Poésie et érotisme

Mon amour brillera toujours

Mouvements en puissance
Overdose de jouissance
Nous sommes en effervescence

Alanguis par nos caresses
Mouvements en souplesse
Overdose de tendresse
Un moment sans stress
Recueillement dans la paresse

Baisers suaves et langoureux
Regards chauds et amoureux
Instinct fébrile et chaleureux
Lumière tamisée sur fond de bleu
L'ivresse torride qui se meut dans tes yeux
Envie de toi, toujours encore, j'en reveux
Repue de tes caresses, mais pas encore de ton feu
Amoureux de ces instants si précieux

Te faire vibrer grâce à mes baisers
Ou hurler de plaisir et te voir t'apaiser
Une sensation que l'on ne voudrait jamais arrêter
Jusqu'à ce que nos spasmes puissent enfin se calmer
Ondulation permanente qui ne cesse de nous animer
Une ferveur qui s'empare de nos corps au désir affamé
Résister à l'envie de se reposer pour oser recommencer
Sensuellement, cette danse de l'amour et du désir insensé.

Romantika

quelle merveilleuse forme de paresse, la plus agréable qui soit :rouge:

comment appelle t on déjà un poeme comme tu viens d'écrire avec une phrase formées par les premieres lettres de chaque ligne ?
 
Bonjour Romantika ...Plume Suave...

Très ingénieux les débuts de chaque vers...

Chapeau

Merci Elyssa ;)

quelle merveilleuse forme de paresse, la plus agréable qui soit

comment appelle t on déjà un poeme comme tu viens d'écrire avec une phrase formées par les premieres lettres de chaque ligne ?

Ca s'appelle des accrostiches !!!

Oui la plus merveilleuse des paresses ... :rouge:

Merci d'être passé me lire !!!!
 
Mon amour brillera toujours

Mouvements en puissance
Overdose de jouissance
Nous sommes en effervescence

Alanguis par nos caresses
Mouvements en souplesse
Overdose de tendresse
Un moment sans stress
Recueillement dans la paresse

Baisers suaves et langoureux
Regards chauds et amoureux
Instinct fébrile et chaleureux
Lumière tamisée sur fond de bleu
L'ivresse torride qui se meut dans tes yeux
Envie de toi, toujours encore, j'en reveux
Repue de tes caresses, mais pas encore de ton feu
Amoureux de ces instants si précieux

Te faire vibrer grâce à mes baisers
Ou hurler de plaisir et te voir t'apaiser
Une sensation que l'on ne voudrait jamais arrêter
Jusqu'à ce que nos spasmes puissent enfin se calmer
Ondulation permanente qui ne cesse de nous animer
Une ferveur qui s'empare de nos corps au désir affamé
Résister à l'envie de se reposer pour oser recommencer
Sensuellement, cette danse de l'amour et du désir insensé.

Romantika


Super poème Romantika ;)
subtil et adroit à la fois :)
 
Baiser

Renverse-toi que je prenne ta bouche,
Calice ouvert, rouge possession,
Et que ma langue où vit ma passion
Entre tes dents s'insinue et te touche :


C'est une humide et molle profondeur,
Douce à mourir, où je me perds et glisse ;
C'est un abîme intime, clos et lisse,
Où mon désir s'enfonce jusqu'au coeur...


- Ah ! puisse aussi t'atteindre au plus sensible,
Dans son ampleur et son savant détail,
Ce lent baiser, seule étreinte possible,
Fait de silence et de tiède corail ;


Puissé-je voir enfin tomber ta tête
Vaincue, à bout de sensualité,
Et détournant mes lèvres, te quitter,
Laissant au moins ta bouche satisfaite !...

Lucie Delarue-Mardrus
 
Innocence

Quand de ses yeux, elle envoya le signal au plus profond de mes prunelles
Je compris que la désirée clignant des yeux n’était qu’une madone frêle.
Mes instincts les plus redoutables se mirent en éveil pour dompter la pucelle
Qui de ses yeux troublés cherchaient une issue a ma promesse sensuelle.

Son long regard soutenu me donna quelques frissons et me fit sentir telle une proie
Tout d’un coup, mon corps chaud, se glaça et devint de plus en plus froid.
Je voulus fuir devant cet homme si envoûtant et si captivant, telle un esclave devant son Roi.
Mais mes pieds ne voulurent pas avancer, j’étais plantée, comme une statue de marbre froid.

Quand sous ses pieds, le ciel s'est dérobé elle fut prise d'un soudain vertige
Qui l'emmena dans mes bras, l'attraction des corps m'avait donné le prestige
De traverser les frontières interdites d'un territoire aux inexplorés vestiges
Je touchais la vénus réanimée, et ses courbes avait de mes caresses, toute la délicatesse qu'elles exigent.

Mon corps fut comme électrifié par son contact qui, m’ébranla de plus en plus fort
J’essayai en vain, de garder mon calme, mais je fus trahie par les mouvements de mon corps
Des frissons me parcouraient, mes jambes ne me portaient plus, mon cœur battait si fort
Que je me haïssais d’aimer ce que cet homme me faisait subir, je voulus connaitre la mort.

Quand son visage angélique se remit à se mouvoir dans ses traits fins,
Après avoir porté délicatement à son nez un aphrodisiaque parfum,
La belle se réveilla allongée et les seins à peine dissimulée par le drap en lin .
Nos regards se croisèrent et ses lèvres contre les miennes se touchèrent enfin.

Notre baiser ainsi échangé me laissa pantoise, me grisa et me réchauffa.
Je fus prise de stupéfaction par l’audace de mon propre corps qui s’embrasa
Moi, la candide demoiselle, bientôt femme, je deviendrais dans ses bras.
Pour rien au monde, je ne voudrais quitter cet homme, ce lit et ces draps.

Quand de mes mains je caressais sa peau blanche, la douce Aphrodite s'abandonnait à son sort
De sa nuque à sa poitrine, de son nombril à son sexe, mes doigts parcouraient chaque parcelle de son corps.
Puis mes mains de caresses passèrent à paresse pour laisser place à la langue du Maure,
Elle parcourut le même chemin, dans un même rythme lent et délicat pour se délecter du trésor.

Mon corps pris de tressautements ne sut contrôler ses spasmes et frissonna de plaisir
Mon sang se figea, je désirais plus, j’en voulais encore, je n’arrêtais plus de jouir.
Plus rien n’existait autour de moi, seuls, nos deux corps chauds, émettaient des soupirs
Ma bouche affamée, avide, et coquine, courut à la découverte de l’objet de son désir.

Mims et Romantika
 
ça dépend de la religion, ou de l'état d'esprit religieux...

Du fer en enfer, c'est naturel Lady...

Tu sais trés bien, que je te taquinais, mon ptit Life :)

si je peux me permettre ... Comment vous faites, je veux dire est ce que vous envoyer "bloc par bloc" ...ou chacun fait un poème de son côté ...ou autre ?

OUI ! En fait, nous écrivons chaque strophe séparément et nous les assemblons aux précédents afin de créer le duo...Des fois, je commence et des fois c'est lui, cela dépend de qui lance le sujet et qui est inspiré...

J'aurais aimé répondre à cette question par 2 mots...Mais je laisse l'honneur à Tika.

Mais merci mon cher !!! Mais j'aurais aimé connaitre le fond de ta pensée LOL
 
S'il y avait un paradis

S'il y avait un paradis,
Vous n'y seriez pas, ô Cécile,
Mais, chez les damnés, les maudits,
Chez ceux qu'un grand désir exile,

Dans l'enfer d'amour et de sang,
Vous rôderiez, sainte bacchante !

Loin de la calme Trinité,
À ces bouches pleines de soufre,
Vous verseriez la volupté
D'un chant qui jouit et qui souffre.

Il n'est pas d'innocents accords,
Il n'est pas de sainte harmonie,
L'extase pénètre les corps
Comme une amoureuse agonie.

Anna de Noailles
 
Innocence

Quand de ses yeux, elle envoya le signal au plus profond de mes prunelles
Je compris que la désirée clignant des yeux n’était qu’une madone frêle.
Mes instincts les plus redoutables se mirent en éveil pour dompter la pucelle
Qui de ses yeux troublés cherchaient une issue a ma promesse sensuelle.

Son long regard soutenu me donna quelques frissons et me fit sentir telle une proie
Tout d’un coup, mon corps chaud, se glaça et devint de plus en plus froid.
Je voulus fuir devant cet homme si envoûtant et si captivant, telle un esclave devant son Roi.
Mais mes pieds ne voulurent pas avancer, j’étais plantée, comme une statue de marbre froid.

Quand sous ses pieds, le ciel s'est dérobé elle fut prise d'un soudain vertige
Qui l'emmena dans mes bras, l'attraction des corps m'avait donné le prestige
De traverser les frontières interdites d'un territoire aux inexplorés vestiges
Je touchais la vénus réanimée, et ses courbes avait de mes caresses, toute la délicatesse qu'elles exigent.

Mon corps fut comme électrifié par son contact qui, m’ébranla de plus en plus fort
J’essayai en vain, de garder mon calme, mais je fus trahie par les mouvements de mon corps
Des frissons me parcouraient, mes jambes ne me portaient plus, mon cœur battait si fort
Que je me haïssais d’aimer ce que cet homme me faisait subir, je voulus connaitre la mort.

Quand son visage angélique se remit à se mouvoir dans ses traits fins,
Après avoir porté délicatement à son nez un aphrodisiaque parfum,
La belle se réveilla allongée et les seins à peine dissimulée par le drap en lin .
Nos regards se croisèrent et ses lèvres contre les miennes se touchèrent enfin.

Notre baiser ainsi échangé me laissa pantoise, me grisa et me réchauffa.
Je fus prise de stupéfaction par l’audace de mon propre corps qui s’embrasa
Moi, la candide demoiselle, bientôt femme, je deviendrais dans ses bras.
Pour rien au monde, je ne voudrais quitter cet homme, ce lit et ces draps.

Quand de mes mains je caressais sa peau blanche, la douce Aphrodite s'abandonnait à son sort
De sa nuque à sa poitrine, de son nombril à son sexe, mes doigts parcouraient chaque parcelle de son corps.
Puis mes mains de caresses passèrent à paresse pour laisser place à la langue du Maure,
Elle parcourut le même chemin, dans un même rythme lent et délicat pour se délecter du trésor.

Mon corps pris de tressautements ne sut contrôler ses spasmes et frissonna de plaisir
Mon sang se figea, je désirais plus, j’en voulais encore, je n’arrêtais plus de jouir.
Plus rien n’existait autour de moi, seuls, nos deux corps chauds, émettaient des soupirs
Ma bouche affamée, avide, et coquine, courut à la découverte de l’objet de son désir.

Mims et Romantika

Chapeau ! super duo ! :rouge:

J'aimerais bien mettre ce poeme dans mon topic

http://www.bladi.info/259541-temoignages-femmes-premieres-passees/

:D
 
Innocence

Quand de ses yeux, elle envoya le signal au plus profond de mes prunelles
Je compris que la désirée clignant des yeux n’était qu’une madone frêle.
Mes instincts les plus redoutables se mirent en éveil pour dompter la pucelle
Qui de ses yeux troublés cherchaient une issue a ma promesse sensuelle.

Son long regard soutenu me donna quelques frissons et me fit sentir telle une proie
Tout d’un coup, mon corps chaud, se glaça et devint de plus en plus froid.
Je voulus fuir devant cet homme si envoûtant et si captivant, telle un esclave devant son Roi.
Mais mes pieds ne voulurent pas avancer, j’étais plantée, comme une statue de marbre froid.

Quand sous ses pieds, le ciel s'est dérobé elle fut prise d'un soudain vertige
Qui l'emmena dans mes bras, l'attraction des corps m'avait donné le prestige
De traverser les frontières interdites d'un territoire aux inexplorés vestiges
Je touchais la vénus réanimée, et ses courbes avait de mes caresses, toute la délicatesse qu'elles exigent.

Mon corps fut comme électrifié par son contact qui, m’ébranla de plus en plus fort
J’essayai en vain, de garder mon calme, mais je fus trahie par les mouvements de mon corps
Des frissons me parcouraient, mes jambes ne me portaient plus, mon cœur battait si fort
Que je me haïssais d’aimer ce que cet homme me faisait subir, je voulus connaitre la mort.

Quand son visage angélique se remit à se mouvoir dans ses traits fins,
Après avoir porté délicatement à son nez un aphrodisiaque parfum,
La belle se réveilla allongée et les seins à peine dissimulée par le drap en lin .
Nos regards se croisèrent et ses lèvres contre les miennes se touchèrent enfin.

Notre baiser ainsi échangé me laissa pantoise, me grisa et me réchauffa.
Je fus prise de stupéfaction par l’audace de mon propre corps qui s’embrasa
Moi, la candide demoiselle, bientôt femme, je deviendrais dans ses bras.
Pour rien au monde, je ne voudrais quitter cet homme, ce lit et ces draps.

Quand de mes mains je caressais sa peau blanche, la douce Aphrodite s'abandonnait à son sort
De sa nuque à sa poitrine, de son nombril à son sexe, mes doigts parcouraient chaque parcelle de son corps.
Puis mes mains de caresses passèrent à paresse pour laisser place à la langue du Maure,
Elle parcourut le même chemin, dans un même rythme lent et délicat pour se délecter du trésor.

Mon corps pris de tressautements ne sut contrôler ses spasmes et frissonna de plaisir
Mon sang se figea, je désirais plus, j’en voulais encore, je n’arrêtais plus de jouir.
Plus rien n’existait autour de moi, seuls, nos deux corps chauds, émettaient des soupirs
Ma bouche affamée, avide, et coquine, courut à la découverte de l’objet de son désir.

Mims et Romantika
mais c'est que t'es balèze toi ! :eek:
sincèrement chapeau ! :cool:
 
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