de source faibles peut etre mais tu peux les renforcer quand il y a plusieurs qui se ressemble , et c'est ce que al albani a fait en en decretant un faible de sahih
le hadith a été pommé ou manger par une petite chevre (la meme pour le verset de la lapidation) , d'ailleur quand tu passes de 2 millions de hadiths à 50 milles , forcement tu purges !!
Un hadiths de sources faible et un autre ne font que deux hadiths de source faibles, pas une vérité. Si tu étudies le nombre de hadiths inventés de toutes pièces au cours de l'histoire de l'Islam pour justifier des pratiques ou donner une forme de légitimité à des choix qu'ont voulu imposer certains au niveau politique ou social, la moindre des attitudes doit consister à un maximum de sens critique et de prudence à leur encontre.
Voir "apparaître" des pseudo-hadiths sur le fait d'ôter à la femme son plaisir dans une société ultra-patriarcale qui était celle des premiers siècles doit inciter à un minium de questionnement quand on étudié l'histoire des mentalités arabes des siècles post-islamiques.
Qui plus est, un hadith qui concerne la totalité des femmes mais qui ne parvient qu'au travers d'une chaîne aussi faible laisse un peu dubitatif...
Le hadith disant « La circoncision est une tradition louable (sunnah) pour les hommes et un honneur (makrumah) pour les femmes », a été rapporté entre autres par Hajjâj Ibn Arta’ah, lequel est un falsificateur avéré de hadiths. Raison déjà suffisante pour l'exclure.
On a déjà posté le lien, mais voici un source qui t'explique plus en détail le caractère fallacieux des hadiths sur lesquels tu te bases.
http://www.ihsaane.org/islam-excision.php
Aujourd’hui le Cheikh Tantawi, Cheikh d‘Al-Azhar considère à juste titre que l’excision est une coutume qui n’a rien à voir avec la religion et il y a des doutes sur les dires du Prophète concernant cette pratique et a révélé, que tout Egyptien qu’il est, que sa fille n’avait pas été excisée. C’était à l’occasion du procès de l’excision alors qu’un médecin, le docteur Mounir Fawzi avait attaqué le décret ministériel interdisant l’excision devant le conseil d’Etat égyptien. Il fait remarquer sans raison que « l’excision est une exigence religieuse. Le Prophète (PSL) a dit réduisez et ne mutilez pas. Décret ou pas décret, je la pratique si on me la demande et je continuerai à la pratiquer gratuitement pour qu’on ne dise pas que je défends l’excision à cause de l’argent ». Malgré sa détermination le conseil d’Etat a estimé que dorénavant, il est interdit de pratiquer l’excision, même en cas de consentement de la fille ou de ses parents sous la menace d’une peine de prison de trois ans. Cet exemple égyptien fournit une illustration de la qualité des protagonistes de ce débat qui oppose les passionnés sans culture islamique et les jurisconsultes éclairés. Il est souhaiter et à espérer que la raison islamique finira par l’emporter sur la passion pour le grand bien des femmes et de l’humanité.