LA NOUVELLE ALLIANCE. LE COUP DE LANCE : UNE FONTAINE EST OUVERTE POUR LAVER LES PÉCHÉS.
Le Sabbat va bientôt commencer. La Loi du Deutéronome 21-22-23 demande que les condamnés ne passent pas la nuit suspendus au gibet. Les Juifs réclament qu'on leur casse les jambes pour qu'ils meurent d'asphyxie.
Les larrons sont ainsi traités, mais pas le Christ, il est déjà mort. Ainsi, s'accomplit le Ps 34-21 : « Yahvé garde tous ses os, pas un se sera brisé. »
« Mais l'un des soldats, de sa lance, lui perça le côté, et il sortit aussitôt du sang et de l'eau. » (Jean 19-34).
Sur le Suaire de Turin, la trace du coup de lance permet d'identifier l'arme romaine qui a percé le cur de l'homme du Suaire. Il s'agit de la lancea romaine, dont un exemplaire a été retrouvé à Jérusalem par les archéologues. Les dimension et la forme de la lame, la longueur du manche permettent de donner une plaie comme celle repérée sur le Suaire. Le coup sur le Suaire est porté du coté droit du thorax. Cela correspond à la technique d'escrime des soldats romains que Jules César a décrite dans « La Guerre des Gaules ». Ils contournaient le bouclier porté à gauche et frappaient la poitrine à droite.
Dès que le coté du Christ fut percé, « il en sortit de l'eau et du sang » (Jean 19-34). Cela est conforme aux données médicales. Le Christ après la flagellation et la crucifixion, souffre de lésions de la plèvre (l'enveloppe autour des poumons) et du péricarde (l'enveloppe autour du cur). La lymphe contenue dans ces enveloppes s'échappe brusquement, puis l'oreillette est percée libérant le sang du cur. La description des évangiles est fidèle, au détail près, à ce qui se passe scientifiquement quand un crucifié est percé d'un coup de lance.
Jean se souviendra de la prophétie de Zacharie :
Zc 12-10 et 13-1 : « Mais je répandrai sur la maison de David un esprit de grâce et de supplication, et ils regarderont vers moi. Celui qu'ils ont transpercé, ils se lamenteront sur lui comme on se lamente sur un fils unique : ils le pleureront comme on pleure un premier-né...En ce jour-là, il y aura une fontaine ouverte pour la maison de David et pour les habitants de Jérusalem, pour laver péché et souillure. »
La fontaine dans laquelle l'humanité lave son péché, c'est le cur transpercé du Christ.
Jean, le seul a avoir eu le courage et l'amour d'accompagner le Christ jusqu'au bout, comprend mieux que quiconque de quel amour Dieu nous a sauvé.
1Ep. Jean 5-5-9 : « Quel est le vainqueur du monde, sinon celui qui croit que Jésus est le Fils de Dieu ? C'est lui qui est venu, par eau et par sang : Jésus-Christ, non avec l'eau seulement mais avec l'eau et le sang... Si nous recevons le témoignage des hommes, le témoignage de Dieu est plus grand. Car c'est le témoignage de Dieu, le témoignage que Dieu a rendu à son Fils. Celui qui croit au Fils de Dieu a ce témoignage en lui. Celui qui ne croit pas en Dieu fait de Lui un menteur, puisqu'il ne croit pas au témoignage que Dieu a rendu à son Fils. Et voici ce témoignage : c'est que Dieu nous a donné la vie éternelle, et que cette vie est dans son Fils. Qui a le Fils a la vie ; Qui n'a pas le Fils, n'a pas la vie. »
http://www.bladi.info/298576-histoire-monotheismes-sciences-archeologie/index52.html#post10122893
Le Sabbat va bientôt commencer. La Loi du Deutéronome 21-22-23 demande que les condamnés ne passent pas la nuit suspendus au gibet. Les Juifs réclament qu'on leur casse les jambes pour qu'ils meurent d'asphyxie.
Les larrons sont ainsi traités, mais pas le Christ, il est déjà mort. Ainsi, s'accomplit le Ps 34-21 : « Yahvé garde tous ses os, pas un se sera brisé. »
« Mais l'un des soldats, de sa lance, lui perça le côté, et il sortit aussitôt du sang et de l'eau. » (Jean 19-34).
Sur le Suaire de Turin, la trace du coup de lance permet d'identifier l'arme romaine qui a percé le cur de l'homme du Suaire. Il s'agit de la lancea romaine, dont un exemplaire a été retrouvé à Jérusalem par les archéologues. Les dimension et la forme de la lame, la longueur du manche permettent de donner une plaie comme celle repérée sur le Suaire. Le coup sur le Suaire est porté du coté droit du thorax. Cela correspond à la technique d'escrime des soldats romains que Jules César a décrite dans « La Guerre des Gaules ». Ils contournaient le bouclier porté à gauche et frappaient la poitrine à droite.
Dès que le coté du Christ fut percé, « il en sortit de l'eau et du sang » (Jean 19-34). Cela est conforme aux données médicales. Le Christ après la flagellation et la crucifixion, souffre de lésions de la plèvre (l'enveloppe autour des poumons) et du péricarde (l'enveloppe autour du cur). La lymphe contenue dans ces enveloppes s'échappe brusquement, puis l'oreillette est percée libérant le sang du cur. La description des évangiles est fidèle, au détail près, à ce qui se passe scientifiquement quand un crucifié est percé d'un coup de lance.
Jean se souviendra de la prophétie de Zacharie :
Zc 12-10 et 13-1 : « Mais je répandrai sur la maison de David un esprit de grâce et de supplication, et ils regarderont vers moi. Celui qu'ils ont transpercé, ils se lamenteront sur lui comme on se lamente sur un fils unique : ils le pleureront comme on pleure un premier-né...En ce jour-là, il y aura une fontaine ouverte pour la maison de David et pour les habitants de Jérusalem, pour laver péché et souillure. »
La fontaine dans laquelle l'humanité lave son péché, c'est le cur transpercé du Christ.
Jean, le seul a avoir eu le courage et l'amour d'accompagner le Christ jusqu'au bout, comprend mieux que quiconque de quel amour Dieu nous a sauvé.
1Ep. Jean 5-5-9 : « Quel est le vainqueur du monde, sinon celui qui croit que Jésus est le Fils de Dieu ? C'est lui qui est venu, par eau et par sang : Jésus-Christ, non avec l'eau seulement mais avec l'eau et le sang... Si nous recevons le témoignage des hommes, le témoignage de Dieu est plus grand. Car c'est le témoignage de Dieu, le témoignage que Dieu a rendu à son Fils. Celui qui croit au Fils de Dieu a ce témoignage en lui. Celui qui ne croit pas en Dieu fait de Lui un menteur, puisqu'il ne croit pas au témoignage que Dieu a rendu à son Fils. Et voici ce témoignage : c'est que Dieu nous a donné la vie éternelle, et que cette vie est dans son Fils. Qui a le Fils a la vie ; Qui n'a pas le Fils, n'a pas la vie. »
http://www.bladi.info/298576-histoire-monotheismes-sciences-archeologie/index52.html#post10122893