Sciences et découvertes

Prêts à tout pour réveiller les morts
" ils sont fous ces romains"

ces chercheurs se lancent dans des expériences inédites

Utiliser des cellules souches pour ramener quelqu'un à la vie ?


Réveiller des personnes en état de mort cérébrale en ranimant leur cerveau.

C’est le projet fou de la société américaine BioQuark, basée à Philadelphie. Avec comme objectif ultime celui de ressusciter les morts.
Une expérience folle


La nouvelle a provoqué un choc dans la communauté scientifique : dans une interview dans la revue STAT, le PDG de BioQuark, Ira Pastor, annonce l’autorisation imminente d’un » pays d’Amérique latine » pour accueillir des essais cliniques.

Le but de ceux-ci seraient dans un premier temps de ramener des patients en état de mort cérébrale vers un « état de conscience minimale« . En somme, ramener des morts à la vie. Les scientifiques comptent combiner plusieurs techniques pour atteindre ce résultat.


La première est l’introduction dans le cerveau, deux fois par semaine, de cellules souches issues de leur propre graisse ou sang.

En outre, les cobayes :( se verront quotidiennement injecté dans la moelle épinière des protéines chimiques développées en laboratoire. Ils devraient par ailleurs être soumis à un traitement au laser transcranien (connu pour ses effets neuroprotecteurs sur des personnes victimes d’AVC)

. Enfin, on cherchera à stimuler le nerf médian courant le long du bras (une méthode utilisée pour sortir les gens du coma). L’idée globale est que ce cocktail de méthodes devrait bien aboutir à des résultats.

Un objectif ambitieux

Un objectif bien ambitieux, tant la méthode soulève les critiques et les doutes. Ira Pastor le reconnaît lui-même : » Si une récupération complète des patients en état de mort cérébrale est bien l’objectif à long terme, ce n’est pas l’objectif principal de ce premier protocole
« .
En 2016, d’ailleurs, un premier projet en Inde avait finalement été annulé au dernier moment par l’Indian Council of Medical Research (les autorités sanitaires du pays). En cause : le flou concernant les résultats attendus, justement, et l’absence d’expérimentations préalables sur des animaux.
Car, comme l’explique dans le journal Science Dean Burnett, neuroscientifique à l’Université de Cardiff, » si travaux récents ont montré que le cerveau humain et le système nerveux étaient moins fixes et irréparables que l’on pensait, l’idée que l’état de mort d’un cerveau puisse être renversé facilement est farfelue « .:claque:

Vidéos et suite sur http://dailygeekshow.com/cerveau-ce...tm_campaign=Newsletter_Journaliere_2017-06-19

mam
 
La huitième merveille du monde retrouvée ?
par Paolo Garoscio

Personne de vivant en 2017 n’a pu la voir et pourtant elle n’a pas disparu il y a si longtemps que ça : la huitième merveille du monde pourrait bien avoir été retrouvée. Il s’agit des cascades du lac Rotomahana, su l’île du Nord de la Nouvelle-Zélande. Elles ont disparu de la surface la planète en 1886 après l’éruption du volcan Tarawera qui se trouve à proximité.
Les cascades retrouvées par des chercheurs ?
Les cascades, de couleur blanche ou rose, ont fait le bonheur des touristes durant le 19ème siècle : des bateaux en provenance du monde entier et tout particulièrement du Royaume-Uni faisaient le déplacement. Elles étaient si belles qu’elles ont été qualifiées de huitième merveille naturelle du monde jusqu’à leur disparition, il y a 131 ans.
La proximité de l’événement a permis à deux chercheurs de retrouver des traces et des écrits et, en particulier, ceux de Ferdinand von Hochstetter. Ce géologue allemand a décrit en détail et avec une précision scientifique le lieu où se trouvaient les cascades. Grâce à ses notes précises, deux chercheurs, Rex Bunn et Sascha Nolden, estiment avoir localisé le lieu avec précision. Et pour eux elles sont encore là.
Des fonds pour creuser et retrouver les cascades du lac Rotomahana
Les chercheurs, outre avoir identifié les lieux, estiment que les cascades pourraient être bien conservées.


L’éruption du volcan les aurait tout simplement recouvertes de boue et de cendres. Les cascades sont donc encore à leur place, plusieurs mètres en dessous de la surface.

Pour en être certains, les deux chercheurs veulent donc trouver des fonds afin de creuser.

S’ils réussissent à prouver que les cascades sont encore là, le gouvernement néo-zélandais pourrait prendre le relais et rendre au monde, et aux touristes, la huitième merveille du monde.

En savoir plus sur http://www.meteocity.com/magazine/a...xaxdwko_kt_nkxnolp_tqy_au#s8JDxhCOFkz8pV1Q.99


mam
 
En 2016, d’ailleurs, un premier projet en Inde avait finalement été annulé au dernier moment par l’Indian Council of Medical Research (les autorités sanitaires du pays). En cause : le flou concernant les résultats attendus, justement, et l’absence d’expérimentations préalables sur des animaux.
Car, comme l’explique dans le journal Science Dean Burnett, neuroscientifique à l’Université de Cardiff, » si travaux récents ont montré que le cerveau humain et le système nerveux étaient moins fixes et irréparables que l’on pensait, l’idée que l’état de mort d’un cerveau puisse être renversé facilement est farfelue « .:claque:

Vidéos et suite sur http://dailygeekshow.com/cerveau-ce...tm_campaign=Newsletter_Journaliere_2017-06-19

mam

L'idee n'est pas mauvaise du tout. Si ce n'etait pas une companie americaine qui doit se soumettre au boycott US, elle aurait pu s'installer en Iran, le mecque de la biotechnologie basee sur les cellules de souche. Car l'Iran, contrairement a d'autres pays, n'a pas d'ojections ethico-religieuses a cette branche de la recherche medicale.
 
L'idee n'est pas mauvaise du tout. Si ce n'etait pas une companie americaine qui doit se soumettre au boycott US, elle aurait pu s'installer en Iran, le mecque de la biotechnologie basee sur les cellules de souche. Car l'Iran, contrairement a d'autres pays, n'a pas d'ojections ethico-religieuses a cette branche de la recherche medicale.

mais en france, en droit civil ça poserait des soucis en "droit de la famille" surtout concernant les héritages
les avocats auraient des cheveux à se faire ;)
mais c'est vrai : l'idée n'est pas mauvaise qu'un point de vie purement scientifique :cool:

mam
 
En cherchant des réponses à une question sur l'adaptabilité de l'organisme humain aux amplitudes thermiques journalières importantes, j'ai découvert ce site remarquable, trilingue français anglais arabe, créé par mahi TABET AOUL, qui a également un profil Facebook.
Je voulais juste en faire profiter ceux qui sont susceptibles d'être intéressés.
https://maghreb-clim-env.jimdo.com/
 
En cherchant des réponses à une question sur l'adaptabilité de l'organisme humain aux amplitudes thermiques journalières importantes, j'ai découvert ce site remarquable, trilingue français anglais arabe, créé par mahi TABET AOUL, qui a également un profil Facebook.
Je voulais juste en faire profiter ceux qui sont susceptibles d'être intéressés.
https://maghreb-clim-env.jimdo.com/
C’est plein de documents intéressants (en plus en trois langues, intéressantes pour les gens qui s’intéressent aux langues). Il y a par exemple un lien vers un document sur le calcul des radiations du Soleil reçues par la Terre. Il faut avoir un compte Google et s’y connecter, pour pouvoir télécharger les documents sur Google Drive. Juste dommage que le PDF ne soit pas préféré au DOCX pour les téléchargements.
 
J'ai bien aimé sa phrase sur son compte facebook : " je cherche à fédérer les chercheurs du Maghreb en publiant leurs travaux sur mon site et en les faisant connaitre".
Moi en tout cas je vais essayer de faire de la pub à son site.
 
Une "Pompéi viennoise" découverte au bord du Rhône, près de Vienne


Le site de Sainte-Colombe a été classé en "découverte exceptionnelle". Somptueuses maisons, décors des mosaïques, pavements en marbre, les vestiges sont très bien conservés.
Le site est "exceptionnel", "une petite Pompéi viennoise", s'enthousiasme les archéologues. Ces scientifiques ont découvert un faubourg entier de la Vienne romaine. S'y côtoient luxueuses demeures et vastes espaces publics très bien conservés.

"Il s'agit sans doute de la fouille la plus exceptionnelle de l'époque romaine depuis 40 ou 50 ans. Nous avons une chance inouïe", ajoute Benjamin Clément, responsable scientifique de cette opération d'archéologie préventive, préalable à la construction d'immeubles à Sainte-Colombe (Rhône). Commencée en avril, la fouille, menée par une vingtaine de spécialistes, devait prendre fin mi-septembre. Elle a été prolongée jusqu'au 15 décembre, après son classement en "découverte exceptionnelle" par le ministère de la Culture.
Les vestiges protégés par les flammes
Le site occupé pendant trois siècles est remarquable à plus d'un titre: par sa superficie de près de 7000 mètres carrés en milieu urbain, ce qui est très rare, par la diversité des vestiges et par leur état de conservation, résume Benjamin Clément. "Ce sont des incendies successifs qui ont permis de conserver tous les éléments en place quand les habitants ont fui la catastrophe", s'exclame-t-il.

Ainsi, le feu a fait s'effondrer le premier étage, le toit et la terrasse d'une somptueuse demeure entourée de jardins, datant de la 2e moitié du Ier siècle et baptisée la Maison des Bacchanales, en raison d'une mosaïque au cortège de bacchantes et de satyres entourant un Bacchus. Les étages effondrés ont été préservés, le mobilier abandonné sur place.

Le faste de la maison avec ses balustrades, les décors de ses mosaïques, ses pavements de marbre, son réseau hydraulique, évoquent aux archéologues un riche marchand venu d'Orient. Et le sinistre qui l'a ravagée est pour eux une bénédiction: "On va pouvoir restituer cette maison du sol à la toiture, comme à Pompéi ou Herculanum", se réjouit BenjaminClément.

Une mosaïque préservée dans sa quasi-totalité
Après plusieurs autres, une superbe mosaïque préservée dans sa quasi-totalité, dans la maison de Thalie et Pan, est déposée avec mille précautions en ce début de semaine. On y voit Thalie, les fesses dénudées, kidnappée par un Pan lubrique.
Elle devrait être restaurée à l'atelier du musée gallo-romain de Saint-Romain-en-Gal - Vienne, tout proche, et faire en 2019 l'objet d'une exposition temporaire, précise le céramologue Bertrand Bonaventure, responsable d'opération chez Archeodunum, entreprise spécialisée dans l'archéologie préventive.

La Vienne romaine se trouvait à un carrefour de circulation, avec le Rhône et la Narbonnaise, voie qui allait de Lyon, capitale des Gaules, à Arles. "C'était l'autoroute A7 de l'Antiquité !", sourit Benjamin Clément. Un autre axe l'avait sans doute précédée et "c'est aussi exceptionnel de pouvoir analyser les états antérieurs de la Voie de Narbonnaise", l'une des plus importantes de l'époque.
En bordure du Rhône, deux marchés successifs, un temporaire et un permanent, ont été remplacés plus tard par un très grand édifice public au plan atypique, avec une fontaine monumentale ornée d'une statue d'Hercule. "Cela pourrait correspondre à une schola, une école rhétorique ou philosophique. On sait grâce aux inscriptions qu'existait une école très importante à Vienne. On pourrait donc l'avoir localisée", espère l'archéologue. Les futures analyses le diront.

D'ici décembre, les archéologues vont fouiller une zone d'ateliers et accéder aux niveaux plus
anciens du site. "En creusant encore, nous allons sans doute découvrir d'autres choses exceptionnelles".

http://www.lexpress.fr/actualite/sc...-au-bord-du-rhone-pres-de-vienne_1932453.html

mam
 
Les secrets d’une prothèse en bois égyptienne vieille de 3000 ans se dévoilent

C'est une découverte très rare : un orteil de bois vieux de 3000 ans, servant de prothèse à la fille d'un prêtre égyptien. Ressemblante et fonctionnelle, c'est l'une des plus vieilles prothèses au monde actuellement découvertes.
La prothèse était portée par la fille d'un prêtre égyptien.
https://www.sciencesetavenir.fr/ass...000-594ba795777fa-01-prothese-gross-print.jpg
University of Basel / Matjaž Kačičnik

Les secrets ne s'emportent pas toujours dans la tombe…

En 1871, quand deux frères égyptiens partent à la recherche de leur chèvre égarée, ils ne se doutaient pas de la découverte qu'ils étaient sur le point de faire. Comme le raconte la tradition orale, en se glissant dans une ouverture creusée dans la roche, ils découvrent la nécropole privée Cheikh Abd el-Gournah, où est notamment enterré l'ancien maire de Thèbes sous le règne d'Amenhotep II (roi de -1428 à -1400 environ), Sennefer.

C'est une autre tombe de cette nécropole qui retient actuellement l'attention des chercheurs de l'Université de Basel : la TT95, qui abritait la momie d'une femme portant une prothèse de bois, après une amputation du gros orteil droit. Loin de la jambe de bois des pirates, c'est une découverte rare dont les scientifiques percent peu à peu les secrets.

Un (bout de) pied dans la tombe
Vieille d'environ 3000 ans, elle serait, selon les chercheurs, l'une des plus vieilles prothèses actuellement découvertes.
Faite d'une partie en bois et de pièces de cuir pour la fixation sur le pieds, des traces d'usure montrent qu'elle n'était pas seulement décorative mais servait réellement à son utilisatrice.
Très détaillée et ressemblante, elle "témoigne des compétences d'un artisan qui connaissait très bien la physionomie humaine", explique le communiqué.
Un savoir faire qui permet à la prothèse d'être particulièrement mobile, et le système de fixation solide. Une chercheuse de l'Université de Manchester l'avait d'ailleurs fait essayé en 2011 à des volontaires amputés du même orteil, qui l'avaient trouvé très confortable.

Sa porteuse était la fille d'un prêtre, probablement haut placé et assez riche pour offrir une prothèse "réalisée de façon aussi laborieuse et méticuleuse". "Sa propriétaire attachait de l'importance à une ressemblance naturelle, à l'esthétique et au confort", indique le communiqué.

Grâce à la microscopie moderne, au passage aux rayons X et à la tomodensimétrie par ordinateur, ils ont pu constater que l'orteil de bois avait été modifié plusieurs fois pour l'adapter au pied de sa propriétaire.

"Cela montre à quel point l'intégrité du corps humain était importante", confie le Dr Andrea Loprieno-Gnirs, en charge du projet, au Daily Mail."

Cela montre aussi à quel niveau ces peuples souhaitaient déjà compenser l'handicap physique, et qu'ils avaient des technologies très sophistiquées pour la fabrication de prothèses. C'est un travail très impressionnant".

https://www.sciencesetavenir.fr/arc...ienne-vieille-de-3000-ans-se-devoilent_114060

mam


 
Un nouveau dinosaure, cousin proche de l'oviraptor, a été découvert et décrit par des paléontologues chinois. Baptisé Corythoraptor jacobsi, il devait probablement ressembler aux casoars d'Australie et de Nouvelle-Guinée.

Ce qu'il faut retenir
De nombreux dinosaures à plumes ont été découverts en Chine. L'un des derniers en date s'appelle Corythoraptor jacobsi, ce qui signifie « le voleur à crête de Jacobs ».Haut d'environ 1,6 mètre, ce dinosaure autruche vivait il y a entre 100 et 66 millions d'années, pendant le Crétacé supérieur.Sa crête et son squelette laissent penser qu'il devait ressembler beaucoup aux casoars, des oiseaux modernes.
Interview : les oiseaux sont-ils les derniers descendants des dinosaures ? Avec les multiples découvertes de dinosaures à plumes en Chine, se pose la question du lien avec les oiseaux. Ces derniers pourraient-ils être les descendants de ces créatures disparues ? Futura-Sciences a interviewé Éric Buffetaut, paléontologue, afin d’en savoir plus sur la question.
Depuis les années 1990, la Chine a livré bon nombre de Des fossiles.. de dinosaures montrant clairement la présence de plumes chez certains de ces terribles lézards et justifiant la connexion (reconnue dès le XIXe siècle) entre les dinosaures et les oiseaux. Un article publié dans le célèbre journal Scientific Reports le démontre à nouveau. Il fait état de la découverte d'un nouvel oviraptoridé, un membre d'une fameuse famille éteinte de dinosaures théropodes à plumes dont l'un des plus connus est, bien sûr, l'oviraptor.
Les restes fossilisés de ce dinosaure ont été déterrés en 2015 non loin de Canton (Guangzhou), la capitale de la province du Guangdong, dans le sud de la Chine. Presque complets, ils révèlent un animal d'environ 1,6 mètre de haut, taillé pour la course bipède à la façon des autruches modernes. Celui-ci est mort alors qu'il était un jeune adulte âgé d'au moins 8 ans, pendant le Le climat au Crétacé
Au Crétacé, le climat planétaire était particulièrement chaud, ce qui permit le développement massif du planctonCrétacé supérieur, c'est-à-dire il y a entre 100 et 66 millions d'années.


Un étrange dinosaure autruche découvert en Chine


Un casoar unicaronculé de Nouvelle-Guinée. © Wikipédia, CC by-sa 3.0
Corythoraptor jacobsi, un dinosaure à crête comme les casoars
L'animal se signale par la présence d'une crête osseuse de 15 cm de haut. Compte tenu de son aspect général, il devait probablement ressembler beaucoup au casoar unicaronculé (Casuarius unappendiculatus), une L'espèce est l'entité fondamentale des classifications, qui réunit les êtres vivants présentant un ensemble de caractéristiques morphologiques, anatomiques, espèce d'oiseaux qui vit au nord de la Nouvelle-Guinée, ou encore au casoar à casque (Casuarius casuarius), d'Australie et d'Indonésie.
Bien que craintifs, les casoars sont dangereux car leurs pattes sont dotées d'une griffe longue qui peut infliger des blessures comparables à celles laissées par un poignard.
Le nouveau dinosaure a été baptisé Corythoraptor jacobsi en l'honneur du professeur Louis L. Jacobs (ce paléontologue états-unien a été le mentor de trois des paléontologues chinois alors qu'ils étaient doctorants dans une université à Dallas, au Texas). Sa crête et ses similitudes avec le casoar laissent penser que cette partie du corps devait servir pour la parade, et donc pour la reproduction, et que, plus généralement, les styles de vie des deux types d'animaux devaient être comparables.

http://www.futura-sciences.com/plan...trange-dinosaure-autruche-decouvert-en-Chine]

mam
 
Un crâne vieux de 13 millions d'années éclaire les origines des grands singes

A quoi pouvait ressembler l'ancêtre commun aux grands singes vivants et aux humains ?

La remarquable découverte en Afrique d'un crâne de jeune primate âgé de 13 millions d'années permet de s'en faire une idée, révèle une étude publiée dans la revue "Nature".


Trouvé près du lac Turkana au Kenya, le fossile est celui d'une nouvelle espèce appartenant au genre Nyanzapithecus, une branche primitive des hominoïdes. Le groupe des hominoïdes, dit des grands singes ["ape" en anglais], comprend actuellement les humains, les chimpanzés, les gorilles, les bonobos, les orangs-outans et les gibbons.


Surnommée Nyanzapithecus alesi ["ales" signifiant ancêtre en langue Turkana], la nouvelle espèce "ressemblait à un gibbon" sur certains aspects mais pas sur d'autres, déclare Isaiah Nengo, premier auteur de l'étude parue mercredi dans "Nature".
Le primate avait une face plate mais il ne se déplaçait pas de la même façon que les gibbons.




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A quoi pouvait ressembler l'ancêtre commun aux grands singes vivants et aux humains ? La remarquable découverte en Afrique d'un crâne de jeune primate âgé de 13 millions d'années permet de s'en faire une idée, révèle une étude publiée dans la revue "Nature".
Trouvé près du lac Turkana au Kenya, le fossile est celui d'une nouvelle espèce appartenant au genre Nyanzapithecus, une branche primitive des hominoïdes. Le groupe des hominoïdes, dit des grands singes ["ape" en anglais], comprend actuellement les humains, les chimpanzés, les gorilles, les bonobos, les orangs-outans et les gibbons.
Surnommée Nyanzapithecus alesi ["ales" signifiant ancêtre en langue Turkana], la nouvelle espèce "ressemblait à un gibbon" sur certains aspects mais pas sur d'autres, déclare Isaiah Nengo, premier auteur de l'étude parue mercredi dans "Nature". Le primate avait une face plate mais il ne se déplaçait pas de la même façon que les gibbons.


Il était âgé de un an et quatre mois au moment de sa mort, ont déterminé les scientifiques. Adulte, il aurait pesé environ 11 kilos. Isaiah Nengo, chercheur de l'Institut du Bassin du Turkana et de l'Université de Stony Brook aux Etats-Unis, note :
"Nyanzapithecus alesi faisait partie d'un groupe de primates qui a vécu en Afrique pendant plus de 10 millions d'années. Sa découverte montre que ce groupe était proche de l'origine des grands singes actuels et des humains et que cette origine se trouvait en Afrique."
C'est son équipe qui a mis au jour le fossile en 2014 dans des sédiments volcaniques de la région de Napudet, à l'ouest du lac Turkana dans le nord du Kenya.
http://referentiel.nouvelobs.com/file/16193407.jpg

"Il s'agit d'une découverte exceptionnelle car le crâne est quasiment complet", a déclaré Paul Tafforeau, paléoanthropologue à l'ESRF, le synchrotron européen de Grenoble où le fossile a été scanné en trois dimensions.
Alesi vivait pendant le Miocène, entre 23 millions et 5 millions d'années.

Or très peu de fossiles de grands singes ont été trouvés jusqu'à présent pour la période antérieure à 7 millions d'années. Le plus vieux fossile de grand singe connu a été découvert dans des dépôts vieux de 25 millions d'années en Tanzanie, mais il ne s'agit que d'un maxillaire. Sinon, quelques dents isolées et un morceau d'humérus ont été trouvés.

"Ce qui fait tout l'intérêt de ce spécimen, c'est qu'on est à une période charnière de la diversification des grands singes, juste avant la colonisation de l'Europe et l'Asie par certaines espèces à partir de l'Afrique. On se doutait que l'origine du groupe était en Afrique mais ce fossile permet de montrer que l'évolution principale du groupe est bien restée sur ce continent.

Cela invalide en grande partie une théorie dite du 'ticket aller-et-retour', c'est-à-dire le fait que le groupe des hominoïdes serait apparu en Afrique, aurait évolué en Asie et serait revenu en Afrique après."

Il s'agit du fossile de grand singe le plus complet pour le Miocène, découvert à ce jour, ajoute-t-il. Légèrement déformé, il ne lui manque que ses dents de lait qui ont été cassées. L'imagerie sophistiquée du synchrotron de Grenoble a permis de calculer, quasiment au jour près, l'âge de ce primate, grâce aux stries de croissance des dents. Au moment de sa mort, il avait 485 jours, avec une marge d'erreur de 40 jours.
"Sa séquence dentaire est la même que celle des gibbons actuels", note Paul Tafforeau. Mais son oreille interne est très différente de celle de ces derniers, très agiles pour se déplacer dans les arbres. L'oreille interne d'Alesi ressemble davantage à celle d'un chimpanzé. L'ancêtre commun à l'homme et aux chimpanzés vivait en Afrique il y a sept millions d'années.

nouvelobs

mam

 
pour les passionné(e)s de dinosaure

Voici Patagotitan mayorum, le plus grand de tous les dinosaures

Il y a environ cent millions d'années, dans l'actuelle Patagonie, des jeunes titanosaures vivaient dans une plaine d'inondation qui deviendra plus tard un désert en Patagonie. Leurs restes fossilisés viennent de révéler une nouvelle espèce qui pourrait fort bien être la plus grande parmi tous les dinosaures. Son nom : Patagotitan mayorum.
Ce qu'il faut retenir
Les titanosaures forment un groupe de sauropodes herbivores célèbres pour leurs grandes tailles. Les plus grands datent du Crétacé et ont été découverts en Argentine.Une nouvelle espèce, dont le squelette avait déjà été reconstitué pour une exposition, a été l'objet d'une étude longue de quatre années.Patagotitan mayorum, c'est son nom, dépasse pour le moment par sa taille et son poids tous les autres dinosaures géants connus à ce jour.
En Matière organique, matière azotée, etc.
Il existe différentes familles comme :

la matière organique, qui constitue les êtres vivants (animaux ou végétaux) ou..." data-image="http://fr.cdn.v5.futura-sciences.com/buildsv6/images/midioriginal/e/7/0/e70ccaaf4a_91935_matiere.jpg" data-url="/sciences/definitions/matiere-matiere-15841/" data-more="Lire la suite">matière de dinosaures, l'Argentine et la Patagonie occupent régulièrement le devant de la scène depuis plus d'une décennie. C'est avec raison car on y a trouvé des spécimens parmi les plus anciens, comme Herrerasaurus, et parmi les plus grands, comme Argentinosaurus. Ce dernier fait partie des Titanosauria (les titanosaures en français), un groupe de dinosaures Les sauropodes, les.sauropodes herbivores dominants à la fin du Le climat au Crétacé

Au Crétacé, le climat planétaire était particulièrement chaud, ce qui permit le développement massif du plancton (bancs de..." data-image="http://fr.cdn.v5.futura-sciences.co...c75f_21204_7637-carte-cretace-mrugala-com.jpg" data-url="/planete/definitions/paleontologie-cretace-1971/" data-more="Lire la suite">Crétacé et dont on trouve des représentants un peu partout sur la planète, y compris en France.
En 2012, un employé du ranch de La Flecha en Patagonie, propriété de la famille Mayo, avait signalé la présence d'ossements fossilisés. Lorsque l'importance du site a été réalisée, les paléontologues ont commencé à affluer pour venir fouiller. Ce ne sont pas moins de six animaux qui ont été identifiés dans les plus de 150
Des fossiles...déterrés par une quinzaine de chercheurs, géologues et étudiants, gratuitement hébergés par les Mayo. Il s'agissait clairement des restes d'individus sans doute jeunes d'une nouvelle L'espèce est l'entité fondamentale des classifications, qui réunit les êtres vivants présentant un ensemble de caractéristiques morphologiques, anatomiques,(...)espèce de dinosaure de très grande taille mais dont il restait à préciser la nature.


+ de précisions sur http://www.futura-sciences.com/plan...ayorum--le-plus-grand-de-tous-les-dinosaures]


mam
 
Les secrets d’une prothèse en bois égyptienne vieille de 3000 ans se dévoilent

C'est une découverte très rare : un orteil de bois vieux de 3000 ans, servant de prothèse à la fille d'un prêtre égyptien. Ressemblante et fonctionnelle, c'est l'une des plus vieilles prothèses au monde actuellement découvertes.
La prothèse était portée par la fille d'un prêtre égyptien.
https://www.sciencesetavenir.fr/ass...000-594ba795777fa-01-prothese-gross-print.jpg
[…]
Dommage qu’ils ne disent pas en quel bois cette prothèse était faite.
 
Un nouveau titanosaure découvert en Tanzanie

Shingopana songwensis : c'est le nom d'un nouveau titanosaure découvert en Tanzanie et qui vivait il y a plus de 70 millions d'années. Ce dinosaure herbivore au long cou avait la taille d'un orque.
Ce qu'il faut retenir
Peu de titanosaures, ces sauropodes herbivores, ont été découverts en Afrique, par comparaison avec d'autres régions, comme l'Argentine. Toute nouvelle découverte peut donc nous aider à mieux comprendre ce qui s'est passé sur ce continent à l'époque des dinosaures.Une équipe de paléontologues vient d'annoncer la découverte et l'identification d'un second titanosaure en Tanzanie qui vécut pendant le Crétacé supérieur. Son nom : Shingopana songwensis.
Entre la découverte de fossiles et la publication d'un article dans une revue scientifique, il peut s'écouler de longues années. En voici un nouvel exemple avec un article tout juste paru dans Journal of Vertebrate Paleontology décrivant un nouveau titanosaure trouvé en Afrique et découvert... en 2002. Il a fallu en effet plusieurs années pour extraire du sol ses restes fossilisés.
Le nouveau venu est tanzanien et il s'appelle Shingopana songwensis.

Les lois de la biomécanique indiquent qu'il devait peser environ 5 tonnes, c'est-à-dire le poids de deux ou trois voitures, qu'il était long 8 m et que son cou pouvait élever sa tête jusqu'à une hauteur de 4 m.

Des caractéristiques impressionnantes mais pas autant que celles de ses cousins qui vivaient en Argentine, tel le Patagotitan mayorum.

Les paléontologues sur le terrain en Tanzanie. Ils se préparent à plâtrer un os de titanosaure.

la suite sur http://www.futura-sciences.com/plan...Un-nouveau-titanosaure-decouvert-en-Tanzanie]

mam
 
@Difkoum Voici le plus vieux vin du monde

La découverte est majeure pour les archéologues mais aussi pour l'histoire du vin :

le vin le plus vieux du monde aurait été découvert et il serait plus vieux que ce qu'on pensait.

Pas de quelques années : de plusieurs millénaires. Mais n'espérez pas en boire une gorgée, aussi vinaigrée soit-elle.

Du vin vieux de 6 000 ans ?

La découverte a été faite par l'équipe de Davide Tanasi, de l'Université de la Floride du Sud.
Ils ont analysé des traces présentes dans des jarres découvertes sur un site archéologique italien afin de déterminer quels étaient les produits utilisés pour les offrandes.
Le site, situé en Sicile, était en effet un site religieux. Mais les chercheurs ne s'attendaient pas à ce qu'ils allaient découvrir.

Les résultats des analyses ont été publiées dans la revue
Microchemical Journal
. Menées par le chimiste Enrico Greco, de l'Université de Catane en Sicile, elles ont permis de mettre en évidence des traces de raisin fermenté dans des jarres découvertes sur le site. Or, le raisin fermenté est tout simplement du vin, même s'il y a fort à parier que le goût était loin de celui qu'on boit aujourd'hui.


Le vin connu dès le 4ème siècle avant Jésus-Christ
Découvrir du vin dans des offrandes n'est pas chose rare mais dans le cas présent c'est la date qui compte : les jarres, découvertes dans une grotte du mont Kronio près d'Agrigente, remontent au 4ème siècle avant Jésus-Christ, soit bien avant l'Empire Romain.

Or, de mémoire d'archéologue, les traces de vin les plus anciennes jamais retrouvées dataient seulement du premier millénaire avant Jésus-Christ.

La découverte est donc historique : la fabrication du vin était déjà connue 3 000 ans avant ce qu'on croyait initialement.
Jusqu'à présent les premières traces de viticulture et de production de vin avaient été identifiées en Sardaigne.

https://www.radins.com/actualites/v...e=OSD.axhiuhh_hev_ojxaxdwko_kt_nkxnolp_tqy_au

mam
 
@Difkoum Voici le plus vieux vin du monde

La découverte est majeure pour les archéologues mais aussi pour l'histoire du vin :

le vin le plus vieux du monde aurait été découvert et il serait plus vieux que ce qu'on pensait.

Pas de quelques années : de plusieurs millénaires. Mais n'espérez pas en boire une gorgée, aussi vinaigrée soit-elle.

Du vin vieux de 6 000 ans ?

La découverte a été faite par l'équipe de Davide Tanasi, de l'Université de la Floride du Sud.
Ils ont analysé des traces présentes dans des jarres découvertes sur un site archéologique italien afin de déterminer quels étaient les produits utilisés pour les offrandes.
Le site, situé en Sicile, était en effet un site religieux. Mais les chercheurs ne s'attendaient pas à ce qu'ils allaient découvrir.

Les résultats des analyses ont été publiées dans la revue
Microchemical Journal
. Menées par le chimiste Enrico Greco, de l'Université de Catane en Sicile, elles ont permis de mettre en évidence des traces de raisin fermenté dans des jarres découvertes sur le site. Or, le raisin fermenté est tout simplement du vin, même s'il y a fort à parier que le goût était loin de celui qu'on boit aujourd'hui.


Le vin connu dès le 4ème siècle avant Jésus-Christ
Découvrir du vin dans des offrandes n'est pas chose rare mais dans le cas présent c'est la date qui compte : les jarres, découvertes dans une grotte du mont Kronio près d'Agrigente, remontent au 4ème siècle avant Jésus-Christ, soit bien avant l'Empire Romain.

Or, de mémoire d'archéologue, les traces de vin les plus anciennes jamais retrouvées dataient seulement du premier millénaire avant Jésus-Christ.

La découverte est donc historique : la fabrication du vin était déjà connue 3 000 ans avant ce qu'on croyait initialement.
Jusqu'à présent les premières traces de viticulture et de production de vin avaient été identifiées en Sardaigne.

https://www.radins.com/actualites/v...e=OSD.axhiuhh_hev_ojxaxdwko_kt_nkxnolp_tqy_au

mam
Salam mam'zelle :love:
Si ils cherchent quelqu'un pour tester, je me dévoue :D

Bonne fête khti mam
 
Tunisie: une cité romaine découverte sous la mer près de Nabeul

Une équipe d’archéologues tunisiens et italiens a annoncé cet été la découverte d’une cité romaine, Néapolis, sur le littoral tunisien, à quelques mètres de Nabeul.

Une partie de la ville avait disparu au IVe siècle après J.-C., ravagée par un tsunami.

C’est une découverte qui a dépassé leurs espérances.

L'équipe conjointe de l'Institut national du patrimoine tunisien (INP) et de l'université de Sassari-Oristano en Italie, qui scrutait le golfe de Hammamet depuis 2010, avait pour objectif de retrouver le port de Néapolis, la partie antique de la ville de Nabeul enfouie sous les eaux.


Cet été, les très bonnes conditions météorologiques ont permis une exploration approfondie du large de Nabeul. L’expédition a mis au jour vingt hectares de ville antique, submergée par la mer Méditerranée au IVe siècle avant J.-C.

Sur les images de l'Institut national du patrimoine tunisien, les crevasses entièrement recouvertes d'algues cachent les vestiges de cette cité grecque, devenue colonie romaine sous le règne de l'empereur Auguste.

L’historien grec Thucydide donne la première mention de la ville, au Ve siècle avant J.-C.

Centre économique

Outre les rues et les monuments sous-marins, les archéologues ont découvert près d’une centaine de cuves de salaisons et de « garum »
. Denrée très convoitée par les Romains, cet onéreux condiment est une sorte de sauce à base de poisson dont le goût s'apparente à celui du nuoc-mam vietnamien.

Brassé dans ces cuves, le « garum » était ensuite stocké dans des amphores « qui ont été exportées à travers presque toute la Méditerranée et ont dressé des ponts entre les différentes villes » dans la région, explique Mounir Fantar, directeur de la mission archéologique.

« Cette découverte nous a permis d'avoir la certitude que Néapolis était un grand centre de production de garum et de salaison, probablement le plus grand centre dans le monde romain. Les notables de Néapolis devaient vraiment leur fortune au garum », ajoute le chercheur.


Victime d'un tsunami

Autre fait non négligeable, cette découverte et l’analyse des premiers vestiges ont permis de confirmer les écrits d'Ammien Marcellin (v.330-v.395).
Cet historien grec racontait alors que la ville avait souffert d’un puissant séisme le 21 juillet 365 après J.-C., comme de nombreuses cités au bord du bassin méditerranéen.

Il est désormais établi qu’un tsunami, provoqué par ce séisme, a effacé une partie de la vieille cité. Les contemporains avaient alors dû délocaliser les activités de salaison. Aujourd’hui, la priorité des archéologues est d’en faire une réserve archéologique.
« Le plus important n’est pas de fouiller, mais de conserver », justifie Mounir Fantar.
(Avec agences)

mam
 
Cette découverte est la preuve irréfutable que les femmes guerrières existaient chez les Vikings

Les Vikings ont toujours été considérés comme des combattants brutaux, mais efficaces en toutes circonstances. L’invasion de Paris au IXe siècle en fut la preuve. Mais alors que l’on pensait leurs armées exclusivement composées d’hommes, une nouvelle découverte pourrait tout changer.

Des légendes nombreuses mais des faits rares
La présence de femmes au sein des Vikings a toujours déchaîné les passions.
Dans la mythologie nordique, les Valkyries sont les guerrières qui servaient Odin, maître des dieux.
Cette légende, qui leur conférait des capacités guerrières exceptionnelles et des armures dantesques, a alimenté bon nombre d’œuvres connues à ce jour.
Ces dernières militarisent alors le rôle de la femme dans la société guerrière que composaient les Vikings. La série Vikings par exemple, voit Katherine Winnick camper le rôle de Lagertha, une Viking sanguinaire. Mais jusqu’ici, les preuves de la présence de femmes parmi les guerriers vikings étaient inexistantes…

La seule preuve d’une influence militaire de la gent féminine chez les Nordiques remonte à 2011, lorsqu’un chercheur en études médiévales à l’Université d’Australie-Occidentale publie dans le magazine Early Medieval Europe des trouvailles concernant la présence de femmes chez les premiers colons vikings, en 900 après J.C.
Mais là encore, rien ne prouve leur caractère guerrier et leur place militaire dans cette société patriarcale.


C’est dans les années 1880 qu’un squelette viking a été découvert en Suède, dans la ville de Birka près de Stockholm.
Près du squelette, l’on avait découvert une épée, des flèches à pointes pouvant percer une armure, et des pièces ainsi que le plateau d’un jeu de stratégie. Jusqu’ici, le sexe qu’on lui donnait était celui d’un homme. Logique, puisque dans l’imaginaire collectif, la femme ne s’occupait que de nourrir son homme…
Mais ce n’est que 140 ans plus tard que les analyses ADN ont donné un résultat tout à fait différent.

Les archéologues et les généticiens liés au dossier ont en effet découvert que ce n’étaient pas des chromosomes X et Y qui composaient les os du squelette, mais deux chromosomes XX !
Le squelette, nommé Bj 581, avait au moins 30 ans lorsque sa propriétaire est décédée. « C’est la première preuve formelle et génétique d’une guerrière viking », a déclaré Mattias Jakobson, chercheur de l’Université d’Uppsala en Suède.

meneuse d'hommes
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mam






 
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