Par amour, jusqu'ou iriez vous?

le mariage pur moi c'est l'amour ! ça va ensemble ! :rouge:
donc c'est pas assez, je m'en doutais ! :(

et si l'amour n'existe pas...........on fait comment pour se marier ????

mdrrrrr.............
la question "Par amour,jusqu'où iriez-vous?" ,ne demandait pas spécialement un moyen de transport.....donc le changement de pays n'est pas utile !! un simple pas suffisait !
 
et si l'amour n'existe pas...........on fait comment pour se marier ????

mdrrrrr.............
la question "Par amour,jusqu'où iriez-vous?" ,ne demandait pas spécialement un moyen de transport.....donc le changement de pays n'est pas utile !! un simple pas suffisait !

on smari pas ! en tout cas je me marie pas !

tu veux dire que quitter ma maison c'est amplement suffisant ??? :D
 
tout d'abord, je comprends ta position, qui ne me parait pas incongrue, qui démontre une certaine expérience, et que je pourrais moi meme adopter, si ce n'était mon caractère dépourvu de discipline émotionnelle.
ce n'est pas si pessimiste, mais je trouve que cela relève plus d'un certain pragmatisme, que du réalisme, car raisonner ses émotions tel que tu l'exposes, risque de te faire passer à côté de l'essentiel...il te sera difficile de t'engager dans cette voie, sans risquer de te renfermer, et d'oublier à aimer..

la souffrance n'est plus des lors qu'on s'autorise à aimer à nouveau..
la souffrance est un épouvantail, qui nous menace en ce monde, quelque soit notre attitude, car elle fait partie de notre existence, elle est notre existence.
dans cette déchéance que nous vivons, et dont nous espérons etre libérés, seul le sentiment d'aimer nous sublime à la vie réellement

je n'ai pour ma part aucune crainte à souffrir, et à "souffrir" l'existence comme elle vient. par la meme, je crois en la grace de Dieu, je l'espere à chaque instant, et je crois en la grace de l'amour, et je l'espere à chaque instant.

nous sommes tous dignes d'amour, la nature humaine est ainsi faite qu'elle se persuade du contraire.
un peu comme une femme qui doutera toujours quand elle entend je t'aime
un peu comme un homme qui pensera toujours l'avoir mal dit
Génétiquement, l’amour est gravé au fond de nous. Et en se déracinant de ce sentiment, on va sans doute perdre notre équilibre et notre joie de vivre. L’amour est la raison de notre existence sur terre. Il est l’Idée qui a donné naissance à la création de l’espèce humaine. L’amour, c’est la vie. Il est l’oxygène qui nous maintient sur vie et la lumière qui rayonne notre chemin sur terre. Et sans amour, on ne peut qu’être des morts-vivants.

Mais l’amour a des limites. Et toute bonne chose devient mauvaise et nuisible quand elle dépasse ses limites. Et la sagesse implique qu’on trace des limites à cet amour afin qu’il reste toujours « source de bonheur » et qu’il ne se transforme jamais à une « source de malheur ».

L’amour quand il est modéré, il ne peut qu’être bénéfique à la nature humaine. Mais quand il dépasse ses limites, il commence à nuire aux amoureux et représente un danger à la stabilité et aussi la sécurité sociale.

A l’encontre de l’école sentimentaliste qui croit que l’amour est une attitude psychique « incontrôlable » qui domine notre pensée et qui détermine nos attitudes comportementales, moi, j’adhère à l’école matérialiste qui pense que l’amour est une attitude cognitive « maîtrisable » qui commande et oriente nos attitudes psycho-comportementales.

Dès que l’organisme rentre en contact avec ce stimulus extérieur que nous qualifions « femme », il entre dans la phase du traitement sensoriel. Captée par les récepteurs sensoriels, transmise par des voies directes et croisées, l’image de la femme arrive à l'écorce cérébrale qui va l'analyser puis transmettre les réponses et le résultat adoptés aux autres organes. Le résultat de cette analyse cognitive et les réponses transmises aux autres organes donnent lieu à différentes attitudes psychiques (colère, peur, angoisse, joie, sympathie, chagrin, antipathie, etc.), somatiques (troubles du rythme cardiaque, tremblements, rougeurs, sueurs, sourire, larmes, déséquilibres hypothalamiques, etc.), et comportementales (amour, approchement, haine, éloignement, etc.), qui varient selon la nature et la qualité de la femme perçue et qui sont étroitement liées à des patterns comportementaux programmés selon le code génétique de l'espèce humaine ou selon la nature de l'acculturation que l'être humain a reçu.

L’acculturation, cher IbnouCid, a fait de moi un être qui aime (presque) toutes les femmes, mais qui ne s’attache jamais à une d’elles. A force d’observer le nombre des hommes qui souffrent à cause de la perte de leur amour et à force d’écouter, partager, ressentir, et vivre leurs chagrins et leurs malheurs, je me suis cultivé une personnalité qui voit l’amour en rose et l’attachement en noir. A force d’observer des hommes qui trouvent dans le machisme et le sexisme un moyen pour venger leurs chagrins d’amour, d’autres qui s’oublient dans l’alcoolisme et le balancement d’une nana à l’autre, je me suis forgé un caractère qui ne s’attache pas à la gente féminine.

Par conformité anticipatrice, je me conforme aux normes sociales. Je fréquente les femmes comme le reste des hommes. Je fais mon maximum possible pour lui apporter le bonheur que ça soit par les blablas d’amour, les gestes romantiques, l’assouvissement de sa soif charnelle, etc. Mais je ne m’attache pas. Comme ça, si elle parte un jour (à cause de sa volonté ou à cause d’un Destin qui est plus fort que nous deux), moi, je ne vais pas souffrir à cause de sa perte, ma vie ne se déstabilisera pas, ma machine ne s’arrêtera pas, et j’aurais la possibilité de passer facilement à une nouvelle chose.
 
Génétiquement, l’amour est gravé au fond de nous. Et en se déracinant de ce sentiment, on va sans doute perdre notre équilibre et notre joie de vivre. L’amour est la raison de notre existence sur terre. Il est l’Idée qui a donné naissance à la création de l’espèce humaine. L’amour, c’est la vie. Il est l’oxygène qui nous maintient sur vie et la lumière qui rayonne notre chemin sur terre. Et sans amour, on ne peut qu’être des morts-vivants.

Mais l’amour a des limites. Et toute bonne chose devient mauvaise et nuisible quand elle dépasse ses limites. Et la sagesse implique qu’on trace des limites à cet amour afin qu’il reste toujours « source de bonheur » et qu’il ne se transforme jamais à une « source de malheur ».

L’amour quand il est modéré, il ne peut qu’être bénéfique à la nature humaine. Mais quand il dépasse ses limites, il commence à nuire aux amoureux et représente un danger à la stabilité et aussi la sécurité sociale.

A l’encontre de l’école sentimentaliste qui croit que l’amour est une attitude psychique « incontrôlable » qui domine notre pensée et qui détermine nos attitudes comportementales, moi, j’adhère à l’école matérialiste qui pense que l’amour est une attitude cognitive « maîtrisable » qui commande et oriente nos attitudes psycho-comportementales.

slt marxIslam.

C'est pas faux ce que tu dis, trop d'amour, tue l'amour...

mais j'ai l'impression que tu es resté sur une impression, une mauvaise expérience...

On idéalise trop l'amour, mais il ne faut pas se leurrer, on peux aimer différentes personnes dans notre vie, mais l'amour que l'on a pour ces personnes diffère....et le grand amour, on peux peut-être le croiser une fois ou deux(qq fois jamais)mais le reste du temps, l'amour j'ai envie de te dire reste "supportable"

quand je te lis, j'ai l'impression que tu te préserve parce que tu as peur, surement une relation difficile dans le passé comme on en a eu tous, et tu pense du coup qu'aimer à nouveau risque de te détruire, te faire vaciller...

le probléme(et là je ne veux pas te démoraliser lol)et qu'il se pourrait très bien que tu aime qq'un à nouveau, mais que l'amour ne soit pas aussi fort que la première fois...la relation que tu peux avoir avec l'autre peut-être basé sur autre chose que la"passion"est dans ce cas tant mieux...c'est supportable au cas où...
Et puis de toute façon suite à une rupture difficile, inconsciemment, on tends à mettre de la distance avec l'autre afin que la passion ne puisse jamais s'installer.

Je comprends tout à fait ce que tu veux dire, pour avoir connu un très grand amour (qui forcément s'est mal terminé lol), si demain la grande passion se représente à moi, je crois que j'y réfléchirai à deux fois et il y'a de fortes chances que je la fuis, je préfère privilégier une relation d'amour toujours, mais un peu moins forte que la passion...si demain ma moitié me quitte je sais que ça me fera mal, mais pas autant que la première fois, et c'est un choix que j'ai fait...je ne voulais pas plus d'amour...ce que j'ai me suffit, forcément en comparaison avec le premier grand amour, c'est différent mais j'ai fait le choix de me préserver...

Une telle relation est beaucoup plus sereine au quotidien, pas de passion ça veut dire aussi moins de prises de têtes...mais on ne peux pas avoir les deux, et la passion et la sérénité...

Je conçois que ce que je dis peux surprendre, mais à partir du moment ou les deux personnes dans le couple sont d'accord sur le principe et en parlent, ça se passe très bien..

mais je ne doute pas qu'un jour, tu puisse trouver aussi cet équilibre...(enfin ton propre équilibre) ;)

Voilà, j'avais envie de partager avec toi un petit bout de ma vie(chose que je ne fais jamais sur bladi mais là j'étais inspirée) Lol
 
non, je n'ai pas compris .....mais peu importe ce qui compte c'est l'Amour ! ; )
et toi , par Amour tu irais loin ....c'est formidable !!

cet amour serai mélangé a de l' égoïsme. il lui faut un autre ingrédient pour qu' il soit plus formidable encore. lequel?



meme pas l'aide de son mari ??


tout dépends de la situation du couple, si les deux travaillent: taches partagés, sinon celui qui travail pas n' as pas besoins d' être aidé, sauf dans certains cas.
 
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