Virus mystérieux en Chine, l'épidémie se propage

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la manifestation de Stuttgart les règles de distanciation on été, selon la police, "généralement respectées" (meist eingehalten). Photographie :
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Source : https://www.spiegel.de/politik/deut...kungen-a-c712db6e-632a-440a-af52-62c587df2812
 
Etude Discovery sur le coronavirus : 5 minutes pour comprendre un fiasco annoncé
Ces tests devaient évaluer l’effet de plusieurs traitements à l’échelle européenne. Les spécialistes sont désormais très pessimistes sur leur capacité à donner des résultats.

En début de semaine, Emmanuel Macron promettait encore des résultats d'ici « le 14 mai » pour l'étude Discovery. Mené en Europe sous l'égide de l'Inserm et du consortium REACTing, cet ensemble d'essais cliniques vise à tester quatre traitements potentiels contre le coronavirus, dont le fameux hydroxychloroquine, dans différents pays européens.
Pourtant, près de deux mois après l'annonce de son lancement, plusieurs spécialistes semblent résignés, parlant d'« échec » ou même de « fiasco ». Accusant trop de retard, ce qui s'apparentait à la plus ambitieuse recherche de traitement en Europe pourrait ne jamais donner de résultats.

Où en sont les tests ?

En France, plus de 700 patients atteints de forme grave du Covid-19 ont été intégrés aux essais cliniques. Pas loin, donc, de l'objectif final de 800 patients. C'est à l'échelle européenne que les choses se compliquent. Car l'étude devait porter sur 3200 malades soignés dans différents pays partenaires. Or, à ce jour, seul le Luxembourg a apporté une contribution avec… un seul patient intégré aux essais.

Comment expliquer ce décalage entre les différents pays ?
Il semble que ce soit les lourdeurs administratives liées au lancement d'une telle étude qui soient à l'origine du retard pris par nos voisins. « Il faut un accord du comité d'éthique national, un accord du ministère de la Santé, et ensuite il faut que la logistique suive… », énumérait récemment Thérèse Staub, cheffe du service des maladies infectieuses du centre hospitalier du Luxembourg, sur France 5. Des discussions seraient ainsi toujours en cours Allemagne, en Autriche ou au Portugal.
D'autres pays ont par ailleurs décidé de faire faux bond à la France et de privilégier d'autres études, parfois moins coûteuses ou contraignantes. L'Espagne et l'Italie ont par exemple choisi de rejoindre l'essai Solidarity, lancé par l'Organisation mondiale de la santé. « Chaque pays a travaillé pour lui, et on a beaucoup de mal à coopérer », résume dans Le Monde l'infectiologue Yazdan Yazdanpanah, à la tête du consortium Reacting, constatant un « échec ».

Pourquoi n'en tire-t-on pas tout de même de premières conclusions ?
Les essais Discovery doivent tester quatre traitements : l'hydroxychloroquine, donc, mais aussi le remdesivir, développé contre le virus Ebola, le Kaletra et enfin l'association du Kaletra et de l'interféron bêta-1a, une protéine qui agit notamment sur la sclérose en plaques.
Les malades intégrés à l'étude doivent donc être séparés en quatre groupes, auxquels il faut ajouter un groupe de contrôle, traité sans médicament, de manière classique avec de l'oxygène. « 740 patients vont être insuffisants, a priori, […] pour pouvoir montrer une différence significative entre ces différents bras de traitement », calculait vendredi Olivier Bouchaud, chef du service des maladies infectieuses à l'hôpital Avicenne (Seine-Saint-Denis), sur BFM TV.

Ce retard est-il irrattrapable ?
Avec la résorption de la pandémie liée aux mesures de confinement prononcées un peu partout en Europe, le nombre de patients hospitalisés dans les hôpitaux diminue drastiquement. Et, avec lui, le nombre de candidats potentiels pour les différentes études d'efficacité des traitements, dont Discovery.
http://www.leparisien.fr/societe/et...ndre-un-fiasco-annonce-09-05-2020-8313789.php
 
Corée du Sud : un fêtard transmet le coronavirus à 50 personnes
En Corée du Sud, l'épidémie de coronavirus semblait être jugulée, mais le président s'est voulu assez clair : il ne faut en aucun cas baisser la garde. Et pour cause : un nouveau foyer épidémique s'est déclaré dans le pays, dimanche 10 mai.


Depuis dimanche 10 mai, tous les bars et les cafés de Séoul, la capitale de la Corée du Sud, sont fermés pour au moins quinze jours. La faute à un Coréen de 29 ans qui a décidé, le 2 mai dernier, de faire la tournée des boîtes de nuit. Problème : il affiche des symptômes du Covid-19. Depuis, très exactement 54 personnes, en majeure partie des clients des clubs fréquentés par le fêtard, ont été testées positives au virus. Les commerçants sont furieux. "C'est vraiment une sale affaire pour nous. Depuis quelques jours, tous nos clients ont disparu", s'emporte l'un d'eux.

Le pays souvent cité en exemple
Plus de 7 000 personnes ont fréquenté ces clubs depuis plusieurs jours, soit autant de cas potentiels. Les autorités leur demandent de se mettre en quarantaine. Et le président sud-coréen d'insister : le virus est toujours actif. L'affaire est d'autant plus embarrassante que la Corée du Sud est souvent citée en exemple en matière de lutte contre l'épidémie.
Le JT

https://www.francetvinfo.fr/sante/m...et-le-coronavirus-a-50-personnes_3958073.html
 
les lamas ont-ils des anticorps efficaces contre la maladie ?
Les scientifiques n'excluent aucune piste pour trouver un traitement et un vaccin contre le Covid-19, même les plus étonnantes. Des équipes belges et américaines mènent des études sur le lama, qui produirait des anticorps potentiellement efficaces pour protéger notre système immunitaire.
Les lamas possèdent-ils l'antidote contre l'épidémie de Covid-19 ? C'est ce que l'on saura peut-être grâce à Winter, une femelle lama de 4 ans dont les scientifiques étudient depuis 2016 les anticorps contre le coronavirus. Les chercheurs américains et belges ont découvert une spécificité de l'espèce.

Des anticorps "spéciaux"
"Chez un lama, vous avez à la fois des anticorps conventionnels que nous avons tous, et qui ressemblent à deux chaines lourdes et deux chaines légères. Mais il a des anticorps spéciaux avec seulement deux chaines légères. C'est très spécifique au lama", explique Dorien de Vlieger, chercheuse doctorante à l'université de Gand (Belgique). Selon les auteurs de cette étude, l'anticorps, quatre fois plus petit que les nôtres, agirait comme un bouclier et empêcherait le virus de s'accrocher aux cellules des poumons.
 
Coronavirus : le mystère des patients qui ne guérissent jamais




Certains patients au Covid-19 restent positifs plus d'un mois après avoir guéri, ou sont ré-infectés une deuxième fois. Ils présentent d'étranges symptômes et constituent un véritable casse-tête pour les médecins qui ne savent pas s'ils restent contagieux ni comment les soigner.


Depuis quelques semaines, Benjamin Davido voit revenir ses anciens patients Covid-19 présentant de curieux symptômes. « Ils se plaignent de diarrhées, de douleurs musculaires ou articulaires, de lividoses [marbrures sur les jambes] ou de manifestions cutanées », décrit l'infectiologue qui travaille à l'Hôpital Raymond-Poincaré (Garches) en région parisienne. Ces patients, pourtant sortis guéris de son service, refont surface environ 6 semaines après avec des troubles qui n'ont rien à voir avec les symptômes respiratoires du coronavirus. Une fois sur deux, ces patients sont testés à nouveau positifs. « Il s'agit, la plupart de temps, de patients jeunes, en majorité des femmes, et ayant développé des formes plus intenses de la maladie », précise le spécialiste.


Le phénomène est encore peu connu, mais Benjamin Davido n'est pas le seul à faire face à ces malades d'un nouveau type. En Chine, où l'épidémie a commencé plus tôt que chez nous, les médecins sont aussi confrontés à des cas de personnes restant positives plus d'un mois après la fin des symptômes, ou à nouveau testées positives plusieurs semaines après être sorties de l'hôpital. À Wuhan, un patient est resté positif pendant 49 jours.


Des tests peu fiables qui causent des dégâts psychologiques
Un vrai problème pour les hôpitaux, qui n'ont le droit de laisser partir les patients guéris qu'après deux tests PCR négatifs, afin d'être sûrs qu'ils ne sont plus contagieux. Une règle qu'a abandonnée la France, car « cela aboutit à une vraie perte de chance pour les patients, déplore Benjamin Davido. On garde inutilement des patients guéris alors qu'ils pourraient bénéficier plus tôt de soins de rééducation ».

Le coût est aussi lourd psychologiquement pour des personnes restées en isolement strict pendant plusieurs semaines. Sans compter que ces derniers ne connaissent jamais le soulagement de se voir déclarés officiellement guéris.
Des morceaux de virus morts qui refont surface
Pour Benjamin Davido, il faut carrément abandonner cette politique de tests. Les tests PCR, qui reposent sur la détection du génome du virus dans les prélèvements nasopharyngés, ne disent en réalité pas grand chose sur la présence du virus dans l'organisme. « Au bout d'un certain temps, le virus va se loger dans les poumons et n'est plus détectable », explique Benjamin Davido.
Les cas de personnes détectées positives deux fois à plusieurs semaines d'intervalle seraient dues à un « relargage » de morceaux de virus morts dans l'organisme. Ce qui ne dit rien non plus sur le fait que ces personnes soient contaminantes ou pas.
« En fait, aucun test fiable ne peut le dire », résume le médecin. Pas même les tests sérologiques mesurant les anticorps et dont les résultats sont peu concluants en terme d'immunité.




Le Covid-19 pourrait devenir une maladie chronique


https://www.futura-sciences.com/san...-mystere-patients-ne-guerissent-jamais-79332/
 
Des tests sur les hamsters révèlent que l'utilisation de masques réduit notablement la propagation du coronavirus, ont indiqué dimanche 17 mai des experts de l'université de Hong Kong. Ces recherches sont parmi les premières à étudier si le port du masque peut empêcher des porteurs symptomatiques ou asymptomatiques du virus Covid-19 d'infecter d'autres individus.
Dirigé par le professeur Yuen Kwok-yung, expert reconnu des coronavirus, les chercheurs ont placé des cages contenant des hamsters préalablement infectés près de celles d'animaux en bonne santé. Des masques chirurgicaux ont été placés entre les deux cages, avec un flux d'air allant de la cage des animaux malades à celle des animaux sains.

Une ville très peu touchée par le virus
Les résultats ont montré que la transmission du virus était réduite de plus de 60% quand les masques étaient en place. Les deux-tiers des hamsters sains ont été infectés en une semaine quand les masques n'étaient pas en place. Le taux d'infection est tombé à un peu plus de 15% quand les masques étaient placés sur la cage des animaux infectés et à 35% quand ils étaient placés sur la cage des hamsters sains. "Il est très clair qu'utiliser les masques sur les sujets infectés
Franceinfo
 
Les morgues sont pleines, des corps traînent dans les chambres d’hôpitaux, certains patients doivent partager leur lit, les soignants sont exténués: la pandémie de coronavirus frappe durement Bombay, capitale économique d’Inde.
Recensant près de 17.000 cas confirmés de Covid-19, soit plus du double de la capitale New Delhi, la mégapole de 18 millions d’habitants est la ville d’Inde la plus durement frappée par l’épidémie, avec 621 morts à ce jour.

“Le système est sous une pression énorme, il est en train d’exploser”, constate Deepak Baid, un médecin spécialiste des soins intensifs qui s’est porté volontaire pour prêter main forte au sein de l’unité Covid d’un hôpital public.

Une vidéo macabre, largement partagée sur les réseaux sociaux et dans les médias indiens, est venue illustrer l’ampleur de la crise à laquelle est confrontée la “maximum city”, où cohabitent milliardaires, stars de cricket ou de Bollywood et résidents de bidonvilles.




Filmée au téléphone portable dans l’un des principaux hôpitaux publics de Bombay, on y voit des corps de personnes mortes du Covid-19, emballés dans des sacs de plastique noir, laissés au milieu d’une salle où sont traités d’autres patients du virus. Les images ont provoqué un tollé.

Exode massif
Pour échapper à l’épidémie, de nombreux travailleurs migrants tentent d’attraper un bus pour retourner dans leur ville d’origine, comme vous pouvez le voir dans la vidéo en tête de cet article.

Tous sont inquiétés par la situation sanitaire, alors que le pays est en confinement depuis la fin du mois de mars, et que la situation semblait jusqu’alors sous contrôle.

Ces travailleurs indiens redoutent de tomber malades et de ne pas pouvoir être soignés correctement à l’hôpital, mais aussi de ne pas pouvoir voir leurs proches atteints du Covid ou de mourir seuls, loin de leur famille et de ne pas pouvoir bénéficier d’une inhumation digne.
 
Il parait qu'ils vont rouvrir les frontières franco)-belges au cours du mois de Juin.
C'est compréhensible; des deux côtés de la frontière, des commerces dépendent en partie des clients venus de l'autre côté, et cela va permettre également aux touristes d'apporter un peu de revenus bienvenus dans cette région.
 
Il parait qu'ils vont rouvrir les frontières franco)-belges au cours du mois de Juin.
C'est compréhensible; des deux côtés de la frontière, des commerces dépendent en partie des clients venus de l'autre côté, et cela va permettre également aux touristes d'apporter un peu de revenus bienvenus dans cette région.
L'Italie et l'Espagne aussi, Rome veut carrément une ligne direct avec new-york foyer de l’épidémie mondial en ce moment pour sauver sa saison touristique et le tourisme en général ça va swinger avec les désaccords en perspective en Europe
 
Masques et gants envahissent déjà les fonds marins, l’inquiétude grandit

Masques et gants envahissent déjà les fonds marins, l’inquiétude grandit


Sur la Côte d'Azur, les associations environnementales s'inquiètent déjà de la prolifération des masques et des gants qui se retrouvent dans l'eau de la mer Méditerranée.

La France a entamé son déconfinement il y a un peu plus de deux semaines et déjà la situation a de quoi inquiéter dans le sud de la France. Alors que les autorités n'ont de cesse de répéter qu'il faut faire très attention lorsque l'on se débarrasse de ses masques chirurgicaux et gants en latex, les associations de défense et protection de l'environnement s'alarment de constater déjà que beaucoup viennent polluer les eaux au large de la Côte d'Azur. Comme le rapporte France 3 Provence-Alpes-Côte d'Azur, le fondateur de l'association Opération Mer Propre en a déjà retrouvé plusieurs lors d'une séance de plongée à Cannes samedi 23 mai.

"Ça vous dit cet été de vous baigner avec le Covid-19. Sachant que plus de deux milliards de masques jetables ont été commandés, il y a bientôt le risque de voir plus de masques que de méduses dans les eaux de la Méditerranée !", dénonce ainsi Laurent Lombard. Il a mis en ligne une vidéo afin de montrer ses "trouvailles". Selon lui, particuliers et pouvoirs publics doivent se montrer responsables dans leur comportement afin d'éviter une nouvelle pollution marine. "Je dirais simplement pour finir qu'un masque jetable, ça se jette à la poubelle comme tous les autres déchets d'ailleurs", insiste-t-il.
Vers une véritable catastrophe écologique ?
Dimanche, l'activiste a effectué une nouvelle plongée dans la baie de Golfe-Juan, mais cette fois-ci, il était accompagné de plusieurs membres de son association. En deux heures de nettoyage des eaux, ils ont collecté pas moins de 200 litres de déchets en tout genre, donc cinq masques chirurgicaux jetables et quatre gants en latex. Pour lui, la situation peut être considérée comme inquiétante, notamment car la France n'en est qu'à sa seconde semaine de déconfinement. "Cela va devenir un vrai désastre écologique. Il y a une semaine, je ne voyais qu'un gant de temps en temps, ensuite, j'ai commencé à en voir de plus en plus", explique-t-il, cité par France 3.
https://www.capital.fr/economie-pol...-les-fonds-marins-linquietude-grandit-1370822
 
Alors que la pandémie de Covid-19 progresse et s'accélère dans le monde, pourrait-elle repartir en Chine ? Ce pays, où est apparu le Sars-CoV-2, se félicite de la baisse enregistrée du nombre de nouveaux cas de contamination, mais, depuis plusieurs jours, la crainte d'un rebond épidémique ressurgit. La levée des mesures très restrictives s'est bien accompagnée d'une baisse du nombre de contaminations, mais de nouveaux foyers sont apparus à travers le pays ces dernières semaines, et l'état de guerre sanitaire a été décrété dans un district de Pékin. Est-ce le signe du début d'une deuxième vague ? Il est encore trop tôt pour l'affirmer ou l'infirmer.
Un marché de Pékin comme nouveau foyer de contamination
La capitale de la Chine continentale a été relativement épargnée par l'épidémie de Covid-19, qui est apparue dans la province du Hubei, à plus de mille kilomètres de là, fin décembre. Alors que le déconfinement du pays se poursuit, de nouveaux cas sont identifiés à travers le pays. En mai, le gouvernement a ainsi décrété la mise en confinement de la ville de Jilin, dans le nord-est du pays, après que plusieurs cas de contaminations ont été enregistrés. C'est au tour de Pékin d'être inquiétée : sept malades du Covid-19 ont été recensés dans les environs du marché Xinfadi, dont six samedi, ont annoncé les autorités sanitaires samedi 13 juin.
Il s'agit des premiers cas en deux mois de personnes infectées ne revenant pas de l'étranger. La première personne contaminée, dont le cas a été annoncé jeudi, n'avait pas quitté la ville récemment et se serait rendue au marché de Xinfadi la semaine précédente.
Les préoccupations se sont donc centrées sur ce marché. Après le marché de fruits de mer à Wuhan qui aurait permis au virus de se propager dans la mégalopole, puis dans la Chine continentale en décembre, le marché de Xinfadi, situé dans le sud de Pékin, pourrait être le lieu de départ d'un rebond épidémique. Il s'agit du plus grand marché de grossistes de la région. Selon son site web, plus de 1 500 tonnes de fruits de mer, 18 000 tonnes de légumes et 20 000 tonnes de fruits y sont échangées quotidiennement. Sa fermeture a été actée samedi 13 juin, et d'importantes campagnes de détection sont en cours.

BREAKING(ish): 46 people linked to Beijing’s largest wholesale market have tested positive for the coronavirus. https://t.co/cL2KzzxPYr
— David Paulk 波大卫 (@davidpaulk) June 13, 2020

Un autre marché aux fruits de mer a également été fermé, car une des personnes contaminées s'y serait rendue. Des opérations de désinfection et de collectes d'échantillons vont y être pratiquées, ont annoncé les autorités. Zhang Yuxi, président du marché de viande de Xinfadi, a précisé à un média local chinois, Beijing News, que le virus avait été détecté sur des planches servant à découper du saumon importé. Les principaux supermarchés de Pékin ont donc retiré le saumon de leurs rayons pendant la nuit. D'importantes campagnes d'inspection vont être déployées pour identifier les produits alimentaires qui sont passés sur les étals du marché, rapporte le magazine chinois Sithtone (en anglais).
 
7 cas avérés et 46 personnes testées positives mais asymptomatiques
Des prélèvements ont été réalisés sur plus de 500 personnes présentes dans le secteur du marché de Xinfadi. Au moins 46 d'entre elles seraient positives au Sars-CoV-2, bien que les personnes concernées soient asymptomatiques, affirme le quotidien Caixin (en anglais). Les autorités sanitaires dénombrent samedi 13 juin sept cas avérés de Covid-19 aux alentours du marché (des personnes symptomatiques et testées positivement au Sars-CoV-2).
Parmi les nouveaux cas annoncés samedi figurent trois employés du marché de Xinfadi, une personne qui s'y est rendue et trois employés d'un centre de recherche sur la viande situé à sept kilomètres du marché. L'un d'entre eux s'était rendu au marché la semaine dernière. Une autre personne a été testée positive dans un marché agricole du district de Haidian, au nord-ouest de la ville.
Onze quartiers remis sous cloche
Pour éviter la propagation du virus, les autorités locales ont décidé de soumettre onze quartiers résidentiels du sud de Pékin au confinement. "Nous avons adopté des mesures de verrouillage pour le marché de Xinfadi et les quartiers environnants", a annoncé Chu Junwei, un officiel du secteur, samedi 13 juin, lors d'une conférence de presse.
Le quartier est désormais en "état de guerre sanitaire", a-t-il ajouté. Des centaines de policiers ont été vus par des journalistes de l'AFP aux alentours des deux marchés concernés. Les autorités prévoient de tester plus de 10 000 personnes ayant transité par le marché de Xinfadi.
Le retour de mesures très strictes
La mise en quarantaine du secteur s'est accompagnée d'un renforcement plus large des mesures sanitaires : neuf écoles et jardins d'enfants ont été fermés dans les alentours du marché de Xinfadi. Le retour des élèves dans les écoles primaires de Pékin a également été reporté dès vendredi 12 juin.
Les évènements sportifs sont suspendus dans la capitale et dans d'autres régions chinoises, et les déplacements interrégionaux sont à nouveau interdits. Le théâtre national de Pékin et le temple Yonghe ont annoncé dans la foulée leur fermeture.
 
Un bonheur retrouvé. Depuis mercredi 3 juin, l’accès à l’Italie se fait sans restriction. Devant le poste-frontière de Menton (Alpes-Maritimes), on assiste à un flot ininterrompu de voitures, avec une seule obligation, sous peine d’être refoulé : le port du masque. À quelques centaines de mètres à peine, c’est la ruée vers le tabac. Sous le soleil, une centaine de personnes font la queue. La plupart sont des frontaliers qui reprennent leurs habitudes.

La peur de l’épidémie toujours présente
En Italie, le paquet de cigarettes est moitié moins cher qu’en France. De quoi donner envie à certains de s'installer en terrasse. Mais beaucoup préfèrent ne pas s’aventurer au-delà de la frontière, car l’épidémie est encore dans tous les esprits. À la frontière française, rien n’a changé. Les restrictions restent toujours aussi importantes. À chaque passage, vérification d’identité obligatoire. La frontière reste fermée aux Italiens sans motif valable.
 
Une petite mise à jour ( c'est en libre accès).
 
La crise du coronavirus a été particulièrement meurtrière pour les personnes originaires d'Afrique et d'Asie. Une étude de l'Insee publiée mardi montre en effet qu'en mars et en avril, le nombre de décès (toutes causes confondues) a fortement augmenté en France, avec des différences marquées selon le pays de naissance des personnes décédées. L'institut a constaté une hausse de 22% de la mortalité des personnes nées en France, contre 54% pour les décès de personnes nées au Maghreb et 114% pour celles nées dans un autre pays d’Afrique. La hausse atteint 91% pour celles nées en Asie.
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Le nombre de décès enregistrés en France entre le 1er mars et le 30 avril 2020 a augmenté de 25% par rapport à la même période en 2019. Dans le même temps, le nombre des décès en France de personnes nées en Afrique hors Maghreb a plus que doublé (+114%).

Le nombre de décès enregistrés en France entre le 1er mars et le 30 avril 2020 a augmenté de 25% par rapport à la même période en 2019. Dans le même temps, le nombre des décès en France de personnes nées en Afrique hors Maghreb a plus que doublé (+114%).
(Insee) ...
LeJDD
 
Cupidité /
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Il coûte pourtant 10 dollars à produire et a bénéficié d'amples subventions gouvernementales.
Fin mai, le Dr Fauci, éminent membre de la task force de la Maison-Blanche consacrée à la crise du Covid-19, annonçait des résultats préliminaires prometteurs pour le remdesivir dans le traitement de la maladie.
Le laboratoire Gilead pouvait se frotter les mains. Malgré le manque, à cet instant, d'études tout à fait concluantes sur l'efficacité et l'innocuité de sa molécule, cette première annonce suffisait pour faire grimper le cours de son action et lui ouvrir de beaux horizons.
Prise par l'urgence de la pandémie, la Food and Drug Administration (FDA) autorisait début mai Gilead à distribuer le remdesivir, supposé réduire en moyenne de quatre jours l'hospitalisation des malades.
Le laboratoire a désormais fixé un prix à sa formule: pour un·e patient·e «typique», le coût du remdesivir sera de 520 dollars par dose [463 euros], soit 3.120 dollars [2.775 euros] pour une semaine de traitement. Ce tarif concerne les malades assuré·es par des compagnies privées. Celles et ceux dépendant de corps étatiques ou bénéficiant des programmes Medicare ou Medicaid paieront un peu moins cher -390 dollars par dose.
Ce prix, en outre, ne concerne que les États-Unis, où le laboratoire est libre de fixer ses tarifs comme il l'entend. Les autres États, en particulier ceux disposant d'une couverture santé universelle, peuvent négocier des prix plus bas.
10 dollars la dose
Dans d'autres pays, comme l'Inde ou le Bengladesh, où Gilead a signé des licences avec des fabricants de génériques, le prix sera ainsi beaucoup plus bas -il est question de 1.000 dollars [889 euros] pour une semaine de traitement.

Et pour cause: comme le note le Wall Street Journal, la fabrication du remdesivir ne pose pas de difficulté particulière et son coût de revient ne serait que de 10 dollars par dose.
Pour expliquer la marge phénoménale qu'il va réaliser, Gilead met en avant les coûts élevés liés au développement de la molécule et aux études lui étant associées. Le laboratoire assure en outre que l'économie de quelques jours d'hospitalisation compense largement le prix de son traitement.
Beaucoup, pourtant, s'étranglent de telles justifications. Car si Gilead a effectivement englouti des fortunes dans sa nouvelle molécule, une grosse partie de ces fonds sort directement des poches des contribuables.
Très anti-libéral, le site Jacobin cite ainsi une étude ayant calculé que le laboratoire a, au total et pour ses recherches, bénéficié de 70 millions de dollars [62 millions d'euros] de subventions de la part du National Institute of Health.
Certain·es élu·es s'émeuvent de cette situation, courante aux États-Unis. «Les contribuables vont payer des milliards en plus pour des médicaments dont ils ont déjà financièrement participé au développement», a ainsi réagi l'édile démocrate texan Lloyd Doggett.
Quant à la bourse, elle a accueilli l'annonce de Gilead avec une relative déception, provoquant une légère baisse du cours de son action: les investisseurs s'attendaient à un coût plus élevé pour le traitement.
 
Coronavirus : port du masque obligatoire dès lundi, sous peine d'une amende de 135 euros
À compter de lundi 20 juillet

très cher
« Toutes verbalisations effectuées par un policier, un gendarme ou toute autre personne habilitée par la loi sont ainsi entachées d’une illégalité manifeste, ainsi que d’un abus de pouvoir. »

https://covidinfos.net/experts/lavo...masque-document-juridique-telechargeable/1297/

Il appartient aux personnes qui subissent ces amendes d’exercer les recours.
Mise au point faite, j’admets totalement qu’il importe de ne pas perdre de vue le véritable enjeu, bien plus vaste et autrement plus grave pour notre destin.
 
les voyageurs en provenance de 16 pays devront dorénavant obligatoirement se soumettre à un test de dépistage à l'arrivée sur le sol français.

On n’est pas près de s’en débarrasser de ce virus.

Je crois que la première vague ce n’etait que le hors d’œuvre. Ces deux derniers mois, c’était le trou normand.
Et à l’automne, on aura le plat de résistance.

Quand on sait que le nombre de contaminations a grimpé en flèche aux USA ces derniers jours, que cela frémit en France (ou les gestes barrieres ne sont quasiment plus appliqués) ça n’augure rien de bon pour la suite...
 
On n’est pas près de s’en débarrasser de ce virus.

Je crois que la première vague ce n’etait que le hors d’œuvre. Ces deux derniers mois, c’était le trou normand.
Et à l’automne, on aura le plat de résistance.

Quand on sait que le nombre de contaminations a grimpé en flèche aux USA ces derniers jours, que cela frémit en France (ou les gestes barrieres ne sont quasiment plus appliqués) ça n’augure rien de bon pour la suite...
Un moment donné, faudra bien pouvoir vivre avec cette maladie sans avoir tout barricadé...🤷🏽‍♂️
 
Le président Biélorusse refuse de confiner son pays et fait des déclarations à l'emporte pièce qui le ridiculise selon nos médias ok !
A ce moment là, restons objectif et n'oublions pas de mentionner qu'il dit aussi avoir refuser de la part du FMI 940 millions de dollars pour confiner son pays, c'est pas pareil...

Si l'info est vrai, c'est plutôt un gars qui veut pas rentrer dans les clous et qu'on salit dans les médias...:cool:
On fera pareil avec ceux qui veulent pas se vacciner ou on sera déjà mort de la crise économique?:rolleyes:
 
Coronavirus : près de 3 000 nouveaux cas enregistrés en 24 heures au Royaume-Uni, une évolution "préoccupante" pour le ministère de la Santé

Le ministre de la Santé Matt Hancock a appelé à la vigilance, afin de tenter d'éviter que cette hausse chez les plus jeunes ne se répercute sur l'ensemble de la population, notamment les plus âgés........

https://www.francetvinfo.fr/sante/m...te-pour-le-ministere-de-la-sante_4096753.html
 
DIRECT. Coronavirus : les hôpitaux marseillais tirent la sonnette d’alarme

La France a enregistré 7 071 nouveaux cas de contamination et le nombre d’admissions en réanimation pour des cas graves augmente. Dans ce contexte, le Conseil d’Etat justifie, sous certaines conditions, le port du masque obligatoire sur l’ensemble d’une commune.

https://www.leparisien.fr/societe/c...il-suivez-notre-direct-07-09-2020-8379801.php
 
Coronavirus : La Réunion est en zone rouge, et maintenant ?

Face à une circulation active du coronavirus, La Réunion fait partie des départements en zone rouge. La transmission du virus augmente, les services de réanimation sont sollicités et les capacités de dépistage arrivent à saturation. Le préfet pourrait prendre d'autres mesures.

https://la1ere.francetvinfo.fr/reun...n-est-en-zone-rouge-et-maintenant-868560.html
 
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