Qui va se vacciner contre le corona ?

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Covid-19 : Valneva, le vaccin français dont l’Europe ne veut pas​


Basé à Nantes, le laboratoire Valneva, qui vient de lancer une étude clinique de phase 3, n’est pas parvenu à trouver un accord avec la Commission européenne concernant l’achat groupé de ses vaccins.

Faute d’accord avec l’Union européenne, le laboratoire franco-autrichien Valneva, basé à Nantes, a indiqué hier se tourner vers des discussions pays par pays pour fournir son candidat-vaccin contre le Covid-19.

Estimant que les discussions avec l’UE n’ont pas fait de "progrès significatif" à ce jour, Valneva – qui a annoncé hier le lancement d’une étude clinique de Phase III, dernière étape avant une demande de mise sur le marché, de son candidat vaccin contre le Covid-19–, indique qu’en conséquence, elle ne donnera plus "la priorité aux discussions de fourniture centralisée en cours avec la Commission européenne".

Une Commission trop vétilleuse ?​

"Nous avons consacré beaucoup de temps et d’efforts à essayer de répondre aux exigences du processus d’achat centralisé de la Commission européenne", a fait valoir Thomas Lingelbach, PDG du groupe, cité dans le communiqué, qui regrette l’absence d’accord.

"Nous concentrons désormais nos efforts vers des États membres de l’UE et des parties intéressées en dehors de l’UE qui souhaitent inclure notre approche inactivée dans leur stratégie vaccinale", poursuit-il.

L’Union européenne avait annoncé le 12 janvier avoir conclu "des pourparlers exploratoires" avec Valneva et envisager d’acheter jusqu’à 60 millions de doses.

Mais aucun accord définitif n’a été conclu à ce jour, alors même que les approvisionnements en vaccins ont subi des retards, exposant l’UE aux critiques pour une campagne d’immunisation moins avancée que chez son voisin britannique notamment.

Jusqu’ici, les vaccins de Moderna, de Pfizer-BioNTech et d’AstraZeneca sont disponibles dans l’UE. L’Agence européenne des médicaments a par ailleurs estimé, mardi, que le vaccin Johnson & Johnson, sur lequel comptent de nombreux pays pour accélérer les campagnes d’immunisation, peut être employé, en raison d’un rapport bénéfices/risques favorable.

Mise sur le marché prévue cet automne​

De son côté, Valneva développe un vaccin qui utilise la technologie bien connue du virus inactivé, processus qui permet de créer une réponse immunitaire chez les patients en leur injectant un virus privé de ses capacités de nuire.

Avec le lancement de la phase 3, la dernière avant une éventuelle autorisation, le laboratoire espère une mise sur le marché cet automne.

Le Royaume-Uni a dit oui​

Le Royaume-Uni a lui passé un accord dès juillet 2020, avant de signer en septembre dernier un partenariat portant sur un potentiel de 190 millions de doses achetées, pour une valeur maximale de 1,4 milliard d’euros. Le pays a déjà commandé 100 millions de doses pour 2021-2022. "Le Royaume-Uni a répondu en premier, en grande partie sans doute car nous y étions déjà implantés, et aussi car ils ont cru tout de suite dans notre vaccin inactivé", avait expliqué Franck Grimaud, le directeur général, début février.

 

La pneumonie tue plus d’enfants que toute autre maladie infectieuse (UNICEF)​


Souvent associée aux personnes âgées, la pneumonie est pourtant la maladie infectieuse la plus meurtrière pour les enfants à l’échelle mondiale. Selon le Fonds des Nations Unies pour l'enfance (UNICEF), un enfant meurt des suites d’une pneumonie toutes les 39 secondes alors que la quasi-totalité de ces décès sont évitables.

Selon l’UNICEF, la pneumonie tue plus de 800 000 enfants de moins de 5 ans chaque année, dont plus de 153.000 nouveau-nés, qui courent un risque particulièrement élevé d’infection.

La pneumonie est une infection respiratoire aiguë qui touche les poumons. Elle n’a pas de cause unique – elle peut être provoquée par des bactéries, des virus ou des champignons présents dans l’air. Les poumons d’un enfant infecté se remplissent de liquide, ce qui l’empêche de respirer correctement.

Elle se manifeste généralement par de la toux, des difficultés à respirer et de la fièvre. Les enfants qui souffrent de pneumonie respirent souvent rapidement. Les enfants sont plus susceptibles de contracter une pneumonie en raison d’un système immunitaire immature (les nourrissons) ou affaibli par la dénutrition ou des maladies comme le VIH.

De plus, la pneumonie est contagieuse. Elle peut se propager au moyen de particules suspendues dans l’air comme la toux ou les éternuements, de liquides tels que le sang durant l’accouchement ou de surfaces contaminées.

Suite et source

 
Ils ont enfin découvert le système immunitaire

Bonne nouvelle face au Covid-19 : nos anticorps sont capables de tuer le virus​


Des scientifiques ont montré que, quelle que soit la sévérité de la Covid-19, l’infection induit des anticorps capables de tuer les cellules infectées. Une découverte qui peut aider à la recherche d’un traitement.​

Comment se défend notre organisme lorsqu’il croise le chemin du coronavirus ? Voilà une question sur laquelle bûchent nombre de scientifiques depuis le début de l’épidémie. Et l’état des connaissances se densifie. Une nouvelle étude, publiée ce mercredi 21 avril dans la revue Cell reports medicine, révèle une autre manière, pour le système immunitaire, de combattre le virus en cas d’infection. En s’appuyant sur des études épidémiologiques, des chercheurs de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm), de l’Institut Pasteur, du Centre national de recherche scientifique (CNRS) ainsi que du Vaccine Research Institute adossé à l’Université de Paris-Est Créteil ont montré que des anticorps induits chez des personnes infectées par le Sars-CoV-2 sont capables de tuer les cellules infectées. Et ce, quelle que soit la sévérité de la maladie.

Une découverte qui pourrait, selon Timothée Bruel, co-auteur principal de l'étude et chercheur à l’Institut Pasteur, contribuer au développement d’un traitement pour soigner les malades de la Covid-19. “Aujourd’hui par exemple, on commence à utiliser les anticorps monoclonaux qui sont choisis pour leur capacité à neutraliser le virus, en l’empêchant d’entrer dans les cellules, explique-t-il à Capital. Peut-être qu’à l’avenir, on pourrait créer un cocktail d’anticorps qui en comprendrait un qui neutralise directement le virus, et d’autres qui éliminent les cellules infectées”.
https://www.capital.fr/economie-pol...vaccin-dastrazeneca-est-irrationnelle-1400740
Jusqu’ici, on savait que les anticorps ont un pouvoir neutralisant, qui permet d’empêcher le virus d’entrer dans les cellules et ainsi de se propager dans l’organisme. Là, dans le cadre de la réponse immunitaire à l’infection par le Sars-CoV-2, les chercheurs ont identifié des anticorps qu’ils qualifient de polyfonctionnels. Concrètement, si le virus est parvenu à infecter les cellules, alors les anticorps activent d’autres mécanismes de défense tels que les cellules tueuses NK (Natural Killer), ou bien les molécules du complément. Dans le premier cas, on parle de "cytotoxicité dépendante des anticorps". Un phénomène en deux étapes, au cours duquel les cellules infectées par le virus sont d’abord reconnues par les anticorps, puis détruites par les cellules tueuses NK. L’autre moyen d’attaque, les molécules du complément, correspond à un ensemble de protéines plasmatiques (des protéines contenues dans le plasma sanguin) qui permet aussi d’éliminer les cellules infectées et ciblées par les anticorps.

Une réponse immunitaire légèrement plus faible chez les asymptomatiques

Si ces découvertes ont de quoi donner un peu d’espoir à l’heure où les réponses thérapeutiques pour soigner les malades de la Covid-19 restent limitées, les chercheurs soulignent que l’étendue des fonctions antivirales des anticorps anti-Sars-CoV-2 est encore “mal comprise”. Au même titre que la réponse immunitaire chez les asymptomatiques, qui demeure “mal caractérisée”. Et ce, alors que près de la moitié des personnes infectées par le Sars-CoV-2 ne développe pas de symptôme. Pour autant, en comparant différents groupes de patients, les chercheurs ont conclu que les anticorps polyfonctionnels sont capables de tuer les cellules infectées, que l’on soit symptomatique ou non. “C’est une bonne nouvelle car jusqu’ici, on supposait que les asymptomatiques produisaient beaucoup moins d'anticorps que les symptomatiques”, commente Timothée Bruel. Mais la réponse immunitaire des asymptomatiques serait toutefois légèrement plus faible que celles des patients atteints de formes modérées de la Covid-19.

 
Ils ont enfin découvert le système immunitaire

Bonne nouvelle face au Covid-19 : nos anticorps sont capables de tuer le virus​


Des scientifiques ont montré que, quelle que soit la sévérité de la Covid-19, l’infection induit des anticorps capables de tuer les cellules infectées. Une découverte qui peut aider à la recherche d’un traitement.​

Comment se défend notre organisme lorsqu’il croise le chemin du coronavirus ? Voilà une question sur laquelle bûchent nombre de scientifiques depuis le début de l’épidémie. Et l’état des connaissances se densifie. Une nouvelle étude, publiée ce mercredi 21 avril dans la revue Cell reports medicine, révèle une autre manière, pour le système immunitaire, de combattre le virus en cas d’infection. En s’appuyant sur des études épidémiologiques, des chercheurs de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm), de l’Institut Pasteur, du Centre national de recherche scientifique (CNRS) ainsi que du Vaccine Research Institute adossé à l’Université de Paris-Est Créteil ont montré que des anticorps induits chez des personnes infectées par le Sars-CoV-2 sont capables de tuer les cellules infectées. Et ce, quelle que soit la sévérité de la maladie.

Une découverte qui pourrait, selon Timothée Bruel, co-auteur principal de l'étude et chercheur à l’Institut Pasteur, contribuer au développement d’un traitement pour soigner les malades de la Covid-19. “Aujourd’hui par exemple, on commence à utiliser les anticorps monoclonaux qui sont choisis pour leur capacité à neutraliser le virus, en l’empêchant d’entrer dans les cellules, explique-t-il à Capital. Peut-être qu’à l’avenir, on pourrait créer un cocktail d’anticorps qui en comprendrait un qui neutralise directement le virus, et d’autres qui éliminent les cellules infectées”.
https://www.capital.fr/economie-pol...vaccin-dastrazeneca-est-irrationnelle-1400740
Jusqu’ici, on savait que les anticorps ont un pouvoir neutralisant, qui permet d’empêcher le virus d’entrer dans les cellules et ainsi de se propager dans l’organisme. Là, dans le cadre de la réponse immunitaire à l’infection par le Sars-CoV-2, les chercheurs ont identifié des anticorps qu’ils qualifient de polyfonctionnels. Concrètement, si le virus est parvenu à infecter les cellules, alors les anticorps activent d’autres mécanismes de défense tels que les cellules tueuses NK (Natural Killer), ou bien les molécules du complément. Dans le premier cas, on parle de "cytotoxicité dépendante des anticorps". Un phénomène en deux étapes, au cours duquel les cellules infectées par le virus sont d’abord reconnues par les anticorps, puis détruites par les cellules tueuses NK. L’autre moyen d’attaque, les molécules du complément, correspond à un ensemble de protéines plasmatiques (des protéines contenues dans le plasma sanguin) qui permet aussi d’éliminer les cellules infectées et ciblées par les anticorps.

Une réponse immunitaire légèrement plus faible chez les asymptomatiques

Si ces découvertes ont de quoi donner un peu d’espoir à l’heure où les réponses thérapeutiques pour soigner les malades de la Covid-19 restent limitées, les chercheurs soulignent que l’étendue des fonctions antivirales des anticorps anti-Sars-CoV-2 est encore “mal comprise”. Au même titre que la réponse immunitaire chez les asymptomatiques, qui demeure “mal caractérisée”. Et ce, alors que près de la moitié des personnes infectées par le Sars-CoV-2 ne développe pas de symptôme. Pour autant, en comparant différents groupes de patients, les chercheurs ont conclu que les anticorps polyfonctionnels sont capables de tuer les cellules infectées, que l’on soit symptomatique ou non. “C’est une bonne nouvelle car jusqu’ici, on supposait que les asymptomatiques produisaient beaucoup moins d'anticorps que les symptomatiques”, commente Timothée Bruel. Mais la réponse immunitaire des asymptomatiques serait toutefois légèrement plus faible que celles des patients atteints de formes modérées de la Covid-19.

Ahe donc si le mainstream en parle c’est donc sur c’est vrai MDR 😂
Voilà de quoi rassurer nos amis bladiens :D
 
Les vaccinés au Royaume-Uni seraient plus victimes du virus (l'info serait trompeuse, mouais..). Ils vont nous sortir quoi après.. il faut confiner les vaccinés 🥴

 

Ah oui qd meme ....

Tiré de la je viens de voir ...

5% de guyanais vaccinés et ils y vont de moins en moins ils n écoulent pas du tt les doses

Et ils croient que 5 euros vont motiver les réticents ?

Comme voir Sheila se faire vacciner ça pourrait motiver ?

C est ça une campagne de vaccination ?
 
Je pense que bientôt on devra présenter un certificat de vaccination pour entrer dans les marchés, supermarchés etc... Vu qu'en Allemagne on en est à exiger un test pour pouvoir y accéder.

Ils préparent le terrain, mais ça va arriver vite quand on voit le coup d'accélérateur qu'ils ont mis avec la vaccination.
C'est tout à fait ça
J'ai longtemps hésiter mais avec un peu de recule même s'il s'agit que de quelques mois, je me suis dit ça va être compliqué si je dois le rendre en Allemagne, j y vais assez régulièrement. Si demain je dois prendre un avion en urgence ...
Donc j'ai fait le premier vaccin et bizarrement je le sens très bien, ce n'est pas normal mdrrr
 
C'est tout à fait ça
J'ai longtemps hésiter mais avec un peu de recule même s'il s'agit que de quelques mois, je me suis dit ça va être compliqué si je dois le rendre en Allemagne, j y vais assez régulièrement. Si demain je dois prendre un avion en urgence ...
Donc j'ai fait le premier vaccin et bizarrement je le sens très bien, ce n'est pas normal mdrrr
Inchaallah ikoune khir!
 

"Selon une étude…" Comment repérer une étude sérieuse ?​


Depuis le début de la pandémie de Covid-19, beaucoup d'études sont citées pour donner de la crédibilité aux informations qui circulent sur ce virus. Mais comment faire la différence entre une étude fiable et une étude qui ne l'est pas.



Depuis le début de la pandémie de Covid-19, vous l’entendez sur toutes les chaînes, vous le voyez dans tous les posts de vos réseaux sociaux : "Une étude dit que…" ; "Selon une publication…". Le mot "étude" donne facilement du poids à une information. Certaines publications sont tout de même plus crédibles que d’autres. Alors comment les reconnaître ? Éléments de réponse.





Elle est publiée par une revue crédible​





La première étape pour s’assurer du sérieux d’une étude est de vérifier la crédibilité du site qui la publie. Certains noms ont plus de poids que d’autres. En médecine, la revue britannique The Lancet est par exemple une référence. De nombreux sites répertorient d’ailleurs les principales publications, comme l’Union Nationale des Associations de Formation Médicale et d’Evaluation Continues.



Concernant les critères de publications, chaque éditeur a ses propres règles, plus ou moins strictes. Par exemple, "Medical Hypotheses" a publié la semaine dernière une étude, soi-disant réalisée par l'université de Stanford et diffusant des intox sur le port du masque. En cherchant des informations sur cette revue, on retrouve une publication de son éditeur qui explique proposer "des articles théoriques basés sur des idées scientifiques radicales, spéculatives et non traditionnelles."





Sa méthodologie est claire​





La méthodologie est habituellement juste en dessous des résultats, en première partie et explique le protocole expérimental qui a été suivi. Prenons une étude publiée sur la santé mentale des Français. Juste en dessous des objectifs, on apprend que régulièrement, 2 000 personnes, choisies en fonction de quotas, ont répondu à un même questionnaire en ligne sur leur santé mentale.


Les trois questions principales auxquelles la partie méthodologie doit répondre sont: Comment est choisi l’échantillon? Comment les données sont récoltées? Quelles données sont récoltées? Il important que cette méthodologie soit respéctée pour que l’expérience puisse être refaite d’une part et pour montrer que les scientifiques n’ont pas choisi les paramètres de l’étude pour obtenir les résultats qu’ils voulaient.
 

Elle a été relue​


Ce qui donne aussi sa légitimité à une publication, c'est de savoir si elle a été relue et par qui. Avant d’être mise en ligne par un éditeur, un article doit être relu par des scientifiques réviseurs. Ils vont faire des commentaires pour que l’article soit corrigé, abandonné ou publié. Dans la plupart des cas, les auteurs ne savent pas qui les relisent et les réviseurs ne savent pas le nom de l’auteur : c’est un système de double aveugle.



Le problème dans le cas des publications sur le Covid-19, c’est qu’il faut aller vite et le processus n’est habituellement pas rapide. On peut voir par exemple que cette étude sur la ventilation des cuisines a été envoyée le 22 mai 2020 et n’a pu être publiée qu’un an plus tard, le 22 avril.




Capture d'écran d'une étude sur le site Taylor&Francis Online. (CAPTURE ECRAN / SITE TAYLOR AND FRANCIS ONLINE)
Capture d'écran d'une étude sur le site Taylor&Francis Online. (CAPTURE ECRAN / SITE TAYLOR AND FRANCIS ONLINE)




Certaines études sont donc en "PrePrint" ou "Online First" comme le présente The Lancet, qui précise que beaucoup de ces papiers ont été relus, mais ce n’est pas le cas de tous. Le 2 juin 2020, la revue avait dû enlever une étude, déjà publiée, sur l’ hydroxychloroquine suite à sa relecture.


Les auteurs sont identifiables​


La dernière étape est de déterminer qui a fait une étude. Il y a souvent dans la présentation des auteurs (juste en dessous du titre de la publication) une longue liste de noms, mais tous n’ont pas participé à la recherche. Certains ont seulement relu ou approuvé la version finale du manuscrit.



Les trois questions à se poser sont donc les suivantes : est-ce que les auteurs sont connus ? Est-ce qu’ils sont bien spécialistes dans le domaine de l’étude ? Est-ce qu’ils ont un intérêt à publier les résultats de leur enquête. On peut par exemple vérifier s’il n’y a pas de conflits d’intérêts entre un scientifique et son étude.


Alors avant de partager une étude, pensez à bien vérifier : si la revue qui la publie est bien crédible, si la méthodologie utilisée est fiable, si elle a été relue et si ses auteurs sont identifiables et sérieux. Et comme le disent deux professeurs de l’université de Washington : "N’importe quel article scientifique peut être faux."







 
🤔 Mais que fait du sérum physiologique dans des seringues pour vaccin ? Pour quel usage ?
Heureusement que je ne suis pas complotiste mais seulement constatiste 😇


Erreur à Epernay : dans la seringue, pas de Pfizer, mais du sérum physiologique​


140 habitants d'Epernay ont été victimes d'une erreur, ce mardi au centre de vaccination. A la place du vaccin Pfizer, ils ont reçu une injection de sérum physiologique, heureusement sans conséquence sur la santé.

L'erreur est incroyable mais heureusement sans danger pour la santé : mardi 20 avril au centre de vaccination d'Epernay, 140 personnes ont été vaccinées non pas avec du vaccin Pfizer, mais avec du sérum physiologique !

Cette injection est sans conséquence sur la santé puisque le sérum physiologique est une solution d’eau salée, utilisée dans différents soins comme le nettoyage des plaies, ou encore comme diluant lors d'injections.

Une cadre de santé missionnée à Epernay pour renforcer les procédures de sécurité​

Le centre de vaccination s’est rendu compte de son erreur le lendemain matin, mercredi, et il a immédiatement contacté les 140 personnes concernées. Elles ont pu échanger avec un médecin pour répondre à leurs interrogations et surtout prendre un nouveau rendez-vous. Certaines ont reçu leur dose dès le vendredi 23, les autres seront vaccinées mercredi 28 avril.

A ce stade, les autorités ne font pas de commentaire sur les causes de cette erreur. Elles expliquent qu’elles ont mené une enquête et qu'une cadre de santé a été missionnée sur place pour renforcer les procédures de sécurité.

 
🤔 Mais que fait du sérum physiologique dans des seringues pour vaccin ? Pour quel usage ?
Heureusement que je ne suis pas complotiste mais seulement constatiste 😇


Erreur à Epernay : dans la seringue, pas de Pfizer, mais du sérum physiologique​


140 habitants d'Epernay ont été victimes d'une erreur, ce mardi au centre de vaccination. A la place du vaccin Pfizer, ils ont reçu une injection de sérum physiologique, heureusement sans conséquence sur la santé.

L'erreur est incroyable mais heureusement sans danger pour la santé : mardi 20 avril au centre de vaccination d'Epernay, 140 personnes ont été vaccinées non pas avec du vaccin Pfizer, mais avec du sérum physiologique !

Cette injection est sans conséquence sur la santé puisque le sérum physiologique est une solution d’eau salée, utilisée dans différents soins comme le nettoyage des plaies, ou encore comme diluant lors d'injections.

Une cadre de santé missionnée à Epernay pour renforcer les procédures de sécurité​

Le centre de vaccination s’est rendu compte de son erreur le lendemain matin, mercredi, et il a immédiatement contacté les 140 personnes concernées. Elles ont pu échanger avec un médecin pour répondre à leurs interrogations et surtout prendre un nouveau rendez-vous. Certaines ont reçu leur dose dès le vendredi 23, les autres seront vaccinées mercredi 28 avril.

A ce stade, les autorités ne font pas de commentaire sur les causes de cette erreur. Elles expliquent qu’elles ont mené une enquête et qu'une cadre de santé a été missionnée sur place pour renforcer les procédures de sécurité.


Salam,
Quand je disais ici que les rois, présidents etc... ne prendraient pas de risques sur leurs santés et se faisaient injecter du sérum physio on se moquait de moi etc... certains..
 
Salam,
Quand je disais ici que les rois, présidents se faisaient injecter du sérum physio on se moquait de moi etc... certains..
Des personnes ayant travaillé dans les labos pharmaceutiques avaient alerté que beaucoup de vaccins placebos circuleraient dans un premier temps, pour éviter de faire mauvaise presse et rassurer les populations sur l'innocuité des injections.
 
Salam,
Quand je disais ici que les rois, présidents etc... ne prendraient pas de risques sur leurs santés et se faisaient injecter du sérum physio on se moquait de moi etc... certains..
Cela avait fait un scandale à l'époque

Vaccin H1N1 sans adjuvant réservé à l’élite en Allemagne​


En Allemagne, la population aura droit à un vaccin avec adjuvant, alors que celui prévu pour les dirigeants, le personnel de l’Etat et l’armée ne contient pas d’adjuvants. La polémique secoue tout le pays !

Face au virus de la grippe A, il y aurait un vaccin pour le peuple et un autre pour ceux qui le gouvernent :
-
le Pandemrix de GSK (avec adjuvant) est destiné aux citoyens ordinaires. Il a été commandé à 50 millions d’exemplaires.
-
mais, pour les responsables politiques, les employés de l’Etat et les soldats, le Ministère de l’intérieur a commandé 200 000 doses de Celvapan (sans adjuvant) fabriquées par le groupe Baxter.

 
🤔 Mais que fait du sérum physiologique dans des seringues pour vaccin ? Pour quel usage ?
Heureusement que je ne suis pas complotiste mais seulement constatiste 😇


Erreur à Epernay : dans la seringue, pas de Pfizer, mais du sérum physiologique​


140 habitants d'Epernay ont été victimes d'une erreur, ce mardi au centre de vaccination. A la place du vaccin Pfizer, ils ont reçu une injection de sérum physiologique, heureusement sans conséquence sur la santé.

L'erreur est incroyable mais heureusement sans danger pour la santé : mardi 20 avril au centre de vaccination d'Epernay, 140 personnes ont été vaccinées non pas avec du vaccin Pfizer, mais avec du sérum physiologique !

Cette injection est sans conséquence sur la santé puisque le sérum physiologique est une solution d’eau salée, utilisée dans différents soins comme le nettoyage des plaies, ou encore comme diluant lors d'injections.

Une cadre de santé missionnée à Epernay pour renforcer les procédures de sécurité​

Le centre de vaccination s’est rendu compte de son erreur le lendemain matin, mercredi, et il a immédiatement contacté les 140 personnes concernées. Elles ont pu échanger avec un médecin pour répondre à leurs interrogations et surtout prendre un nouveau rendez-vous. Certaines ont reçu leur dose dès le vendredi 23, les autres seront vaccinées mercredi 28 avril.

A ce stade, les autorités ne font pas de commentaire sur les causes de cette erreur. Elles expliquent qu’elles ont mené une enquête et qu'une cadre de santé a été missionnée sur place pour renforcer les procédures de sécurité.

Wa si seulement c’était que ça !
Inutile de vous dire ce qu il y a dans les vaccins ... tout est indiqué sur leurs sites à conditions de faire des recherches sur les noms barbares ... vous finirez par trouver
Si les gueux le trouvent y’a pas de raison que nos spécialistes bladiens n’y arrivent pas :D
 

La vérité sur les effets secondaires des vaccins à ARNm​


 
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