Oct 1973: Le passage du canal vers le Sinaï

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion Zoubir8
  • Date de début Date de début
Depuis cinq ans,on a commencé a parlé de l histoire et pas de la propagande!!!
Et dans cinq ans,on va apprendre que les sionistesn'avaient jamais fait une guerre aux arabes,ils n'ont jamais gagné une guerre et c'etait tjs l'occident caché derriere les nazisionistes pour rester au moyens orient.
Voilà un des temoignage la conspiration franco-anglaise en utilisant la melice sioniste pour faire le guerre aux arabes!!!!!

Et alors ?
tu parle de quelle propagande ?
cela s'est toujours su que la crise de crise venait des interets européens ?

ahlalala comme ton pote, impossible de supporter qu'un tel etat soit militairement interressant, que les israelien soit effectivmeent capable de gagner les guerres.
parce que pour ceux qui semble l'oublier ici, le matériel, et le fric est le nerf de la guerre, mais la formation , la tactique, la prise d'initiative sont des necessité de victoire, et cela cvomment le justifier vous ?
 
Et alors ?
tu parle de quelle propagande ?
cela s'est toujours su que la crise de crise venait des interets européens ?

ahlalala comme ton pote, impossible de supporter qu'un tel etat soit militairement interressant, que les israelien soit effectivmeent capable de gagner les guerres.
parce que pour ceux qui semble l'oublier ici, le matériel, et le fric est le nerf de la guerre, mais la formation , la tactique, la prise d'initiative sont des necessité de victoire, et cela cvomment le justifier vous ?

Est ce que t as lu le fait historique que j'ai posté?
Je t'invite à le lire gentillement,pose tes deux mains sur ta tete pour reflichir un peu
Avec le temps tu comprendras,il n y a qu'une armée occidentale(mais deguisée en Armée tshaliste)qui fait la guerre aux arabes!!!
L'armée israelien sans les USA,les Anglais et les Français c'est du pipo
Si t as bien compris le texte,c'etait à l'epoque des socialistes et on trouve le meme comportement maintenant!!!!
Ce sont ces mêmes socialistes qui ont fiat la guerre au vietnam.
Les guerres socialistes se sont soldées par Dien BienPhu,
Suez,et l’indépendance de l’Algérie.

C’est d’ailleurs le "socialiste" Jospin qui avait déclaré en Palestine que le Hezbollah est un parti "terroriste"...ce qui lui a valu d’être copieusement caillassé à Bir Zeit.

Les socialo-sionistes et la droite américaniste sont les deux faces d’une même pièce, celle de la soumission à l’empire US. Il soutiennent
Israel qui essaye aujourd’hui de faire par procuration les guerres qu’ils ont perdu contre les peuples, Egypte et en Iraq.En afghanistan et bientot ils vont negocier avec Ben Laden

Ils se disent tous "amis d’israel"...c’est à dire qu’ils sont amis de criminel de guerre et de criminels contre l’humanité.

Comme dit le proberbe:""" Dis moi qui est ton ami.............
 
Et alors ?
tu parle de quelle propagande ?
cela s'est toujours su que la crise de crise venait des interets européens ?

ahlalala comme ton pote, impossible de supporter qu'un tel etat soit militairement interressant, que les israelien soit effectivmeent capable de gagner les guerres.
parce que pour ceux qui semble l'oublier ici, le matériel, et le fric est le nerf de la guerre, mais la formation , la tactique, la prise d'initiative sont des necessité de victoire, et cela cvomment le justifier vous ?

mais parle pas avec ce chra, il a une jalousie maladive d'israel et ne peut accepter que la coaltion arabe s'est pris deculoté sur deculoté, il vit dans un prisme communautaire arabiste :D
 
mais parle pas avec ce chra, il a une jalousie maladive d'israel et ne peut accepter que la coaltion arabe s'est pris deculoté sur deculoté, il vit dans un prisme communautaire arabiste :D

il faut croire les ragots des sionistes c'est mieux!!!!




Avoue que c'est une excelente analyse que tu ne veux pas partager ya hnin.

D’ailleurs, qui a fourni sa première centrale à Israël?
La France!!!!!!!!!!!!!!!!
J’ajoute que la France a des intérêts géo-stratégiques à défendre.

Elle ne fait que contrer le rapport de forces exercé par les USA.
Ce qui intéressent toutes ces sang-sues, ce sont les réserves pétrolière de la région sinon, ils ne seraient pas en train de se casser la tete à défendre Israël.
 
il faut croire les ragots des sionistes c'est mieux!!!!




Avoue que c'est une excelente analyse que tu ne veux pas partager ya hnin.

D’ailleurs, qui a fourni sa première centrale à Israël?
La France!!!!!!!!!!!!!!!!
J’ajoute que la France a des intérêts géo-stratégiques à défendre.

Elle ne fait que contrer le rapport de forces exercé par les USA.
Ce qui intéressent toutes ces sang-sues, ce sont les réserves pétrolière de la région sinon, ils ne seraient pas en train de se casser la tete à défendre Israël.

Le jeu des alliances a tjs ete et est encore tres strategique dans une victoire ou une defaite, les palestiniens ont choisi le mauvais cheval a savoir les arabes, et les russes, on connait la suite
 
Le jeu des alliances a tjs ete et est encore tres strategique dans une victoire ou une defaite, les palestiniens ont choisi le mauvais cheval a savoir les arabes, et les russes, on connait la suite

En 1956 les Arabes etaient colonisés.

enfin tu commences à avouer que la milice sioniste etait protegée par l'occident!!
Allez enccore un effort et avoue que : sont les Americains et les ANglais qui faisaient la guerre et pas la melice
 
En 1956 les Arabes etaient colonisés.

enfin tu commences à avouer que la milice sioniste etait protegée par l'occident!!
Allez enccore un effort et avoue que : sont les Americains et les ANglais qui faisaient la guerre et pas la melice

Ils avaient une grande armee mis bout a bous pourtant (Algeriens, egyptiens etc) plus toutes les armes russes et j'en passe

et non sur le terrain c'etait des israeliens, pas des francawi ou des Gi joe, arrete de faire passer ta propagand,e on sait tres bien que tu as une Jalousie profonde de l'etat d'israel, mais qu'est ce tu veux c'rest comme cela
 
Ils avaient une grande armee mis bout a bous pourtant (Algeriens, egyptiens etc) plus toutes les armes russes et j'en passe

et non sur le terrain c'etait des israeliens, pas des francawi ou des Gi joe, arrete de faire passer ta propagand,e on sait tres bien que tu as une Jalousie profonde de l'etat d'israel, mais qu'est ce tu veux c'rest comme cela

mdrrrrrrrrrrrrrrrrr
l'algerie a eu son independance en 1962
 
Bah oui, assez pour envoyer des avions en 67 (et accessoirement comme la coaolition arabe, repartir sans son orgueil echangé encore par une profonde aigritude legendaire :D)


Juste pour te gacher ton dimanche,voilà un autre temoignage,
Mon premier lien,c'etait la confirmation des Anglais et français qui ont fait toutes les guerres au nom de l'entité sioniste
Voilà un autre temoignage qui prouve que les Americains qui ont fait la guerre et jamais les milices!!!!!!!!!


Un temoignage d'un Russe


Pogos Akopov, ancien diplomate et ambassadeur de l’URSS,
président du Conseil de l’Association des diplomates russes,
a révélé des faits peu connus ayant trait à la position de l’URSS à la veille de la guerre arabo-israélienne de juin 1967.

Ils réfutent les points de vue de nombreux Occidentaux quant à la volonté de Moscou de pousser l’Egypte à la guerre.
Dans une interview accordée en exclusivité à RIA Novosti,
ce diplomate de 81 ans a déclaré qu’il était la seule personne encore en vie à avoir participé aux négociations qui s’étaient déroulées à Moscou, à la fin du mois de mai 1967 (on ignore si les enregistrements de ces négociations secrètes ont été ou non conservés).

Les délégations étaient conduites, pour la partie russe, par Alexeï Kossyguine, président du Conseil des ministres de l’URSS, membre du Bureau politique du CC du PCUS, et, pour la partie égyptienne, par Shams Badran, ministre de la guerre. Pogos Akopov siégeait en qualité d’expert.

Aux alentours du 20 mai 1967, raconte Pogos Akopov, Shams Badran était arrivé à Moscou en qualité d’envoyé personnel du président Nasser, porteur d’un message du leader égyptien aux dirigeants soviétiques. Le Bureau politique du PCUS avait confié à Alexeï Kossyguine la mission de mener les pourparlers avec la délégation égyptienne.

Au début de la première rencontre qui s’était déroulée au Kremlin, le général égyptien avait résumé la teneur du message, indiquant qu’Israël était en train de concentrer des troupes le long de la frontière syrienne et se préparait à frapper la Syrie.

Dans cette situation, les amis syriens s’étaient adressés à Nasser pour lui demander de l’aide.

Le président Nasser, comme il fut dit, ne pouvait laisser son frère arabe face à Israël et demandait l’accord des dirigeants soviétiques pour porter une frappe préventive, un coup de semonce, contre Israël.

La réponse d’Alexeï Kossyguine fut nette :

Si l’Egypte frappait la première, ce serait elle l’agresseur et Moscou ne pouvait soutenir un agresseur. Cela était contraire aux principes de la politique extérieure soviétique.

Il fut déclaré que le problème ne pouvait avoir de solution militaire :


les Etats-Unis ne permettraient pas aux Arabes d’infliger une défaite à Israël.


« Vous voulez entraîner l’Union Soviétique dans une guerre avec l’Amérique, devait ajouter Alexeï Kossyguine.

Nous ne l’accepterons pas. »

Il demanda à Shams Badran de transmettre à Nasser l’opposition de l’URSS à une guerre.

Les négociations se poursuivirent le lendemain.
Badran transmit de nouveau la requête de Nasser qui demandait à Moscou d’étudier attentivement, encore une fois, ses arguments.

Alexeï Kossyguine exposa une fois encore la position soviétique de refus des opérations militaires.

Il ajouta que la partie soviétique avait analysé la situation et était arrivée à la conclusion qu’une opération militaire ne déboucherait sur des résultats souhaitables, ni pour Nasser, ni pour les autres pays arabes.

Selon lui, il fallait rechercher d’autres voies de règlement.

Aux dires de Pogos Akopov, les négociations durèrent trois jours. Au matin du quatrième jour, le général Badran fit part de ce qu’avait dit Nasser, à savoir que le leader égyptien n’engagerait pas d’opérations militaires si les amis soviétiques estimaient qu’il ne fallait pas le faire.

Le 28 mai, le général Badran repartit pour le Caire et, le 5 juin 1967, Israël engageait les hostilités contre ses voisins arabes. Les pistes d’atterrissage des aéroports du Caire, d’Alexandrie et d’Assouan furent bombardées, privant de couverture aérienne l’armée égyptienne du Sinaï.

L’Egypte enregistra des pertes considérables, en matériel et en hommes.

L’ancien diplomate, qui a réfléchi aux circonstances et aux causes de ces événements, a livré sa propre version des faits.


Il suppose que le renseignement israélien avait réussi à savoir que l’URSS ne s’engagerait pas aux côtés de l’Egypte si cette dernière déclenchait une guerre.

Israël passa à la réalisation du plan d’attaque qu’il forgeait depuis longtemps puisqu’il était fermement convaincu de son impunité.

De nombreux analystes, en Occident, ont toujours caché ce fait, malheureusement.

Ils affirment, au contraire, que Moscou aurait poussé Nasser à la guerre.

En fait, l’URSS lui avait de fait lié les mains en déclarant qu’elle ne soutenait pas l’intention de l’Egypte de lancer des opérations militaires.

Dès le premier jour de l’attaque israélienne contre les Arabes, Moscou rendit publique une déclaration gouvernementale qualifiant l’attaque d’agression et appelant Israël à cesser les opérations militaires.

Elle réitéra à trois reprises ses déclarations jusqu’au 10 juin, les transmettant à l’ambassadeur d’Israël à Moscou par l’intermédiaire du ministère soviétique des Affaires étrangères.
Israël poursuivait la guerre sans prêter attention à ces déclarations. Il ignorait également les appels du Conseil de sécurité de l’ONU à cesser la guerre.

Au sein de la direction soviétique, du ministère des Affaires étrangères, les consultations allaient bon train pour savoir comment réagir, quelle aide apporter à Nasser qui se trouvait dans une situation difficile. En fin de compte, le gouvernement décida de rompre les relations.

Katz, l’ambassadeur israélien, fut convoqué au ministère des Affaires étrangères. Alexeï Chtchiborine, qui dirigeait alors le secteur des pays du Proche-Orient au ministère, lui déclara que les dirigeants de l’URSS, voyant qu’Israël ne réagissait pas à leurs déclarations, avaient décidé de rompre les relations diplomatiques et de rappeler leur ambassadeur à Tel-Aviv. L’ambassadeur israélien devait quitter Moscou.

Fallait-il ou non rompre les relations diplomatiques ?

C’est une question qui continue de susciter des débats dans les milieux scientifiques, affirme l’ancien diplomate.

Pour les uns, ce n’était pas judicieux car Moscou a rejeté Israël, perdu la possibilité de l’influencer et d’influer sur la situation générale au Proche-Orient.

Les autres affirment que Moscou n’avait pas d’autre issue :

Israël ne prenait pas en compte ses démarches, il lui fallait accorder un soutien à l’Egypte, montrer qu’il n’abandonnait pas ses amis dans le malheur.
C’est que Moscou avait retenu Nasser d’engager des opérations militaires.
Selon le diplomate, si Moscou n’avait pas rompu les relations, l’Egypte et les autres pays arabes ne lui auraient pas pardonné.

Au mois de juin 1967, une délégation militaire soviétique de haut rang se rendit au Caire pour résoudre les problèmes du rétablissement du potentiel militaire perdu par l’Egypte.
Moscou entreprit de lui livrer de grandes quantités de matériel de guerre afin d’assurer la parité militaire avec Israël.

Après 1967, un puissant élan fut donné à la coopération soviéto-égyptienne dans divers domaines. Les deux pays signèrent un Traité d’amitié et de coopération. Moscou contribua à asseoir le développement économique de l’Egypte sur des bases modernes.
Revenant sur ces événements d’il y a quarante ans et leurs conséquences, l’ancien diplomate a émis des doutes sur le bien-fondé de garder les terres occupées par Israël (Golan, Cisjordanie, Gaza) à la suite de la guerre des Six jours.

Selon Pogos Akopov, « ce fait ne cessera de provoquer la résistance de la population arabe, servira d’argument et de prétexte aux agissements de forces diverses, extrémistes notamment. Le meilleur moyen de l’éviter, c’est de parvenir à un règlement juste et total. Dont les bases sont contenues dans les résolutions du Conseil de sécurité de l’ONU. »

Youri Zinine

RIA Novosti
 
Juste pour te gacher ton dimanche,voilà un autre temoignage,
Mon premier lien,c'etait la confirmation des Anglais et français qui ont fait toutes les guerres au nom de l'entité sioniste
Voilà un autre temoignage qui prouve que les Americains qui ont fait la guerre et jamais les milices!!!!!!!!!


Un temoignage d'un Russe


Pogos Akopov, ancien diplomate et ambassadeur de l’URSS,
président du Conseil de l’Association des diplomates russes,
a révélé des faits peu connus ayant trait à la position de l’URSS à la veille de la guerre arabo-israélienne de juin 1967.

Ils réfutent les points de vue de nombreux Occidentaux quant à la volonté de Moscou de pousser l’Egypte à la guerre.
Dans une interview accordée en exclusivité à RIA Novosti,
ce diplomate de 81 ans a déclaré qu’il était la seule personne encore en vie à avoir participé aux négociations qui s’étaient déroulées à Moscou, à la fin du mois de mai 1967 (on ignore si les enregistrements de ces négociations secrètes ont été ou non conservés).

Les délégations étaient conduites, pour la partie russe, par Alexeï Kossyguine, président du Conseil des ministres de l’URSS, membre du Bureau politique du CC du PCUS, et, pour la partie égyptienne, par Shams Badran, ministre de la guerre. Pogos Akopov siégeait en qualité d’expert.

Aux alentours du 20 mai 1967, raconte Pogos Akopov, Shams Badran était arrivé à Moscou en qualité d’envoyé personnel du président Nasser, porteur d’un message du leader égyptien aux dirigeants soviétiques. Le Bureau politique du PCUS avait confié à Alexeï Kossyguine la mission de mener les pourparlers avec la délégation égyptienne.

Au début de la première rencontre qui s’était déroulée au Kremlin, le général égyptien avait résumé la teneur du message, indiquant qu’Israël était en train de concentrer des troupes le long de la frontière syrienne et se préparait à frapper la Syrie.

Dans cette situation, les amis syriens s’étaient adressés à Nasser pour lui demander de l’aide.

Le président Nasser, comme il fut dit, ne pouvait laisser son frère arabe face à Israël et demandait l’accord des dirigeants soviétiques pour porter une frappe préventive, un coup de semonce, contre Israël.

La réponse d’Alexeï Kossyguine fut nette :

Si l’Egypte frappait la première, ce serait elle l’agresseur et Moscou ne pouvait soutenir un agresseur. Cela était contraire aux principes de la politique extérieure soviétique.

Il fut déclaré que le problème ne pouvait avoir de solution militaire :


les Etats-Unis ne permettraient pas aux Arabes d’infliger une défaite à Israël.


« Vous voulez entraîner l’Union Soviétique dans une guerre avec l’Amérique, devait ajouter Alexeï Kossyguine.

Nous ne l’accepterons pas. »

Il demanda à Shams Badran de transmettre à Nasser l’opposition de l’URSS à une guerre.

Les négociations se poursuivirent le lendemain.
Badran transmit de nouveau la requête de Nasser qui demandait à Moscou d’étudier attentivement, encore une fois, ses arguments.

Alexeï Kossyguine exposa une fois encore la position soviétique de refus des opérations militaires.

Il ajouta que la partie soviétique avait analysé la situation et était arrivée à la conclusion qu’une opération militaire ne déboucherait sur des résultats souhaitables, ni pour Nasser, ni pour les autres pays arabes.

Selon lui, il fallait rechercher d’autres voies de règlement.

Aux dires de Pogos Akopov, les négociations durèrent trois jours. Au matin du quatrième jour, le général Badran fit part de ce qu’avait dit Nasser, à savoir que le leader égyptien n’engagerait pas d’opérations militaires si les amis soviétiques estimaient qu’il ne fallait pas le faire.

Le 28 mai, le général Badran repartit pour le Caire et, le 5 juin 1967, Israël engageait les hostilités contre ses voisins arabes. Les pistes d’atterrissage des aéroports du Caire, d’Alexandrie et d’Assouan furent bombardées, privant de couverture aérienne l’armée égyptienne du Sinaï.

L’Egypte enregistra des pertes considérables, en matériel et en hommes.

L’ancien diplomate, qui a réfléchi aux circonstances et aux causes de ces événements, a livré sa propre version des faits.


Il suppose que le renseignement israélien avait réussi à savoir que l’URSS ne s’engagerait pas aux côtés de l’Egypte si cette dernière déclenchait une guerre.

Israël passa à la réalisation du plan d’attaque qu’il forgeait depuis longtemps puisqu’il était fermement convaincu de son impunité.

De nombreux analystes, en Occident, ont toujours caché ce fait, malheureusement.

Ils affirment, au contraire, que Moscou aurait poussé Nasser à la guerre.

En fait, l’URSS lui avait de fait lié les mains en déclarant qu’elle ne soutenait pas l’intention de l’Egypte de lancer des opérations militaires.

Dès le premier jour de l’attaque israélienne contre les Arabes, Moscou rendit publique une déclaration gouvernementale qualifiant l’attaque d’agression et appelant Israël à cesser les opérations militaires.

Elle réitéra à trois reprises ses déclarations jusqu’au 10 juin, les transmettant à l’ambassadeur d’Israël à Moscou par l’intermédiaire du ministère soviétique des Affaires étrangères.
Israël poursuivait la guerre sans prêter attention à ces déclarations. Il ignorait également les appels du Conseil de sécurité de l’ONU à cesser la guerre.

Au sein de la direction soviétique, du ministère des Affaires étrangères, les consultations allaient bon train pour savoir comment réagir, quelle aide apporter à Nasser qui se trouvait dans une situation difficile. En fin de compte, le gouvernement décida de rompre les relations.

Katz, l’ambassadeur israélien, fut convoqué au ministère des Affaires étrangères. Alexeï Chtchiborine, qui dirigeait alors le secteur des pays du Proche-Orient au ministère, lui déclara que les dirigeants de l’URSS, voyant qu’Israël ne réagissait pas à leurs déclarations, avaient décidé de rompre les relations diplomatiques et de rappeler leur ambassadeur à Tel-Aviv. L’ambassadeur israélien devait quitter Moscou.

Fallait-il ou non rompre les relations diplomatiques ?

C’est une question qui continue de susciter des débats dans les milieux scientifiques, affirme l’ancien diplomate.

Pour les uns, ce n’était pas judicieux car Moscou a rejeté Israël, perdu la possibilité de l’influencer et d’influer sur la situation générale au Proche-Orient.

Les autres affirment que Moscou n’avait pas d’autre issue :

Israël ne prenait pas en compte ses démarches, il lui fallait accorder un soutien à l’Egypte, montrer qu’il n’abandonnait pas ses amis dans le malheur.
C’est que Moscou avait retenu Nasser d’engager des opérations militaires.
Selon le diplomate, si Moscou n’avait pas rompu les relations, l’Egypte et les autres pays arabes ne lui auraient pas pardonné.

Au mois de juin 1967, une délégation militaire soviétique de haut rang se rendit au Caire pour résoudre les problèmes du rétablissement du potentiel militaire perdu par l’Egypte.
Moscou entreprit de lui livrer de grandes quantités de matériel de guerre afin d’assurer la parité militaire avec Israël.

Après 1967, un puissant élan fut donné à la coopération soviéto-égyptienne dans divers domaines. Les deux pays signèrent un Traité d’amitié et de coopération. Moscou contribua à asseoir le développement économique de l’Egypte sur des bases modernes.
Revenant sur ces événements d’il y a quarante ans et leurs conséquences, l’ancien diplomate a émis des doutes sur le bien-fondé de garder les terres occupées par Israël (Golan, Cisjordanie, Gaza) à la suite de la guerre des Six jours.

Selon Pogos Akopov, « ce fait ne cessera de provoquer la résistance de la population arabe, servira d’argument et de prétexte aux agissements de forces diverses, extrémistes notamment. Le meilleur moyen de l’éviter, c’est de parvenir à un règlement juste et total. Dont les bases sont contenues dans les résolutions du Conseil de sécurité de l’ONU. »

Youri Zinine

RIA Novosti

C'etait des alliés commes les russes, mais ils n'etaient pas sur le terrain, arrete de trouver des circonstances attenuantes et creer des mensonges, la coalition arabe s'est prise corrections sur corrections et cela te fait tres tres mal de l'avouer l'etranger :langue::D je sens que tu es enervé la et rageux hahhahaha :D
 
C'etait des alliés commes les russes, mais ils n'etaient pas sur le terrain, arrete de trouver des circonstances attenuantes et creer des mensonges, la coalition arabe s'est prise corrections sur corrections et cela te fait tres tres mal de l'avouer l'etranger :langue::D je sens que tu es enervé la et rageux hahhahaha :D

mdrrrrr,je n'etale que des temoins vivants hnin qui ont fait l histoire,

j'invite les bladinautes de lire mes liens


Et tu verras qui veut passer une propagande ?
Et qui veut et qui cherche la verité historique ?
 
Nasser aveuglé par sa popularité est tombé dans le piège soviétique qui lui garantissait un appui immédiat en cas d'agression israelienne.Kossyguine le fourbe ( quel dirigeant communiste ne l'était pas ? ) lui conseilla la provocation de la fermeture du détroit de Tiran,sachant parfaitement que les Israeliens réagiraient préventivement.Les soviétiques ayant auparavant informé par un canal détourné Israel de l'emplacement et des camouflages de l'aviation egyptienne.
Résultat: Nasser ruinait son pays en l'endettant pour une decennie par l'achat au prix fort de matériel obsolète soviétique.
 
mdrrrrr,je n'etale que des temoins vivants hnin qui ont fait l histoire,

j'invite les bladinautes de lire mes liens


Et tu verras qui veut passer une propagande ?
Et qui veut et qui cherche la verité historique ?

il ne montre en rien qu'il y avait des GI en israel, arrete de dire des mensonges, on sait lire :D
 
Nasser aveuglé par sa popularité est tombé dans le piège soviétique qui lui garantissait un appui immédiat en cas d'agression israelienne.Kossyguine le fourbe ( quel dirigeant communiste ne l'était pas ? ) lui conseilla la provocation de la fermeture du détroit de Tiran,sachant parfaitement que les Israeliens réagiraient préventivement.Les soviétiques ayant auparavant informé par un canal détourné Israel de l'emplacement et des camouflages de l'aviation egyptienne.
Résultat: Nasser ruinait son pays en l'endettant pour une decennie par l'achat au prix fort de matériel obsolète soviétique.

Mdrrrrrr
enfin la bonne source,on prend note,heureusement que tu es là,merci garvin!!!!
 
En 1956 les Arabes etaient colonisés.

enfin tu commences à avouer que la milice sioniste etait protegée par l'occident!!
Allez enccore un effort et avoue que : sont les Americains et les ANglais qui faisaient la guerre et pas la melice

C'est historique...
"Va donc, toi et ton Seigneur, et combattez tous deux. Nous restons là où nous sommes"
 
C'est historique...
"Va donc, toi et ton Seigneur, et combattez tous deux. Nous restons là où nous sommes"



Il y a une polemique qui fait rage chez les nazisioniste cette SEMAINE§§§§§
un document qui etale le comportement des generaux de Tshal pendant la guerre de KIPPOUR





Une 'guerre des généraux' a déchiré Israël durant la guerre de 1973
JERUSALEM - Une "guerre des généraux" avait déchiré Israël au moment où ce pays faisait face à une offensive militaire simultanée de l'Egypte et de la Syrie en octobre 1973, selon des documents déclassifiés publiés mercredi par les médias israéliens.



JERUSALEM - Une "guerre des généraux" avait déchiré Israël au moment où ce pays faisait face à une offensive militaire simultanée de l'Egypte et de la Syrie en octobre 1973, selon des documents déclassifiés publiés mercredi par les médias israéliens.


Ces documents couverts par le secret durant 35 ans rassemblent les témoignages de généraux et responsables politiques ou militaires entendus par la Commission gouvernementale d'enquête Agranat sur les ratés dans la conduite initiale de la "Guerre du Kippour".


"J'ai appelé le commandant de la région militaire sud Shmouel Gonen (...) Je me suis permis de lui dire qu'à mon avis il n'avait pas la moindre idée de ce qui se passait sur le terrain", a ainsi déclaré Ariel Sharon, général de réserve qui venait d'être rappelé pour commander une division sur le front égyptien après avoir été démobilisé trois mois plus tôt.


"Les dommages les plus graves de cette guerre sont dus à l'absence des officiers supérieurs sur le terrain", a-t-il encore dit soulignant que cela a provoqué confusions, tensions et dysfonctionnements, selon ces documents.


A la tête de ses hommes, le général Sharon a de son propre chef franchi le Canal de Suez, réussissant à prendre les troupes égyptiennes à revers.


Le général Gonen a de son côté indiqué à la Commission Agranat: "J'ai fait des copies des enregistrements de mes conversations durant la guerre et je les ai mises à l'abri dans un coffre-fort d'une banque, car j'ai l'intention de les utiliser pour des poursuites judiciaires contre Sharon".
Le général David Elazar, chef d'état-major, a reconnu que lorsque la guerre a éclaté, le samedi 6 octobre, l'état-major est devenu "une maison de fous".


Il a dit avoir voulu mobiliser massivement les réservistes, dont beaucoup en prières dans les synagogues pour le jour du Kippour (la fête juive du Grand Pardon), et s'être heurté au refus du Premier ministre Golda Meïr et à celui du ministre de la Défense Moshé Dayan, le célèbre général borgne.


Ce dernier a plaidé que lors du conflit, il avait depuis longtemps quitté l'uniforme. "Depuis 1967, je n'ai pas du tout mis les pieds à l'armée (...) Je ne suis ni un tankiste, ni un artilleur, ni un parachutiste. Depuis 10 ans, je m'occupais plutôt de politique et de questions liées à la défense".


La Commission Agranat a lavé la classe politique pour les manquements durant la phase préliminaire de la guerre d'octobre 1973, et en a fait assumer la responsabilité à l'armée.


Bien que remportée après de graves revers initiaux par Israël, la guerre israélo-arabe du Yom Kippour continue, 34 ans après, à être vécue comme un traumatisme par l'Etat juif dont le mythe de l'invincibilité militaire avait été ébranlé.


Le conflit est présenté comme une victoire par les Arabes. Il a fait 2.656 morts et 7.250 blessés dans les rangs israéliens et poussé Golda Meïr et le général Elazar à la démission.
Six ans après ce conflit, l'Egypte a été le premier pays arabe à signer un traité de paix avec Israël en 1979.

©AFP
 
Letranger porte bien son pseudo .Il est étranger à toute autre opinion que la sienne,qui nourrit son obsession de la destruction d'Israel.Un peu contrariée il est vrai par la réalité.Alors il croit que ses néologismes donnent un peu de consistance à ses fantasmes .Qu'il défend bec et ongles jour et nuit,sentinelle de sa haine morbide et divagatoire.
Une petite pause sur son étrange planète lui ferait beaucoup de bien !!!
 
Letranger porte bien son pseudo .Il est étranger à toute autre opinion que la sienne,qui nourrit son obsession de la destruction d'Israel.Un peu contrariée il est vrai par la réalité.Alors il croit que ses néologismes donnent un peu de consistance à ses fantasmes .Qu'il défend bec et ongles jour et nuit,sentinelle de sa haine morbide et divagatoire.
Une petite pause sur son étrange planète lui ferait beaucoup de bien !!!

Tu peux rajouter aussi communauté juive :langue:
 
Est ce que t as lu le fait historique que j'ai posté?
Je t'invite à le lire gentillement,pose tes deux mains sur ta tete pour reflichir un peu
Avec le temps tu comprendras,il n y a qu'une armée occidentale(mais deguisée en Armée tshaliste)qui fait la guerre aux arabes!!!
L'armée israelien sans les USA,les Anglais et les Français c'est du pipo

et les conseiller sovietiques dans l'armée egyptienne ils servaient à faire joli ?
de plus tu sera gentil de demontrer que des soldats occidentaux etait effectivement et majoritairement engagé dans le conflit...
car il y a une différence entre former une armée et se battre à sa place.
différence que les americains ont franchi au vietnam, mais en 56 ?
 
et les conseiller sovietiques dans l'armée egyptienne ils servaient à faire joli ?
de plus tu sera gentil de demontrer que des soldats occidentaux etait effectivement et majoritairement engagé dans le conflit...
car il y a une différence entre former une armée et se battre à sa place.
différence que les americains ont franchi au vietnam, mais en 56 ?

Ds la rubrique culture,j'ai suggeré un livre tres tres interessant,je te donne les grandes ligne spour comprendre qu Israel n'est qu'un mythe!!!!!





Jonathan Cook, écrivain et journaliste, vit à Nazareth, en Israël. s derniers ouvrages publiés sont : Israel and the Clash of Civilisations : Iraq, Iran and the Plan to Remake the Middle East (éditions Pluto Press) et Disappearing Palestine : Israel’s Experiments in Human Despair (éditions Zed Books).
Vous pouvez consulter son site ouèbe à l’adresse URL suivante : www.jkcook.net




Personne n’est davantage surpris que Shlomo Sand (l’auteur) au constat que sa dernière somme universitaire figure déjà depuis dix-neuf semaine sur la liste des bestsellers israéliens, et qu’un professeur d’histoire comme lui connaisse ainsi un succès sans précédent, en dépit du fait que son ouvrage s’attaque au Tabou des Tabous israéliens...

M. Sand avance que l’idée d’un peuple juif - dont le besoin d’un havre de paix fut utilisé, à l’origine, pour justifier la création de l’Etat d’Israël - n’est qu’un mythe, qui a été inventé voici, de cela, tout juste cent ans...

Spécialiste d’histoire européenne à l’Université de Tel Aviv, M. Sand s’est basé sur une recherche historique et archéologique exhaustive pour étayer non seulement sa propre thèse, mais plusieurs autres - tout aussi rafraîchissantes.



De plus, il avance que les juifs n’ont jamais été exilés de la Terre Sainte, que la plupart des juifs contemporains n’ont aucun lien que ce soit avec la terre appelée Israël et que la seule solution politique du conflit avec les Palestiniens ne peut consister qu’en l’abolition de l’Etat juif.

Le succès de son ouvrage [en hébreu] When and How Was the Jewish People Invented ?
est appelé à se répéter, dans le monde entier.
Une traduction en français [Comment le peuple juif fut inventé [ ?], aux éditions Fayard], mise sur les rayons des librairies au mois de septembre, se vend tellement comme des petits pains qu’elle a déjà dû être rééditée à trois reprises !



D’autres traductions sont en cours, dans une douzaine de langues, dont l’arabe et l’anglais. Mais l’auteur a d’ores et déjà prédit une réaction violente du lobby pro-israélien, quand l’ouvrage sera lancé aux Etats-Unis, l’année prochaine, par Verso, son éditeur en langue anglaise.


Par contraste, explique-t-il, les Israéliens se sont montrés, sinon carrément des fans, tout au moins curieux de connaître son argumentation.

Tom Segev, un des journalistes les plus en vue du pays, a qualifié l’ouvrage de « fascinant et (positivement) provocateur ».

Etonnamment, poursuit M. Sand, la plupart de ses collègues universitaires, en Israël, se sont gardés de réfuter ses arguments, une des rares exceptions étant Israel Bartal, professeur d’histoire juive à l’Université Hébraïque de Jérusalem.

S’exprimant dans les colonnes du quotidien israélien (‘progressiste’, ndt) Haaretz, M. Bartal s’est très peu attaché à réfuter les affirmations de M. Sand ; il a consacré le plus gros de son article, en lieu et place, à une défense et illustration de sa profession, suggérant que les historiens israéliens ne sont pas aussi ignorants au sujet du caractère totalement fictionnel de l’histoire juive que le prétend M. Sand.

M. Sand explique que l’idée d’écrire ce livre lui est venue il y a plusieurs années, mais qu’il a attendu jusqu’à tout récemment pour s’y consacrer pleinement.

« Je ne saurais prétendre faire preuve d’un courage particulier en publiant ce livre, aujourd’hui », a-t-il déclaré.

« J’ai attendu d’être titulaire d’une chaire universitaire : vous savez, dans le monde universitaire israélien, avant de pouvoir exprimer des opinions telles que celles-là, il y a un ticket à payer ! »

Exactement de la même manière, l’idée sioniste contemporaine selon laquelle les juifs se devraient de « revenir » de leur soi-disant « exil » [de la diaspora, ndt] en Terre Promise est totalement étrangère au judaïsme, a ajouté M. Sand.

« Le sionisme a totalement modifié la vision de Jérusalem. Auparavant, les lieux saints étaient considérés comme des endroits auxquels le croyant aspirait, mais qu’il n’envisageait en aucun cas d’habiter. Si, durant deux millénaires, les juifs sont restés à l’écart de Jérusalem, ce n’est nullement parce qu’ils ne pouvaient pas matériellement y « retourner », mais bien parce que leur religion, le judaïsme, leur interdisait d’y retourner avant la venue du Messie... »

Au cours de ses recherches, il eut la surprise de sa vie lorsqu’il commença à étudier les vestiges archéologiques remontant à l’ère biblique :

« Je n’avais pas été élevé en sioniste, mais comme tous les autres Israéliens, il était évident pour moi que les juifs étaient un peuple vivant en Judée et qu’ils en avaient été exilés par les Romains, en l’an 70 de l’ère chrétienne...

« Mais ayant commencé à étudier les indices archéologiques, j’ai découvert que tant le royaume de David que celui de Salomon étaient purement légendaires !

« Itou, en ce qui concerne l’exil. De fait, vous ne pouvez expliquer ce qu’est la judaïté, s’il n’y a pas d’exil. Mais, m’étant mis en quête d’ouvrages historiques décrivant les circonstances dudit exil, je n’en ai trouvé aucun ! Pas un seul !!

"Pour la bonne raison que les Romains n’ont exilé strictement aucun des peuples dont ils avaient conquis le territoire. En réalité, les juifs vivant en Palestine étaient dans leur écrasante majorité des paysans, et toutes les preuves archéologiques suggèrent qu’ils étaient restés sur leurs terres."

En revanche, M. Sand adhère à une théorie alternative, davantage plausible : l’exil a été un mythe, répandu par les premiers chrétiens, afin de convertir des juifs à la nouvelle religion : « Les chrétiens voulaient inciter les dernières générations de juifs, à l’époque, à croire que leurs ancêtres auraient été chassés et exilés par Dieu, qui voulait les punir. »

Bon, alors : s’il n’y a jamais eu d’exil, comment se fait-il donc que de si nombreux juifs aient fini par se retrouver dispersés sur toute la planète Terre, avant que l’Etat d’Israël, à l’époque contemporaine, n’eut commencé à les encourager à « revenir » ?

M. Sand explique que, durant les siècles ayant immédiatement précédé, et suivi, l’apparition du christianisme, le judaïsme était une religion pratiquant un prosélytisme intensif, littéralement en proie à une fringale de conversions : "La littérature latine de l’époque mentionne constamment ce phénomène".

Des juifs se rendirent ainsi dans d’autres régions, dont ils cherchèrent à convertir les habitants, en particulier au Yémen, et parmi les tribus berbères de l’Afrique du Nord. Plusieurs siècles plus tard, le peuple du Royaume khazar, au Sud de la Russie actuelle, allait se convertir en bloc au judaïsme, donnant ainsi naissance aux juifs ashkénazes d’Europe centrale et orientale.

Ynet, le site ouèbe du quotidien Yediot Ahronot, le plus diffusé en Israël, a souligné cette histoire : « Des archéologues russes ont retrouvé la capitale juive, recherchée depuis des siècles ! » Et pourtant, aucun journal israélien, précise M. Sand, n’a pris conscience du fait que cette découverte cruciale remettait en cause tous les récits standards de l’histoire juive...

Autre question corollaire, suscitée par le récit de M. Sand, et qu’il pose lui-même : « Si, dans leur écrasante majorité, les juifs n’ont jamais quitté la Terre Sainte, alors, que sont-ils devenus ? »
 
"On ne l’enseigne pas dans les écoles israélienne, mais la plupart des pionniers du sionisme, dont David Ben Gurion [le premier Premier ministre israélien], étaient persuadés que les Palestiniens étaient les descendants des juifs authentiques ayant vécu en Palestine. Ils étaient convaincus que les juifs, bien des siècles s’étant écoulés, s’étaient convertis à l’Islam."

M. Sand attribue la réticence dont font montre ses collègues à avouer qu’ils sont d’accord avec lui au fait que cela reviendrait, pour eux, à reconnaître implicitement, comme énormément de monde, que tout l’édifice de la soi-disant « histoire juive » enseignée dans les universités israéliennes n’est qu’un château de cartes.

Le problème fondamental de l’enseignement de l’histoire en Israël, explique M. Sand, remonte à une décision prise dans les années 1930, de faire éclater l’histoire en deux disciplines : l’histoire générale, d’un côté, et l’histoire juive, de l’autre. L’"histoire juive" était censée justifier qu’on y consacrât une chaire universitaire à part, au motif que l’expérience historique juive était considéré comme « unique » en son genre...

"Dans nos universités, en Israël, il n’y a pas de faculté de science politique juive, ou de sociologie juive ! Seule l’histoire set ainsi enseignée de cette façon, et cela a permis à des spécialistes ès-histoire juive de vivre dans un monde parfaitement insulaire et conservateur, où ils sont totalement à l’abri des découvertes (dérangeantes, pour eux) de la recherche historique...

"On m’a critiqué, en Israël, parce que j’ai écrit au sujet de l’histoire juive, alors que ma spécialité, c’est l’histoire européenne. Mais un livre tel que celui-ci a besoin d’un historien auquel soient familiers les concepts de l’investigation historique validés, reconnus et utilisés par le monde académique du reste du monde"
 
En octobre 1973, l'armée egyptienne passe le canal de Suez pour récupérer le Sinaï.
Une heure avant l'attaque, des soldats egyptiens jouent au footbal sous le nez des guetteurs de Tsahal, quant à l'Etat major égyptien il a embarqué dans un avien pour le pélerinage à la Mecque sous le feu des caméras (pour faire demi-tour une fois que le Mossad ait été convaincu de ce départ).

La surprise est totale. Les valeureux soldats égyptiens défoncent les défense israéliennes.
Il faudra un pont aérien sans précédent depuis la seconde guerre mondiale pour que Tsahal puisse refaire surface.

Allah Oukbar !

J'aurai voulu etre vivant pour voir sa, l'armée egyptienne a reussi a les éliminer qu'est ce que sa sera si TOUT LES ARABES se mettent dessus...

Yarabi j'espere vivre assez longtemps pour voir ce jour se réaliser Incha3lah !
 
Allah Oukbar !

J'aurai voulu etre vivant pour voir sa, l'armée egyptienne a reussi a les éliminer qu'est ce que sa sera si TOUT LES ARABES se mettent dessus...

Yarabi j'espere vivre assez longtemps pour voir ce jour se réaliser Incha3lah !

Bah on a vu toutes les armées arabes ensembles contre israel, on a vu ce que cela donnait :D defaites sur defaites et humilations, je n'ose meme pas imaginer juste une armée....Ce sera plus la guerre des 6 jours, mais des 6 h :D
 
Bah on a vu toutes les armées arabes ensembles contre israel, on a vu ce que cela donnait :D defaites sur defaites et humilations, je n'ose meme pas imaginer juste une armée....Ce sera plus la guerre des 6 jours, mais des 6 h :D


mdrrrrrrrrrrrrrr

tu peux nous dire combien de secondes les tshalistes ont balayé trois libanais en juillet 2006?
Et pourtant Nassrallah,n'est ni une armée ni etat!!!!
Vas y ,on va ecouter tes analyses pour rigoler un peu?
 
Bah on a vu toutes les armées arabes ensembles contre israel, on a vu ce que cela donnait :D defaites sur defaites et humilations, je n'ose meme pas imaginer juste une armée....Ce sera plus la guerre des 6 jours, mais des 6 h :D

Quand la volonté y est, c'est autre chose, même limités numériquement... (2006)
 
Quand la volonté y est, c'est autre chose, même limités numériquement... (2006)

Israël a il perdu cette guerre ? a il perdu plus de combattants que le shezbollah ? a il eu plus d'infrastrcutures detruites ?

Il faut faire la part entre victoire militaire , et achevement politique,

Oui tu as raison , cette guerre n'etait pas prioritaire et decisive, malgre tt quand la securite d'israel est en danger, il ne vaut mieux pas etre l'adversaire d'israel....:rolleyes:
 
Bah on a vu toutes les armées arabes ensembles contre israel, on a vu ce que cela donnait :D defaites sur defaites et humilations, je n'ose meme pas imaginer juste une armée....Ce sera plus la guerre des 6 jours, mais des 6 h :D

Cé pa trés marrant...

Ta rien vu du tout, le liban,l'egypte,la syrie et l'Irak cé pas sa lé pays Arabes...

Le jour ou Le Maroc, l'Algerie, la Tunisie, la Lybie,L'Egypte,Le Liban,L'iRAK,la Syrie,la Jordanie,L'Arabie Saoudite,Le Yemen, l"Iran et les Palestiniens enveront leur Armée je te le jure a moins que vous appelez toutes les Armées du Monde a la rescousse plus jamais vous ne reverrez de votre vie la Palestine ;)

Vous pourrez aller en Angola comme on vous la proposé au Début, en tout cas votre billet est grillé partout ou vous irez !
 
Cé pa trés marrant...

Ta rien vu du tout, le liban,l'egypte,la syrie et l'Irak cé pas sa lé pays Arabes...

Le jour ou Le Maroc, l'Algerie, la Tunisie, la Lybie,L'Egypte,Le Liban,L'iRAK,la Syrie,la Jordanie,L'Arabie Saoudite,Le Yemen, l"Iran et les Palestiniens enveront leur Armée je te le jure a moins que vous appelez toutes les Armées du Monde a la rescousse plus jamais vous ne reverrez de votre vie la Palestine ;)

Vous pourrez aller en Angola comme on vous la proposé au Début, en tout cas votre billet est grillé partout ou vous irez !

Egypte a participé , tout comme hezbolah libanais, irak a deja envoye des scud, syrie aussi, jordanie aussi, arabe saoudite fidele alie israelien, yemen : pauvres, iran : pas arabe, et trop loins mais financent hezbolah

Oui oui bien sur et la marmotte elle met le chocolat dans le papier d'allu
L'algerie a voulu participer on a vu que ca a donné, ca a calmé certaines ardeurs, les pays que tu me cite sont soit des pays des tiers du monde soit des pays completement en crise et qui nt autre chose a faire que la guerre (encore faudrait il qu'ils aient des armes, et non des pelles et des rateaux....)
 
Cé pa trés marrant...

Ta rien vu du tout, le liban,l'egypte,la syrie et l'Irak cé pas sa lé pays Arabes...

Le jour ou Le Maroc, l'Algerie, la Tunisie, la Lybie,L'Egypte,Le Liban,L'iRAK,la Syrie,la Jordanie,L'Arabie Saoudite,Le Yemen, l"Iran et les Palestiniens enveront leur Armée je te le jure a moins que vous appelez toutes les Armées du Monde a la rescousse plus jamais vous ne reverrez de votre vie la Palestine ;)

Vous pourrez aller en Angola comme on vous la proposé au Début, en tout cas votre billet est grillé partout ou vous irez !

Trop tard pour l'angola,retour à l'envoyeur,c'est à dire ,ils retournent en pologne,hongrie,russie,londre,paris...............
 
Trop tard pour l'angola,retour à l'envoyeur,c'est à dire ,ils retournent en pologne,hongrie,russie,londre,paris...............

mais ça c'est dans tes reves les plus profonds :D

Dommage il ne se realisera pas

l'algerie a plus de chances de redevenir français qu'israel de perdre meme une region importante :D
 
mdrrrrrrrrrrrrrr

tu peux nous dire combien de secondes les tshalistes ont balayé trois libanais en juillet 2006?

tu veut dire quand ils ont tranquillement detruit toutes les infrastructures du liban ?
quelle victoire pour le Hezbollah d'avoir reussi a ramener le pays au niveau qu'il avait dix ans avant....
si, si, bravo....
 
Egypte a participé , tout comme hezbolah libanais, irak a deja envoye des scud, syrie aussi, jordanie aussi, arabe saoudite fidele alie israelien, yemen : pauvres, iran : pas arabe, et trop loins mais financent hezbolah

Oui oui bien sur et la marmotte elle met le chocolat dans le papier d'allu
L'algerie a voulu participer on a vu que ca a donné, ca a calmé certaines ardeurs, les pays que tu me cite sont soit des pays des tiers du monde soit des pays completement en crise et qui nt autre chose a faire que la guerre (encore faudrait il qu'ils aient des armes, et non des pelles et des rateaux....)


On a jamais nié que les Arabes ont perdu contre les occidentaux et pas contre l'entité sioniste
Ton probleme,tu veux donner de l'importance et tu veux doper le role de la milice sioniste,voilà pourquoi le debat est tronqué
 
On a jamais nié que les Arabes ont perdu contre les occidentaux et pas contre l'entité sioniste
Ton probleme,tu veux donner de l'importance et tu veux doper le role de la milice sioniste,voilà pourquoi le debat est tronqué

Bah Israel etait aidé , tout comme palestine etait aidé de nbrx pays arabes et de l'urss, mais sur le terrain ceux qui suaient c'etait des soldats israeliens, pas français coco :D
 
Egypte a participé , tout comme hezbolah libanais, irak a deja envoye des scud, syrie aussi, jordanie aussi, arabe saoudite fidele alie israelien, yemen : pauvres, iran : pas arabe, et trop loins mais financent hezbolah

Oui oui bien sur et la marmotte elle met le chocolat dans le papier d'allu
L'algerie a voulu participer on a vu que ca a donné, ca a calmé certaines ardeurs, les pays que tu me cite sont soit des pays des tiers du monde soit des pays completement en crise et qui nt autre chose a faire que la guerre (encore faudrait il qu'ils aient des armes, et non des pelles et des rateaux....)

Tu peux les sous estimer cé pas grave, l'Iran je lé mis parmi nous packe cé vos amis intimes, je ne pouvais pas les oublier...

Bah en tout cas le Yemen il a pas été trop pauvres pour virer plusieur milliers de tes concitoyens y a pas lgtps qui "appeurés,affollés" (cé cke disai l'article) se sont enfui...

Enfin brf croi le ou pas le jours ou les Arabes et les Iraniens s'investiron vraiment dans ce probleme vous ne pourrez absolument rien faire, la reserve humaine est bcp trop importante ainsi que les moyens dont disposent cé pays aussi, meme si l'Arabie Saoudite n'y participe pas millitairement tu peux etre sur que financierement ils seront trés actif

Apré si sa peux te permettre de te sentir protégé de nier l'évideance libre a toi mais on échappe pas a son destin...

Sa prendra le temps qu'il faudra mais sa arrivera !
 
Retour
Haut