Le prophète avait interdit l'écriture des ahadith ( pluriel de hadith ) au début de la revelation, afin que les gens ne confondent pas le Quran et la sunnah. Plus tard il l'autorisa, et même des compagnons écrivaient des ahadiths, sans qu'Il ( 'alayhi salam) ne les blâment.
Aussi vous dites que les ahadiths n'existe pas et pourtant vous argumentez avec des ahadiths pour dire qu'il ne faut pas les écrire.
Sa tourne pas rond pour vous .
Bref, je viens avec mes preuves :
1 ) Hadith d'Abu shah, le prophète ordonna a des compagons d'écrire des ahadith sur le meurtre, prix du sang etc : Sahih bukhari, kitab al 'ilm et kitab diyat.
2) Les feuilles de 'amr ibn 'as, il écrivait des ahadiths du prophète pendant que celui ci était en vie, sans qu'il ne le blâme. Les feuilles sont appelait " Asidiqah ". N'importe qui, qui se penche sur la science du hadith connais ces feuillets et leurs authenticité!
3) Hadith de abu hurayra, lorsqu'il dit qu'il n'écrivait pas le hadith du prophète lorsqu'il l'entendait car il le retenait, mais par contre que 'AbdUllah ibn 'amr, l'écrivait lorsqu'il l'entendait du prophète. Celui-ci le l'a pas blâmer. Le hadith est dans mudkhal de l'imam Bayhaqi et dans le receuil de l'imam ahmad. Le hadith est aussi dans kitab al 'ilm du sahih bukhari.
4) L'athar de 'Ali ibn abi taleb, qui avait des feuillets ou il noté les ahadith sur les taux de la zakat.
5 ) Le hadith d'ibn 'abbas dans sahih bukhari, lorsque le messager d'Allah dis " je vais vous dictez de quoi écrire afin de jamais vous égarez " .
6) Le meilleur pour la fin..
AbdAllah ibn 'amr écrivait tout le temps les ahadith, certains compagnons le blâmèrent en lui disent : " Le prophète risque de ce fâché, car tu risques d'écrire ce qui ne fait pas partie de la législation ( Coran ) ". Il alla voir le prophète 'alayhi salam qui lui dit : " "Inscris ce que je dis car par Celui Qui détient mon âme il n’y a que la vérité qui sort de ma bouche " .
Le hadith est sahih, aucun savants ne l'a rendu faible, il est rapporté par ibn 'abdelbarr dans son jami' al bayan, tome 1 page 76.
Des preuves comme sa, y'en a pleins!
Pour plus d'infos, lisez le livre : As Sunnah wa mukhanatuha fi tachri'
Merci pour ta participation
En fessant mes recherches j ai trouver un lien qui parle de l authentification du coran et sa compilation au début par la suit pas mal de chose se complique c est très intéressant je te donne un résumer avec le liens pour que tu puis lire tout le contenue et tu me diras se que tu en pense en tout cas sache que pour l instant sa répond à certain question
Une compilation traditionnelle vers l'an 650
Selon le récit le plus récurrent de la tradition « orthodoxe » islamique, aucune version complète du Coran n'existait à la mort de Muhammad ; ses différents Compagnons en possédaient des extraits plus ou moins longs inscrits sur toutes sortes de supports (feuilles de palmier, omoplates de chameau, tessons de poterie, peaux, pierres, etc.) et les apprenaient par cœur. Une première recension fut décidée par le premier calife Abû Bakr, suivant le conseil de son futur successeur `Umar, et exécutée par le scribe du Prophète, Zayd ibn Thâbit, d'abord réticent puisqu'il s'écria « Vous voulez faire ce que l'Envoyé de Dieu Lui-même n'a pas fait ? » Muhammad aurait-il ainsi voulu garder principalement le Coran à l'état de récitation orale et « rassemblé dans la poitrine des hommes » (jam`al-qur'ân) ?
Quoi qu'il en soit, cette première compilation s'appelle « le codex entre les deux couvertures » et resta, à la mort de `Umar, dans sa famille puisque sa fille Hafsa, l'une des épouses du Prophète, en hérita. Le troisième calife `Uthmân, sur le conseil de son célèbre général Hudhayfa, réalisa une recension officielle du texte coranique : c'est le « recueil modèle » (al-mushaf al-imâm) à nouveau compilé par Zayd ibn Thâbit aidé par des Qurayshites dont ni le nombre ni l'identité ne font l'unanimité d'après les sources dont les islamologues disposent. Le calife donna enfin un caractère officiel et obligatoire à cette recension : des copies en furent envoyées dans les différentes capitales des provinces de l'empire et les versions précédentes furent peu à peu détruites.
Une compilation tardive vers l'an 700
La compilation réalisée par `Uthmân soulève de nombreux problèmes. Étant donné le nombre de mots et d'expressions énigmatiques présentes dans le Coran, comme les « oiseaux » abâbîla de la sourate cv « L'Éléphant » (Al-Fîl), le « croyant originel » hanîf, la « plénitude » al-samad de la sourate cxii « La Religion foncière » (Al-'Ikhlâs) ou encore les fameuses « lettres isolées » (les ouvrantes al-fawâtih énigmatiques au début de certaines sourates), se posent au moins deux questions fondamentales : pourquoi les savants musulmans ne connaissaient-ils pas (ou plus) le sens de toutes ces expressions à peine quelques décennies après la mort du Prophète ? Et pourquoi le droit islamique comporte-t-il des aspects anticoraniques [D'après The Origins of Muhammadan Jurisprudence de Joseph Schacht.] sur les règles d'héritage, les droits des veuves et ceux de la femme répudiée pendant sa période d'attente (`idda) quelques décennies après la mort du Prophète ?
Cela semble indiquer une finalisation très tardive et non consensuelle du Coran car il est difficile de comprendre comment autant de sens ait pu être perdu en l'espace de quelques années, à moins que leur sens n'ait jamais été saisi, y compris par le Prophète lui-même, ce qui me semble peu probable. C'est pourquoi la rédaction du Coran vers l'an 700, sous le califat de `Abd al-Malik ibn Marwân, paraît plus pertinente car entre la mort du Prophète et le début des Omeyyades, l'histoire et la mentalité des premiers musulmans ont dû évoluer, à la suite des guerres civiles et des grandes conquêtes. Là encore, Dieu sait plus que quiconque la réponse à ces questions.
Une altération éventuelle de la parole de Dieu
La datation des rares manuscrits très fragmentaires d'époque préabbasside est difficile et sujette à controverses, tout comme le contrôle de la transmission du Coran avant sa rédaction définitive qui est souvent située sous le califat de `Abd al-Malik ibn Marwân, vers l'an 700, c'est-à-dire soixante-dix ans après la mort du Prophète.
Et rien ne permet d'affirmer qu'il n'y a eu ni suppression ni ajout dans le Coran révélé au Prophète, que ce soit de sourates, de versets, de mots ou de variantes orthographiques ou lexicographiques. En outre, de puissants et riches lettrés de l'époque ont pu y prendre part, d'autant plus qu'il ne faut pas oublier que dans le contexte politico-religieux fragile d'alors, le calife et les hommes de pouvoir qui l'entouraient ne pouvaient pas ne pas être attentifs à cet aspect fondamental du pouvoir qu'est la maîtrise des croyances. Un livre scripturaire unique codifié selon des dogmes étatiques était sûrement la meilleure garantie de sécurité doctrinale – et donc politique. C'est en outre à cette époque que les ahâdîth, la deuxième source scripturaire de l'islâm, ont commencé à être collectés sous l'impulsion des califes.
www.trigofacile.com/divers/spiritualite/...coran/introduction-coran.htm