Sciences et découvertes

Houlala, elle est vieille cette histoire, et c’était une erreur. Les neutrinos ne peuvent pas se déplacer plus vite que la lumière. La fausse découverte avait été démentie quelque temps après son annonce fracassante.

pas plus vite que la lumière , bon, ok
,mais sans masse il contribue par ses oscillations (...)


mam
 
Houlala, elle est vieille cette histoire, et c’était une erreur. Les neutrinos ne peuvent pas se déplacer plus vite que la lumière. La fausse découverte avait été démentie quelque temps après son annonce fracassante.

Merci partido, il me semblait bien que quelque chose clochait. ;)

Ceci dit, il me semble que la théorie d'Einstein n'interdit pas l'existence de particules hypothétiques allant plus vite que la lumière, mais seulement la possibilité pour les objets ayant une masse d'atteindre et de dépasser ce seuil.
 
Certaines maladies sont terrifiantes aussi, et ne pas soigner quand on pourrait, ça peut être aussi contraire à l’éthique.

Difficile de répondre…

La crainte que j'ai là-dessus est que la Chine et l'Occident se lancent dans une course aux armements eugéniques sans fin où il s'agirait de créer des supersoldats et des supercerveaux pour vaincre l'ennemi.
 
Ceci dit, il me semble que la théorie d'Einstein n'interdit pas l'existence de particules hypothétiques allant plus vite que la lumière, mais seulement la possibilité pour les objets ayant une masse d'atteindre et de dépasser ce seuil.
Les neutrinos ont une mase. Et ce n’est pas seulement ce qui a une masse qui ne peut pas dépasser la vitesse de la lumière, c’est tout ce qui peut porter de l’information aussi.
 
Les neutrinos ont une mase. Et ce n’est pas seulement ce qui a une masse qui ne peut pas dépasser la vitesse de la lumière, c’est tout ce qui peut porter de l’information aussi.

Donc les tachyons, ça ne se peut pas selon la théorie d'Einstein? :timide:
 
Donc les tachyons, ça ne se peut pas selon la théorie d'Einstein? :timide:
Les tachyons, c’est de l’histoire ancienne. Le magazine anglophone Nature en parlait dans les années 1980 (je me souviens avoir vu un de ces vieux numéros). Depuis, plus rien, pour ce que j’en sais.

De toutes manières, ils n’ont pas été confirmés et étaient hypothétiques.
 
Les tachyons, c’est de l’histoire ancienne. Le magazine anglophone Nature en parlait dans les années 1980 (je me souviens avoir vu un de ces vieux numéros). Depuis, plus rien, pour ce que j’en sais.

De toutes manières, ils n’ont pas été confirmés et étaient hypothétiques.

Ok merci de l'info. :timide:
 
@Ebion, il y a quand‑même deux choses au moins qui sont plus rapides que la lumière : l’expansion de l’univers et la « communication » entre deux particules intriquées. Mais aucun de ces deux phénomènes ne permet de transmettre ou transporter quelque chose plus vite que la lumière : l’expansion de l’univers, c’est une expansion de l’espace et non‑pas une expansion dans l’espace, et les particules intriquées ne peuvent pas être utilisées pour échanger de l’information, à cause de l’incertitude sur leur état.
 
@Ebion, il y a quand‑même deux choses au moins qui sont plus rapides que la lumière : l’expansion de l’univers et la « communication » entre deux particules intriquées. Mais aucun de ces deux phénomènes ne permet de transmettre ou transporter quelque chose plus vite que la lumière : l’expansion de l’univers, c’est une expansion de l’espace et non‑pas une expansion dans l’espace, et les particules intriquées ne peuvent pas être utilisées pour échanger de l’information, à cause de l’incertitude sur leur état.

Est-ce qu'on pourrait utiliser des trous de vers? :timide:
 
Les travailleurs de demain verront leur performance améliorée et leur sécurité renforcée grâce à cet exosquelette

Semblable à une combinaison favorisant la mobilité des individus, l’exosquelette se développe de plus en plus dans les centres médicaux et de rééducation à travers le monde.

Ce que l’on sait moins, c’est que ces exosquelettes pourraient s’inviter dans le monde du travail. En effet, des ingénieurs d’Ekso Bionics, entreprise californienne pionnière dans la production d’exosquelettes, ont mis au point l’Ekso Works pour les travailleurs industriels. Cette nouvelle technologie pourrait accroître considérablement leur force physique. SooCurious vous en dit plus sur cette invention.

Selon les dires de ses créateurs, l’Ekso Works donnerait presque une impression d’apesanteur, comme si la gravité n’avait pas d’effet sur lui. Il s’agirait d’un outil industriel d’environ 18 kg qui pourrait arriver sur le marché dès 2016 pour un prix qui avoisinerait les 12 000 $.

http://soocurious.com/fr/exosquelet...tm_campaign=Newsletter_Journaliere_2015-07-10


mam
 
@Ebion, il y a quand‑même deux choses au moins qui sont plus rapides que la lumière : l’expansion de l’univers et la « communication » entre deux particules intriquées. Mais aucun de ces deux phénomènes ne permet de transmettre ou transporter quelque chose plus vite que la lumière : l’expansion de l’univers, c’est une expansion de l’espace et non‑pas une expansion dans l’espace, et les particules intriquées ne peuvent pas être utilisées pour échanger de l’information, à cause de l’incertitude sur leur état.

Jeudi 16 juillet de 08:55 à 09:45 sur Arte

Synopsis de Le Big Bang, mes ancêtres et moi
http://playtv.fr/replay/671230/le-big-bang-mes-ancetres-et-moi/


Comment l'univers a-t-il pu tenir dans une tête d'épingle et la vie naître des astres et des galaxies ? Le paléoanthropologue Pascal Picq, l'astrophysicien Hubert Reeves, le physicien spécialiste du temps Etienne Klein et Abhay Ashtekar, théoricien de la gravité quantique, tentent d'éclairer la question de leurs lumières.
Organisée autour de trois moments-clés - la naissance de l'univers, l'apparition de la vie et les origines de l'espèce humaine - cette enquête explore l'observatoire du pic du Midi, le site préhistorique d'Atapuerca, en Espagne, et le grand accélérateur de particules souterrain du CERN, près de Genève.
Une manière de faire le point sur les nouvelles découvertes, mais aussi sur les zones d'ombre qui persistent.

replay sur http://playtv.fr/replay/671229/l'adn-nos-ancetres-et-nous/

La critique TV de télérama du 11/07/2015


« Quand vous touchez votre corps, vous touchez à des tissus composés d'atomes, forgés dans les étoiles par des réactions nucléaires. De sorte qu'on peut strictement dire que nous sommes des poussières d'étoile. » C'est l'astrophysicien Hubert Reeves qui introduit ce documentaire consacré à l'énigme de nos origines. La science dispose d'un récit à ce sujet, mais quel tour prend-il à la lumière des dernières découvertes ?

Naissance de l'Univers, apparition de la vie et origines de l'espèce humaine sont les trois moments clés de cette enquête.
Le physicien spécialiste du temps Etienne Klein,
le généticien spécialiste de l'évolution des populations André Langaney
et le paléoanthropologue Pascal Picq sont sur le pont avec leur verve habituelle pour faire le point dans leur domaine.

De la découverte du rayonnement fossile, trace du big bang, à celle de la cohabitation pendant trente mille ans en Europe de deux espèces humaines génétiquement différentes (Cro-Magnon et Neandertal),
la potion concoctée par les réalisateurs est riche.
Mais il est difficile de balayer quatorze milliards d'années, même en si bonne compagnie, sans donner parfois l'impression d'une compilation studieuse de sujets. — Sophie Lherm

A suivre,
l'ADN, nos ancêtres et nous http://playtv.fr/replay/671229/l'adn-nos-ancetres-et-nous/
Le grand roman de l'Homme http://playtv.fr/replay/671265/le-grand-roman-de-l'homme/


mam
 
Il y a 3500 ans en Crète, une invention provoque l’exode d’une civilisation
Des palais détruits, puis reconstruits, puis à nouveau détruits. Des habitations abandonnées par dizaines. Qu'est-il donc arrivé aux Minoens, brillante civilisation crétoise il y a plus de trois mille ans ? Une étude lève un coin du voile.

Pendant longtemps, l'histoire était simple. Précédant la Grèce antique, une merveilleuse et impressionnante civilisation crétoise établie aux III-IIe millénaires av. J.-C., celle des Minoens, aurait été balayée par une éruption terrifiante : celle du Santorin, supervolcan dont l'effondrement a envoyé un tsunami meurtrier dans l'est de la Méditerranée. Mais avec l'affinement progressif des datations, il a fallu se rendre à l'évidence : cela n'avait rien à voir. Le volcan a explosé au moins soixante-dix ans après la toute première destruction des palais minoens, survenue vers 1700 av. J.-C. Reconstruits entre-temps, les palais sont cette fois définitivement détruits autour de 1450 ans av. J.-C. Seule exception, le plus gros d'entre eux, celui de Cnossos sur la côte nord de l'île, qui se maintient encore quatre-vingt ans. Puis il tombe à son tour.

Pour retracer cette mystérieuse histoire, impossible de se passer de l'archéologie. Car les Minoens ont beau avoir laissé des inscriptions, celles qui datent d'avant la destruction des palais sont rédigées dans une langue à ce jour toujours inconnue. Pas de trace non plus d'éventuels souverains dans les splendides fresques et décorations de cette époque.

L'archéologie, elle, est plus bavarde. Surtout depuis la découverte de nombreux sites dans les campagnes aux alentours des palais. Ces travaux mettent en évidence de curieuses évolutions du peuplement dans l'île. Excepté de rares cas, le nombre de sites occupés par les Minoens a tendance à diminuer, voire à franchement chuter au moment de l'émergence des seconds palais.

La plupart du temps, les spécialistes du monde minoen ont fait de ces phénomènes une lecture essentiellement politique. Ces changements traduiraient, par exemple, des luttes entre palais concurrents, qui aurait fini par tourner à l'avantage de l'un d'eux, Cnossos, réussissant alors à exercer sa domination sur une grande partie de la Crète.

Mais une équipe d'archéologues de l'École française d'Athènes dirigée par Sylvie Müller Celka, du CNRS, a fait une découverte intrigante. Elle a constaté que le phénomène d'abandon des sites était particulièrement marqué dans la région de Malia, sur la côte nord-est de la Crète. Elle a montré qu'entre la période des premiers palais (ceux détruits vers 1700 ans av. J.-C. ) et celle des seconds (ceux détruits avant 1450 av. J.-C.), les Minoens n'ont abandonné définitivement que des sites bien particuliers : presque tous ceux qu'ils occupaient sur les pentes de la montagne qui domine Malia.

Pour comprendre cet abandon, les chercheurs ont examiné en détail la géographie des lieux et la nature des terres qui s'y trouvent. Ils ont mis en évidence trois grandes zones. En bas, ce sont les plaines de la côte, chaudes et plutôt sèches, habitées tout au long de la période minoenne. Le rendement des terres, sans apport important d'eau, y est faible. Tout en haut se trouve la zone d'altitude quasi-inhabitée, où la culture des oliviers et de la vigne est difficile, voire impossible (au-delà de 900 mètres).

Entre les deux se placent les pentes de la montagne (entre 300 et 900 mètres d'altitude). C'est principalement cette zone que les Minoens ont quittée à la période des seconds palais. Ces pentes sont beaucoup plus arrosées que la plaine, et recouvertes en haut par des forêts. Les recherches de l'équipe montrent que les populations y occupaient alors des sites plutôt petits par rapport à ceux de la plaine. Elles y élevaient des chèvres et des moutons, cultivaient de la vigne, des arbres fruitiers, un peu de céréales et produisaient du miel. Dans ces pentes en proie à l'érosion, elles exploitaient de petites parcelles proches de leurs maisons. Elles captaient sans doute l'eau des sources ou des torrents avec des canalisations en terre cuite, dont les archéologues ont trouvé de nombreux fragments.

Mais alors, pourquoi cette soudaine ruée vers la plaine ? Pourquoi quitter un milieu dont ils savaient tirer parti, pour des terres sèches et a priori peu accueillantes ? Peut-être, proposent les chercheurs, parce que les Minoens avaient trouvé la clé pour accéder aux énormes réserves en eau du sous-sol crétois. Ils auraient découvert ou importé de l'étranger le moyen de pomper la nappe phréatique. Et par là, celui d'irriguer massivement les plaines de la côte. Donc d'améliorer considérablement le rendement des terres basses, pour y cultiver oliviers, vignes et légumineuses (la famille des fèves, pois, etc.). Autrement dit, ce serait peut-être une innovation agricole aurait lancé le signal de cet exode vers la plaine.

Mais cette hypothèse est-elle plausible ? Peut-être, car c'est justement au début de la période des seconds palais que les Minoens semblent avoir développé un intérêt pour tout ce qui touche à l'hydraulique. Ces dernières années, des archéologues ont découvert des barrages placés sur des torrents de montagne, datant de cette époque. Ils se trouvent dans l'est de la Crète, dans la vallée de Choiromandres et sur l'îlot de Pseira. Ces dispositifs semblent clairement avoir pour but l'irrigation, répandant leur trop-plein dans des terrasses agricoles situées juste à côté des barrages.

En outre, c'est à peu près à la même époque que les Minoens commencent à creuser des puits, et donc à atteindre la nappe phréatique. Les systèmes qu'ils utilisaient pour amener l'eau à la surface ne nous sont pas parvenus. Étaient-ils suffisamment efficaces pour alimenter un dispositif d'irrigation en plaine ? C'est possible, car au moins un système rudimentaire pour pomper l'eau du sous-sol est alors connu depuis plus d'un millénaire en Mésopotamie. C'est le puits à balancier, où un contrepoids facilite l'ascension du seau. Il est attesté également en Égypte durant la période correspondant aux seconds palais, alors qu'existent justement des relations commerciales avec la Crète.

Cette intense activité hydraulique pourrait aussi être liée à une lente détérioration du climat en Crète, ayant débuté deux mille ans plus tôt. Des études suggèrent en effet que les étés sont devenus de plus en plus secs. Les pluies calmes de l'hiver se seraient progressivement décalées au début de l'automne, devenant torrentielles, entraînant érosion des pentes et manque d'eau pour la végétation au printemps. Dans ces conditions, la vie sur les pentes de la montagne était peut-être devenue de plus en plus difficile avec le temps.

Si cette hypothèse est correcte, alors le phénomène d'abandon des sites d'altitude ne devrait pas être limité à la région de Malia. Tout semble indiquer que c'est bien le cas. En règle générale, à l'arrivée des seconds palais, il y a nettement moins de sites occupés dans les zones d'altitude ou à relief accidenté, alors qu'ils se développent dans les zones de plaine (ou dont le relief permet l'irrigation et l'agriculture intensive).

En outre, si les causes de ces déplacements étaient politiques, les populations auraient normalement fini par revenir. Or ces sites de montagne ne seront jamais réoccupés, ou alors bien après, plus d'un millénaire plus tard.

http://archeo.blog.lemonde.fr/2015/...-invention-provoque-lexode-dune-civilisation/

Des compléments ont été ajoutés à la fin du site que je vous conseille donc d'ouvrir : l'hypothèse fait débat
 
Merci partido, il me semblait bien que quelque chose clochait. ;)

Ceci dit, il me semble que la théorie d'Einstein n'interdit pas l'existence de particules hypothétiques allant plus vite que la lumière, mais seulement la possibilité pour les objets ayant une masse d'atteindre et de dépasser ce seuil.

je vais peut être écrire une bêtise, mais il me semble avoir vu une émission où
il était démontré que le cosmos ou le système solaire rétrécissait
ça influerait sur la vitesse ???
ou la notion de vitesse que nous connaissons ???

parmi vous, quelqu'un aurait des infos là-dessus ???



mam
 
je vais peut être écrire une bêtise, mais il me semble avoir vu une émission où
il était démontré que le cosmos ou le système solaire rétrécissait
ça influerait sur la vitesse ???
ou la notion de vitesse que nous connaissons ???

parmi vous, quelqu'un aurait des infos là-dessus ???



mam

A ma connaissance, l'univers est en expansion par contre la dimension volumique du système solaire est constante.
La vitesse de la lumière est absolue par contre sa trajectoire peut être modifiée par la gravité
 
je vais peut être écrire une bêtise, mais il me semble avoir vu une émission où
il était démontré que le cosmos ou le système solaire rétrécissait
ça influerait sur la vitesse ???
ou la notion de vitesse que nous connaissons ???

parmi vous, quelqu'un aurait des infos là-dessus ???



mam
C’est le contraire, l’expansion de l’Univers s’accélère (pour ce qu’on en sait actuellement).
 
Dernière édition:
A ma connaissance, l'univers est en expansion par contre la dimension volumique du système solaire est constante.
La vitesse de la lumière est absolue par contre sa trajectoire peut être modifiée par la gravité
Oui, mais la question qui était posée, c’était celle de sa constance à travers le temps. Entre autres hypothèses, elle dépendrait de l’indice de réfraction du vide, et il ne serait pas sûr qu’il soit constant (oui, je sais, il est l’indice de référence, égale à 1 par définition, mais je rapporte tel que je l’ai lu).
 
Un fossile de serpent quadripède indique l'origine terrestre de ces reptiles

Un fossile de serpent doté de quatre pattes découvert au Brésil pousse les scientifiques à s'interroger: les reptiles auraient-ils une origine terrestre plutôt que marine?

Cette nouvelle espèce, baptisée Tetrapodophis amplectus et vivant au début du Crétacé entre 146 et 100 millions d'années, présente de nombreux traits physiologiques semblables à ceux des serpents modernes (museau court, boite crânienne allongée, écailles, dents crochues, mâchoire très souple pour avaler de grosses proies).

Quatre pattes, mais pour quoi faire?
Ce reptile avait également une structure vertébrale similaire à celle de ses descendants modernes qui permet une souplesse extrême nécessaire pour étouffer ses proies en les serrant.
La seule grande différence du Tetrapodophis avec les serpents modernes sont ses quatre pattes qui, apparemment, ne servaient pas à se déplacer mais plutôt à saisir des proies ou lors de l'accouplement.

Les auteurs de cette étude ont aussi relevé l'absence de longue queue typique des reptiles aquatiques comme les alligators, confortant l'hypothèse que les serpents ne descendent pas d'ancêtres aquatiques.
Ces chercheurs ont notamment analysé les caractéristiques génétiques et morphologiques du Tetrapodophis qu'ils ont comparées à d'autres espèces connues de serpents.

http://www.lexpress.fr/actualite/sc...ces-reptiles_1701928.html#4X1oKEwsjWKMLxXe.99

mam
 
Espagne : une nouvelle espèce de dinosaure découverte près de Barcelone

Des paléontologues ont découvert en Espagne les restes d'ossements d'une espèce de dinosaures jusqu'ici inconnue, a révélé une étude publiée mercredi.

Baptisé Morelladon beltrani, le nouveau dinosaure appartient au groupe des iguanodons. Il vivait sur la péninsule ibérique il y a 125 millions d'années, indique l'étude publiée dans PLOS ONE, la revue de la Public Library of Science basée en Californie.

Mesurant quelque six mètres de long et 2,5 mètres de haut, la créature était de taille moyenne par rapport à ses congénères. Mais il exhibait un trait caractéristique marquant : une épine dorsale saillante qui, recouverte de peau, lui donnait l'air de porter une «voile» sur le dos. Cette protubérance pouvait servir à réguler sa température corporelle ou à stocker de la graisse, à l'instar de la bosse des dromadaires.

Plusieurs os et 14 dents découverts

Les ossements découverts dans une carrière d'argile rouge incluent plusieurs os du dos et du bassin ainsi que 14 dents, dont seule une a été conservée entière. Ces restes ont été découverts dans une région au sud-ouest de Barcelone où sont installées de nombreuses carrières pour la fabrication de carreaux et des célèbres «azulejos» espagnols.

Le nom du dinosaure renvoie à Morella, commune dans laquelle ces ossements ont été mis au jour, auquel a été ajouté le suffixe «odon» qui signifie «dent» en grec. Il renvoie également à Victor Beltran, l'un des anciens responsables de la carrière Mas de la Parreta, «pour son engagement et sa coopération dans la découverte des différents sites de fossiles», écrivent les auteurs de l'étude.

Cette découverte souligne l'existence d'un groupe «particulièrement varié» de dinosaures de grandes et moyennes tailles qui ont vécu dans l'est de la péninsule ibérique il y a environ 125 millions d'années.

http://www.msn.com/fr-fr/actualite/...ès-de-barcelone/ar-BBnF4jl?ocid=mailsignoutmd

mam
 
La plus vieille salamandre au monde à 200 ans et pèse 52 kg

Çà c’est pas de la petite grenouille !
Dans la région du Chongqing, au centre de la Chine, un pêcheur raconte avoir accidentellement marché sur “quelque chose de mou et visqueux”.
Il s’agissait d’une salamandre géante d’1m40 pour 52 kg et qui serait âgée de…tenez-vous bien…200 ans !

Ce “fossile vivant” est né au 19e siècle sous la dynastie Qing.

Les scientifiques dépêchés sur place ont déterminé que la salamandre était “malade” et l’ont extrait de son milieu naturel pour la placer dans un laboratoire.À noter que les salamandres géantes sont les plus grands amphibiens du monde et une espèce en voie d’extinction. Leur espérance de vie est normalement comprise entre 55 et 80 ans.

http://www.tout-bon.com/salamandre-geante-200ans/

mam
 
Une nouvelle explication des mystérieuses disparitions dans le triangle des Bermudes
Une théorie, défendue par des scientifiques, pourrait faire la lumière sur les dizaines de disparitions étranges d'avions et de bateaux dans cette zone de l'océan Atlantique.


Depuis 70 ans, la légende du triangle des Bermudesintéresse de nombreux cinéastes, romanciers, journalistes et scientifiques. Cette zone géographique imaginaire de l'océan Atlantique située entre Miami, Puerto Rico et les Bermudes et dont le terme a été évoqué pour la première fois en 1963 par le journaliste Vincent Gaddis, aurait en effet été le théâtre d'un grand nombre de disparitions de navires et d'aéronefs. Une équipe de chercheurs russes et norvégiens, qui s'intéressent au phénomène des «dolines sibériennes», dans la péninsule de Yamal, en Sibérie, pourrait avoir trouvé une explication.

De fait, les scientifiques sont en mesure d'expliquer les trous sous-marins qui se forment dans la péninsule de Yamal, sur le pourtour de l'Arctique, indique le«Journal of Geophysical Research», qui, par extension, pourrait également s'appliquer aux mystérieuses disparitions dans le triangle des Bermudes.

«Avec le réchauffement climatique, les poches de méthane - créées par l'action des bactéries - piégées dans le sédiment sous forme solide, fondent sous l'effet du réchauffement des eaux et sont libérées, explique Gilles Reverdin, chercheur au Centre national de la recherche scientifique. Le sédiment peut alors se rompre sous la pression du gaz et provoquer un dégazage important. Ce phénomène provoque une sorte de trou dans l'océan et des bateaux qui navigueraient au-dessus de ces zones n'auraient ainsi plus de portance.» Le navire est ainsi soudainement attiré vers le fond.

Ces poches de méthane, présentes dans le pourtour de l'Arctique, sont également connues sous le nom de «glace qui brûle». En d'autres termes, ces «bulles» de méthane ont été, au fil des siècles, piégées par la glace et sont une sorte de gaz à l'état solide. Ainsi, alors que l'Arctique se réchauffe, la glace fond et libère les bulles de gaz piégées. Ainsi déstabilisées par ces variations de température, les poches de gaz dormantes se réveillent, éclatent et dégagent de grandes quantités de méthane. Selon Pavel Serov, principal auteur de l'article publié dans le «Journal of Geophysical Research», l'une de ces «poches» a été observée en mer de Kara et laisse échapper des flux de méthane. Des cratères sous-marins se forment et des gaz s'échappent, créant une instabilité peu prévisible.

Une hypothèse avait déjà été avancée en 2001
Cette hypothèse avait déjà été avancée en 2001 pour expliquer l'étrange naufrage d'un chalutier. L'épave du bateau avait été découverte au fond de l'océan posée sur sa quille, intacte en apparence et comme placée au centre d'un cratère sous-marin géant. Le bateau avaient en outre coulé dans une région sous-marine, vestige de l'éclatement d'anciennes poches de gaz. De même, une éruption volcanique sous-marine avait provoqué le dégagement d'un important volume de gaz puis un bateau japonais, privé de portance, avait ainsi sombré. Des phénomènes similaires non naturels ont également déjà été observés. En 1985, une plateforme offshore avait été déstabilisée suite à un conduit de forage cassé. Un incident qui avait alors libéré un gros volume de méthane, à même de créer des accidents.

Toutefois, «si la théorie de l'éclatement des poches de méthane est acceptable dans certaines parties de la planète, il peu probable que ce phénomène se produise naturellement dans le triangle des Bermudes. Les fonds marins de l'Atlantique sont trop profonds et la matière organique pas assez importante pour pouvoir provoquer le naufrage de navires», estime Gilles Reverdin.

D'autres explications, parfois farfelues, ont été avancées pour expliquer pourquoi tant d'avions et de bateaux s'évaporent sans laisser de traces dans cette zone de l'Atlantique. Certains avaient évoqué la présence de monstres marins, des enlèvements par des extraterrestres, des perturbations magnétiques ou même des civilisations englouties!

http://www.lefigaro.fr/sciences/201...isparitions-dans-le-triangle-des-bermudes.php
 
Une nouvelle explication des mystérieuses disparitions dans le triangle des Bermudes
Une théorie, défendue par des scientifiques, pourrait faire la lumière sur les dizaines de disparitions étranges d'avions et de bateaux dans cette zone de l'océan Atlantique.


Depuis 70 ans, la légende du triangle des Bermudesintéresse de nombreux cinéastes, romanciers, journalistes et scientifiques. Cette zone géographique imaginaire de l'océan Atlantique située entre Miami, Puerto Rico et les Bermudes et dont le terme a été évoqué pour la première fois en 1963 par le journaliste Vincent Gaddis, aurait en effet été le théâtre d'un grand nombre de disparitions de navires et d'aéronefs. Une équipe de chercheurs russes et norvégiens, qui s'intéressent au phénomène des «dolines sibériennes», dans la péninsule de Yamal, en Sibérie, pourrait avoir trouvé une explication.

De fait, les scientifiques sont en mesure d'expliquer les trous sous-marins qui se forment dans la péninsule de Yamal, sur le pourtour de l'Arctique, indique le«Journal of Geophysical Research», qui, par extension, pourrait également s'appliquer aux mystérieuses disparitions dans le triangle des Bermudes.

«Avec le réchauffement climatique, les poches de méthane - créées par l'action des bactéries - piégées dans le sédiment sous forme solide, fondent sous l'effet du réchauffement des eaux et sont libérées, explique Gilles Reverdin, chercheur au Centre national de la recherche scientifique. Le sédiment peut alors se rompre sous la pression du gaz et provoquer un dégazage important. Ce phénomène provoque une sorte de trou dans l'océan et des bateaux qui navigueraient au-dessus de ces zones n'auraient ainsi plus de portance.» Le navire est ainsi soudainement attiré vers le fond.

Ces poches de méthane, présentes dans le pourtour de l'Arctique, sont également connues sous le nom de «glace qui brûle». En d'autres termes, ces «bulles» de méthane ont été, au fil des siècles, piégées par la glace et sont une sorte de gaz à l'état solide. Ainsi, alors que l'Arctique se réchauffe, la glace fond et libère les bulles de gaz piégées. Ainsi déstabilisées par ces variations de température, les poches de gaz dormantes se réveillent, éclatent et dégagent de grandes quantités de méthane. Selon Pavel Serov, principal auteur de l'article publié dans le «Journal of Geophysical Research», l'une de ces «poches» a été observée en mer de Kara et laisse échapper des flux de méthane. Des cratères sous-marins se forment et des gaz s'échappent, créant une instabilité peu prévisible.

Une hypothèse avait déjà été avancée en 2001
Cette hypothèse avait déjà été avancée en 2001 pour expliquer l'étrange naufrage d'un chalutier. L'épave du bateau avait été découverte au fond de l'océan posée sur sa quille, intacte en apparence et comme placée au centre d'un cratère sous-marin géant. Le bateau avaient en outre coulé dans une région sous-marine, vestige de l'éclatement d'anciennes poches de gaz. De même, une éruption volcanique sous-marine avait provoqué le dégagement d'un important volume de gaz puis un bateau japonais, privé de portance, avait ainsi sombré. Des phénomènes similaires non naturels ont également déjà été observés. En 1985, une plateforme offshore avait été déstabilisée suite à un conduit de forage cassé. Un incident qui avait alors libéré un gros volume de méthane, à même de créer des accidents.

Toutefois, «si la théorie de l'éclatement des poches de méthane est acceptable dans certaines parties de la planète, il peu probable que ce phénomène se produise naturellement dans le triangle des Bermudes. Les fonds marins de l'Atlantique sont trop profonds et la matière organique pas assez importante pour pouvoir provoquer le naufrage de navires», estime Gilles Reverdin.

D'autres explications, parfois farfelues, ont été avancées pour expliquer pourquoi tant d'avions et de bateaux s'évaporent sans laisser de traces dans cette zone de l'Atlantique. Certains avaient évoqué la présence de monstres marins, des enlèvements par des extraterrestres, des perturbations magnétiques ou même des civilisations englouties!

http://www.lefigaro.fr/sciences/201...isparitions-dans-le-triangle-des-bermudes.php
Intéressant je pencherai plus pour le champ magnétique qui crée ensuite le diamagnétisme de l'eau qui crée en réaction du soulèvement des eaux une de ces poches.






:D
 
Intéressant je pencherai plus pour le champ magnétique qui crée ensuite le diamagnétisme de l'eau qui crée en réaction du soulèvement des eaux une de ces poches.






:D
Perso, j'en suis resté à de faux pirates-zombies dévastant la zone (épisode d'un dessin animé de Scoubidou que mon fils regarde en boucle chez ses grands-parents, même s'il fait peur^^).
Je ne suis pas un scientifique faut dire... Mais cette thèse d'implosion gazeuse comme celle de champs magnétiques contraires me semblent intéressantes : je laisse aux gens capables de faire une règle de trois (me faut toujours réfléchir avant d'en réussir une) régler le problème... ou non :)
 
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