PRÉDICTION MYSTIQUE OU HASARD ? LES CHRÉTIENS FUIENT JÉRUSALEM EN 66, AVANT QUE LE PIÈGE ROMAIN NE SE REFERME.
Le Temple est enfin terminé après plus d'un siècle de travaux. Des milliers d'ouvriers juifs se retrouvent au chômage. Le paganisme règne dans les cités dirigées par les successeurs d'Hérode. Les Juifs sont toujours tentés par la révolte armée pour restaurer leur souveraineté. La misère ambiante va servir de détonateur. La tentation du Dieu des combats habite toujours le peuple juif.
En 66, la population chrétienne quitte précipitamment Jérusalem pour Pella en Arabie. Est-ce une prophétie, un message divin qui leur a conseillé de fuir ?
Jérusalem est la proie des factions juives qui sentre-tuent au cur même du Temple. Cela a-t-il servi de signes dalerte pour les chrétiens prévenus par l'évangile de Matthieu ? Mt 24-15-14 : « Lorsque vous verrez l'abomination de la désolation, dont a parlé le Prophète Daniel, installée dans le saint lieu (que le lecteur comprenne !), alors que ceux qui seront en Judée s'enfuient dans les montagnes. » Cette prophétie donnée par le Christ reprend une prophétie de Daniel 9-27 et 11-31 et 12-11.
Eusèbe de Césarée (mort en 339) est un historien reconnu et sérieux. Au IVème siècle, il raconte que les chefs de la communauté chrétienne auraient été incités à fuir par une révélation spirituelle : « Le Christ leur avait dit d'abandonner Jérusalem et de se transférer ailleurs parce que la ville serait assiégée. »
On trouve une trace d'un événement surnaturel en 66 dans un récit historique non chrétien. Dans « La guerre des Juifs, VI ; 299s, Flavius Josèphe raconte qu'en 66, lors des rites de la Pentecôte, les prêtres, à l'entrée de la cour intérieure, entendirent un grondement et perçurent un mouvement et comme un écho plusieurs fois répété : « Partons d'ici ! ».
Est-ce cet événement ou une intuition spirituelle? Toujours est-il que les chrétiens se réfugient à Pella, ville à l'Est du Jourdain. Ils échappent ainsi à la mort qui frappera les rebelles juifs quelques années après.
Le christianisme va se répandre dans tout le Moyen-Orient. Les chrétiens d'origine juifs ont compris le message de paix du Christ et refusent la lutte armée contre Rome. Leur lutte est spirituelle et la victoire doit lêtre également.
En 66, Méhahem, fils de Judas le Galiléen, se rebelle. Il rassemble les zélotes ou sicaires, groupes de juifs pieux qui souhaitent libérer par les armes la terre d'Israël. Nous connaissons Méhahem par Flavius Josèphe. Méhahem attaque Massada et prend la forteresse hérodienne aux romains, massacrant blessés et prisonniers. Puis il se rend à Jérusalem, prétendant être le Messie. Il va rapidement décevoir l'attente du peuple et un complot va le destituer. Il fuit Jérusalem et est exécuté fin 66. Massada, forteresse inexpugnable, est aux mains des rebelles juifs. La révolte est lancée !
Le Dieu des combats dont les victoires militaires ont été récusées par l'archéologie, reste toujours L'aspiration, Le fantasme et Le désir du peuple Juif.
Les Chrétiens l'ont compris, le Dieu des combats n'est pas Celui du Christ :
« DIEU EST AMOUR ! » (1 Jean 4-16).
« Jésus de Nazareth, de l'entrée à Jérusalem à la Résurrection », Benoît XVI, ed du Rocher.
http://www.bladi.info/298576-histoire-monotheismes-sciences-archeologie/index70.html#post10262930
Le Temple est enfin terminé après plus d'un siècle de travaux. Des milliers d'ouvriers juifs se retrouvent au chômage. Le paganisme règne dans les cités dirigées par les successeurs d'Hérode. Les Juifs sont toujours tentés par la révolte armée pour restaurer leur souveraineté. La misère ambiante va servir de détonateur. La tentation du Dieu des combats habite toujours le peuple juif.
En 66, la population chrétienne quitte précipitamment Jérusalem pour Pella en Arabie. Est-ce une prophétie, un message divin qui leur a conseillé de fuir ?
Jérusalem est la proie des factions juives qui sentre-tuent au cur même du Temple. Cela a-t-il servi de signes dalerte pour les chrétiens prévenus par l'évangile de Matthieu ? Mt 24-15-14 : « Lorsque vous verrez l'abomination de la désolation, dont a parlé le Prophète Daniel, installée dans le saint lieu (que le lecteur comprenne !), alors que ceux qui seront en Judée s'enfuient dans les montagnes. » Cette prophétie donnée par le Christ reprend une prophétie de Daniel 9-27 et 11-31 et 12-11.
Eusèbe de Césarée (mort en 339) est un historien reconnu et sérieux. Au IVème siècle, il raconte que les chefs de la communauté chrétienne auraient été incités à fuir par une révélation spirituelle : « Le Christ leur avait dit d'abandonner Jérusalem et de se transférer ailleurs parce que la ville serait assiégée. »
On trouve une trace d'un événement surnaturel en 66 dans un récit historique non chrétien. Dans « La guerre des Juifs, VI ; 299s, Flavius Josèphe raconte qu'en 66, lors des rites de la Pentecôte, les prêtres, à l'entrée de la cour intérieure, entendirent un grondement et perçurent un mouvement et comme un écho plusieurs fois répété : « Partons d'ici ! ».
Est-ce cet événement ou une intuition spirituelle? Toujours est-il que les chrétiens se réfugient à Pella, ville à l'Est du Jourdain. Ils échappent ainsi à la mort qui frappera les rebelles juifs quelques années après.
Le christianisme va se répandre dans tout le Moyen-Orient. Les chrétiens d'origine juifs ont compris le message de paix du Christ et refusent la lutte armée contre Rome. Leur lutte est spirituelle et la victoire doit lêtre également.
En 66, Méhahem, fils de Judas le Galiléen, se rebelle. Il rassemble les zélotes ou sicaires, groupes de juifs pieux qui souhaitent libérer par les armes la terre d'Israël. Nous connaissons Méhahem par Flavius Josèphe. Méhahem attaque Massada et prend la forteresse hérodienne aux romains, massacrant blessés et prisonniers. Puis il se rend à Jérusalem, prétendant être le Messie. Il va rapidement décevoir l'attente du peuple et un complot va le destituer. Il fuit Jérusalem et est exécuté fin 66. Massada, forteresse inexpugnable, est aux mains des rebelles juifs. La révolte est lancée !
Le Dieu des combats dont les victoires militaires ont été récusées par l'archéologie, reste toujours L'aspiration, Le fantasme et Le désir du peuple Juif.
Les Chrétiens l'ont compris, le Dieu des combats n'est pas Celui du Christ :
« DIEU EST AMOUR ! » (1 Jean 4-16).
« Jésus de Nazareth, de l'entrée à Jérusalem à la Résurrection », Benoît XVI, ed du Rocher.
http://www.bladi.info/298576-histoire-monotheismes-sciences-archeologie/index70.html#post10262930