Virus mystérieux en Chine, l'épidémie se propage

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Pour Patrick Berche, l'apparition de ce type de variant était inévitable : « Ce qui est très inquiétant, c'est que plus le virus se multiplie rapidement, plus il y a des chances de voir apparaître des mutants. Donc, la situation actuellement est vraiment critique, et il faut absolument se protéger. On ne maîtrisera pas cette pandémie si on ne vaccine pas les pays du tiers-monde qui n'ont pas les moyens de se payer les vaccins. Il faut avoir véritablement une vision globale, une vision planétaire pour lutter contre ce virus. On aura toujours la possibilité qu'un variant vienne par avion, par exemple, ensemencer l'Europe ou les États-Unis ».

D'après les données de Santé publique France, ce variant est encore peu présent dans ces régions. Il a été détecté « sporadiquement en Angleterre, en Allemagne, au Canada et à Singapour ». Mercredi, sur France Info, Karine Lacombe, cheffe du service des maladies infectieuses à l'hôpital Saint-Antoine, à Paris, a estimé que le B.1.617 était probablement déjà en France. Plusieurs pays ont déjà pris des dispositions pour éviter qu'il ne se propage sur leur territoire. Le Royaume-Uni a, par exemple, interdit aux voyageurs en provenance d'Inde de pénétrer sur son sol. Seuls les résidents britanniques pourront être autorisés à rentrer sous réserve d'observer une quarantaine de dix jours. En France, l'Inde a été ajoutée à la liste des pays en provenance desquels les voyageurs seront soumis à dix jours d'isolement à leur arrivée sur le territoire.

 


... J'ai perdu 15 amis. Ils avaient entre 20 et 40 ans.




Il pique le P1...


Le nombre de morts est très sous estimé par l'état Brésilien
 
Je croyais faire un palu (malaria) doublé d'une gripette. Depuis 5-6 jours.
Par acquis de conscience, parce que j'avais reunion ce matin, je suis allé faire le test covid: résultat, positif.
Je suis allé refaire le test ailleurs: positif.
Bon, ben, confiné pour 15 jours à la maison. Depuis que je réclamais des jours de congés...😁
 
Je croyais faire un palu (malaria) doublé d'une gripette. Depuis 5-6 jours.
Par acquis de conscience, parce que j'avais reunion ce matin, je suis allé faire le test covid: résultat, positif.
Je suis allé refaire le test ailleurs: positif.
Bon, ben, confiné pour 15 jours à la maison. Depuis que je réclamais des jours de congés...😁
Aujourd'hui mon collègue m'appelle pour me dire qu'il est positif, je suis donc cas contact et bon pour 7 jours de repos :D
 
La Floride infligera une amende de 5 000 $ à toute entreprise ou école chaque fois qu'elle imposera un «passeport vaccinal» ou d'une preuve de vaccination contre le COVID-19, pour l'entrée ou la participation en vertu d'une facture à destination du bureau du gouverneur Ron DeSantis .

 
On peut voir d'aptès les chiffres que les enfants sont très peu touchés
pour l'instant
Je crois qu'il ont déjà fait cette déduction depuis plus de 9 mois déjà et même avec les chiffres du aux variants.

il y a eu quelques cas compliqué mais la cause principale du Covid-19 n'est pas sûr
 
RIP
Le gars avait 42 ans et tout lui souriait, presque l'âge de la maturité et en crise de la quarantaine (crise de la demi vie) c'est jeune dans les statistiques en médecine

En gros ce virus est plus complexe et intelligent que prévus il peut s'attaquer à n'importe qui, pas juste les seniors donc faire très attention à soi et par ricochet aux autres 🙏🏼

 
RIP
Le gars avait 42 ans et tout lui souriait, presque l'âge de la maturité et en crise de la quarantaine (crise de la demi vie) c'est jeune dans les statistiques en médecine

En gros ce virus est plus complexe et intelligent que prévus il peut s'attaquer à n'importe qui, pas juste les seniors donc faire très attention à soi et par ricochet aux autres 🙏🏼

Le fait que la très grosse majorité des décès frappe les séniors, ne signifie pas que des plus jeunes ne peuvent pas l'être.🤷🏽‍♂️
 

L'inégalité d'accès aux vaccins entre pays riches et pays pauvres est "inacceptable", dénonce le patron de l'OMS​



Le patron de l'OMS Tedros Adhanom Ghebreyesus lors d'une conférence de presse à Genève, le 3 juillet 2020. Fabrice Coffrini/Pool via REUTERS/File Photo
Le patron de l'OMS a exhorté une nouvelle fois vendredi les pays riches membres du G7 à donner la priorité absolue à un accès équitable aux vaccins, estimant que la situation actuelle est "inacceptable".
"La chose la plus importante dont nous avons besoin maintenant ce sont les vaccins, l'équité vaccinale", a lancé Tedros Adhanom Ghebreyesus à la fin de sa conférence de presse bi-hebdomadaire, après avoir rappelé que la pandémie continue de faire rage avec quelque 100.000 morts chaque semaine.
"Nous savons tous ce qu'il faut faire pour augmenter la production des capacités et ainsi augmenter la couverture vaccinale dans tous les pays", a-t-il dit, avant de rappeler que "plus de 80%" de toutes les doses de vaccins contre le Covid administrées dans le monde l'ont été "dans des pays à haut revenus alors que les pays à faible revenu ont eu seulement 0,3%".
"C'est inacceptable, ce genre de fossé est inacceptable", a martelé le directeur général. "C'est inacceptable pas seulement parce que c'est une question de morale mais aussi parce que nous n'arriverons pas à vaincre le virus dans un monde divisé", a-t-il insisté.
Lundi déjà, il en avait appelé aux pays du G7 (Allemagne, Canada, Etats-Unis, France, Italie, Japon et Royaume-Uni) dont les chefs d'Etat et de gouvernement se retrouvent physiquement en juin en Angleterre, à payer l'essentiel des 19 milliards qui manquent pour financer cette année l'Accélérateur ACT, un dispositif permettant de mutualiser la recherche et les moyens de lutte contre le Covid-19.
Pour le docteur Tedros, "c'est dans l'intérêt de chaque pays de ce monde de partager des vaccins et d'apporter son aide", parce que "l'équité vaccinale ce n'est pas de la charité, l'équité vaccinale est de fait dans l'intérêt de tous".
Pour autant, il a mis en garde que les vaccins seuls ne suffisaient pas et qu'il fallait absolument mettre en place les mesures sanitaires prônées de longue date par son organisation : isolement, traçage, masques, distanciation sociale tant que faire se peut, etc.

Suite....

 

Levée des brevets : les «big pharma» préparent la réplique​

Les labos ont rodé leur discours pour contrecarrer toute idée de suspension, même temporaire, de la propriété intellectuelle.



L’argumentaire bien rodé de l’industrie pharmaceutique n’avait laissé entrevoir aucune faille jusqu’à la nuit de mercredi à jeudi et la déclaration de Joe Biden sur une possible suspension temporaire des brevets sur les vaccins anti-Covid-19. Jusqu’à présent, le discours des grands labos avait plutôt été entendu aussi bien à la Commission européenne qu’à Bercy. La ministre de l’Industrie, Agnès Pannier-Runacher, évoquait elle-même dans Libération les obstacles qui se dresseraient devant un éventuel coup de canif sur la propriété intellectuelle des vaccins : «Nous n’avons actuellement que quelques sites capables de faire de la finition et de l’embouteillage, parce qu’il faut des équipes spécialisées en la matière. Sur un vaccin, si on a un problème de sûreté ou d’homogénéité, on jette tout.»


Les «big pharma» avancent en outre que les matières premières sont rares par les temps qui courent et que les sites industriels disponibles pour fabriquer des vaccins seraient peu nombreux. «Nous comprenons la question posée par Joe Biden, mais l’enjeu est avant tout que les vaccins soient rendus disponibles dans les meilleurs délais», indique Frédéric Collet, président du syndicat professionnel les Entreprises du médicament (LEEM), qui représente 260 laboratoires présents en France. Il met en outre en garde contre une suspension temporaire des brevets : «J’espère qu’une décision de cette nature si elle était prise n’altérera pas la confiance dans des médicaments qui nécessitent une expertise que n’auraient peut-être pas tous ceux qui auraient accès à ces brevets.»

Protéger leurs profits futurs ?​

Autant de préventions battues en brèche par Nathalie Coutinet, économiste de la santé et professeure à l’université Paris-XIII : «Il existe dans le monde des sites de production de vaccins traditionnels qui pourraient être sollicités. Quant au contrôle de sécurité, il peut être effectué par l’Organisation mondiale de la santé (OMS).» Au-delà des déclarations de leur syndicat professionnel, les laboratoires ne se pressent pas pour répondre pour exprimer leur position sur la levée temporaire des brevets des vaccins anti-Covid. Libération a successivement sollicité la filiale française d’AstraZeneca, et le groupe Sanofi. Aucune de ces entreprises n’a souhaité régir aux propos du président des Etats Unis.

Les laboratoires évoquent, en outre, la nécessité d’investir massivement dans la recherche pour justifier leur volonté de conserver leur brevet. C’est semble-t-il oublier qu’ils ont bénéficié pour la mise au point des vaccins, d’avances destinées à financer à la fois la recherche et la production des premières doses. Au bas mot, 1,5 milliard d’euros pour AstraZeneca et 2 milliards pour Sanofi, selon une étude réalisée par la revenue scientifique The Lancet. En s’opposant à une suspension des brevets, les big pharma ne tiennent-ils pas à protéger leurs profits futurs ?

Les derniers résultats financiers publiés montrent en tout cas qu’ils s’apprêtent enregistrer des résultats financiers en très forte hausse grâce aux vaccins anti-Covid. Ainsi, le laboratoire Moderna qui n’a réalisé que 803 millions de dollars (plus de 666 millions d’euros) de chiffre d’affaires en 2020 (dont 529 millions de subventions) annonce 18,4 milliards de dollars de commandes en 2021. Pfizer prévoit de son côté 26 milliards de dollars de ventes pour son seul vaccin anti-Covid cette année, avec une marge bénéficiaire de 30%. Quant à Johnson et Johnson, bien que son vaccin soit interdit au Danemark, ses résultats se portent bien. Sur les trois premiers mois de l’année le laboratoire a vu son bénéfice net augmenter de 7%.

Au même moment la redistribution des vaccins aux pays en voie de développement reste un problème non résolu. Covax, le mécanisme mis en œuvre par l’Union européenne pour redistribuer une partie de ses achats en direction des Etats les moins développés, est encore balbutiant. Il a exporté en tout et pour tout 40,5 millions de doses vers 100 destinations soit 400 000 doses seulement par pays bénéficiaire.


 
L’UE avance sur les traitements. L’Agence européenne des médicaments a entamé l’examen en temps réel de l’anticorps de GSK et Vir Biotechnology, le sotrovimab ou VIR-7831, pour le traitement du coronavirus, lançant ainsi officiellement le processus d’une potentielle approbation par l’Union européenne.

 
TOKYO (Reuters) - Le Japon va déclarer l'état d'urgence dans trois préfectures supplémentaires durement touchées par la pandémie de COVID-19, a déclaré vendredi le ministre de l'économie Yasutoshi Nishimura, dans une décision surprise reflétant les préoccupations croissantes concernant la propagation du virus.

Hokkaido, Okayama et Hiroshima rejoindront dimanche Tokyo, Osaka et quatre autres préfectures placées sous état d'urgence jusqu'au 31 mai, a déclaré Yasutoshi Nishimura, qui est également chargé des mesures de lutte contre le coronavirus.
les jo et les problèmes
 
Tiens donc
Le gars qui avait fait une vidéo l’an dernier disant que c’était un virus de laboratoire , qui a été lynché médiatiquement avait probablement raison

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RACISME ET COVID

Pour l'épidémiologiste Anthony Fauci, "les indéniables effets du racisme" se sont faits ressentir sur le plan sanitaire, au désavantage des communautés afro-américaine, hispano-américaine et natives. "Le covid a mis un coup de projecteur sur les échecs de notre société". Le conseiller de Joe Biden a précisé qu'il n'y avait guère de déterminant racial dans les comorbidités dont souffrent davantage ces communautés : maladies pulmonaires, diabètes, obésité, hypertension... "Quasiment toutes sont reliées à des déterminants sociaux, du fait des conditions de vie qui sont faites aux personnes de couleur, particulièrement en ce qui concerne leur accès à un régime équilibré, à l'assurance santé..."

Source: LCI
 
Le Vietnam a découvert un nouveau variant du virus du Covid-19, qui se transmet rapidement dans l'air, et est une combinaison des variants indien et britannique, ont rapporté samedi les médias d'Etat. Cette nouvelle a été annoncée alors que le pays fait face à une nouvelle vague de contaminations sur plus de la moitié de son territoire, y compris les zones industrielles et les grandes villes, dont Hanoï et Ho Chi Minh Ville.



"Un variant hybride combinant le virus indien et le britannique"​

Le Vietnam avait été jusqu'à récemment très peu touché par le virus. La majorité des 6.700 cas et 47 morts déclarés ont été enregistrés depuis avril. "Nous avons découvert un variant hybride combinant le virus indien et le britannique", a déclaré samedi le ministre de la Santé, Nguyen Thanh Long, lors d'une réunion nationale sur la pandémie. "La caractéristique principale de ce virus est qu'il se transmet rapidement dans l'air. La concentration de virus dans la gorge et la salive augmente rapidement, et il se répand très vite dans l'environnement proche", a-t-il expliqué. Il n'a pas précisé le nombre de cas attribuables à ce nouveau variant, dont les caractéristiques seront prochainement publiées, a-t-il déclaré, pour l'ajouter à la carte des variants dans le monde.
 
Au moins, ces virus lubriques ne sont pas racistes ou xénophobes. Ils copulent entre eux pour donner des virus métis britannico-indiens, les coquins...😇
 

Covid-19 : l'immunité dure au moins 13 mois​



Combien de temps est-on immunisé après une infection Covid ? Une nouvelle étude du CHU de Strasbourg indique que l'immunité au Covid-19 durerait au moins 13 mois.​

C'est l'une des grandes questions qui gravitent autour du Covid-19, la maladie provoquée par l'infection au coronavirus Sars-Cov-2 : combien de temps dure la protection immunitaire après une infection au covid-19 ?


Une nouvelle étude du CHU de Strasbourg, non encore publiée, portant sur 309 personnes dont 393 ayant déjà contracté le Covid-19, qui ont été suivies pendant plus d'un an, indique que "97% de ces patients ont gardé leurs anticorps, un an après l'infection". Et en étudiant les cas de réinfection au cours de cette période de suivi, les scientifiques affirment que le risque contracter la maladie est “réduit de 96,7% chez les personnes anciennement infectées”, grâce à “la persistance à long terme des anticorps anti-S”. Par ailleurs, les chercheurs ont aussi pobservé que les anticorps durent moins lonhtemps chez les hommes que chez les femmes.
“Nous prévoyons de prolonger l’étude pour continuer le suivi à 18 mois et 24 mois pour mieux évaluer la dynamique des anticorps sur le long terme” ont annoncé les chercheurs.

L'immunité acquise dure au moins 8 mois​

Il y a quelques jours, une étude réalisée par l'hôpital San Raffaele de Milan en collaboration avec l’Institut supérieur de la Santé (ISS) italien confirmait que, huit mois après une infection au covid-19, les anticorps sont toujours présents chez les patients, indépendamment de la gravité de la maladie, de l'âge des patients ou de la présence d'autres maladies. "Seulement 3 patients sur les 162 suivis dans cette étude n'étaient plus positifs au test de détection des anticorps" expliquaient les chercheurs dans un communiqué.
Cela confirmait une étude de l'Institute for Immunology La Jolla (aux États-Unis) de février dernier : les chercheurs américains affirmaient eux aussi que l'immunité acquise contre le Covid-19 dure au minimum 8 mois après l'apparition des premiers symptômes de l'infection à coronavirus Sars-Cov-2.
Pour parvenir à cette conclusion, les chercheurs avaient étudié des échantillons sanguins prélevés sur 188 patients atteints par le Covid-19 : "nous avons dosé les anticorps, les lymphocytes B à mémoire [qui ont pour rôle de mémoriser les propriétés des agents pathogènes], les lymphocytes T et les lymphocytes T cytotoxiques [qui sont chargés de détruire les cellules infectées]" précise le Pr. Shane Crotty, co-auteur de ces travaux publiés dans la revue spécialisée Science.
Verdict ? Les chercheurs ont découvert une immunité acquise d'au moins 8 mois chez les malades. "Pendant au moins 8 mois, des anticorps spécifiques contre le virus Sars-Cov-2 circulent dans le sang des patients, mais pas seulement : le corps "garde en mémoire" le virus grâce aux lymphocytes B à mémoire" expliquent-ils.
Les scientifiques italiens vont maintenant essayer de déterminer si ces réponses efficaces des anticorps persistent même avec la vaccination et surtout si leur efficacité résiste aux différents variants.

 

Les femmes ont une immunité plus performante​

En France, une équipe de l'Inserm implantée à Strasbourg étudie elle aussi la réponse humorale depuis le début de la pandémie. Au printemps dernier, elle a constitué trois cohortes au cœur de la région Grand-Est, l’une des plus sévèrement touchées par le nouveau coronavirus. Dans une récente analyse, elle s’est penchée sur le suivi à 6 mois de l’un de ces groupes, composé de 308 personnes ayant présenté une forme légère de Covid-19. Les résultats de leur étude, publiés dans le Journal of infectious diseases, suggèrent que les femmes auraient une protection immunitaire plus performante que celle des hommes.
"Immédiatement après l’infection, le taux d’anticorps anti-Covid-19 est en moyenne inférieur chez les femmes. Mais avec le temps, il suit un déclin qui est généralement moins prononcé chez elles que chez les hommes, quel que soit leur âge ou leur poids" soulignent les chercheurs.
Ces résultats, établis 6 mois après l’infection, doivent être confirmés par le suivi de la cohorte à plus long terme, ce qui permettra d'extrapoler la protection offerte par la vaccination.

Formes modérées : des anticorps essentiels qui chutent, voire disparaissent​

En février, une autre étude menée par l’Institut Pasteur, des chercheurs de la Sorbonne et de l’hôpital de la Salpêtrière et publiée dans la revue Nature Communications, dévoilait que chez les patients ayant développé une forme légère de la maladie, les anticorps développés par l’organisme suite à l’infection commenceraient à s’estomper dès deux mois après avoir contracté le virus. Pour en arriver à cette observation, les scientifiques se sont penchés sur le cas de 26 soignants qui avaient eu une forme modérée du Covid-19. Ils avaient commencé à développer des anticorps entre deux et quatre semaines après le début des symptômes.
En s’intéressant de plus près aux anticorps IgA, essentiels pour empêcher le virus de s’agripper aux cellules, ils se sont aperçus que leur dose dégringolait au bout de deux mois (à compter des premiers symptômes), voire disparaissait totalement pour 15% des patients étudiés.
Comment expliquer la "chute" du nombre d'anticorps contre le coronavirus Sars-Cov-2 dans les semaines/les mois suivants l'infection ? Pour les scientifiques, rien de plus normal : "c'est comme ça que fonctionne la réponse immunitaire de l'organisme : lorsque l'agent pathogène a été vaincu, le nombre d'anticorps diminue mais le corps "se souvient" de la maladie et est prêt à riposter rapidement si celle-ci revient".
Sources :



 
Des enregistrements de prélèvements de Sars-CoV-2 de Wuhan ont été effacés. Un chercheur américain vient de les déterrer et met l’accent sur la mystérieuse disparition des données. Ce que cela signifie n’est pas si clair.



La gestion de la pandémie par la Chine suscite parfois la méfiance. Il s’agit d’environ 200 enregistrements qui, selon le New York Times, ont été supprimés d’une base de données internationale il y a un an. Ils contiennent des informations génétiques sur les virus qui circulaient à Wuhan au début de la pandémie. Un chercheur américain l’a récemment récupérée d’un cloud. Ils pourraient aider à éclaircir l’évolution précoce du virus,





Son analyse suggère que le Huanan Seafood Market de Wuhan n’était probablement pas à l’origine de la pandémie et que différentes variantes de virus circulaient déjà dans la ville en décembre. Ce n’est pas nouveau. Ainsi, on sait depuis longtemps que beaucoup de patients atteints de Covid 19 n’avaient aucun contact avec le marché au début de la pandémie. Et la montée en flèche des hospitalisations en janvier à Wuhan suggère que l’épidémie était en cours depuis longtemps.

Ce n’est pas tant la science qui fait parler que le fait que les données ont été effacées. Cela soulève la question de savoir s’il y a quelque chose à cacher , et si oui, quoi.

Par des voies détournées,​

L’auteur de la publication, Jesse Bloom, du Centre de recherche sur le cancer Fred Hutchinson à Seattle, fait ses propres suppositions à ce sujet et décrit dans sa publication comment il a été informé des données manquantes. Récemment, il a demandé, avec 17 autres scientifiques, d’examiner de plus près l’origine du virus et d’examiner soigneusement la possibilité d’un accident de laboratoire.

Les données proviennent de chercheurs chinois qui ont soumis un document sur le serveur Preprintserver MedRxiv en mars 2020. Ils décrivent une méthode de test pour analyser le Sars-CoV-2 dans les échantillons. Les données de séquences ont été mentionnées dans un autre article. Il renvoie comme source à une base de données internationale appelée Sequence Read Archive, dans laquelle les chercheurs avaient déposé les données.


Quand Bloom a cherché ces données brutes pour les analyser plus en détail, il a réalisé que les entrées étaient effacées. Il s’en est étonné. Mais il a vite découvert que la base de données sécurise les données sur Google Cloud. De là, il pouvait encore les télécharger. Les données de 13 patients étaient de qualité si bonne qu’elles étaient adaptées à une analyse approfondie du virus.
 
Fake https://www.lci.fr/sante/vaccin-con...dangerosite-de-cette-technologie-2189832.html



 
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