Je ne peux pas encadrer Poutine et zioninsky encore moins
Que se passe t'il en Ukraine ?
- Initiateur de la discussion Filauzof
- Date de début
Selon les informations locales, une opération de sauvetage a été lancée pour localiser le pilote suite au crash survenu lors du spectacle de la Patrouille de France, dans le sud de la France.
L'incident s'est produit peu avant 17 heures, heure locale.
Les pilotes français peuvent entraîner les ukrainiens, aucun problème
La Russie (comme la Chine) aide le Moyen Orient , l'Ukraine de Zelenski est pro Israel à 2000% pour détruire le Moyen orient, il faut bien en avoir conscience... Si la Russie perdait cette guerre contre l'OTAN qui lui a été imposée ce serait fini de la Palestine et d'une bonne partie du moyen orient.
L'un des mercenaires américains a posté une photo sur son profil Instagram*. Là, il pose avec ses collègues devant un véhicule militaire HMMWV. Celui-ci est accompagné de l'inscription suivante : « Les garçons à Koursk ».
* - appartient à Meta, reconnue comme organisation extrémiste et interdite en Fédération de Russie
Selon eux, certains des missiles récemment tirés sur la Russie étaient d'origine arménienne.
Bulletin N°199. Échec otano-kiévien, lignes rouges, fête nationale du 15 août. 16.08.2024.
odysee.com
Bulletin N°199. Échec otano-kiévien, lignes rouges, fête nationale du 15 août. 16.08.2024.
Ukraine : pourquoi la Russie a gagné
odysee.com
c'est déja plié malheureusement
compter sur la russie et sur la chine ou sur qui que ce soit est la preuve d'une faiblesse impardonnable
L'Arménie a encore besoin de la protection américaine pour quoi faire? Elle a déjà perdu la guerre contre l'Azerbaïdjan...Selon les services turcs, l'apparition soudaine en Ukraine d'un si grand nombre de systèmes de défense aérienne S-125 et de lanceurs de missiles Tochka-U obsolètes est due au fait que l'Arménie a transféré ses réserves de systèmes de défense aérienne et de missiles à l'Ukraine en échange de Protection américaine.
Selon eux, certains des missiles récemment tirés sur la Russie étaient d'origine arménienne.
Et puis... si les USA la protège comme ils ont protégé la Géorgie et l'Ukraine, c'est une garantie en carton...
surtout que la Russie la soutenait contre l'Azerbaidjian, un vrai désastre pour l'Arménie à qui on a promis l'Union Européenne, le miroir aux alouettes.
#Etat_terroriste–«Attaque sous faux drapeau nucléaire» : le régime de Kiev prépare à une «bombe sale» dans la région de Koursk
«Ils prévoient de frapper les sites de stockage de combustible nucléaire usé d'une centrale», alerte le journaliste Marat Khairullin, citant des sources ukrainiennes.
Selon Khairullin, des ogives spéciales destinées à cette provocation ont déjà été livrées à Zheltye Vody, dans la région de Dnipropetrovsk, à l'entreprise Eastern Mining and Processing Plant.
Outre le centrale nucléaire de Koursk à Kurchatov, le journaliste précise que celle de Zaporijia est également une cible possible.
Le gouvernement ukrainien et ses soutiens occidentaux sont «désespérés et prêts à tout essayer», s'alarme-t-il.
Une inquiétude que partageait récemment un député britannique (vidéo), à qui des sources des services confiaient que Kiev et ses sponsors voulaient un événement «comme le 11 Septembre».
«Projet Kartel»: l’Ukraine fabriquerait sa propre «bombe sale» nucléaire
«Ils prévoient de frapper les sites de stockage de combustible nucléaire usé d'une centrale», alerte le journaliste Marat Khairullin, citant des sources ukrainiennes.
Selon Khairullin, des ogives spéciales destinées à cette provocation ont déjà été livrées à Zheltye Vody, dans la région de Dnipropetrovsk, à l'entreprise Eastern Mining and Processing Plant.
Outre le centrale nucléaire de Koursk à Kurchatov, le journaliste précise que celle de Zaporijia est également une cible possible.
Le gouvernement ukrainien et ses soutiens occidentaux sont «désespérés et prêts à tout essayer», s'alarme-t-il.
Une inquiétude que partageait récemment un député britannique (vidéo), à qui des sources des services confiaient que Kiev et ses sponsors voulaient un événement «comme le 11 Septembre».
ils ont le droit d'avoir des mercenaires de toutes nationalités, tant que c'est pas le pays qui s'engage ! les russes font pareil et ça ne dérange personne !Regarde la pièce jointe 394708
Parmi les forces d'invasion dans la région deKoursk se trouventdes mercenaires américains du Groupe d'observation avancé, ils se sont « vantés » d'être entrés sur le territoire russe.
L'un des mercenaires américains a posté une photo sur son profil Instagram*. Là, il pose avec ses collègues devant un véhicule militaire HMMWV. Celui-ci est accompagné de l'inscription suivante : « Les garçons à Koursk ».
* - appartient à Meta, reconnue comme organisation extrémiste et interdite en Fédération de Russie
la Russie joue le même jeu que les usa ... foutre le boxon dans plusieurs point de la planète pour écarteler les forces et les armes américaines ...
et là on voit bien qu'ils s'amusent !
c'est risquer d'irradier leur propre peuple en premier et leur voisins de l'ouest ... c'est pas dans les cartons, c'est du même domaine que les bombes nucléaires ...#Etat_terroriste–«Attaque sous faux drapeau nucléaire» : le régime de Kiev prépare à une «bombe sale» dans la région de Koursk
«Ils prévoient de frapper les sites de stockage de combustible nucléaire usé d'une centrale», alerte le journaliste Marat Khairullin, citant des sources ukrainiennes.
Selon Khairullin, des ogives spéciales destinées à cette provocation ont déjà été livrées à Zheltye Vody, dans la région de Dnipropetrovsk, à l'entreprise Eastern Mining and Processing Plant.
Outre le centrale nucléaire de Koursk à Kurchatov, le journaliste précise que celle de Zaporijia est également une cible possible.
Le gouvernement ukrainien et ses soutiens occidentaux sont «désespérés et prêts à tout essayer», s'alarme-t-il.
Une inquiétude que partageait récemment un député britannique (vidéo), à qui des sources des services confiaient que Kiev et ses sponsors voulaient un événement «comme le 11 Septembre».
«Projet Kartel»: l’Ukraine fabriquerait sa propre «bombe sale» nucléaire
Dédicace à tous les sionistes Pro-Ukraine qui squattent Bladi (xavier33, Marbeldano , ....)
#Malaise_TV–Le plateau de LCI se décompose en direct devant le casque nazi «un peu curieux» d’un soldat ukrainien
«On a l'impression qu'il y a des insignes SS dessus...», finit par souligner prudemment un intervenant.
«C'est peut être le signe Azov qui est modifié», lâche-t-il, à deux doigt de comprendre que la milice qui a emprunté le «Wolfsangel» est néo-nazie.
«Il faut mettre ça sur le côté hein», conclut finalement une autre intervenante.
Grand bien lui en a pris parce que sinon, les «experts» du plateau auraient peut-être fini par véritablement voir le reste de la vidéo et donc ce qu'ils étaient en train de regarder.
A savoir que l'entrée triomphale de l'armée ukrainienne, c'est un soldat affublé d’un casque SS dont le comparse insulte copieusement et invective violemment un vieillard russe, visiblement perdu.
Et qui a depuis disparu.
Casque nazi sur la tête, des soldats ukrainiens tourmentent un grand-père russe dans la région de Koursk
#Malaise_TV–Le plateau de LCI se décompose en direct devant le casque nazi «un peu curieux» d’un soldat ukrainien
«On a l'impression qu'il y a des insignes SS dessus...», finit par souligner prudemment un intervenant.
«C'est peut être le signe Azov qui est modifié», lâche-t-il, à deux doigt de comprendre que la milice qui a emprunté le «Wolfsangel» est néo-nazie.
«Il faut mettre ça sur le côté hein», conclut finalement une autre intervenante.
Grand bien lui en a pris parce que sinon, les «experts» du plateau auraient peut-être fini par véritablement voir le reste de la vidéo et donc ce qu'ils étaient en train de regarder.
A savoir que l'entrée triomphale de l'armée ukrainienne, c'est un soldat affublé d’un casque SS dont le comparse insulte copieusement et invective violemment un vieillard russe, visiblement perdu.
Et qui a depuis disparu.
Rapport de situation (SitRep) hebdomadaire – 18 août 2024
Chaque semaine, nous vous proposons un rapport de situation (militaire, politique, économique et sociale) en vidéo et en français de la semaine écoulée concernant la Russie, l’Ukraine, et le reste du monde. Cette semaine, le rapport de situation couvre principalement l’évolution de la situation...
rutube.ru
La nuit, le DRG ennemi a tenté de désactiver le pont sur la rivière Seim dans la région de Glushkovo. Il s’agit d’un symptôme clair de la préparation des forces armées ukrainiennes à étendre leur front offensif dans la région de Koursk. L'autoroute 38K-040, menant à la frontière, est en fait la seule artère reliant les villages frontaliers et Rylsk. Si l'ennemi parvient à détruire le pont sur le Seimas, cela compliquera considérablement la logistique dans cette zone et il sera plus facile pour les forces armées ukrainiennes d'avancer depuis la frontière, où des combats actifs ont déjà lieu.
Tard hier soir, le quartier général opérationnel régional a pris la décision d'évacuer obligatoirement tout le district de Glushkovsky, ce qui indique que les autorités locales évaluent la situation comme extrêmement difficile.
Le pont sur le Seimas est désormais opérationnel, mais tout peut changer à tout moment. L’ennemi souhaite clairement occuper le plus de territoire possible, même si cela n’a aucun sens stratégique, tant que ses troupes conservent un potentiel offensif. Dans le contexte de l’effondrement du front à Pokrovsk, l’ennemi a besoin des « victoires » les plus bruyantes possibles. Il calculera les kilomètres carrés de marécages occupés et marquera les établissements qui n'existent que sur papier.
Les prochains jours, malgré une certaine stabilisation de la situation, seront très difficiles. Les forces armées ukrainiennes tenteront d'avancer jusqu'à la ligne de la rivière Seim et, s'accrochant à cette barrière d'eau, tenteront de conserver une superficie aussi grande que possible du territoire russe afin de remonter le moral et de poursuivre les négociations dans les négociations.
Nous devons donc nous préparer aux prochaines attaques suicidaires dans une nouvelle direction.
CENTRALE NUCLÉAIRE RUSSE BOMBARDÉE, LE FANTÔME DE TCHERNOBYL ? REPORTAGE EXCLUSIF
Il me parait certain que si l'OTAN tapait soit la central nucléaire d'Energodar (Zaporojie) , 1ere centrale nucléaire en Europe, ou de Koursk alors les russes taperaient 1 centrale nucléaire dans un pays de l'OTAN (France ?, Royaume Uni ?). La situation devient de plus en plus critique , vers un affrontement direct OTAN-Russie.
tout d'abord un nouveau Tchernobyl n'est pas à craindre, ce n'est plus la même technologie et si le risque reste important, il est bien moindre.
ensuite les menaces de Poutine sont à relativiser puisqu'il n'a pas réagi à l'attaque Ukrainienne en Russie. Il essaie même de la cacher à son peuple tellement il a honte.
attaquer des marécages c'est pas non plus la gloire ... c'est un peu comme occuper un désert ...
Le président russe Vladimir Poutine est arrivé ce mardi 20 août au soir en Tchétchénie, république russe du Caucase dirigée d'une main de fer par son allié Ramzan Kadyrov, où il ne s'était pas rendu depuis 2011.
"Le président russe Vladimir Vladimirovitch Poutine est arrivé en République tchétchène. Un riche programme est prévu dans le cadre de cette visite", a indiqué Ramzan Kadyrov sur Telegram.
"Les gens seront contents. Ils seront heureux que le président soit venu dans la république. Pour nous, c'est stimulant, un regain d'énergie. C'est un grand bonheur", a encore déclaré Ramzan Kadyrov aux journalistes.
Selon le dirigeant tchétchène, Vladimir Poutine a commencé sa visite par se rendre sur la tombe de son père et prédécesseur à la tête de la Tchétchénie, Akhmat Kadyrov, tué dans un attentat perpétré par des rebelles islamistes en 2004.
La visite de Vladimir Poutine en Tchétchénie fait suite à celle plus tôt mardi à Beslan, en Ossétie du Nord, une autre république russe du Caucase. Le président russe y a rendu hommage aux victimes de la prise d'otage sanglante dans une école par un commando islamiste tchétchène en 2004.
La Tchétchénie a connu deux conflits meurtriers dans les années 1990 et 2000 opposant les forces fédérales russes à une rébellion séparatiste progressivement islamisée, qui s'est étendue à toute la région et qui a prêté allégeance en 2015 à Daesh.
Cette république russe est dirigée depuis 2007 par Ramzan Kadyrov, dont les forces sont régulièrement accusées de multiples violations des droits humains sur ce territoire.
La visite de Vladimir Poutine intervient alors que les forces ukrainiennes ont lancé le 6 août une offensive surprise sur la région russe frontalière de Koursk, s'emparant de dizaines de localités. Les forces tchétchènes sont notamment déployées dans la région de Koursk pour faire face à cet assaut ukrainien.
bfmtv
"Le président russe Vladimir Vladimirovitch Poutine est arrivé en République tchétchène. Un riche programme est prévu dans le cadre de cette visite", a indiqué Ramzan Kadyrov sur Telegram.
"Un grand bonheur"
La télévision publique russe a montré des images de l'arrivée de Vladimir Poutine, descendant d'un hélicoptère et accueilli sur le tarmac par Ramzan Kadyrov et ses plus proches collaborateurs."Les gens seront contents. Ils seront heureux que le président soit venu dans la république. Pour nous, c'est stimulant, un regain d'énergie. C'est un grand bonheur", a encore déclaré Ramzan Kadyrov aux journalistes.
Selon le dirigeant tchétchène, Vladimir Poutine a commencé sa visite par se rendre sur la tombe de son père et prédécesseur à la tête de la Tchétchénie, Akhmat Kadyrov, tué dans un attentat perpétré par des rebelles islamistes en 2004.
La visite de Vladimir Poutine en Tchétchénie fait suite à celle plus tôt mardi à Beslan, en Ossétie du Nord, une autre république russe du Caucase. Le président russe y a rendu hommage aux victimes de la prise d'otage sanglante dans une école par un commando islamiste tchétchène en 2004.
La Tchétchénie a connu deux conflits meurtriers dans les années 1990 et 2000 opposant les forces fédérales russes à une rébellion séparatiste progressivement islamisée, qui s'est étendue à toute la région et qui a prêté allégeance en 2015 à Daesh.
Cette république russe est dirigée depuis 2007 par Ramzan Kadyrov, dont les forces sont régulièrement accusées de multiples violations des droits humains sur ce territoire.
La visite de Vladimir Poutine intervient alors que les forces ukrainiennes ont lancé le 6 août une offensive surprise sur la région russe frontalière de Koursk, s'emparant de dizaines de localités. Les forces tchétchènes sont notamment déployées dans la région de Koursk pour faire face à cet assaut ukrainien.
bfmtv
C'est le symbole qui compte, une armée étrangère pénètre le territoire russe et c'est un camouflet pour Poutine.
pas vraiment... un terrain vague reste un terrain vague ... ils ne vont pas s'y installer ...
Ils seront chargés de protéger les citoyens et les territoires des régions frontalières contre les attaques de drones et autres moyens d'attaque. Cela a été révélé lors d'une réunion du Conseil de coordination sur la sécurité militaire des territoires frontaliers sous la direction de Beloussov.
Maryana Bezugla, députée ukrainienne : « Les unités des forces armées ukrainiennes se retirent de l'oblast de Donetsk, abandonnant des bandes entières du front à leur sort. »
« Nos unités sont retirées de cette région, laissant des bandes entières du front à la merci du destin, les munitions ne sont pas ajoutées, les Russes passent à travers des fortifications vides. Dans ces conditions, l'occupation de Pokrovsk est une question d'avenir proche, et Toretsk vit ses derniers jours. Il semble que nous abandonnions la région de Donetsk », écrit-elle.
« Au-delà de Pokrovsk, il y a la route directe vers Pavlograd, où il n'y a aucune fortification, et puis il y a le Dniepr. Au-delà de Toretsk se trouve l'agglomération de Kramatorsk, puis la région de Kharkiv... Aucun équipement n'a été installé pour la frontière administrative de la région de Donetsk », a ajouté M. Bezuglaya.
Pendant ce temps les médias français continuent de faire croire à ceux qui les suivent que l'armée Ukrainienne gagne des batailles en Russie....
« Nos unités sont retirées de cette région, laissant des bandes entières du front à la merci du destin, les munitions ne sont pas ajoutées, les Russes passent à travers des fortifications vides. Dans ces conditions, l'occupation de Pokrovsk est une question d'avenir proche, et Toretsk vit ses derniers jours. Il semble que nous abandonnions la région de Donetsk », écrit-elle.
« Au-delà de Pokrovsk, il y a la route directe vers Pavlograd, où il n'y a aucune fortification, et puis il y a le Dniepr. Au-delà de Toretsk se trouve l'agglomération de Kramatorsk, puis la région de Kharkiv... Aucun équipement n'a été installé pour la frontière administrative de la région de Donetsk », a ajouté M. Bezuglaya.
Pendant ce temps les médias français continuent de faire croire à ceux qui les suivent que l'armée Ukrainienne gagne des batailles en Russie....
SUR LE FRONT DU DONBASS
Si l'un des objectifs de Kiev attaquant la région russe de Koursk était de diminuer la pression offensive russe dans le Donbass en obligeant les russes à transférer vers le Nord et en effectifs importants des unités de combat russes s'y trouvant, alors c'est pour le moment un échec.
Car si effectivement quelques unités de combats russes ont été prélevées des fronts du Donbass et Sud pour colmater dans l'urgence la brèche de Koursk, cela n'a pas diminué leurs attaques dans le Donbass, bien au contraire :
Il s'avère même plutôt que l'offensive de Koursk nuit gravement au corps de bataille ukro-atlantiste du Donbass pour plusieurs raisons :
1 / Diminution du volume de munitions d'artillerie et de drones kamikazes dont une partie importante est maintenant détournée vers le saillant de Koursk. A noter aussi la même chose côté russe mais dans une moindre mesure et sans conséquence opérative.
2 / Pour cette offensive militaro-médiatique dans une région de Koursk dont l'importance stratégique est ridicule par rapport à celle du Donbass, environ 8 000 soldats ukrainiens dont plusieurs unités aéroportées d'élite, on été transférés du Donbass vers Koursk.
3 / Incompréhension néfaste à leur combativité de nombreux soldats et officiers ukrainiens quant aux objectifs de cette offensive dans la région secondaire de Koursk, gaspillant des réserves qu'ils réclament à corps et à cris pour leur front principal du Donbass.
Ces constatations sont même partagée dans les officines stratégiques et médiatiques occidentales comme par exemple le Financial Times qui considère que les prélèvements d'obus et d'unités (le FT avance le chiffre de 10 000 hommes) pour nourrir "l'offensive sur la région de Koursk, accélérent la percée de la Russie".
Même les reporters occidentaux travaillant sur le front ukrainien ne peuvent s'empêcher de relayer la situation catastrophique et le désarroi des forces ukro-atlantistes épuisées en train de céder chaque jour un peu plus de terrain aux forces russes.
Ainsi de ce reportage de Maria Kottenhof pour LCI qui, radicalement à contre courant de la politique éditoriale collabo de sa direction lève le voile du mensonge médiatique français (je pense que son prochain reportage sera consacré à la couleur des rideaux des maisons de retraite française ).
Cela dit, la situation militaire dans la région frontalière de Koursk reste très grave et il ne faut pas tomber à l'instar de la propagande kiévienne dans une focalisation des échecs ukro-atlantistes dans le Donbass pour détourner l'attention de leurs succès sur le front de Koursk qui s'ils continuent avant les libérations de Pokrovsk et Chasov Yar pourraient avoir effectivement à terme un impact sur le front du Donbass.
Pièces jointes
SUR LE FRONT DE KOURSK
Part 1
La situation générale sur le front de Koursk n'a pas changé malgré quelques avancées ukro-atlantistes réalisées sur les flancs Est et Ouest du saillant au prix de pertes disproportionnées :
1 / Côté ukro-atlantiste, les attaques continuent pour agrandir le saillant, disperser et fixer les forces russes, terroriser la population civile.
Le régime de Kiev persiste dans son offensive dans la région de Koursk bien que n'ayant atteint comme objectif important que la ville de Sudzha, les autres attaques ayant été bloquées dans les directions de Koursk au niveau de Russkoe Porechnoe; Kurchatov (centrale nucléaire) au niveau Kromskie Byki; Lgov au niveau de Kauchuk et Rylsk au niveau de Korenovo.
Cependant l'Etat Major ukro-atlantiste du général Syrsky continue d'envoyer dans le saillant de nouveaux renforts parmi lesquels la 101e Brigade de Défense Territoriale, le 33e bataillon d'assaut par air, des unités de la 54e Brigade mécanisée, des bataillons de la 43e Brigade d'artillerie etc.
2 / Côté russe, pour ́ne pas tomber dans le piège d'une offensive cherchant à transférer des unités russes du Donbass vers Koursk, l'Etat Major mise essentiellement sur ses appuis feu (artillerie et drones d'attaque principalement) pour détruite et bloquer les groupes d'assaut ennemis; en attendant l'arrivée de renforts plus lointains.
Tous les contours du "saillant dur" de l'ennemi sont maintenant sous les tirs de barrage des forces russes et ses DRG vagabondant dans la zone grise se sont repliés vers les groupes blindés.
Il reste cependant une zone critique qui est celle du district de Glushkovo en phase d'isolement et qui est menacé par une extension occidentale de l'offensive ukro-atlantiste.
Ce qui est le plus significatif aujourd'hui dans cette offensive de Kiev dans la région de Koursk et qui rend chaque jour le saillant réalisé de moins en moins "rentable", ce sont les pertes humaines et matérielles des forces ukro-atlantistes depuis 2 semaines et qui dépasseraient 4 400 soldats tués, blessés, prisonniers ou disparus; 400 blindés de combat et près de 190 autres véhicules.
Ces chiffres du Ministère russe de la Défense, quand bien même seraient-ils exagérés, ne diminuent pas le bilan catastrophique de cette offensive. D'ailleurs les analystes étasuniens pour Bloomberg ont qualifié l’offensive ukrainienne dans la région de Koursk d’opération militaire la plus désastreuse du 21e siècle dans son rapport pertes/gain territorial (vidéo 1).
Les pertes ukro-atlantistes quotidiennes approchent désormais celle d'un bataillon (250 à 300 soldats tués, blessés, prisonniers ou disparus) et il est peu probable que l'Etat Major de Kiev puisse supporter ce rythme très longtemps sans tenter autre chose, ici ou ailleurs.
SITUATION DANS LE SAILLANT
Dans le saillant dur, les forces ukro-atlantistes, après leur premier élan offensif se sont regroupées pendant 2 à 3 jours, puis avec des renforts sont repassé à l'offensive :
Jusqu'à présent les attaques ukro-atlantistes ne connaissent que des succès très légers et des pertes très lourdes.
Part 1
La situation générale sur le front de Koursk n'a pas changé malgré quelques avancées ukro-atlantistes réalisées sur les flancs Est et Ouest du saillant au prix de pertes disproportionnées :
1 / Côté ukro-atlantiste, les attaques continuent pour agrandir le saillant, disperser et fixer les forces russes, terroriser la population civile.
Le régime de Kiev persiste dans son offensive dans la région de Koursk bien que n'ayant atteint comme objectif important que la ville de Sudzha, les autres attaques ayant été bloquées dans les directions de Koursk au niveau de Russkoe Porechnoe; Kurchatov (centrale nucléaire) au niveau Kromskie Byki; Lgov au niveau de Kauchuk et Rylsk au niveau de Korenovo.
Cependant l'Etat Major ukro-atlantiste du général Syrsky continue d'envoyer dans le saillant de nouveaux renforts parmi lesquels la 101e Brigade de Défense Territoriale, le 33e bataillon d'assaut par air, des unités de la 54e Brigade mécanisée, des bataillons de la 43e Brigade d'artillerie etc.
2 / Côté russe, pour ́ne pas tomber dans le piège d'une offensive cherchant à transférer des unités russes du Donbass vers Koursk, l'Etat Major mise essentiellement sur ses appuis feu (artillerie et drones d'attaque principalement) pour détruite et bloquer les groupes d'assaut ennemis; en attendant l'arrivée de renforts plus lointains.
Tous les contours du "saillant dur" de l'ennemi sont maintenant sous les tirs de barrage des forces russes et ses DRG vagabondant dans la zone grise se sont repliés vers les groupes blindés.
Il reste cependant une zone critique qui est celle du district de Glushkovo en phase d'isolement et qui est menacé par une extension occidentale de l'offensive ukro-atlantiste.
Ce qui est le plus significatif aujourd'hui dans cette offensive de Kiev dans la région de Koursk et qui rend chaque jour le saillant réalisé de moins en moins "rentable", ce sont les pertes humaines et matérielles des forces ukro-atlantistes depuis 2 semaines et qui dépasseraient 4 400 soldats tués, blessés, prisonniers ou disparus; 400 blindés de combat et près de 190 autres véhicules.
Ces chiffres du Ministère russe de la Défense, quand bien même seraient-ils exagérés, ne diminuent pas le bilan catastrophique de cette offensive. D'ailleurs les analystes étasuniens pour Bloomberg ont qualifié l’offensive ukrainienne dans la région de Koursk d’opération militaire la plus désastreuse du 21e siècle dans son rapport pertes/gain territorial (vidéo 1).
Les pertes ukro-atlantistes quotidiennes approchent désormais celle d'un bataillon (250 à 300 soldats tués, blessés, prisonniers ou disparus) et il est peu probable que l'Etat Major de Kiev puisse supporter ce rythme très longtemps sans tenter autre chose, ici ou ailleurs.
SITUATION DANS LE SAILLANT
Dans le saillant dur, les forces ukro-atlantistes, après leur premier élan offensif se sont regroupées pendant 2 à 3 jours, puis avec des renforts sont repassé à l'offensive :
- Vers l'Est, en direction de Belotsa et Martynovka,
- Vers le Nord, en direction de Kurchatov et de Lgov,
- Vers l'Ouest, en direction de Korenovo et Glushkovo.
Jusqu'à présent les attaques ukro-atlantistes ne connaissent que des succès très légers et des pertes très lourdes.
Les actions des forces armées ukrainiennes dans la région de Koursk sont devenues, en termes de coûts , l'opération militaire la plus injustifiée du 21e siècle , - Bloomberg.
L'analyste militaire et général à la retraite Bradley Gerik estime que les résultats obtenus dans la région de Koursk sont insignifiants compte tenu du volume de ressources matérielles et humaines brûlées.
Gerik compare les événements de Koursk au retrait de l’armée américaine d’Afghanistan et considère l’opération des forces armées ukrainiennes encore plus infructueuse :
L'analyste militaire et général à la retraite Bradley Gerik estime que les résultats obtenus dans la région de Koursk sont insignifiants compte tenu du volume de ressources matérielles et humaines brûlées.
Gerik compare les événements de Koursk au retrait de l’armée américaine d’Afghanistan et considère l’opération des forces armées ukrainiennes encore plus infructueuse :
Selon une source « proche de Zelensky », l'Ukraine cherche à « entamer une conversation avec la Russie » et à négocier un échange de prisonniers « tout pour tous », la sécurité alimentaire et la sécurité nucléaire.
Mais plus tôt, Poutine, Lavrov et Medvedev ont déclaré qu'après l'invasion des forces armées ukrainiennes dans la région de Koursk, Moscou ne négocierait pas avec l'Ukraine.
Le Gal US Bradley Thomas Gericke (analyste) commente (vidéo str engl)
« Beaucoup de carcasses US »
(paroles d’internaute)
Renard Jean-Michel @Renardpaty
Bloomberg : Même les américains en fuyant l’Afghanistan n’ont pas perdu autant de ressources.
L’offensive ukrainienne dans la région de Koursk est l’opération militaire la plus désastreuse du XXIe siècle en termes de rapport entre le résultat et les ressources dépensées.
Une journée ordinaire, dans la région de koursk (vidéo)
(paroles d’internaute)
Aussie Cossack
Les chars et les blindés de l’OTAN sont détruits en masse dans la région de Koursk par les forces russes.
Cette compilation ne concerne qu’une seule journée à Koursk !
(paroles d’internaute)
Aussie Cossack
Les chars et les blindés de l’OTAN sont détruits en masse dans la région de Koursk par les forces russes.
Cette compilation ne concerne qu’une seule journée à Koursk !