Vers un re confinement à la fin octobre ?

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Vers un re confinement généralisé ?


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« La médecine libérale est devenu une médecine d’État gérée par des administratifs! » : auto‑contradictoire, j’imagine qu’il est de gauche ou d’extrême‑gauche. Les Pays Bas sont par exemple plus libérales que la france, et tu as cité une actualité disant qu’un tribunal des Pays Bas condamne l’état pour abus d’état d’urgence.

Le « tout aux mains de l’état », c’est l’opposé du libéralisme, c’est le communisme ou plus généralement l’étatisme. Mais les partisans de la gauche ne peuvent pas le dire comme ça, alors ils accusent l’étatisme d’être un libéralisme, sans se soucier que l’affirmation est une contradiction.
 
« La médecine libérale est devenu une médecine d’État gérée par des administratifs! » : auto‑contradictoire, j’imagine qu’il est de gauche ou d’extrême‑gauche. Les Pays Bas sont par exemple plus libérales que la france, et tu as cité une actualité disant qu’un tribunal des Pays Bas condamne l’état pour abus d’état d’urgence.

Le « tout aux mains de l’état », c’est l’opposé du libéralisme, c’est le communisme ou plus généralement l’étatisme. Mais les partisans de la gauche ne peuvent pas le dire comme ça, alors ils accusent l’étatisme d’être un libéralisme, sans se soucier que l’affirmation est une contradiction.

Je suppose qu'il n'emploie pas le mot "libéral" dans ce sens, rien à voir avec la politique.

Plutôt dans le sens de la liberté de prescrire, qui n'existe plus de nos jours.
 
Il faut le savoir :

Couvre-feu : le domicile privé, un lieu « inviolable et sacré »


Depuis quelques semaines, contrôles et amendes se multiplient pour lutter contre le « non-respect du couvre-feu ». Le dispositif légal est pourtant fragile.


« On essaie, quand on invite des amis, de ne pas être plus de six à table. » En octobre dernier, à la veille du premier couvre-feu, Emmanuel Macron faisait part de cette recommandation aux Français dans le but de limiter la propagation de l'épidémie de coronavirus. Un deuxième confinement et un nouveau couvre-feu avancé à 18 heures plus tard, l'injonction reste toujours valable. Mais au contraire du Royaume-Uni, qui a formellement interdit les rassemblements à plus de six en septembre, la France, elle, a dû se contenter de le recommander, ne pouvant pas l'imposer par voie légale, même à travers la loi sur l'état d'urgence sanitaire.
En France, il est en effet impossible de porter atteinte au domicile, dont on dit qu'il est « inviolable et sacré ». « Le domicile est considéré comme la quintessence de la vie privée », rappelle Julia Courvoisier, avocate pénaliste au barreau de Paris. Aucune loi ne permet donc de limiter le nombre d'invités chez soi. Jeudi 4 février dernier, lors d'une conférence de presse, le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin annonçait pourtant le démantèlement de 190 « rassemblements festifs », assurant dans le même temps que les contrôles allaient « s'intensifier » dans les semaines à venir.

« Risque de mort immédiat »​

« Le ministre de l'Intérieur, qui fait des conseils en matière de politique pénale, a donc demandé aux procureurs de la République de charger les policiers d'accroître les verbalisations pour non-respect du couvre-feu », explique Me Courvoisier. Sans motif valable et en cas de contrôle à l'extérieur entre 18 heures et 6 heures, l'amende est donc de 135 euros. Mais qu'en est-il des soirées privées à domicile, alors que la loi interdit formellement aux forces de l'ordre de pénétrer chez un particulier ? Depuis l'entrée en vigueur du couvre-feu le 15 décembre dernier, les forces de l'ordre ont le plus souvent recours à des verbalisations pour tapage nocturne ou mise en danger d'autrui, deux infractions qui ne sont pourtant pas toujours justifiées.

« La mise en danger de la vie d'autrui est un délit très compliqué à caractériser », note Me Courvoisier. Selon l'article 223-1 du Code pénal, il s'agit du fait « d'exposer directement autrui à un risque immédiat de mort ou de blessures de nature à entraîner une mutilation ou une infirmité permanente », un délit puni d'un an d'emprisonnement et de 15 000 euros d'amende. « Pour qualifier la mise en danger d'autrui, il faudrait démontrer au tribunal que le risque d'atteinte à la vie d'autrui est direct et conscient, or ce n'est pas le cas en matière de Covid, dans la mesure où il faudrait savoir que l'on est atteint du virus puis y exposer les gens volontairement », précise Me Courvoisier, avant d'ajouter : « Problème, ce délit représente la seule possibilité légale pour placer les gens en garde à vue. »

 
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Un abus de droit​

En France, plusieurs organisateurs de soirées ont en effet été placés en garde à vue pour « mise en danger de la vie d'autrui », quand les participants, eux, ont écopé d'amendes pour « non-respect du couvre-feu », alors même qu'ils se trouvaient dans des domiciles privés. À Lille, une étudiante de 18 ans a par exemple été brièvement mise en garde à vue vendredi 22 janvier après avoir organisé une fête avec 60 personnes dans son appartement. Prévenue par plusieurs appels de riverains pour tapage nocturne, la police est intervenue peu après minuit. L'organisatrice, elle, avait fini par être relâchée quelques heures plus tard. Et il existe des dizaines d'affaires similaires partout en France.
« Placer quelqu'un en garde à vue dans le contexte d'un rassemblement privé festif, c'est tout simplement un abus de droit », fustige Me Julia Courvoisier. L'avocate rappelle que s'il n'est pas illégal de recevoir chez soi, il est aussi possible de refuser l'entrée du domicile aux policiers : « Pour qu'un policier puisse entrer chez vous, il lui faut l'autorisation d'un juge, qu'on appelle commission rogatoire. En principe, dans le cadre d'un délit de droit commun, on ne peut entrer chez quelqu'un qu'à partir de 6 heures du matin [il existe des exceptions, notamment en matière de terrorisme, NDLR]. » Si malgré cela, les policiers entrent quand même, il s'agit donc d'une violation de domicile, qui constitue une infraction pénale, aggravée par le statut de force de l'ordre. En ce qui concerne le tapage nocturne, il reste à l'appréciation des policiers et peut être puni d'une amende de 450 euros. Encore une fois, les policiers n'ont pas le droit de pénétrer dans le domicile sans y être invités ou sans commission rogatoire.

Un délit qui n'est pas constitué​

« Le problème, c'est que les gens ne connaissent pas forcément leurs droits. Quand des policiers frappent à ta porte et te disent que tu vas être placé en garde à vue, dans le cas d'une verbalisation pour mise en danger de la vie d'autrui, c'est à la fois impressionnant et dissuasif. Alors souvent, les gens baissent la musique et les invitent à entrer. À partir du moment où on les laisse entrer, le cadre légal est respecté. Ils verbalisent ensuite pour non-respect du couvre-feu, en sachant très bien que la personne est dans son domicile. Ils estiment – à juste titre – que les gens ne savent pas ou qu'ils n'auront ni le courage ni les moyens de contester l'amende devant le tribunal de police, car cela prend du temps et nécessite des ressources », juge Me Courvoisier.

Dès lors, la grande majorité des contrôles effectués dans le cadre de ce délit semble tout à fait injustifiée. « On est officiellement en dehors de tout cadre juridique dans la mesure où l'officier de police, sous la responsabilité du parquet, a la possibilité de placer quelqu'un en garde à vue en cas de flagrant délit. Mais il sait précisément que cette restriction de liberté est abusive, car elle ne rentrera pas dans les clous de la mise en danger de la vie d'autrui », précise l'avocate.

Cela s'ajoute donc au fait que le délit n'est souvent pas constitué. Une note de la direction des affaires criminelles et des grâces du ministère de la Justice, datée du 23 mars 2020 et révélée par Le Monde, recommandait d'ailleurs de « formellement » écarter la qualification de « mise en danger délibérée de la vie d'autrui », en cas de non-respect des mesures de confinement. Le document précise que ce délit implique un « risque immédiat de mort ou de blessures graves », une condition qui « ne paraît pas remplie au regard des données épidémiologiques connues »

« Dérive autoritaire »​

De fait, l'avocate s'attend à beaucoup de classements sans suite. « On tord la loi pénale avec les placements en garde à vue, tout en ayant conscience qu'il n'y aura pas de poursuites. C'est donc de l'abus d'utilisation de droit, car on sait précisément que ça n'est pas de la mise en danger de la vie d'autrui. Quand on met quelqu'un en garde à vue, c'est qu'on le soupçonne d'avoir commis ou tenté de commettre un délit, une infraction. Or, ici, le délit n'est pas constitué : il est là, l'abus », martèle l'avocate, qui n'hésite pas à parler de « dérive autoritaire ».

 
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Un abus de droit​

En France, plusieurs organisateurs de soirées ont en effet été placés en garde à vue pour « mise en danger de la vie d'autrui », quand les participants, eux, ont écopé d'amendes pour « non-respect du couvre-feu », alors même qu'ils se trouvaient dans des domiciles privés. À Lille, une étudiante de 18 ans a par exemple été brièvement mise en garde à vue vendredi 22 janvier après avoir organisé une fête avec 60 personnes dans son appartement. Prévenue par plusieurs appels de riverains pour tapage nocturne, la police est intervenue peu après minuit. L'organisatrice, elle, avait fini par être relâchée quelques heures plus tard. Et il existe des dizaines d'affaires similaires partout en France.
« Placer quelqu'un en garde à vue dans le contexte d'un rassemblement privé festif, c'est tout simplement un abus de droit », fustige Me Julia Courvoisier. L'avocate rappelle que s'il n'est pas illégal de recevoir chez soi, il est aussi possible de refuser l'entrée du domicile aux policiers : « Pour qu'un policier puisse entrer chez vous, il lui faut l'autorisation d'un juge, qu'on appelle commission rogatoire. En principe, dans le cadre d'un délit de droit commun, on ne peut entrer chez quelqu'un qu'à partir de 6 heures du matin [il existe des exceptions, notamment en matière de terrorisme, NDLR]. » Si malgré cela, les policiers entrent quand même, il s'agit donc d'une violation de domicile, qui constitue une infraction pénale, aggravée par le statut de force de l'ordre. En ce qui concerne le tapage nocturne, il reste à l'appréciation des policiers et peut être puni d'une amende de 450 euros. Encore une fois, les policiers n'ont pas le droit de pénétrer dans le domicile sans y être invités ou sans commission rogatoire.

Un délit qui n'est pas constitué​

« Le problème, c'est que les gens ne connaissent pas forcément leurs droits. Quand des policiers frappent à ta porte et te disent que tu vas être placé en garde à vue, dans le cas d'une verbalisation pour mise en danger de la vie d'autrui, c'est à la fois impressionnant et dissuasif. Alors souvent, les gens baissent la musique et les invitent à entrer. À partir du moment où on les laisse entrer, le cadre légal est respecté. Ils verbalisent ensuite pour non-respect du couvre-feu, en sachant très bien que la personne est dans son domicile. Ils estiment – à juste titre – que les gens ne savent pas ou qu'ils n'auront ni le courage ni les moyens de contester l'amende devant le tribunal de police, car cela prend du temps et nécessite des ressources », juge Me Courvoisier.

Dès lors, la grande majorité des contrôles effectués dans le cadre de ce délit semble tout à fait injustifiée. « On est officiellement en dehors de tout cadre juridique dans la mesure où l'officier de police, sous la responsabilité du parquet, a la possibilité de placer quelqu'un en garde à vue en cas de flagrant délit. Mais il sait précisément que cette restriction de liberté est abusive, car elle ne rentrera pas dans les clous de la mise en danger de la vie d'autrui », précise l'avocate.

Cela s'ajoute donc au fait que le délit n'est souvent pas constitué. Une note de la direction des affaires criminelles et des grâces du ministère de la Justice, datée du 23 mars 2020 et révélée par Le Monde, recommandait d'ailleurs de « formellement » écarter la qualification de « mise en danger délibérée de la vie d'autrui », en cas de non-respect des mesures de confinement. Le document précise que ce délit implique un « risque immédiat de mort ou de blessures graves », une condition qui « ne paraît pas remplie au regard des données épidémiologiques connues »

« Dérive autoritaire »​

De fait, l'avocate s'attend à beaucoup de classements sans suite. « On tord la loi pénale avec les placements en garde à vue, tout en ayant conscience qu'il n'y aura pas de poursuites. C'est donc de l'abus d'utilisation de droit, car on sait précisément que ça n'est pas de la mise en danger de la vie d'autrui. Quand on met quelqu'un en garde à vue, c'est qu'on le soupçonne d'avoir commis ou tenté de commettre un délit, une infraction. Or, ici, le délit n'est pas constitué : il est là, l'abus », martèle l'avocate, qui n'hésite pas à parler de « dérive autoritaire ».

Purée mais on nage en plein délire ... entre ça et les articles de lois non signés pas les ministres et ou président
C’est plus un test pcr qu ils nous mettent dans le q mais la fusée Ariane ...
 
Intéressant !

C'est exactement ce que nous dénonçons, la paranoia autour de cette épidémie qui n'est pas la première et ne sera pas la dernière.
Des prises de mesures qui ont créées un véritable chaos dans le monde ou on ne peut pas expliquer cela juste par un profit des labos pharmaceutiques, couvrir l'effondrement de notre économie mondiale est aussi une explication...
 
Je suppose qu'il n'emploie pas le mot "libéral" dans ce sens, rien à voir avec la politique.

Plutôt dans le sens de la liberté de prescrire, qui n'existe plus de nos jours.
Oui, il y a une différence entre le libéralisme au sens politique et au sens des professions libérales, qui n’ont de libérales que le nom. Ce qu’on appelles les professions libérales, se sont des indépendants qui paient beaucoup d’impôts, comme les avocats par exemple. Je n’aime pas cette utilisation du mot dans ce contexte, parce qu’il brouille le sens réel. Pas étonnant alors que pour beaucoup de gens politique libérale = politique de riches, alors que au sens propre, c’est l’état qui n’empiète pas sur les libertés dans la limite où celles des autres sont respectées.
 
[…] À Lille, une étudiante de 18 ans a par exemple été brièvement mise en garde à vue vendredi 22 janvier après avoir organisé une fête avec 60 personnes dans son appartement. Prévenue par plusieurs appels de riverains pour tapage nocturne, la police est intervenue peu après minuit. […] en France.
« Placer quelqu'un en garde à vue dans le contexte d'un rassemblement privé festif, c'est tout simplement un abus de droit », fustige Me Julia Courvoisier. L'avocate rappelle que s'il n'est pas illégal de recevoir chez soi, il est aussi possible de refuser l'entrée du domicile aux policiers : « Pour qu'un policier puisse entrer chez vous, il lui faut l'autorisation d'un juge, qu'on appelle commission rogatoire. En principe, dans le cadre d'un délit de droit commun, on ne peut entrer chez quelqu'un qu'à partir de 6 heures du matin [il existe des exceptions, notamment en matière de terrorisme, NDLR]. » Si malgré cela, les policiers entrent quand même, il s'agit donc d'une violation de domicile, qui constitue une infraction pénale, aggravée par le statut de force de l'ordre. […]
Il y a certes l’abus de pouvoir de la police dans ce cas là, mais il y a aussi un peu de bêtise de la part de celle qui a invité 60 personnes dans un appartenant, en faisant assez de bruits pour déranger les voisins. C’est beaucoup de monde pour un appartement et ils auraient dût penser à être discrets. Avec moins de monde et moins de bruits, il n’y aurait peut‑être eu aucun problème.
 
Non non je sors sans masque moi ds mon quartier .... Hier j ai même croisé 2 voitures de police , comme j ai dit eux non plus n avaient

Il faut vérifier dans ton secteur, cela dépend des préfectures :
 
Il y a certes l’abus de pouvoir de la police dans ce cas là, mais il y a aussi un peu de bêtise de la part de celle qui a invité 60 personnes dans un appartenant, en faisant assez de bruits pour déranger les voisins. C’est beaucoup de monde pour un appartement et ils auraient dût penser à être discrets. Avec moins de monde et moins de bruits, il n’y aurait peut‑être eu aucun problème.

En l'état, on pouvait juste lui reprocher le tapage nocturne... pas de garde à vue pour cela. Donc oui, il y a de l'abus!
 
Ils vont rendre les gens fous et asociaux

L autre jour une femme a sorti un mètre entre elle est mon mari et l a ouvert sur 2 metres et comme il était a moins de 2 metres elle a dit " reculez!"

Mon mari a refusé ....les gens sont fous !

Moi je crois j aurais éclaté de rire
Aujourd'hui je suis passé près d'un appart et le balcon du rez de chaussé à avait une protection Covid comme celles des caissiers etc
 
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