C’est en cours.
Toutes les cases cochées
Au-delà de leur ignominie, ces faits peuvent-ils tomber sous le coup de sanctions de la Cour pénale Internationale (CPI)? Selon l'article 8 du
Statut de Rome de la CPI,
dans lequel sont listées les nombreuses infractions qui constituent ces fameux crimes de guerre, la Russie et son armée cochent actuellement plusieurs cases.
Dans ce texte, plusieurs points sont cruellement d'actualité dont "diriger intentionnellement des attaques contre la population", "l'attaque et le bombardement des villes, villages et habitations", "priver les civils de biens indispensables à la survie" ou encore "attaquer des bâtiments d’art, des hôpitaux, édifices religieux."
"C’est un crime de guerre car il y a les victimes civiles, mais aussi parce qu’on n’a pas à bombarder les biens culturels, les théâtres, les églises. Cela révèle que le commandement russe ne sait plus où donner de la tête et qu’ils ne sont plus en mesure de mener des attaques. Ils ont échoué, et qu’est-ce qu’ils savent faire de mieux? Détruire tout ce qu’ils peuvent",