dispositif de sécurité revu à la hausse
Pour faire face à cette nouvelle journée de mobilisation qui s'annonce chargée, le dispositif de sécurité a été revu à la hausse par rapport aux samedis précédents et atteindra les niveaux du mois de décembre, notamment la journée du 8, où 89 000 policiers et gendarmes avaient été mobilisés. Selon nos informations, 38 compagnies de CRS (sur 60) et 61 escadrons de gendarmes mobiles (sur 108) seront affectés au maintien de l'ordre sur tout le territoire, en dehors de la zone couverte par la préfecture de police de Paris. Dans la capitale, plus de 5 000 membres des forces de l'ordre seront mobilisés, selon la préfecture.
La circulation et les rassemblements seront interdits sur le secteur bas des Champs-Elysées, de la Concorde, de l'Elysée et de la place Beauvau. L'Assemblée nationale et ses abords, ainsi que le secteur Varenne-Grenelle, où siègent l'Hôtel de Matignon et de nombreux ministères, "feront l'objet d'une présence policière renforcée". Comme chaque samedi, des contrôles routiers seront effectués aux péages d'entrée en Ile-de-France et des contrôles d'identité, avec fouilles des sacs, seront pratiqués dans les gares et les transports en commun.
La préfecture précise que six blindés de la gendarmerie et des engins de la brigade de sapeurs-pompiers de Paris seront déployés en renfort. "Il est important de montrer qu'il y a aura toujours un dispositif à la hauteur", analyse une source policière auprès de franceinfo.
Le 16 mars, c'est la croisée des chemins, le point de rupture. Soit ça repart, soit c'est fini.Un agent local des renseignements territoriauxà franceinfo
Les services de renseignement regardent déjà au-delà du 16 mars. "Le véritable indicateur, ce sera la mobilisation du week-end d'après", confie-t-on. Les leaders des "gilets jaunes" l'ont bien compris. Ils appellent à un "blocage national total" visant les raffineries, ports et autres infrastructures économiques dans les prochaines semaines.
Il a vu les usines fermer les unes après les autres. Mario est électricien à la retraite. Pendant plus de 40 ans, il a travaillé dans l'industrie textile. Mais aujourd'hui dans cette vallée, il n'en reste presque plus. Son gilet jaune, c'est en partie à cause de ce traumatisme qu'il le porte : "On nous a oubliés complètement." Dans les années 1990, la région subit de plein fouet la crise économique : 5 000 emplois disparaissent. Le territoire peine encore à se reconstruire. En Ariège, le chômage frôle les 12%.
Pas prêts à abandonner
Alors ils sont une vingtaine chaque jour, surtout des retraités, sur le dernier rond-point occupé du département. Pour la majorité d'anciens employés du textile eux aussi. Malgré des vents contraires, ils continuent d'arrêter des voitures pour distribuer des tracts. Mais le message est de moins en moins bien reçu. "On n'est pas des cas sociaux", dit une "gilet jaune". Devenus amis, ils ne sont pas prêts à abandonner maintenant.
Pas prêts à abandonner
Alors ils sont une vingtaine chaque jour, surtout des retraités, sur le dernier rond-point occupé du département. Pour la majorité d'anciens employés du textile eux aussi. Malgré des vents contraires, ils continuent d'arrêter des voitures pour distribuer des tracts. Mais le message est de moins en moins bien reçu. "On n'est pas des cas sociaux", dit une "gilet jaune". Devenus amis, ils ne sont pas prêts à abandonner maintenant.
VeraBien
VIB
Pillages de magasins, destructions gratuites, incendie d'un kiosque à journaux sur les Champs...
Merci aux "manifestants" pour ces belles images qui seront diffusées et reprises dans tous les médias du monde... Bravo, tous ensembles, tous ensembles ouais ouais !
Perso, je ne connais plus un seul de ces horribles "parisiens" qui supporte le mouvement (ils étaient pourtant majoritaires au début) : marre des dégradations, marre de la violence tous les samedis... Surtout que c'est nos impôts qui payeront les dégâts : pour un mouvement râlant contre la fiscalité, c'est un comble, non ?
Merci aux "manifestants" pour ces belles images qui seront diffusées et reprises dans tous les médias du monde... Bravo, tous ensembles, tous ensembles ouais ouais !
Perso, je ne connais plus un seul de ces horribles "parisiens" qui supporte le mouvement (ils étaient pourtant majoritaires au début) : marre des dégradations, marre de la violence tous les samedis... Surtout que c'est nos impôts qui payeront les dégâts : pour un mouvement râlant contre la fiscalité, c'est un comble, non ?
Pillages de magasins, destructions gratuites, incendie d'un kiosque à journaux sur les Champs...
Merci aux "manifestants" pour ces belles images qui seront diffusées et reprises dans tous les médias du monde... Bravo, tous ensembles, tous ensembles ouais ouais !
Perso, je ne connais plus un seul de ces horribles "parisiens" qui supporte le mouvement (ils étaient pourtant majoritaires au début) : marre des dégradations, marre de la violence tous les samedis... Surtout que c'est nos impôts qui payeront les dégâts : pour un mouvement râlant contre la fiscalité, c'est un comble, non ?
Il ne faut pas être sorti de polytechnique pour savoir que les dégats publics seront payés par les français, eux -les GJ- apparemment n'ont rien compris, et continuent sur leur lancée de détruire et la violence....
18 semaines d'affilées !!!! trop c'est trop...
; ils détruisent pour mieux payer oula... je pense que les impots sur la fiche de salaire soit non pas, salée mais bien poivrée... ca ne va pas passer dans la gorge des français.. pire encore moins digérer...
On peut être d'accord avec leurs revendications de base.... mais là, c'est fou.... détruire plus la violence, faut que ca s'arrete... stop!
Plusieurs commerces sont déjà en situation de faillite,,, et sont obligés de licenciés leurs personnel,
un vrai paradoxe,,,,, les gilets jaunes à la base c'était pour manifester contre la hausse d'impots, le pouvoir d'achat, et un emploi pour tous... ben là c'est l'effet inverse qui se produit ! bravo les gj !! nous en sommes arrivès là malheureusement :
Comme je m'en doutais, le grand débat n'a servi strictement à rien le but est d'endormir les consciences...
@pititecurieuse,
Totalement d'accord avec toi..
Ces manifestations donnent aux casseurs aux anarchistes aux pommés de la vie la possibilité de sortir de leur caverne et de casser de voler sous couverts de manifestations GJ
Ca ne rime plus à rien
Totalement d'accord avec toi..
Ces manifestations donnent aux casseurs aux anarchistes aux pommés de la vie la possibilité de sortir de leur caverne et de casser de voler sous couverts de manifestations GJ
Ca ne rime plus à rien
VeraBien
VIB
A un moment, faut savoir arrêter... si possible par le haut et avant la déconfiture
GPA2SOU
Personne n'a le droit de mourir le ventre vide
https://www.giletsjaunes-coordination.fr/gazette-des-gilets-jaunes-edition-n-deg-1-d216.pdf
http://www.giletsjaunes-coordination.fr/document-gazette-des-gilets-jaunes-edition-n-deg-3-217.pdf
https://static.miraheze.org/giletjaunewiki/6/69/Gazette-des-gilets-jaunes-edition-speciale-23dec.pdf
https://www.giletsjaunes-coordination.fr/gazette-des-gilets-jaunes-edition-n-deg-7-d238.pdf
https://giletjaune.miraheze.org/wiki/GJpédia:Accueil
http://www.giletsjaunes-coordination.fr/document-gazette-des-gilets-jaunes-edition-n-deg-3-217.pdf
https://static.miraheze.org/giletjaunewiki/6/69/Gazette-des-gilets-jaunes-edition-speciale-23dec.pdf
https://www.giletsjaunes-coordination.fr/gazette-des-gilets-jaunes-edition-n-deg-7-d238.pdf
https://giletjaune.miraheze.org/wiki/GJpédia:Accueil
Ces gilets jaunes qui soit disant pensent à leurs enfants, leur montre que c’est par la violence que l’on obtient quelque chose. C’est ça l’éducation qu’on donne à ses gosses? Quelle pauvreté intellectuelle. Casser, casser,... y en a marre. Faites comme en Belgique, on les a tous arrêté administrativement et parqué comme des veaux dans des casernes pendant une après midi. Depuis, y a plus de manifestations à bxl.
@Yoel1 @BloodySunday vous soutenez toujours les violences et les pillages?
GPA2SOU
Personne n'a le droit de mourir le ventre vide
Pour ma part je ne soutiens rien du tout mais j'ai tout de même une question à te poser
Tu penses que c'est en restant dans la rue à faire le piquet et à s’égosiller la voix en scandant des slogans que cela va concrètement changer quelque chose ?
la seule façon d'améliorer ta situation si elle est insupportable est individuelle: si tu veux et si tu peux ...
sinon gilets jaunes ou pas, manifestations ou casse dans PARIS çà ne changera rien.....GP2SOU restera GPA2SOU encore longtemps....désolé je compatis pour ceux qui se trouvent trop malheureux....
GPA2SOU
Personne n'a le droit de mourir le ventre vide
Je comprend et respecte ton avis
Concernant ma situation al hamdoulillah j'ai pas à me plaindre car il y a toujours plus malheureux que soit
Pour les casseurs il s'agit d'un sport extrême: activité physique recherchée qui donne du plaisir et qui convient à des personnes impulsives et guettées par l'ennui...
comme d'autres font du ski extrême....
D'autres vont de droguer ou se défoncer dans l'alcool mais pour les casseurs c'est devenu un loisir, une activité qui leur donne beaucoup de plaisir.....
pourquoi pas puisque notre système policier et judiciaire tolère cette activité ludique.....impraticable en RUSSIE, en TURQUIE ou au MAROC......
à force je me suis habitué à ces images tant qu'il y a pas de morts.....
comme d'autres font du ski extrême....
D'autres vont de droguer ou se défoncer dans l'alcool mais pour les casseurs c'est devenu un loisir, une activité qui leur donne beaucoup de plaisir.....
pourquoi pas puisque notre système policier et judiciaire tolère cette activité ludique.....impraticable en RUSSIE, en TURQUIE ou au MAROC......
à force je me suis habitué à ces images tant qu'il y a pas de morts.....
GPA2SOU
Personne n'a le droit de mourir le ventre vide
@amachou
https://www.yabiladi.com/articles/details/73556/maroc-emeutes-1984-quand-hassan.html
Je pourrais te mettre d'autres liens mais je supposes que tu parles de l'heure actuel et non en 1984 par exemple
amachou a dit:
https://www.yabiladi.com/articles/details/73556/maroc-emeutes-1984-quand-hassan.html
Je pourrais te mettre d'autres liens mais je supposes que tu parles de l'heure actuel et non en 1984 par exemple
On voit parfaitement qu’avec les manifestations pacifiques pour le climat, les choses sont en train de bouger ! La violence n’est pas une fin en soit. C’est juste bon pour les abrutis
A
AncienMembre
Non connecté
les casseurs sont minoritaire, mais ils sont les plus voyants
il s'agirait de 1500 personnes (ultra gauche, extreme droite, anarchistes).
mais ils font des dégats considérables. Il faudrait les arrêter maintenant ca suffit
il y a des répercussions terribles sur les résultats économiques de la France depuis 18 semaines, donc sur nos impots...
il s'agirait de 1500 personnes (ultra gauche, extreme droite, anarchistes).
mais ils font des dégats considérables. Il faudrait les arrêter maintenant ca suffit
il y a des répercussions terribles sur les résultats économiques de la France depuis 18 semaines, donc sur nos impots...
c'est bien ce que je dis en FRANCE çà dure depuis 4 mois, au MAROC en 1984 çà a pas duré longtemps .....
çà s'explique par une différence notable entre HASSAN 2 et MACRON sur la manière de ramener l'ordre.....
Les casseurs sont pas fous ils savent dans quels pays ils sont, les policiers n'osent plus utiliser les LBD...
Aux Etats unis la même chose un casseur qui rentrerait dans un commerce se retrouverait nez à nez avec un propriétaire armé jusqu'aux dents donc il prendrait pas le risque ......
La FRANCE c'est des des rares pays ou un casseur est certain de pouvoir casser en toute sécurisé puis rentrer tranquillement chez lui.....
La FRANCE c'est le pays des libertés y compris celle de casser tranquille....çà risque de durer......moi je me suis fais une raison....
Un policier a été filmé en train de ranger des maillots du PSG dans un sac à dos, peu après le pillage de la boutique du club sur les Champs-Élysées.
Un agent des forces de l’ordre aurait-il profité des pillages des manifestations de samedi pour chaparder quelques maillots du PSG ? C’est la question que se pose l’Inspection générale de la police nationale (IGPN) saisie dimanche après la diffusion de plusieurs vidéos jugées « embarrassantes », selon le site Checknews de Libération.
Ces vidéos, extraites d’un tournage en direct du journaliste Rémy Buisine, de Brut, montrent un policier en train de ranger plusieurs maillots dans un sac à dos. Contacté par Le Parisien, le journaliste n’a pas pu répondre à nos questions dimanche.
Un agent des forces de l’ordre aurait-il profité des pillages des manifestations de samedi pour chaparder quelques maillots du PSG ? C’est la question que se pose l’Inspection générale de la police nationale (IGPN) saisie dimanche après la diffusion de plusieurs vidéos jugées « embarrassantes », selon le site Checknews de Libération.
Ces vidéos, extraites d’un tournage en direct du journaliste Rémy Buisine, de Brut, montrent un policier en train de ranger plusieurs maillots dans un sac à dos. Contacté par Le Parisien, le journaliste n’a pas pu répondre à nos questions dimanche.
A
AncienMembre
Non connecté
...les GJ qui sont descendus bloquer le périph c etaient pas des arabes, #soulagement...vous me direz ben nan ils étaient en train de péter les vitrines ))
...un peu d humour..
...un peu d humour..
C est une blague la manif pour le climat c est mignon ils manipulent des gnards pour émouvoir les masses crédules qui est derriere ces manifs certainement pas une etudiante de 16 ans a mon avis
Quel est le but de ces manifs nous remettre une bonne petite taxe carbone pour sauver la planete, sans moi je suis pas receptif
BloodySunday
Bladinaute averti
Ton logiciel de reconnaissance de caractères a besoin d'une sérieuse mise à jour.
pour le Maroc tu prend comme référence 1984 et on est en 2019 ...
aujourd’hui en 2019, les policiers Marocains gèrent 80 manifestations par jour , je répète par jour (statistiques du gouvernement) .....et sur tout le territoire National
et tout se passe très bien ..ZERO casse ... sauf quand certains manifestants sortent du trajet convenu mais dans l'ensemble : zéro casse !!
En algérie, 15 millions d'algériens dans la rue : ZERO casse aussi
En France : le problème est le POLICIER FRANCAIS haineux, brutal, violent ...et il devrait aller se former au Maroc pour savoir comment gérer des manifestation par exemple ... çà leur ferait du bien
A
AncienMembre
Non connecté
euh et les casseurs ils ne sont pas le problème?
je n'ai pas vu UN casseur dans les manifestations algériennes, que des jeunes filles avec des drapeaux et des fleurs.
c'est vraiment très pacifique. bravo aux manifestants; Et à la police
Sur Paris ce weekend, si on regarde les vidéos, c'est d'une violence inoue: casses, combats de rue, attaque des flics et des camions de police, pillages, incendies... !!!
je n'ai pas vu UN casseur dans les manifestations algériennes, que des jeunes filles avec des drapeaux et des fleurs.
c'est vraiment très pacifique. bravo aux manifestants; Et à la police
Sur Paris ce weekend, si on regarde les vidéos, c'est d'une violence inoue: casses, combats de rue, attaque des flics et des camions de police, pillages, incendies... !!!
Un peu de mauvaise foi, non ?
Il y a pleins de manifestations qui se passent sans problème en France, d'ailleurs le même jour sur Paris, la manif sur le climat n'a eu aucun incident.
Tu fais bien d'ajouter qu'au Maroc ça se passe bien... sauf quand certains manifestants sortent du trajet et cassent les vitrines.
Car c'est ce que font les gilets jaunes, en plus de ne pas déclarer leur manifestation et faire cela en toute illégalité.
Que penses-tu de cette journée du samedi ?
Satisfait ?
Je ne suis pas réceptif a la violence, au pillage, a l'anarchie. Désolé.