Aigleloyal
VIB
Viol en réunion
Le calvaire de l’adolescente se poursuit avec, selon le récit qu’elle a déroulé à la police, des pénétrations vaginales, anales et des ********** imposées sans préservatif par J. et W. Après le viol commis en réunion, ils menacent de tuer leur victime si elle parle à la police. Ils lui ordonnent également d’apporter 200 euros le lendemain, à 16 heures, dans ce même local désaffecté, avec une menace non dissimulée : si la jeune fille ne s’y plie pas, il lui « arrivera malheur » ainsi qu’à sa famille : « ils savent où ils habitent ».
Abandonnée dans cette ancienne crèche, l’adolescente rentre chez elle et livre l’horreur qu’elle vient de subir à ses parents, qui alertent la police. Après leur avoir déroulé son récit, Axelle conduit les enquêteurs sur le lieu du crime où ils découvrent « un monticule de papiers brûlés et un crachat qu’elle désigne comme étant le sien », utile à l’analyse génétique. Par ailleurs, l’ami d’Axelle, qui a vu F. et J. l’emmener de force avec eux mais n’a pas assisté aux agressions, leur fournit une description détaillée des suspects. Un portrait affiné par les images de vidéosurveillance sur lesquelles les trois garçons apparaissent.
Lundi, les mis en cause ont été interpellés par la brigade territoriale de protection de la famille des Hauts-de-Seine. « Lors de leur interrogatoire de première comparution, ils ont fait de brèves déclarations spontanées, exprimant des regrets vis-à-vis de la victime sans aborder leur implication dans les faits », souligne le parquet de Nanterre. Mercredi soir, en soutien à la jeune fille, une manifestation contre l’antisémitisme était organisée devant l’hôtel de ville de Paris
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Le calvaire de l’adolescente se poursuit avec, selon le récit qu’elle a déroulé à la police, des pénétrations vaginales, anales et des ********** imposées sans préservatif par J. et W. Après le viol commis en réunion, ils menacent de tuer leur victime si elle parle à la police. Ils lui ordonnent également d’apporter 200 euros le lendemain, à 16 heures, dans ce même local désaffecté, avec une menace non dissimulée : si la jeune fille ne s’y plie pas, il lui « arrivera malheur » ainsi qu’à sa famille : « ils savent où ils habitent ».
Abandonnée dans cette ancienne crèche, l’adolescente rentre chez elle et livre l’horreur qu’elle vient de subir à ses parents, qui alertent la police. Après leur avoir déroulé son récit, Axelle conduit les enquêteurs sur le lieu du crime où ils découvrent « un monticule de papiers brûlés et un crachat qu’elle désigne comme étant le sien », utile à l’analyse génétique. Par ailleurs, l’ami d’Axelle, qui a vu F. et J. l’emmener de force avec eux mais n’a pas assisté aux agressions, leur fournit une description détaillée des suspects. Un portrait affiné par les images de vidéosurveillance sur lesquelles les trois garçons apparaissent.
Lundi, les mis en cause ont été interpellés par la brigade territoriale de protection de la famille des Hauts-de-Seine. « Lors de leur interrogatoire de première comparution, ils ont fait de brèves déclarations spontanées, exprimant des regrets vis-à-vis de la victime sans aborder leur implication dans les faits », souligne le parquet de Nanterre. Mercredi soir, en soutien à la jeune fille, une manifestation contre l’antisémitisme était organisée devant l’hôtel de ville de Paris

Le calvaire de l’adolescente victime d’un viol antijuifs à Courbevoie
Trois garçons de 12 et 13 ans l’ont traînée de force dans un local désaffecté de Courbevoie où ils l’ont insultée, menacée de mort et violée. Deux ont été placés en détention provisoire.
