Paris : attentats terroristes - novembre 2015

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Omar est le vigile du Stade de France qui a empêché l’un des terroristes de rentrer.

Ce Marocain de 32 ans refuse l’entrée à Bilal Hadfi, l'un des kamikazes du Stade de France qui s’est alors fait exploser devant ses yeux.
Il a aussi été témoin de la mort de Manuel Dias, la seule victime des terroristes à Saint-Denis.
Des visions d’horreur qui le hantent encore aujourd’hui. Il s'est confié au micro de BFMTV.
http://www.msn.com/fr-fr/video/actu...t-je-nai-pas-pu/vi-BBpF4w3?ocid=mailsignoutmd

mam
 
l'intrigant séjour de Brahim Abdeslam en Syrie

(...)La justice belge a d'ailleurs lancé une commission rogatoire internationale auprès des autorités marocaines afin que ces dernières retracent les éventuels déplacements de Brahim Abdeslam durant ses séjours.
D'après nos informations, le trentenaire avait justifié ses voyages marocains par un projet de mariage à Nador, où réside une partie des membres de sa famille. Selon son entourage, qui a toujours affirmé n'avoir jamais décelé sa radicalisation, Brahim était toutefois toujours accompagné par des proches lors de ces séjours.
Il n'aurait jamais pris l'avion seul. Dès lors, a-t-il pu effectuer un ou plusieurs aller-retours sans éveiller le moindre soupçon? (...)
Selon un collectif d'activistes anti-djihadistes, la séquence a été tournée dans un camp d'entraînement de Daech situé au nord de Raqqa et baptisé Division 17.
Des dunes de sable sont visibles. "Nous savons qu'il n'a fait qu'un bref séjour en Syrie, une semaine, peut-être dix jours, souligne notre source policière belge. Abdeslam y a reçu une formation sommaire: tir au fusil automatique, maniement de grenades.... Alors que d'autres auteurs des attentats de Paris sont restés beaucoup plus longtemps dans les mains des instructeurs djihadistes."
Le voyage a été suffisamment court pour qu'il n'alerte ni sa famille, qui a l'habitude de le voir partir quelques jours, ni les services de renseignement belge. Brahim Abdeslam était surveillé mais n'était pas considéré comme un individu particulièrement dangereux. (...)

les détails sur http://www.lexpress.fr/actualite/so...jour-de-brahim-abdeslam-en-syrie_1765880.html

mam
 
Menaces contre le Bataclan :
les familles veulent éclaircir les liens avec les attentats du Caire de 2009

Des familles de victimes de l'attentat du Caire de 2009 veulent interroger la justice sur un vieux projet d'attaque visant le Bataclan qui pourrait selon elles apporter un nouvel éclairage à une enquête « encalminée ». Le 22 février 2009, une bombe rudimentaire explosait à proximité d'un groupe de lycéens français, près de la mosquée Al-Hussein, tuant Cécile Vannier, 17 ans, et blessant 24 personnes, dont 17 Français

Très vite, les autorités égyptiennes avaient arrêté sept personnes dont une Française d'origine albanaise, radicalisée et arrivée en Égypte en 2005, Dude Hoxha, seule mise en examen en France dans ce dossier, pour un soutien financier présumé aux commanditaires de l'attentat. Depuis, les circonstances de l'attaque n'ont jamais été élucidées.

Le troublant Farouk Ben Abbes
« C'est un dossier encalminé », dénonce Me Antoine Casubolo Ferro, avocat de l'Association française des victimes du terrorisme (AFVT), qui organise avec des familles de victimes et leurs avocats une conférence de presse lundi. Leur objectif : appeler la justice à « reconsidérer l'enquête sur Le Caire à la lumière des investigations sur les attentats du 13 novembre 2015 », car, selon l'avocat, « des liens existent ».
Les victimes s'interrogent sur le rôle d'un Belge d'origine tunisienne, Farouk Ben Abbes, qui a été mis en examen dans une enquête ouverte en parallèle en juillet 2010 sur un projet d'attentat visant à Paris la salle de spectacle du Bataclan, avant un non-lieu en septembre 2012 faute de « charges suffisantes ». Selon une source proche du dossier, l'enquête avait permis d'établir son « ancrage (...) dans la mouvance djihadiste armée ».

Le Bataclan déjà visé par un projet d'attentat Le Belge entretenait également des liens avec Fabien et Jean-Michel Clain, figures du djihadisme français dont les voix sont reconnaissables dans la revendication des attentats du 13 novembre. À l'époque, la Française arrêtée après l'explosion au Caire avait raconté aux enquêteurs français avoir entendu que Ben Abbes « préparait un projet d'attentat contre la salle du Bataclan à Paris », rapporte une source proche du dossier. Mais ce témoignage n'a jamais pu être étayé.
« Le 13 novembre 2015, les menaces répétées contre la salle du Bataclan sont devenues une terrible réalité et imposent de répondre aux questions posées par les familles des victimes de l'attentat du Caire », fait valoir l'AFVT dans un communiqué. C'est dans cette optique que l'avocat de la famille de Cécile Vannier, Me Olivier Morice, a demandé en décembre au juge d'instruction que soit versée à l'enquête tentaculaire sur les tueries de novembre la procédure sur l'attentat du Caire, complétée depuis cet été par celle du projet d'attaque visant le Bataclan. La demande a été acceptée, selon l'avocat.

le point

mam
 
Omar est le vigile du Stade de France qui a empêché l’un des terroristes de rentrer.

Ce Marocain de 32 ans refuse l’entrée à Bilal Hadfi, l'un des kamikazes du Stade de France qui s’est alors fait exploser devant ses yeux.
Il a aussi été témoin de la mort de Manuel Dias, la seule victime des terroristes à Saint-Denis.
Des visions d’horreur qui le hantent encore aujourd’hui. Il s'est confié au micro de BFMTV.
http://www.msn.com/fr-fr/video/actualite/attentats-de-paris-il-était-coupé-en-deux-il-me-demandait-de-laider-et-je-nai-pas-pu/vi-BBpF4w3?ocid=mailsignoutmd

mam
Combien de morts supplémentaires a-t-il empêché ? J'espère qu'il ne gardera pas trop de séquelles. Ce gars a sauvé des vies. Merci à ce héros.
 
Menaces contre le Bataclan :
les familles veulent éclaircir les liens avec les attentats du Caire de 2009

Des familles de victimes de l'attentat du Caire de 2009 veulent interroger la justice sur un vieux projet d'attaque visant le Bataclan qui pourrait selon elles apporter un nouvel éclairage à une enquête « encalminée ». Le 22 février 2009, une bombe rudimentaire explosait à proximité d'un groupe de lycéens français, près de la mosquée Al-Hussein, tuant Cécile Vannier, 17 ans, et blessant 24 personnes, dont 17 Français

Très vite, les autorités égyptiennes avaient arrêté sept personnes dont une Française d'origine albanaise, radicalisée et arrivée en Égypte en 2005, Dude Hoxha, seule mise en examen en France dans ce dossier, pour un soutien financier présumé aux commanditaires de l'attentat. Depuis, les circonstances de l'attaque n'ont jamais été élucidées.

Les victimes s'interrogent sur le rôle d'un Belge d'origine tunisienne, Farouk Ben Abbes, qui a été mis en examen dans une enquête ouverte en parallèle en juillet 2010 sur un projet d'attentat visant à Paris la salle de spectacle du Bataclan, avant un non-lieu en septembre 2012 faute de « charges suffisantes »:prudent:. Selon une source proche du dossier, l'enquête avait permis d'établir son « ancrage (...) dans la mouvance djihadiste armée ».

Le Bataclan déjà visé par un projet d'attentat Le Belge entretenait également des liens avec Fabien et Jean-Michel Clain, figures du djihadisme français dont les voix sont reconnaissables dans la revendication des attentats du 13 novembre. À l'époque, la Française arrêtée après l'explosion au Caire avait raconté aux enquêteurs français avoir entendu que Ben Abbes « préparait un projet d'attentat contre la salle du Bataclan à Paris », rapporte une source proche du dossier. Mais ce témoignage n'a jamais pu être étayé.:prudent:

le point

mam

Le Bataclan a été cité ...pas l'Olympia, ni l'Opéra...mais bien le Bataclan !
 
Un Algérien résidant en Belgique soupçonné de liens avec les attaques djihadistes du 13 novembre à Paris a été arrêté mardi en Algérie, a annoncé samedi le parquet de Béjaïa (est d'Alger).

Le suspect a été placé en détention préventive à Akbou, dans le département de Béjaïa (250 km à l'est d'Alger), a précisé le parquet dans un communiqué cité par l'agence de presse APS.

Le parquet indique que ce ressortissant algérien est soupçonné d'avoir eu « des liens avec les attentats terroristes de Paris perpétrés en novembre dernier ». L'homme a été arrêté à la suite d'informations faisant état de « sa possible implication dans des activités terroristes et son éventuelle appartenance à un groupe terroriste (actif) à l'étranger », ajoute-t-on.
Un proche d'Abaaoud Le suspect s'est livré de lui-même en répondant à une convocation du juge d'instruction du tribunal d'Akbou, a ajouté le parquet, sans dévoiler l'identité du suspect et son rôle présumé dans ces attentats.

Selon le quotidien Le Soir d'Algérie, il s'agit de Zouhir Mehdaoui, âgé de 29 ans, qui a quitté l'Algérie en 2012 à destination de la Turquie.

Présenté comme un proche d'Abdelhamid Abaaoud, cerveau présumé des attaques de Paris, Zouhir Mehdaoui a séjourné ensuite en Grèce, avant de s'établir près de Bruxelles où il a épousé une Belge en 2014, a précisé Le Soir.

http://www.lepoint.fr/justice/atten...9RYqbDkANmLbfaOKBGLHYsQk1hBsMh+oD#xtor=EPR-6-[Newsletter-Mi-journee]-20160228

mam
 
C’est une vidéo qui aurait mis la puce à l’oreille des autorités algériennes. Diffusées en boucle sur la chaîne France 24 pendant les attentats de novembre, les images tournées en Syrie montraient Abdelhamid Abaaoud, installé dans une voiture et échangeant avec la personne derrière la caméra. A ses côtés, à la place du chauffeur, une autre personne souriante, Zouhir Mehdaoui, selon la police algérienne.

(...)En dépit de l’assurance des autorités consulaires, il fait un passage à la gendarmerie nationale de sa région, une fois arrivé. Il est entendu sur procès-verbal et libéré dans la foulée.
Le lendemain pourtant, il reçoit une convocation l’enjoignant à se présenter devant le procureur de la république d’Akbou, à Bejaïa.
Il a été aussitôt entendu et mis en détention préventive pour enquête.
Ce proche précise encore une fois: «Il n’a jamais fui. C’est lui qui se rendait par lui-même à chaque reprise», confie-t-il au même journal, insinuant que le jeune, confiant, n’avait rien à se reprocher.
(...)famille du prévenu, qui affirme ne pas reconnaître son fils dans la vidéo de Daesh et nie tout. «Les yeux de l’accompagnant d’Abaaoud étaient marron. Ceux de Zouhir sont bleus. De plus, il porte des lunettes de vue et ne possède pas de permis de conduire. Comment se peut-il que ce soit lui?», s’interrogent ses proches, qui ne nient pas que «Zouhir est pratiquant, faisant partie du courant salafiste».

«Zouhir a déposé auprès de la justice tout un dossier démontrant qu’il ne connaissait ni de près ni de loin Abaaoud et qu’il n’avait rien à voir avec Daesh et l’extrémisme qu’il renie d’ailleurs, affirme la famille. Il a présenté des preuves, des numéros de ses amis, l’adresse de son domicile en Belgique, son numéro de sécurité social, un CV et ses comptes Facebook et Twitter.»
(...)Zouhir Mehdaoui devait regagner son domicile belge le 1ermars. Son avocat a demandé sa libération provisoire. Le 8mars, la justice devrait confirmer sa détention ou décider de le laisser libre. Joint par téléphone, un proche de la famille affirme que cette dernière attend sa libération la semaine prochaine.

http://www.msn.com/fr-fr/actualite/...lgérie/ar-BBqm7ck?li=BBoJIji&ocid=mailsignout

mam
 
Attentats du 13 novembre : le mystérieux commando interpellé en Autriche a été identifié
Un mois après les attentats de Paris, deux demandeurs d’asile voyageant avec de faux passeports syriens ont été interpellés, le 10 décembre,dans un centre de réfugiés de Salzbourg, en Autriche, pour possession de faux documents. Rapidement, plusieurs éléments ont conduit les enquêteurs français à les suspecter d’être en lien avec les auteurs des attaques du 13 novembre.
Ces deux hommes constituaient-ils un quatrième commando censé frapper Paris cette nuit-là ou une cellule dormante susceptible de s’activer en Allemagne ? La nature exacte de leur mission n’a pas encore été établie. Malgré leurs mensonges réitérés durant leur garde à vue, les enquêteurs de la direction générale de la Sécurité intérieure (DGSI) sont finalement parvenus à découvrir leur état civil.
Selon les informations du Monde, le premier, qui se faisait appeler Faisal A., s’appelle en réalité Muhammad U. Un renseignement étranger décrit ce Pakistanais de 22 ans comme ayant été « artificier » pour deux groupes djihadistes pakistanais panjabis réputés proches d’Al-Qaida : le Lashkar-e-Jhangvi et le Lashkar-e-Toiba.
Le second, qui se présentait comme Fozi B., ressort de la documentation spécialisée sous l’identité d’Adel H., un Algérien de 28 ans qui aurait rejoint les rangs de l’organisation Etat islamique (EI) en février 2015.
Interpellation pour « possession de faux passeports »
Ces deux hommes sont arrivés sur l’île de Léros, en Grèce, le 3 octobre, parmi un groupe de 199 migrants dans lequel s’étaient glissés les deux kamikazes irakiens du Stade de France, eux aussi porteurs de faux passeports syriens, comme l’avait relaté Le Parisien mi-février.
 
D’après les informations du Monde, Abdelhamid Abaaoud, l’« animateur » des attentats du 13 novembre, a été localisé à Léros durant cette période. Il s’était vanté, quelques jours avant sa mort, d’avoir profité du flux de migrants pourfaire venir « quatre-vingt-dix terroristes » en Europe.
En prenant le contrôle de la ville syrienne de Raqqah, l’EI a mis la main sur un important stock de passeports vierges, qu’elle distribue aux hommes envoyés en mission en Europe. Cette technique d’infiltration avait alerté les services de renseignement au lendemain des attentats de Paris : les dossiers contenant photos et empreintes digitales des 197 migrants ayant accosté à Léros ce jour-là avec les deux kamikazes irakiens de Saint-Denis avaient immédiatement été transmis à l’ensemble des pays européens.
Mais le 3 octobre, lorsque Muhammad U. et Adel H. débarquent en Grèce, les attaques de Paris n’ont pas encore eu lieu et les autorités locales sont débordées par l’afflux de migrants. Les deux hommes sont interpellés pour « possession de faux passeports » et incarcérés jusqu’au 28 octobre, un contretemps qui a pu les empêcher de mener à bien leur mission. A leur sortie de prison, ils font l’objet d’une simple procédure d’expulsion les enjoignant dequitter la Grèce par leurs propres moyens sous trente jours.
Numéro de téléphone turc commun
On retrouve leur trace début décembre en Autriche, où les deux hommes déposent une demande d’asile. La comparaison de leurs empreintes digitales avec celles du contrôle de Léros permet de les confondre. Ils sont à nouveau placés en garde à vue pour possession de faux documents. Dès le lendemain, les magistrats français envoient une commission rogatoire en Autriche afin que les deux hommes soient entendus par la DGSI.
 
Les deux migrants affirment avoir eu pour intention première de refaire leur vie en Allemagne, « un beau pays » où « les gens sont gentils ». Mais, dans leur téléphone, les enquêteurs trouvent deux contacts téléphoniques qui confirment leurs soupçons. Un numéro turc les intéresse particulièrement : il figurait, griffonné, sur un papier froissé retrouvé dans la poche d’un des kamikazes du Stade de France.
Ce numéro apparaît également dans le répertoire d’Omar D., un Belge de 35 ans, proche d’Abdelhamid Abaaoud, interpellé à Athènes le 17 janvier 2015 dans le cadre du démantèlement de la cellule de Verviers, qui projetait un attentat en Belgique.
Lire aussi : Attentats du 13 novembre : où en est l’enquête ?
« Plusieurs hypothèses sont ouvertes, explique une source policière. Soit ces deux faux migrants étaient censés commettre l’attentat prévu le 13 novembre dans le 18e arrondissement, évoqué dans le communiqué de revendication de l’EI, et en ont été empêchés par leur interpellation à Léros ; soit ils constituaient une cellule amenée à agir ultérieurement dans un autre pays de l’UE. »
La justice autrichienne a ouvert à leur encontre une procédure pour appartenance à un mouvement terroriste.
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/attaques-a-pa...ifie_4879074_4809495.html#PJYzzOMcD4esWPhq.99
 
<Un numéro turc les intéresse particulièrement : il figurait, griffonné, sur un papier froissé retrouvé dans la poche d’un des kamikazes du Stade de France>
?

(...)Un autre numéro de téléphone, grec cette fois, attire l'attention des enquêteurs : il a été retrouvé à la fois dans le répertoire d'Omar D.et d'Adel. H(...)
http://actualites.nouvelobs.com/att...vembre-le-mystere-du-commando-autrichien.html

mam
 
Dernière édition:
Jesse Hughes le leader des Eagles of Death Metal, admirateur de Donald Trump et des armes, accuse la sécurité du Bataclan de complicité.

Le leader du groupe Eagles of Death Metal, Jesse Hughes, a lancé des accusations graves contre le Bataclan la nuit dernière sur la chaîne télévisée Fox Business. Selon lui, la salle de concert était au courant du carnage à venir le soir du 13 novembre, qui a fait 90 morts dans la salle.

D'après le chanteur, les terroristes étaient déjà présents dans le Bataclan avant le début du concert, et il a sous-entendu que les agents de sécurité auraient pu être des complices.

"Quand je suis entré dans les coulisses, je suis passé devant un gars qui était censé faire la sécurité et il ne m'a même pas regardé. (...) Je suis directement allé voir le gestionnaire et je lui ai demandé qui était ce type. Je lui ai dit que je voulais qu'on place un autre gars à sa place mais on m'a seulement répondu que d'autres gardes n'étaient pas encore arrivés. Ce n'est qu'après que j'ai découvert qu'il y avait six gardes, ou peut-être plus même, qui n'étaient pas venus du tout. (...) Il semble assez évident qu'ils avaient une raison de ne pas se présenter !", raconte-t-il.

:confused::eek:
 
<les terroristes étaient déjà présents dans le Bataclan avant le début du concert,>

on n'accuse pas sans preuve
on les aurait entendu sur l'analyse de "l'enregistrement qu'a fait le groupe"

ils se sont barrés sans aider quiconque, ça c'est véridique :fou:

mam
 
Dans un entretien au Parisien-Aujourd'hui en France, Djamila revient sur le rôle de sa grande soeur, tuée lors de l'assaut de Saint-Denis, en même temps qu'Abdelhamid Abaaoud, cerveau présumé des attentats. La jeune femme devrait être enterrée en France dans les prochains jours, rapporte l'avocat de la famille au Figaro.


«Elle était juste un peu perdue mais ce n'était pas une terroriste». Pour la première fois, Djamila*, la petite sœur d'Hasna Aït Boulahcen, témoigne dans Le Parisien-Aujourd'hui en France et revient sur la présence de sa sœur dans cet appartement du 8 rue Corbillon, à Saint-Denis, où s'étaient retranchés leur cousin Abdelhamid Abaaoud, organisateur présumé des attentats, et Chakib Akrouh, qui s'est fait exploser. Djamila a appris le décès de sa grande sœur quelques heures après l'assaut donné par le Raid à Saint-Denis le 18 novembre dernier.
«J'étais en larmes», se souvient-elle. «Ensuite j'ai vu un reportage dans lequel ma sœur suppliait les policiers de la laisser sortir de cet appartement (...) Elle ne voulait pas mourir et elle n'aurait jamais fait de mal à quelqu'un». La jeune femme souhaite aujourd'hui connaître les «circonstances précises» de la mort de sa sœur. Car pour Djamila, Hasna n'a rien d'une terroriste et n'est qu'une «victime». «Elle a été contrainte de trouver (à Abaaoud, NDLR) un appartement à Saint-Denis». Son cousin «l'avait menacée de tuer d'autres personnes si elle ne faisait pas ce qu'il voulait», assure-t-elle.
«Des zones d'ombre autour de son décès»
Une thèse déjà défendue par Me Fabien Ndoumou, l'avocat de la famille, en janvier dernier: «Hasna Aït Boulahcen est morte à la suite d'un attentat terroriste comme les autres victimes du (...)
Figaro.fr
 
Mouai :sournois:
C'est quand même elle qui leur a trouvé l'appart, acheté des costumes...
Si elle était vraiment menacée, elle aurait pu alerter les flics qui grouillaient à l'époque dans le coin ou appeler le 197 !

facile à écrire et à dire de loin
va savoir quelle aurait été TA réaction devant des menaces

mam
 
facile à écrire et à dire de loin
va savoir quelle aurait été TA réaction devant des menaces

mam
Ils ne l'ont pas accompagné pour acheter les fringues et louer l'appart, si ?
Elle est allée les chercher elle même à l'endroit où ils se cachaient, non ?
Elle avait un tél sur elle, non ?
Si on se sent réellement menacé et en danger, on fait appel à son instinct de survie.
Désolée, mais aucune pitié pour ces barbares...
 
Son cousin «l'avait menacée de tuer d'autres personnes si elle ne faisait pas ce qu'il voulait» o_O
même remarque que biiovibs, surtout quand tu sais que le mec est déjà responsable de la mort de 130 personnes innocentes et qu'il se prépare à recommencer.
Un gars comme ça, même si c'est ton cousin, tu le dénonces car c'est que derrière les barreaux qu'il ne pourra plus nuire aux autres comme à toi.

Je veux bien croire qu'elle était naïve, stupide, crétine ou autre. Mais elle est aussi complice.
 
même remarque que biiovibs, surtout quand tu sais que le mec est déjà responsable de la mort de 130 personnes innocentes et qu'il se prépare à recommencer.
Un gars comme ça, même si c'est ton cousin, tu le dénonces car c'est que derrière les barreaux qu'il ne pourra plus nuire aux autres comme à toi.

Je veux bien croire qu'elle était naïve, stupide, crétine ou autre. Mais elle est aussi complice.
+1000000 :cool:
 
Des complicités au sein du Bataclan? Le leader d'Eagles of Death Metal s'excuse


Les insinuations "que quiconque affilié au Bataclan a joué un rôle dans les événements du 13 novembre sont non fondées et sans aucune base, et j'en assume l'entière responsabilité", indique Jesse Hughes.

Dans une interview accordée à Fox Business, Jesse Hughes avait sous-entendu que les terroristes du Bataclan auraient pu voir des complices dans la salle. Des affirmations sur lesquelles il revient vendredi dans un communiqué. "J'implore le pardon, humblement, du peuple français, du personnel et des agents de sécurité du Bataclan, de mes fans, de ma famille, mes amis, et de toute autre personne blessée ou offensée par les accusations absurdes que j'ai faites", a déclaré vendredi dans un communiqué publié sur Facebook Jesse Hughes, chanteur et guitariste des Eagles of Death Metal.Dans une interview accordée à la chaîne américaine Fox Business, il avait sous-entendu que les terroristes du Bataclan le 13 novembre auraient pu avoir des complices dans la salle.

Le chanteur de Eagles of Death Metal avait exprimé des soupçons à l'encontre des vigiles, suggérant que certains d'entre eux appartenaient au groupe Etat islamique. Il a déclaré qu'il s'était très vite senti mal à l'aise quand il était arrivé au Bataclan, qu'un vigile en coulisses l'avait évité du regard et que six agents de sécurité manquaient à l'appel. De quoi susciter une très vive réaction de la direction du Bataclan, qui avait qualifié les "déclarations" du chanteur d'"insensées" et "diffamatoires", "à mettre sur le compte du lourd traumatisme subi".

l'express

mam
 
Attentats de Paris : les opérations se poursuivent en Belgique
le suspect tué identifié, deux hommes en fuite

L'homme abattu est un Algérien, condamné pour des faits mineurs en 2014 et qui ne figurait dans les fichiers des services antiterroristes.
Vidéo http://www.lepoint.fr/societe/atten...ct-tue-est-algerien-16-03-2016-2025741_23.php

Un drapeau de Daech, un livre sur le salafisme, onze chargeurs de kalachnikov...

Lors d'une conférence de presse qui s'est déroulée ce mercredi matin, le parquet belge a donné des détails sur l'opération de police menée mardi 15 mars à Forest, une commune du sud de Bruxelles.

Le suspect abattu a été identifié, il s'agit de Belcaïd Mohammed, un Algérien né le 9 juillet 1980 qui séjournait illégalement dans le pays. L'homme n'était connu des services de police que pour un vol commis en 2014.

Un drapeau de l'organisation État islamique et un livre sur le salafisme ont été retrouvés à côté de son corps gisant dans l'appartement qui devait être perquisitionné et qui a servi de lieu de retranchement aux tireurs.

Thierry Werts, substitut du procureur, a expliqué que plus de 100 perquisitions ont été effectuées depuis les attentats de Paris le 13 novembre dernier et 58 personnes ont déjà été interpellées.
Mardi 15 mars, une équipe de police franco-belge s'est rendue dans l'appartement rue du Dries à Forest, dans le cadre de ces opérations.
À leur arrivée et alors qu'ils pensaient trouver un endroit vide, au moins deux personnes ont commencé à tirer avec une kalachnikov et un Riot Gun. « Un échange de tirs bref mais nourri », précise Thierry Werts.

.../...
 
suite et fin

Trois policiers sont touchés, dont une Française.
Retranchés dans leur appartement, les tireurs font un nouveau blessé dans les heures suivantes : un policier belge est touché à la tête. L'équipe de tireurs d'élite répond et réussit à atteindre l'un des suspects, Belcaïd Mohammed. Il est neutralisé alors qu'il allait ouvrir le feu depuis une fenêtre. « Le pire a été évité grâce à la réactivité professionnelle des policiers », a salué le magistrat.

Deux suspects vont être interrogés Dans la journée et dans la nuit, les perquisitions se sont poursuivies dans les alentours. Les policiers ont découvert des munitions de kalachnikov et un habit noir au pied d'un immeuble qu'ils ont fouillé et où ils ont trouvé deux armes.

Selon le substitut du procureur, vers 20 heures, une personne blessée a été admise à l'hôpital avec une jambe cassée. Détail troublant, celui ou celle qui l'a conduit à l'hôpital a pris la fuite en voyant des policiers arriver.

Tout en restant très prudent, on ne peut écarter qu'il s'agisse de l'un des deux hommes qui se sont enfuis mardi lors de l'opération. Cette personne doit être entendue très prochainement, ainsi qu'un autre suspect. Leurs identités ne sont pas communiquées et on saura dans la journée si des charges peuvent être retenues contre elles.

mam
 
"Le Point" titre :
Bataclan : la reconstitution de l'attentat est "une parodie scandaleuse"

"On a besoin d'information pour savoir, pour comprendre", a poursuivi Nadine Ribet-Reinhart, la mère d'une victime décédée au Bataclan.

Un peu plus de quatre mois après les attentats qui ont ensanglanté Paris et Saint-Denis, une reconstitution est organisée ce jeudi 17 mars au Bataclan, dans le 11e arrondissement parisien.
Dans cette salle de concert, fermée depuis le drame, 90 personnes ont perdu la vie sous les balles des terroristes de l'organisation État islamique. « Nous avons demandé aux forces de l'ordre qui sont intervenues, la BRI, le Raid, la police, de venir.

Nous allons voir chronologiquement quelle a été leur intervention, pourquoi il a fallu trois heures entre la première attaque et (la fin de) l'intervention, trois heures pour extraire les dernières victimes », a expliqué le député Georges Fenech, président de la commission d'enquête, devant la presse, alors que l'accès au Bataclan était barré.

Présente devant la salle de spectacle, qui a connu le bilan le plus meurtrier le 13 novembre, Nadine Ribet-Reinhart, dont le fils Valentin, 26 ans, a été tué au Bataclan, a dénoncé « une parodie scandaleuse » de justice. « On se réveille un matin et on découvre qu'il va y avoir une reconstitution. Elle n'était pas annoncée. On apprend qu'il n'y aura pas d'avocat, pas de partie civile, pas de victime, pas de presse », a-t-elle réagi, en pleurs. « Nous ne savons toujours pas à quelle heure nos enfants sont décédés. Sur le certificat (de décès), on a entre le 13 et le 14 novembre.
On ne sait pas quand les secours sont arrivés. On a besoin d'information pour savoir, pour comprendre », a poursuivi Nadine Ribet-Reinhart.

La reconstitution est organisée à huis clos pour éviter toute fuite dans la presse, selon la volonté même de Georges Fenech. Une partie des auditions sera en effet couverte par le secret pendant vingt-cinq ans. Et toute personne à la langue trop pendue s'exposerait à un an de prison.
La commission d'enquête parlementaire relative aux « moyens mis en oeuvre par l'État pour lutter contre le terrorisme depuis le 7 janvier 2015 », qui compte 30 députés de tous bords, a été lancée fin janvier.
Elle rendra son rapport le 14 juillet.

mam
 
Possible projet d'attentat à Paris : ce que l'on sait

Quatre islamistes radicaux présumés ont été interpellés mercredi. Selon TF1, ils projetaient de perpétrer un attentat "prochainement" en plein cœur de Paris.

Ils ont été interpellés, ce mercredi 16 mars au matin, en région parisienne. Les arrestations ont été effectuées à l'aube dans deux arrondissements parisiens et en Seine-Saint-Denis.
Les suspects ont été placés en garde à vue au siège de la DGSI à Levallois-Perret (Hauts-de-Seine).
# Qui sont ces suspects ?
Il s'agit de trois hommes et d'une femme aux profils qualifiés d'"intéressants" et "à creuser", dont l'un était d'ailleurs assigné à résidence dans le cadre de l'état d'urgence instauré après les attentats du 13 novembre.
Ils ont été arrêtés à l'issue d'une enquête de la Direction générale de la sécurité intérieure (DSGI), ont précisé ces sources confirmant partiellement une information de TF1.

"Parmi les suspects se trouvent Aytac et Ercan B., deux frères français d'origine turque", détaille le site de la chaîne. "Mais la DGSI s'intéresse en particulier à Youssef E., un islamiste déjà bien connu des services anti-terroristes."

# Que leur reproche-t-on ?

Selon TF1, ces suspects projetaient de perpétrer un attentat "prochainement", en plein coeur de Paris.
Selon le site de la chaîne, qui cite la Direction générale de la Sécurité intérieur, "les quatre suspects étaient devenus une menace imminente" et "se préparaient sans doute à commettre un attentat dans Paris dans un futur proche".
Beaucoup plus prudentes, les sources policières confirment que les enquêteurs les surveillaient en raison de soupçons sur un "possible projet d'attentat" mais la menace n'a pas été étayée pour l'instant par l'enquête et les surveillances.

Un des hommes arrêtés était soupçonné de préparer des "actions violentes", a confirmé le ministre de l'Intérieur, Bernard Cazeneuve.

Aucune arme n'a été retrouvée lors des perquisitions. En revanche du matériel informatique et des supports numériques ont été saisis et doivent être analysés afin notamment de vérifier, ou non, les "suspicions" de la DGSI.
"On ne peut parler à ce stade de projet imminent d'attentat", a insisté une des sources policières, il n'y a pas "d'éléments matériels" en ce sens, a précisé une autre.

"Le niveau de la menace reste très élevé"
Le niveau de la menace reste très élevé. On l'a vu encore ces dernières heures à Bruxelles. On peut le voir avec ces arrestations", a rappelé le président François Hollande
"Nous devons avoir la plus grande vigilance."

Renaud Février

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