C'était il y a quelques années, on allaient aller au bled en voiture et j'étais aller au Leclerc acheter de l'huile de moteur pour mon paternel, je m'en foutais vraiment de mon apparence, j'étais en claquettes, short, t-shirt trop grand et j'avais mouiller mes cheveux parce qu'il faisait chaud.
Donc je prends mon huile de moteur, me dirige vers la caisse et pendant tous ce temps je sens qu'une métisse de petite taille me look, les petites ne sont pas du tout à mon gout, arrivé à la caisse elle continue me regarder et des fois je lui jette un regard de dur Maghrébin pour tester son esprit, genre comme ça :
Regarde la pièce jointe 236280 mais en retour je ne reçois que de sourires resplendissants, me voila mal à l'aise, c'était la première fois qu'une petite me draguait, je me demandais si c'était bien ce que ressentais les femmes dans les transports....
C'est mon tour de conclure mon achat mais je n'ai pas la monnaie suffisante et tire la gueule à devoir casser un billet, la voila qui prend la situation en main et se propose, elle me pousse délicatement, se met devant moi et ouvre son porte-monnaie, je lui dis qu'elle n'est pas obligée même si c'est gentil....
shuut, shut, ne t'en fais pas
Je suis complètement déstabilisé, je garde mon air de dur mais mon coeur est figé, je me demande si je suis sous son emprise et encore une fois si c'est ça que ressente les femmes dans les transports...
En réalité son comportement me touchait énormément, j'étais très chagriné qu'elle ne me corresponde pas. Mon calme regagné, je me suis rendu compte qu'elle me menait par le bras comme si j'étais son homme.
Je discute avec elle, c'était une fille très douce et entrepreneuse, et je sentait qu'elle essayait un max de physical contact, mais mon bras était pris et c'était logique qu'on se touche.
C'est l'heure de la libération, je fais une blague de khra : "tes tresses, ont dirait des cordelettes", elle rigole, penche sa tête et me pousse aux niveau des pecs, je sursaute et avec une voie de tryso alcoolisé je lui assène instinctivement : me touche pas.
Elle est figée, je me sauve en faisant des grands pas d'un mètre, je me retourne brièvement et je n'oublierais pas sa tête à ce moment.
tour ça pour ça
j'espère pas en avoir fait trop