Me d'Ollone, l'avocat du voyageur mis en examen pour "homicide involontaire", remet en cause au micro d'Europe 1 la version de l'altercation avec Babu, mort poussé sous les rails du métro à la station Crimée. En s'appuyant sur les témoignages des personnes présentes sur les lieux de l'agression, Me d'Ollone a assuré : "Il n'y a pas eu d'agression de jeunes filles, il n'y a pas eu d'agresseur qui a conduit Babu sur les quais. Ça ne s'est pas du tout passé comme ça", a commenté l'avocat.
"Ce qu'il s'est passé, c'est que dans la rame, mon client a proposé des bonbons à une jeune fille qui a refusé. Tout cela était bon enfant", a assuré l'avocat. Ce dernier, qui s'appuie notamment sur les images de vidéosurveillance, a expliqué que son client "a eu peur" de Babu et a décidé de quitter la rame.
"On voit Babu qui se jette sur mon client une première fois, puis Babu se jette une nouvelle fois sur mon client et le fait tomber. Mon client le repousse vivement, Babu recule et il tombe sur les rails. Il est électrocuté et il décède", a-t-il raconté.
Me d'Ollone souhaite donc rétablir la vérité et a assuré que "Babu a pris l'initiative de la bagarre alors que mon client est resté passif, jamais menaçant". "L'histoire qui a été contée ne correspond pas à la réalité", a-t-il conclu.
"Ce qu'il s'est passé, c'est que dans la rame, mon client a proposé des bonbons à une jeune fille qui a refusé. Tout cela était bon enfant", a assuré l'avocat. Ce dernier, qui s'appuie notamment sur les images de vidéosurveillance, a expliqué que son client "a eu peur" de Babu et a décidé de quitter la rame.
"On voit Babu qui se jette sur mon client une première fois, puis Babu se jette une nouvelle fois sur mon client et le fait tomber. Mon client le repousse vivement, Babu recule et il tombe sur les rails. Il est électrocuté et il décède", a-t-il raconté.
Me d'Ollone souhaite donc rétablir la vérité et a assuré que "Babu a pris l'initiative de la bagarre alors que mon client est resté passif, jamais menaçant". "L'histoire qui a été contée ne correspond pas à la réalité", a-t-il conclu.