Virus mystérieux en Chine, l'épidémie se propage

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Une étude médicale récente a repris sans le savoir une très ancienne pratique de réanimation, celle qui consiste à souffler dans les intestins : occasion pour l’historien d’interroger la naissance des idées, et plus généralement les liens entre médecine, culture et actualité des services de réanimation.

De l’intubation à l’insufflation​

Il faut dépasser le sourire : l’enjeu est vital. Le 14 mai dernier, une équipe de scientifiques japonais a publié une étude dont on ne doit pas sous-estimer l’importance. Le but était d’explorer des solutions alternatives au respirateur : lorsque les poumons fonctionnent mal, comme c’est le cas avec les formes sévères du coronavirus, le corps a besoin qu’on l’aide à respirer, c’est-à-dire, principalement, à apporter de l’oxygène dans le sang. Cette aide est apportée par une machine, le respirateur, qui peut envoyer de l’air enrichi en oxygène directement dans les poumons, à l’aide d’un tuyau installé par la bouche et rejoignant les poumons (intubation). Cette procédure sauve des vies, mais a de lourds inconvénients. L’actualité de cette dernière année a montré les problèmes liés au nombre limité de respirateurs – pour lesquels il faut également un personnel expérimenté, lui aussi en pénurie. L’intubation elle-même est un geste lourd, douloureux et invasif. Elle empêche l’alimentation normale, et, comme à chaque fois qu’un instrument est forcé loin dans l’intimité du corps, elle présente un risque d’infections nosocomiales, particulièrement grand pour des patients déjà fragilisés.

Cherchant des alternatives à l’intubation dans les cas de détresse respiratoire, l’équipe s’est ingéniée à mettre à profit la vascularisation des intestins : les échanges entre la paroi intestinale et le système sanguin sont importants et rapides. L’idée de ces chercheurs était donc d’utiliser ce point d’entrée pour tenter de faire passer l’oxygène dans le sang. Dans l’intestin d’animaux dont on bloquait la respiration, ils ont injecté de l’oxygène sous forme gazeuse, avec un résultat d’abord médiocre – le temps de survie avant la mort par asphyxie se trouvait simplement doublé. Si en revanche le rectum était préalablement écorché, à l’aide d’une brosse interdentaire (augmentant par là les échanges avec le sang), cette « ventilation » fonctionnait très bien – mais son application à l’humain posait d’évidents problèmes.
Le co-auteur de l’étude, Takanori Takebe, un jeune professeur brillant issu de l’Université de Yokohama, m’a indiqué dans un entretien que c’est à ce moment-là qu’ils ont songé à utiliser à la place de gaz un liquide riche en oxygène (perfluorocarbone). L’intestin (non écorché) peut absorber l’oxygène du liquide, et le transmettre alors au sang, à la place des poumons. L’expérimentation sur des cochons démontra alors la possibilité d’une « respiration » intestinale, sans conséquence néfaste. Autrement dit : la possibilité à terme d’oxygéner un patient dont les poumons seraient dysfonctionnels, et de réduire l’usage de l’intubation et du respirateur – et donc de réduire les coûts, les problèmes de capacité hospitalière, mais aussi les risques et les difficultés médicaux liés à l’intubation. La réception de l’étude a été très bonne, au moins d’après ses auteurs. Elle est en tout cas de fait abondamment citée, et bien accueillie. Il s’agit maintenant de voir dans quelles conditions et avec quel succès la technique peut être employée sur des êtres humains – et espérer que l’impact qu’elle aura, dans le monde médical et dans les médias, dépassera effectivement l’anecdote d’actualité et le sourire. L’histoire des sciences montre que le lien entre idée, efficacité et adoption d’une pratique est bien plus complexe qu’on pourrait le croire. Et le cas de la réanimation « inversée » est à ce titre exceptionnel.


suite:
 

Le CHUV et l'EPFL ont découvert un super anticorps neutralisant contre le Covid-19​





Le CHUV et l'EPFL ont découvert un super anticorps neutralisant contre le Covid-19

Le CHUV et l'EPFL ont fait une importante découverte pour lutter contre la pandémie de Covid-19. Ils ont trouvé un anticorps monoclonal très puissant ciblant la protéine Spike du SARS-CoV-2, l'actuel coronavirus. Il peut largement neutraliser ses différents variants.
"Le développement de ce nouvel anticorps neutralisant marque une étape décisive dans la lutte contre la pandémie de Covid-19", indiquent mardi le CHUV et l'EPFL dans un communiqué commun. "Il ouvre la voie à une amélioration de la prise en charge des formes sévères de la maladie et à de nouvelles mesures prophylactiques prometteuses, en tant que médicament, en particulier pour les personnes dont le système immunitaire est affaibli", disent-ils.
L'anticorps découvert pourrait aussi être utilisé dans le cadre d'une thérapie combinée pour réduire la sévérité de la maladie chez les personnes infectées par le SARS-CoV-2, affirment-ils. Les essais cliniques doivent démarrer fin 2022.
Cette découverte n'a cependant pas vocation à remplacer la vaccination, qui reste le moyen le plus efficace de se protéger contre l'infection, insistent le Centre hospitalier universitaire vaudois (CHUV) et l'Ecole polytechnique fédérale de Lausanne (EPFL).

Un blocage efficace​

L'anticorps en question a été isolé à partir des lymphocytes (globules blancs) d'un patient Covid-19 dans le cadre de l'étude ImmunoCoV réalisée par le Service d'immunologie et d'allergologie du CHUV. L'anticorps est l'un des plus puissants identifiés à ce jour contre le virus SARS-CoV-2, selon ces travaux publiés dans la revue Cell Reports.
"Son analyse structurelle montre qu'il se lie à un endroit qui n'est pas sujet aux mutations sur la protéine virale Spike. Grâce à cette interaction étroite, l'anticorps bloque efficacement la liaison de la protéine Spike aux cellules exprimant les récepteurs ACE2, qui sont la cible du virus pour entrer et infecter les cellules du poumon", détaillent-ils.
L'anticorps arrête ainsi le cycle de réplication virale et conduit à l'élimination du virus par le système immunitaire. Cet effet protecteur a été démontré in vivo, lorsque des hamsters traités par l'anticorps étaient protégés de l'infection après avoir été exposés à une dose hautement infectieuse de virus.

Durée d'action prolongée​

Au-delà de l'activité antivirale, les chercheurs ont conçu l'anticorps pour qu'il ait une durée d'action prolongée chez l'homme. Un anticorps classique non modifié aura des effets protecteurs pendant 3 à 4 semaines maximum. Ici, l'anticorps développé agira durant 4 à 6 mois, relèvent-ils.
"Il devient dès lors une option préventive très intéressante pour protéger les personnes vulnérables non vaccinées ou les personnes vaccinées incapables de produire une réponse immunitaire. Les personnes immunodéprimées, les personnes ayant subi une transplantation d'organe et certains patients atteints de cancer pourront être protégés grâce à une injection de l’anticorps deux à trois fois par an", affirment les chercheurs.
Sur la base de ces "résultats prometteurs", le CHUV et l'EPFL - dans le cadre de la conclusion d'accords de collaboration et de propriété intellectuelle - sont en discussion avec une start-up qui aura pour mission d'assurer la production et le développement clinique de ces "super anticorps".
Les recherches ont été menées par les équipes du Service d'immunologie et d'allergologie du CHUV, dirigées par Giuseppe Pantaleo et Craig Fenwick, et par le Laboratoire de virologie et de génétique de l'EPFL, dirigé par Didier Trono et Priscilla Turelli. L'équipe de recherche a pu réagir rapidement à la pandémie en découvrant des anticorps neutralisants grâce au soutien depuis de nombreuses années de l'Institut suisse de recherche sur les vaccins.
ats/ther

 

Le CHUV et l'EPFL ont découvert un super anticorps neutralisant contre le Covid-19​





Le CHUV et l'EPFL ont découvert un super anticorps neutralisant contre le Covid-19

Le CHUV et l'EPFL ont fait une importante découverte pour lutter contre la pandémie de Covid-19. Ils ont trouvé un anticorps monoclonal très puissant ciblant la protéine Spike du SARS-CoV-2, l'actuel coronavirus. Il peut largement neutraliser ses différents variants.
"Le développement de ce nouvel anticorps neutralisant marque une étape décisive dans la lutte contre la pandémie de Covid-19", indiquent mardi le CHUV et l'EPFL dans un communiqué commun. "Il ouvre la voie à une amélioration de la prise en charge des formes sévères de la maladie et à de nouvelles mesures prophylactiques prometteuses, en tant que médicament, en particulier pour les personnes dont le système immunitaire est affaibli", disent-ils.
L'anticorps découvert pourrait aussi être utilisé dans le cadre d'une thérapie combinée pour réduire la sévérité de la maladie chez les personnes infectées par le SARS-CoV-2, affirment-ils. Les essais cliniques doivent démarrer fin 2022.
Cette découverte n'a cependant pas vocation à remplacer la vaccination, qui reste le moyen le plus efficace de se protéger contre l'infection, insistent le Centre hospitalier universitaire vaudois (CHUV) et l'Ecole polytechnique fédérale de Lausanne (EPFL).

Un blocage efficace​

L'anticorps en question a été isolé à partir des lymphocytes (globules blancs) d'un patient Covid-19 dans le cadre de l'étude ImmunoCoV réalisée par le Service d'immunologie et d'allergologie du CHUV. L'anticorps est l'un des plus puissants identifiés à ce jour contre le virus SARS-CoV-2, selon ces travaux publiés dans la revue Cell Reports.
"Son analyse structurelle montre qu'il se lie à un endroit qui n'est pas sujet aux mutations sur la protéine virale Spike. Grâce à cette interaction étroite, l'anticorps bloque efficacement la liaison de la protéine Spike aux cellules exprimant les récepteurs ACE2, qui sont la cible du virus pour entrer et infecter les cellules du poumon", détaillent-ils.
L'anticorps arrête ainsi le cycle de réplication virale et conduit à l'élimination du virus par le système immunitaire. Cet effet protecteur a été démontré in vivo, lorsque des hamsters traités par l'anticorps étaient protégés de l'infection après avoir été exposés à une dose hautement infectieuse de virus.

Durée d'action prolongée​

Au-delà de l'activité antivirale, les chercheurs ont conçu l'anticorps pour qu'il ait une durée d'action prolongée chez l'homme. Un anticorps classique non modifié aura des effets protecteurs pendant 3 à 4 semaines maximum. Ici, l'anticorps développé agira durant 4 à 6 mois, relèvent-ils.
"Il devient dès lors une option préventive très intéressante pour protéger les personnes vulnérables non vaccinées ou les personnes vaccinées incapables de produire une réponse immunitaire. Les personnes immunodéprimées, les personnes ayant subi une transplantation d'organe et certains patients atteints de cancer pourront être protégés grâce à une injection de l’anticorps deux à trois fois par an", affirment les chercheurs.
Sur la base de ces "résultats prometteurs", le CHUV et l'EPFL - dans le cadre de la conclusion d'accords de collaboration et de propriété intellectuelle - sont en discussion avec une start-up qui aura pour mission d'assurer la production et le développement clinique de ces "super anticorps".
Les recherches ont été menées par les équipes du Service d'immunologie et d'allergologie du CHUV, dirigées par Giuseppe Pantaleo et Craig Fenwick, et par le Laboratoire de virologie et de génétique de l'EPFL, dirigé par Didier Trono et Priscilla Turelli. L'équipe de recherche a pu réagir rapidement à la pandémie en découvrant des anticorps neutralisants grâce au soutien depuis de nombreuses années de l'Institut suisse de recherche sur les vaccins.
ats/ther

Hum... on parle quand même d'injection...
Voilà qui ne va pas lui donner la cote chez les anti vaxx.
 
Hum... on parle quand même d'injection...
Voilà qui ne va pas lui donner la cote chez les anti vaxx.
Pas forcement des médicaments arrivent dont celui de Mercks, puis cette info a déjà l'air d'être plus clair pour les indecis.

l'ARN m ce n'est pas spécialement une injection faite pour la covid, c'était porteur de beaucoup d'espoir dans la recherche médicale notamment contre le cancer, la cécité visuel, les tétraplégiques (polio) etc..
 

Variant Omicron: de premiers cas en Europe, l'Afrique australe à l'isolement​


Deux cas identifiés en Grande-Bretagne après un premier en Belgique, un cas suspecté en Allemagne, une soixantaine de passagers sous surveillance à leur arrivée à Amsterdam en provenance d'Afrique du Sud : l'inquiétude croissait samedi en Europe envers le nouveau variant Omicron du coronavirus, et le monde continuait sa mise à l'isolement de l'Afrique australe.

"Deux cas de Covid-19 comprenant des mutations compatibles avec B.1.1.529 ont été identifiés au Royaume-Uni", a annoncé le ministère britannique de la Santé, précisant que ces "deux cas britanniques du variant Omicron" étaient liés et avaient été identifiés après "un voyage en Afrique australe", où le variant a été la première fois identifié cette semaine.

L'Allemagne a elle annoncé un premier cas suspect, celui d'un passager arrivé à l'aéroport de Francfort en provenance d'Afrique du Sud. "Le variant Omicron est, selon toute vraisemblance, déjà présent en Allemagne", a tweeté le ministre régional des Affaires sociales, Kai Klose. L'analyse complète des résultats est attendue dans les prochains jours.

Vendredi, après un premier cas détecté en Belgique chez une jeune femme arrivée d'Egypte via la Turquie, l'agence de santé de l'Union européenne avait renforcé l'inquiétude en soulignant que ce nouveau variant B.1.1.529 représentait un risque "élevé à très élevé" pour l'Europe.

Un cas de ce variant jugé "préoccupant" par l'Organisation mondiale de la santé (OMS) a également été signalé à Hong Kong, un en Israël sur une personne revenue du Malawi et un autre au Botswana.

Aux Pays-Bas, 61 passagers de deux vols arrivés vendredi à Amsterdam en provenance de Johannesburg ont été testés positifs au Covid-19 et placés en quarantaine, selon l'autorité sanitaire néerlandaise, qui recherche la présence éventuelle d'Omicron.

[...]
 

Nouveau variant du Covid-19 : quels sont les pays qui ferment leurs frontières ?​

En Europe, en Asie ou en Afrique , depuis la découverte jeudi 25 novembre d'un nouveau variant du Covid-19 en Afrique du sud, dont le "potentiel de propagation élevé" inquiète particulièrement les scientifiques, plusieurs pays dans le monde ont décidé d'interdire les vols en provenance d'Afrique australe. Quels sont ces pays qui ferment leurs frontières, malgré les recommandations de l'Organisation mondiale de la santé, qui déconseille pour le moment des restrictions de voyages ? Tour d'horizon.


La Commission européenne a proposé de suspendre les vols en provenance de la région d'Afrique australe, a annoncé ce vendredi 26 novembre sa présidente Ursula von der Leyen. Mais elle n'a toutefois pas précisé combien de pays du sud de l'Afrique étaient concernés.
La Commission européenne proposera, en étroite coordination avec les États membres, d'activer le frein d'urgence pour interrompre les voyages aériens en provenance de la région d'Afrique australe en raison du variant B.1.1.529.

L'Europe se ferme à l'Afrique australe

La Grande-Bretagne a déjà interdit les vols en provenance d'Afrique du Sud et cinq pays voisins à compter de ce vendredi 26 novembre, 12h00 GMT. Sont concernés : la Namibie, le Lesotho, le Zimbabwe et le Botswana.

Les Pays-Bas a également interdit les vols de cinq pays d'Afrique australe.

En Allemagne, où la barre des 100.000 décès imputés au Covid-19 a été franchie jeudi 25 novembre, seuls les citoyens allemands seront autorisés à rentrer d'Afrique du Sud à partir de vendredi soir, et à condition de respecter une quarantaine de quatorze jours, même s'ils sont vaccinés, a annoncé le ministre sortant allemand de la Santé Jens Spahn.

L'Italie a annoncé une mesure similaire. Elle a aussi interdit ce vendredi 26 novembre son territoire à toute personne ayant séjourné en Afrique australe "au cours des quatorze derniers jours", a annoncé vendredi le ministre de la Santé Roberto Speranza, invoquant "la précaution maximale" face au nouveau variant du Covid. Les pays concernés par cette mesure sont l'Afrique du Sud, le Lesotho, le Botswana, le Zimbabwe, le Mozambique, la Namibie et l'Eswatini.

La France suspend immédiatement les arrivées en provenance de sept pays d'Afrique australe, dont l'Afrique du Sud, en raison de "la découverte d’un nouveau variant du coronavirus particulièrement préoccupant", a annoncé Matignon vendredi.

Cette mesure, appliquée "pour une durée minimale de 48 heures", concerne également les voyageurs venant du Lesotho, du Botswana, du Zimbabwe, de Mozambique, de Namibie et d’Eswatini. "Les personnes ayant voyagé au cours des 14 derniers jours dans l’un de ces pays sont invitées à se signaler aux autorités et à réaliser dans les meilleurs délais un test de dépistage RT-PCR", ajoutent également les services du Premier ministre français.

Par ailleurs, le gouvernement, qui invoque le "principe de précaution maximale", "appelle les voyageurs qui avaient prévu de se rendre dans ces pays à suspendre leur voyage".

 
Les Chinois peuvent faire ce qu'ils veulent.. ça vire à la comédie la gérance de la pandémie chez eux et le pire c'est qu'ils font des émules..

une chose est sur, Ils n'échapperont pas à la vague Delta ni Omicron même avec une Chine en forme de dôme, Ils font juste retarder l'échéance jusqu'au jour où ils auront le nez plein dedans

Après ils ont une force d'anticipation conséquente au dessus de la moyenne mondial, comme pour la construction en un temps record d'hôpitaux, le matériel de pointe et la formation express médical
 
Dernière édition:

Vaccin anti-Covid : Israël suspend la quatrième dose​

Annoncée la semaine dernière, la quatrième dose est suspendue jusqu'à nouvel ordre. Le directeur général du ministère de la Santé, Nachman Ash, attend les résultats d'études. Si Omicron est moins grave que les souches précédentes, il pourrait favoriser l'immunité collective

 
Les chiffres des injections sur les personnes sont ils vrais ?
Les injections sont elles les mêmes pour les personnes ?
sérum physiologique pour certains ?
 
La Côte d'Ivoire enregistrait mercredi 78 cas du variant Omicron du Covid-19, ce qui a coincidé avec une forte hausse des infections depuis deux semaines, ont annoncé les autorités sanitaires ivoiriennes

Sources :Cnews
 

"Flurona" : trois questions sur cette fusion entre la grippe et la Covid-19​

En Israël, une femme a contracté en même temps le coronavirus et la grippe. Un mélange baptisé "Flurona" par les scientifiques.​


Après le Delta et l'Omicron, le Flurona ? En Israël, une femme a contracté à la fois la Covid-19 et la grippe. Mais évacuons tout de suite la question : non il ne s'agit pas d'un nouveau variant, mais "uniquement" d'un nouveau terme inventé par les scientifiques israéliens pour expliquer ce phénomène.

Comme le rapporte Times Of Israël, il s'agissait d'une femme, hospitalisée brièvement pour des symptômes bénins à l’hôpital de Beilinson située dans la ville de Patah Tikva, au nord-ouest du pays. Cette femme était enceinte et non vaccinée contre le coronavirus, précise le média israélien.
Elle a rapidement pu sortir de l’hôpital en raison de l’évolution favorable de son état de santé, malgré sa double infection. Elle n'a en effet souffert d'aucunes formes graves des deux maladies.

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suite:​



 

Covid-19 : après les variants Delta et Omicron... le variant Deltacron ?​

Un chercheur de l’université de Chypre indique avoir découvert chez 25 patients hospitalisés un nouveau variant du Covid-19, qui serait une combinaison des variants Delta et Omicron

 

Covid-19 : après les variants Delta et Omicron... le variant Deltacron ?​

Un chercheur de l’université de Chypre indique avoir découvert chez 25 patients hospitalisés un nouveau variant du Covid-19, qui serait une combinaison des variants Delta et Omicron

Une combinaison... pourquoi, ça se reproduit entre eux, des virus? C'est nouveau ça. :D
 
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