À Djitymik, Dysmas, Tigellius et Hessia : votre débat

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Le QCM est un questionnaire à choix multiples ! (Je suppose que vous connaissez, bien que je vous poste une image)
Regarde la pièce jointe 377462

Est-ce que l'examinateur peut, dans l'exemple ci-dessus du code de la route, être accusé d'orienter les élèves vers les mauvaises réponses? Réponse: NON

Est-ce que, sous prétexte que l'examinateur ne veut que le bien de ses élèves et leur réussite, on peut dire que les mauvaises réponses de la question de l'exemple ci-dessus se sont inscrites toutes seules sur le questionnaire?
Réponse: NON

Est-ce que l'examinateur peut inscrire la bonne réponse au milieu de mauvaises réponses afin d'éprouver ses élèves, tout en se désavouant des mauvaises réponses et tout en voulant à ses élèves la réussite?
Réponse: OUI

CONCLUSION :
Dieu le Créateur absolu peut être à cette image sans que cela ne porte préjudice à son image, à Sa grandeur et Sa gloire, Sa puissance, Sa miséricorde, Sa justice et Sa générosité!

CQFD.
Et vous ne répondez toujours pas à cette question : à quoi donc sert la mort d'enfants et d'innocents ? Pour reprendre votre exemple : imaginez que l'examinateur décide de ne proposer QUE des mauvaises réponses. Pourrait-on trouver cet examinateur bienveillant ? Pour que l'examinateur souhaite la réussite de ses élèves, encore faut-il qu'il y ait une bonne réponse. Où est le but de Dieu quand un enfant est assassiné ? En quoi ce mal a-t-il aidé l'enfant ?
 
C'est tout votre problème : vous raisonnez à l'ombre de vos croyances, discutées et discutables, qui, en tout cas, ne font de ce fait pas consensus. Au final, vous réduisez le sujet dans votre intérêt !
Je ne parle pas ici de mes croyances. Ce dont je parle, c'est de ce que vous savez ou non de mes croyances.
 
L'argument que vous ne voulez pas voir, c'est que vous n'êtes pas en mesure de prouver votre croyance mais vous vous permettez, au nom de votre logique propre, de feindre LA logique et le bon sens absolu ! Vous ressemblez à celui qui voudrait nous faire avaler des couleuvres en nous disant que ce sont des spaghettis !
Je n'essaie pas de prouver ma croyance ici, juste de vous prouver que vous ne pouvez pas prouver que ma croyance est fausse parce que vous n'êtes pas en mesure de prouver que la vôtre est vraie (Je sais, c'est compliqué ;)).
 
Et vous ne répondez toujours pas à cette question : à quoi donc sert la mort d'enfants et d'innocents ? Pour reprendre votre exemple : imaginez que l'examinateur décide de ne proposer QUE des mauvaises réponses. Pourrait-on trouver cet examinateur bienveillant ? Pour que l'examinateur souhaite la réussite de ses élèves, encore faut-il qu'il y ait une bonne réponse. Où est le but de Dieu quand un enfant est assassiné ? En quoi ce mal a-t-il aidé l'enfant ?
Je vous réponds le plus tranquillement du monde ! En espérant que vous jouerez le jeu !

Au final, vous répondez comme les athées ''si Dieu existait, il n'y aurait pas de séisme, pas de guerre...." ! Tout pour justifier leur refus de croire en définitive.
Votre exemple de l'examinateur qui ne propose que des mauvaises réponses est fictif donc il ne mérite aucune réponse censée! Restons dans le réel si vous voulez bien. Si votre examinateur existe alors ce n'est pas un examinateur! C'est un non-sens en soi.

Vous parlez d'un Dieu Tout-Puissant alors, comme j'ai dit un jour à des témoins de Jéhovah, je vous demande : peut-Il empêcher un meurtre de se commettre? A cela, il me répond que OUI. Je lui dis alors : s'Il le peut mais ne le fait pas c'est qu'Il le permet et Il a forcément une bonne raison dans cela! S'il avait répondu que NON, alors il admettait que son Dieu ne contrôle rien et que la vie et la mort Lui échappent !

Voyez-vous, la mort n'est pas une fin en soi : la vie et la mort Lui appartiennent toute entière.


Lorsqu'un enfant meurt par exemple mais qu'aussitôt après la mort il se trouve au paradis, il ne fait aucun doute qu'il se fiche de la manière dont il est mort et qu'il ne désire plus revenir ici-bas au vu de sa place là-haut! Nous, de notre côté, ici-bas, nous n'aurons retenu que la forme par laquelle il est mort mais nous oublions que la vie et la mort appartiennent à Dieu, qu'ils ne peuvent échapper à Son contrôle et qu'Il est Juste et que l'Au-delà Lui appartient. Là est la vraie vie!

En revanche, si cet enfant, aussitôt après sa mort, devait se retrouver en enfer, pour une raison forcément juste que seul Dieu a connaissance (et l'enfant), alors nul homme, s'il avait connaissance des raisons pour lesquelles Dieu l'a mis en enfer, ne s'insurgerait, vu la sentence de condamnation de Dieu contre lui, contre la manière dont cet enfant est mort! Voilà votre réponse!
 
L'argument que vous ne voulez pas voir, c'est que vous n'êtes pas en mesure de prouver votre croyance mais vous vous permettez, au nom de votre logique propre, de feindre LA logique et le bon sens absolu ! Vous ressemblez à celui qui voudrait nous faire avaler des couleuvres en nous disant que ce sont des spaghettis !

Je suis pas sûr que les chrétiens revendiquent vraiment le « bon sens » pour eux.

Au-delà des arguments apologétiques de valeur inégale, c'est certain que les dogmes chrétiens ne sont pas évidents comme le soleil qui brille et demandent un acte de foi. Même l'apôtre Paul était bien conscient que son message était mal reçu et scandalisait pas mal de monde de par son « originalité ».

Dans le christianisme mainstream, on dit que la foi est compatible avec la raison, mais ça veut pas dire que les dogmes sont perçus comme relevant du simple bon sens ou de raisonnement aisés...

Personnellement, je crois que l'Église est partie dans la mauvaise direction avec les dogmes mariaux des deux derniers siècles, complications bien peu utiles, et celui de l'infaillibilité pontificale, qui me paraît relever de « l'hybris », même en y mettant toutes les nuances qu'on voudra. J'aime pas trop le pape Pie IX.
 
Et vous ne répondez toujours pas à cette question : à quoi donc sert la mort d'enfants et d'innocents ? Pour reprendre votre exemple : imaginez que l'examinateur décide de ne proposer QUE des mauvaises réponses. Pourrait-on trouver cet examinateur bienveillant ? Pour que l'examinateur souhaite la réussite de ses élèves, encore faut-il qu'il y ait une bonne réponse. Où est le but de Dieu quand un enfant est assassiné ? En quoi ce mal a-t-il aidé l'enfant ?

mais la mort d'enfants innocents est aussi une objection au christianisme.

Ou encore la vie des personnes qui n'ont pas l'usage de leur raison (handicap mental lourd, psychoses, etc.).

Quel sens peut bien avoir leur vie? S'ils ne comprennent rien de ce qui se passe ou de ce que veulent dire la religion ou la morale.

J'ai été frappé par exemple que la Bible ne parle jamais de mortalité infantile, sauf une seule fois dans le récit de l'adultère du roi David, où son enfant est « tué » par Dieu comme « châtiment ». Comme si la Bible ne savait pas trop comment composer avec cette réalité, qui était pourtant omniprésente avant le 20e siècle.
 
Je vous réponds le plus tranquillement du monde ! En espérant que vous jouerez le jeu !

Au final, vous répondez comme les athées ''si Dieu existait, il n'y aurait pas de séisme, pas de guerre...." ! Tout pour justifier leur refus de croire en définitive.
Votre exemple de l'examinateur qui ne propose que des mauvaises réponses est fictif donc il ne mérite aucune réponse censée! Restons dans le réel si vous voulez bien. Si votre examinateur existe alors ce n'est pas un examinateur! C'est un non-sens en soi.

Vous parlez d'un Dieu Tout-Puissant alors, comme j'ai dit un jour à des témoins de Jéhovah, je vous demande : peut-Il empêcher un meurtre de se commettre? A cela, il me répond que OUI. Je lui dis alors : s'Il le peut mais ne le fait pas c'est qu'Il le permet et Il a forcément une bonne raison dans cela! S'il avait répondu que NON, alors il admettait que son Dieu ne contrôle rien et que la vie et la mort Lui échappent !

Voyez-vous, la mort n'est pas une fin en soi : la vie et la mort Lui appartiennent toute entière.


Lorsqu'un enfant meurt par exemple mais qu'aussitôt après la mort il se trouve au paradis, il ne fait aucun doute qu'il se fiche de la manière dont il est mort et qu'il ne désire plus revenir ici-bas au vu de sa place là-haut! Nous, de notre côté, ici-bas, nous n'aurons retenu que la forme par laquelle il est mort mais nous oublions que la vie et la mort appartiennent à Dieu, qu'ils ne peuvent échapper à Son contrôle et qu'Il est Juste et que l'Au-delà Lui appartient. Là est la vraie vie!

En revanche, si cet enfant, aussitôt après sa mort, devait se retrouver en enfer, pour une raison forcément juste que seul Dieu a connaissance (et l'enfant), alors nul homme, s'il avait connaissance des raisons pour lesquelles Dieu l'a mis en enfer, ne s'insurgerait, vu la sentence de condamnation de Dieu contre lui, contre la manière dont cet enfant est mort! Voilà votre réponse!

Sinon, l'autre option est d'envisager une forme de réincarnation, mais cette croyance s'est jamais vraiment implantée dans le monothéisme...
 
Je vous réponds le plus tranquillement du monde ! En espérant que vous jouerez le jeu !

Au final, vous répondez comme les athées ''si Dieu existait, il n'y aurait pas de séisme, pas de guerre...." ! Tout pour justifier leur refus de croire en définitive.
Votre exemple de l'examinateur qui ne propose que des mauvaises réponses est fictif donc il ne mérite aucune réponse censée! Restons dans le réel si vous voulez bien. Si votre examinateur existe alors ce n'est pas un examinateur! C'est un non-sens en soi.
Votre exemple est fictif, donc il est logique que le mien le soit aussi. Quant à l'examinateur, il ne vous aura pas échappé qu'il s'agit là d'une métaphore de Dieu. Donc en effet, un examinateur qui ne proposerait que des mauvaises réponses n'en serait pas un. Conséquemment, un Dieu qui n'aurait à offrir que le mal pour le mal n'en serait pas un.
Vous parlez d'un Dieu Tout-Puissant alors, comme j'ai dit un jour à des témoins de Jéhovah, je vous demande : peut-Il empêcher un meurtre de se commettre? A cela, il me répond que OUI. Je lui dis alors : s'Il le peut mais ne le fait pas c'est qu'Il le permet et Il a forcément une bonne raison dans cela! S'il avait répondu que NON, alors il admettait que son Dieu ne contrôle rien et que la vie et la mort Lui échappent !
Donc vous estimez que si Dieu permet le mal, c'est qu'il vise un plus grand bien.
Voyez-vous, la mort n'est pas une fin en soi : la vie et la mort Lui appartiennent toute entière.


Lorsqu'un enfant meurt par exemple mais qu'aussitôt après la mort il se trouve au paradis, il ne fait aucun doute qu'il se fiche de la manière dont il est mort et qu'il ne désire plus revenir ici-bas au vu de sa place là-haut! Nous, de notre côté, ici-bas, nous n'aurons retenu que la forme par laquelle il est mort mais nous oublions que la vie et la mort appartiennent à Dieu, qu'ils ne peuvent échapper à Son contrôle et qu'Il est Juste et que l'Au-delà Lui appartient. Là est la vraie vie!
Et vous dites que l'apparente injustice de la mort d'un enfant est toute relative par rapport au plus grand bien que représente son accession au Paradis.
En revanche, si cet enfant, aussitôt après sa mort, devait se retrouver en enfer, pour une raison forcément juste que seul Dieu a connaissance (et l'enfant), alors nul homme, s'il avait connaissance des raisons pour lesquelles Dieu l'a mis en enfer, ne s'insurgerait, vu la sentence de condamnation de Dieu contre lui, contre la manière dont cet enfant est mort! Voilà votre réponse!
Mais alors, si ce qui nous apparaît comme injuste est juste aux yeux de Dieu, comment savoir si Dieu est juste, puisque non seulement notre définition de la justice n'est pas la même que la sienne mais qu'en plus nous ne savons pas ce qu'est la justice de Dieu ?
Ce qui nous laisse avec deux questions : Si Dieu permet le mal, il est tout puissant mais est-il vraiment bon ? Et si Dieu ne le tolère pas, il est bon mais est-il vraiment tout puissant ?
A moins que Dieu permette le mal non parce qu'il a une raison ou parce qu'il n'est pas tout puissant, mais parce qu'il limite nécessairement sa toute puissance pour nous faire de la place, à nous, ses créatures. Autrement dit, le Dieu tout puissant limiterait sa toute puissance parce qu'il est créateur.
 
Vous prenez le problème à l'envers. Comprendre la raison du sacrifice permet de comprendre que le Christ est Dieu. Comprendre ce que signifie l'Incarnation, la Passion et la Résurrection dans le plan global de Dieu permet ensuite de cerner la vraie nature du Christ. Vous ne pourrez jamais comprendre ni accepter la nature de Jésus si vous ne comprenez pas comment la religion chrétienne envisage la nature de Dieu et ses intentions à l'égard des hommes et de la Création. L'Incarnation n'est pas un phénomène à considérer de manière isolée, mais comme l'aboutissement, le point d'orgue d'un plan divin.
Ce message a failli passer à l'as ! Dieu soit loué, je l'ai vu en relisant !

Ca tombe c'est vous qui prenez le problème à l'envers ! Vu que ce sacrifice est un non-sens, Jésus-fils-de-Marie ne saurait être Dieu ! Comme si la raison du sacrifice pouvait prouver la divinité de Jésus ! Et la naissance d'Adam sans père prouve quoi ? Qu'il s'est créé tout seul ? Soyez raisonnable un peu ! Bref, je jette l'éponge pour ma part... Désolé.

Merci pour l'échange ! Puisse l'Eternel, qui n'a pas été enfanté et qui n'enfante pas, Le vivant qui ne meurt pas, vous guider ! Amen/Amine.
 
Votre exemple est fictif, donc il est logique que le mien le soit aussi. Quant à l'examinateur, il ne vous aura pas échappé qu'il s'agit là d'une métaphore de Dieu. Donc en effet, un examinateur qui ne proposerait que des mauvaises réponses n'en serait pas un. Conséquemment, un Dieu qui n'aurait à offrir que le mal pour le mal n'en serait pas un.

Donc vous estimez que si Dieu permet le mal, c'est qu'il vise un plus grand bien.

Et vous dites que l'apparente injustice de la mort d'un enfant est toute relative par rapport au plus grand bien que représente son accession au Paradis.

Mais alors, si ce qui nous apparaît comme injuste est juste aux yeux de Dieu, comment savoir si Dieu est juste, puisque non seulement notre définition de la justice n'est pas la même que la sienne mais qu'en plus nous ne savons pas ce qu'est la justice de Dieu ?
Ce qui nous laisse avec deux questions : Si Dieu permet le mal, il est tout puissant mais est-il vraiment bon ? Et si Dieu ne le tolère pas, il est bon mais est-il vraiment tout puissant ?
A moins que Dieu permette le mal non parce qu'il a une raison ou parce qu'il n'est pas tout puissant, mais parce qu'il limite nécessairement sa toute puissance pour nous faire de la place, à nous, ses créatures. Autrement dit, le Dieu tout puissant limiterait sa toute puissance parce qu'il est créateur.

Il y a des humains qui sont écrasés par les forces hostiles de la nature (comme ceux dont je parlais plus haut) et qui auraient plutôt eu besoin de davantage d'intervention divine. Dans ces cas-là, le « retrait » de Dieu ne permet pas la liberté, mais l'entrave.
 
Ce message a failli passer à l'as ! Dieu soit loué, je l'ai vu en relisant !

Ca tombe c'est vous qui prenez le problème à l'envers ! Vu que ce sacrifice est un non-sens, Jésus-fils-de-Marie ne saurait être Dieu ! Comme si la raison du sacrifice pouvait prouver la divinité de Jésus ! Et la naissance d'Adam sans père prouve quoi ? Qu'il s'est créé tout seul ? Soyez raisonnable un peu ! Bref, je jette l'éponge pour ma part... Désolé.
Je reformule mieux votre phrase : vu que vous ne savez pas le sens de ce sacrifice, vous ne pouvez pas croire que Jésus soit Dieu. Pourquoi ? Parce que le Christ révèle sa divinité à travers son Incarnation, sa Passion et sa Résurrection. En somme, vous êtes un peu comme les apôtres : vous ne parvenez pas à voir la vraie nature du Christ parce que vous ne comprenez pas ce qu'il fait et ce qu'il dit et pourquoi il le fait et il le dit.
Merci pour l'échange ! Puisse l'Eternel, qui n'a pas été enfanté et qui n'enfante pas, Le vivant qui ne meurt pas, vous guider ! Amen/Amine.
Anthropomorphisme qui démontre une mauvaise compréhension de ce qu'est la Trinité.
 
mais la mort d'enfants innocents est aussi une objection au christianisme.

Ou encore la vie des personnes qui n'ont pas l'usage de leur raison (handicap mental lourd, psychoses, etc.).

Quel sens peut bien avoir leur vie? S'ils ne comprennent rien de ce qui se passe ou de ce que veulent dire la religion ou la morale.

J'ai été frappé par exemple que la Bible ne parle jamais de mortalité infantile, sauf une seule fois dans le récit de l'adultère du roi David, où son enfant est « tué » par Dieu comme « châtiment ». Comme si la Bible ne savait pas trop comment composer avec cette réalité, qui était pourtant omniprésente avant le 20e siècle.
C'est une objection à toute croyance en un Dieu omnipotent et bon.
 
Il y a des humains qui sont écrasés par les forces hostiles de la nature (comme ceux dont je parlais plus haut) et qui auraient plutôt eu besoin de davantage d'intervention divine. Dans ces cas-là, le « retrait » de Dieu ne permet pas la liberté, mais l'entrave.
C'est vrai. Mais le retrait de Dieu dont je parlais concernerait davantage la Création dans son ensemble que les créatures dans leur individualité. Pour ce qui est des individus, on rapporte ici et là des guérisons, des miracles. Si tout ceci est vrai, pourquoi certains bénéficient de l'intervention divine et pas d'autres ? Je ne peux pas répondre à cette question...
 
C'est une objection à toute croyance en un Dieu omnipotent et bon.

Si Dieu a créé l'univers, il a assez de puissance pour en réparer les défaillances. Et c'est pas une question de se cacher pour respecter notre liberté. La question ici est justement que la liberté de certains humains peut pas s'exercer parce que Dieu agit pas. :desole:

Je suis pas en train de dire qu'il devrait exister aucun mal, que tout devrait être paradisiaque. Je parle d'un type précis de mal (les humains avec des problèmes cognitifs ou mentaux).
 
C'est vrai. Mais le retrait de Dieu dont je parlais concernerait davantage la Création dans son ensemble que les créatures dans leur individualité. Pour ce qui est des individus, on rapporte ici et là des guérisons, des miracles. Si tout ceci est vrai, pourquoi certains bénéficient de l'intervention divine et pas d'autres ? Je ne peux pas répondre à cette question...

C'est pour cela que j'aime vraiment pas ce concept de miracle, abstraction faite de leur existence avérée ou non. Ni les « révélations privées ». Cela sonne trop comme si Dieu a des chouchous, alors qu'on voit bien pourtant que c'est pas toujours les meilleures personnes qui en bénéficient!!
 
Votre exemple est fictif, donc il est logique que le mien le soit aussi. Quant à l'examinateur, il ne vous aura pas échappé qu'il s'agit là d'une métaphore de Dieu. Donc en effet, un examinateur qui ne proposerait que des mauvaises réponses n'en serait pas un. Conséquemment, un Dieu qui n'aurait à offrir que le mal pour le mal n'en serait pas un.
Vous êtes malhonnête si vous soutenez que mon exemple de l'examinateur est fictif ! Accrochez-vous aux branches autant que vous pouvez, le sol est en dessous de vous !
Donc vous estimez que si Dieu permet le mal, c'est qu'il vise un plus grand bien.
Nulle mauvaise réponse sélectionnée par l'élève lors de son QCM n'échappe au contrôle de l'examinateur ! Personne ne le lui reproche ! C'est strictement pareil pour Dieu !
Et vous dites que l'apparente injustice de la mort d'un enfant est toute relative par rapport au plus grand bien que représente son accession au Paradis.
Mais alors, si ce qui nous apparaît comme injuste est juste aux yeux de Dieu, comment savoir si Dieu est juste, puisque non seulement notre définition de la justice n'est pas la même que la sienne mais qu'en plus nous ne savons pas ce qu'est la justice de Dieu ?
Pour savoir si Dieu est juste on se réfère à sa loi : à travers celle-ci, on sait qu'Il est contre l'injustice et contre le mal. En réalité, on se réfère à la conscience qu'Il nous a donnée, que sa loi confirme somme toute. Donc c'est impossible de Lui attribuer le mal ou l'injustice. Il n'est pas concerné par cela.

Si l'acte de mourir est mal en soi alors soit Dieu est mauvais, soit Dieu est bon MAIS la mort (et donc la vie aussi) Lui échappent et donc Il n'est plus ni Tout-Puissant, ni Créateur, ni Dieu au final.
Mais, si l'acte de mourir (et donc de vivre aussi) est juste (dans le fond) un rappel de sa créature vers Lui, le terme de son existence, alors Il demeure un Dieu Créateur de toutes choses. Ceci dit, dans une même mort, il peut y avoir dans la forme un crime, sans que la décision de Dieu puisse être associé avec la cause choisie. L'homme tue, pas Dieu. Dieu ne fait que reprendre la vie. L'assassin, le criminel garde sa pleine responsabilité de son acte donc! Sinon, on se trouvera forcé de soutenir que la mort (et donc la vie) échappent à la volonté divine, ce qui n'a pas de sens en soi. Cela revient à dépouiller Dieu de Sa toute-puissance alors qu'il n'y a aucune injustice dans sa décision de reprendre la vie, qu'il y ait crime ou pas! La mort n'est pas négociable, c'est l'issue de tous, tôt ou tard, quelque soit la forme!

Le prof trouve juste que l'élève réponde aux questions du QCM correctement ou incorrectement (bien ou mal) dans la mesure où ses réponses reflètent strictement son niveau et ses connaissances, MAIS, dans le même temps ce prof considère sans aucun débat possible que les mauvaises réponses ne sont pas pour autant justes. Pourtant Il a laissé l'élève répondre incorrectement ! Comment savoir donc si le prof est juste? Se référer à son cours (la conscience puis le cours magistral) pour voir s'il a donné les moyens à l'élève de réussir l'examen auquel il l'a soumis. Tant que le prof a donné au préalable les bonnes leçons aux élèves, on ne peut rien lui reprocher.

P.S : Je ne m'étais jamais imaginé que cela vous semble si troublant ! Je m'excuse d'avoir été parfois sec et je ne regrette pas d'être allé jusqu'à ce niveau du débat! Je saisis maintenant davantage les notions qui nous séparent! Dieu merci.
Ce qui nous laisse avec deux questions : Si Dieu permet le mal, il est tout puissant mais est-il vraiment bon ? Et si Dieu ne le tolère pas, il est bon mais est-il vraiment tout puissant ?
A moins que Dieu permette le mal non parce qu'il a une raison ou parce qu'il n'est pas tout puissant, mais parce qu'il limite nécessairement sa toute puissance pour nous faire de la place, à nous, ses créatures. Autrement dit, le Dieu tout puissant limiterait sa toute puissance parce qu'il est créateur.
Comme je disais, Dieu ne permet pas le mal, Il permet sa réalisation. Permettre dans le sens "réalisation" et non dans le sens "autorisation"! C'est parfaitement à l'image du prof qui permet (sans autoriser) que ses élèves répondent à côté de la plaque aux QCM alors que lui, du haut de ses connaissances, se désavoue des mauvaises réponses qu'ils peuvent répondre! L'exemple est concret en définitive! Nous sommes dans un test, ni plus ni moins. Depuis Adam et Eve face à l'arbre, jusqu'à la fin des temps!

P.S: En tout cas, je salue la qualité de la plume, c'est agréable de lire des écrits sans aucune faute!
 
Je reformule mieux votre phrase : vu que vous ne savez pas le sens de ce sacrifice, vous ne pouvez pas croire que Jésus soit Dieu.
Le sens que vous lui prêtez, aussi enjolivé soit-il, n'engagera toujours que vous! Le Dieu qui coule de source ce n'est pas celui qui s'incarne et se sacrifie pour en définitive mettre en marche Son pardon! Les travers de cette croyance sont trop dangereux pour être validés par le bon sens! Dans tous les cas, cette croyance est nouvelle! Elle était inconnue avant Jésus-fils-de-Marie. Les juifs, selon vos dires, l'ont accueilli somme toute comme nous, musulmans, l'ont toujours accueilli : décalée des révélations précédentes, sans parler du bon sens!
Pourquoi ? Parce que le Christ révèle sa divinité à travers son Incarnation, sa Passion et sa Résurrection. En somme, vous êtes un peu comme les apôtres : vous ne parvenez pas à voir la vraie nature du Christ parce que vous ne comprenez pas ce qu'il fait et ce qu'il dit et pourquoi il le fait et il le dit.

Anthropomorphisme qui démontre une mauvaise compréhension de ce qu'est la Trinité.
Dieu est Miséricordieux, le Seul Maitre du jugement dernier! Il n'a pas été enfanté et n'enfante pas. C'est simple et limpide! Il est tellement plein de miséricorde qu'Il se passe de la crucifixion, voilà mon propos!
 
C'est vrai. Mais le retrait de Dieu dont je parlais concernerait davantage la Création dans son ensemble que les créatures dans leur individualité. Pour ce qui est des individus, on rapporte ici et là des guérisons, des miracles. Si tout ceci est vrai, pourquoi certains bénéficient de l'intervention divine et pas d'autres ? Je ne peux pas répondre à cette question...
Si vous voyez ces bienfaits comme des fins en soi alors je comprends que le sens vous échappe mais si vous y voyez la Justice et la Sagesse de Dieu alors vous y verrez plus clair. Dieu guéri miraculeusement à une occasion donnée où il est nécessaire pour les personnes présentes de se voir rappeler que Sa volonté, Sa puissance défie l'ordre établi, qu'il n'y a pas de constante figée dans laquelle s'inscrire dans l'absolu. Il nous montre qu'Il est Tout-Puissant, celui à qui rien n'échappe. Parfois, tout semble bouché et on ne sait comment tout se débloque et parfois tous les feux sont verts et tout se bloque on ne sait comment! Gare à ceux qui croient que tout est acquis grâce à leurs propres moyens mais aussi à ceux qui désespèrent de Lui pour se passer de Lui! Voilà le sens que je peux vous en apporter.
 
Si Dieu a créé l'univers, il a assez de puissance pour en réparer les défaillances. Et c'est pas une question de se cacher pour respecter notre liberté. La question ici est justement que la liberté de certains humains peut pas s'exercer parce que Dieu agit pas. :desole:

Je suis pas en train de dire qu'il devrait exister aucun mal, que tout devrait être paradisiaque. Je parle d'un type précis de mal (les humains avec des problèmes cognitifs ou mentaux).
Le but est de rappeler aux sains de corps et d'esprits que les bienfaits dont eux-mêmes disposent ne le sont pas de leur fait car ces personnes handicapées n'ont rien demandé, pas plus que les premiers en bonne santé. Donc c'est un rappel à la gratitude envers Dieu et à l'humilité face à ces personnes! Dieu nous rappelle donc là encore Sa présence et donc notre impuissance, notre faiblesse et notre pleine dépendance de Lui!
 
Je vous réponds le plus tranquillement du monde ! En espérant que vous jouerez le jeu !

Au final, vous répondez comme les athées ''si Dieu existait, il n'y aurait pas de séisme, pas de guerre...." ! Tout pour justifier leur refus de croire en définitive.
Votre exemple de l'examinateur qui ne propose que des mauvaises réponses est fictif donc il ne mérite aucune réponse censée! Restons dans le réel si vous voulez bien. Si votre examinateur existe alors ce n'est pas un examinateur! C'est un non-sens en soi.


Erratum : sensée !
 
Au final, vous répondez comme les athées ''si Dieu existait, il n'y aurait pas de séisme, pas de guerre...." ! Tout pour justifier leur refus de croire en définitive.
Je ne peux pas répondre pour les athées, mais je ne pense pas qu'ils "refusent de croire".
Ils ne croient pas parce que rien ne les convainc de croire. Ils sont probablement aussi convaincus qu'il n'y a pas de Dieu, que vous êtes convaincus qu'il y en a un.
Ce n'est donc pas un refus.

En revanche, si cet enfant, aussitôt après sa mort, devait se retrouver en enfer, pour une raison forcément juste que seul Dieu a connaissance (et l'enfant), alors nul homme, s'il avait connaissance des raisons pour lesquelles Dieu l'a mis en enfer, ne s'insurgerait, vu la sentence de condamnation de Dieu contre lui, contre la manière dont cet enfant est mort! Voilà votre réponse!
Pourquoi "pour une raison FORCÉMENT juste dont seul dieu à connaissance (et l'enfant)?
Ça n'a aucun sens.
Si un bébé meurt et va en enfer, sans avoir eu à commettre en toute responsabilité le moindre acte "répréhensible", il n'y a pas à chercher une "justice" dans la décision de l'envoyer en enfer. Bien sûr qu'il faudrait s'insurger...
Un acte n'est pas "juste" simplement parce qu'on adule celui qui le commet. Si un dieu faisait ce que vous dites là, ce serait un dieu tyrannique et injuste (d'ailleurs, rien n'impose qu'un dieu soit juste...)
A moins que vous croyiez en la réincarnation, et que ledit bébé "paye" pour des actes commis dans sa ou ses vies passées...? :)

La question demeure: sur quelle base est jugé un nouveau né qui meurt? Qu'a-t-il (dé)montré?
 
Mais en fin compte, une bonne partie de votre désaccord me paraît résulter d'axiomes différents sur la nature de Dieu, et on peut pas trop argumenter à ce niveau. Pour certains, tel axiome est farfelu; pour d'autres il est sensé.
En effet il y a des divergences très profondes concernant la Nature de Dieu, l'Islam très proche pour ne pas dire identique du judaïsme, alors que le christianisme loin du message de Jésus s'est formé à partir de la pensée de Paul de Tarse, une pensée qui a sorti les chrétiens du monothéisme tel que compris par les juifs et les musulmans.

D'ailleurs rien ne ressemble plus à la croyance juive et musulmane. Le christianisme est une secte et non pas une religion, car qui dit religion monothéiste, dit spiritualité et jurisprudence, alors que cette secte ne dispose pas de jurisprudence et en outre, elle a inventé une filiation à Jésus et une Trinité accréditant à Dieu des "personnes" distinctes ayant chacune sa propre volonté. On se serait cru devant le paganisme romain et grec dans lequel c'était une normalité que les dieux aient des enfants avec des humains.

On s'approche des 100 pages dans ton topic et ceux qui se sont aventurés à le lire ont pu constater que les textes chrétiens vont même à l'encontre de ce qui disent que Jésus serait un fils ce Dieu et d'une Trinité, concept inventé de toute pièce n'ayant rien à voir avec le monothéisme pur. Un Jésus de nature divine mais ignare alors que Dieu est Omniscient. Un Jésus qui dit "mon Dieu et votre Dieu" Cela veut dire que lui n'est pas Dieu. Un Jésus qui se demande pourquoi Dieu l'a abandonné, ou encore pourquoi le figuier ne donne pas des fruits ignorant que ce n'est pas la saison.

Tout ces simples détails que les chrétiens essaient de justifier tant bien que mal pour sauver leurs dogmes, montrent bien que le christianisme n'a rien à voir avec le judaïsme et l'Islam ni de près ni de loin. C'est une secte qui s'est dépouillée de la jurisprudence bernant leurs croyants avec la poudre aux yeux d'un "sacrifice" humain les libérant du péché original, alors qu'on sait que le baptême seul suffit (selon les chrétiens) à effacer le péché d'origine.

A cela ils ont ajouté l'idolâtrie priant devant à des statues et à des icônes demandant d'intercéder auprès de Dieu (lequel ? Le Père, le Fils ou le Saint Esprit ?) comme si Dieu était sourd et qu'il fallait des intermédiaires. Même ils ont prie Marie en adoration lui consacrant le mois de mai pour les prières dont dans l'Ave Maria est dit : "Marie mère de Dieu". Sans oublier le rite de la confession dans lequel un croyant doit confesser ses péchés même les plus intimes à une autre personne censée être le "ministre de Dieu" et apte à pardonner si elle le veut au pécheur, Bref une secte transpirant l'idolâtrie dans les contes qu'ils ont inventé.
 
C'est certain qu'à certains égards, le Dieu des musulmans est plus proche du Dieu des philosophes que ne l'est le Dieu des chrétiens.
Le Dieu des musulmans est le même que le Dieu des juifs alors que le Dieu des chrétiens est une colocation de "personnes" distinctes ayant chacune sa propre volonté dont deux ne savent pas. Une vraie INEPTIE qui s'apparente plus au polythéisme et à l'idolâtrie des païens.
 
Mais en fin compte, une bonne partie de votre désaccord me paraît résulter d'axiomes différents sur la nature de Dieu, et on peut pas trop argumenter à ce niveau. Pour certains, tel axiome est farfelu; pour d'autres il est sensé.
D'habitude les fous croient qu'ils ne le sont pas parce qu'ils ne s'observent pas de l'extérieur. Affirmer qu'un Dieu se serait incarné en un être humain et qu'il se serait sacrifié par sa mort pour sauver le genre humain, c'est le plus grand FAKE NEWS de l'histoire humaine. Le scoop à la une des "journaux oraux" de l'époque d'un dieu tué par les créatures.
 
Je crois qu'il veut dire que Dieu crée des tentations ou des obstacles, non par malveillance ni par négligence, mais pour nous soumettre à une épreuve, afin qu'on témoigne de notre foi et de notre obéis
C'est exact, sinon il n'y aurait pas d'épreuves. Je ne sais pas si tu as regardé le film Man in black. Dans ce film le personnage incarné par Will Smits doit se soumettre à une épreuve dans un parcours où il ignore où vont apparaître les ennemis. Tandis que ces compagnons tirent à droite et à gauche sur des pancartes (ennemies), lui ne tire pas mais il attend. puis tout à coup tire sur une pancarte représentant un enfant et là tout le monde ne comprend pas pourquoi. Lui par la suite donne une explication logique qui est acceptée. Tout cela pour dire que notre vie n'est pas un long fleuve tranquille, mais au contraire il y a plein d'épreuves qui nous attendent et qui font partie de notre parcours individuel.

 
Bon eh bien cette espèce de souffrance que ressent la personne qui pardonne, C'EST la souffrance que Dieu, incarné en Jésus, a ressentie sur la croix en nous pardonnant.
Un dieu qui souffre ? Un dieu au coeur peiné ? Un dieu sur la croix qui se demande pourquoi Dieu l'a abandonné ? Un dieu qui regrette d'avoir créé le genre humain ? Un dieu qui se prosterne ? Un dieu qui ne sait pas quand arrivera l'HEURE ? Un dieu qui ignore qu'un figuier ne peut donner donner ses fruits hors saison ? Un dieu qui dit "Mon Dieu et votre Dieu" ?

Tout cela s'apparente à un humain et non pas à une Divinité digne de ce nom.
 
Qu'entendez-vous par "pardonner" ? Je suppose que vous savez, par exemple, que le péché originel n'a rien à voir avec les péchés ordinaires. De quoi le sacrifice du Christ nous délivre, selon vous ?
Cela sert à quoi de se sacrifier pour effacer un péché original alors que non seulement le baptême (selon les chrétiens) l'efface et Jésus aurait été baptisé, mais ensuite le genre humain a continué à pécher. Encore une fois le Créateur ne laisse JAMAIS tuer Ses Messagers porteurs d'une révélation. Lot a bien été sauvé de la destruction de Sodome de même que Noé du déluge.
 
Ne cherchez même pas a lui poser la question mon cher Dysmas, ses connaissances bibliques sont tellement rudimentaires, voire inexistantes, qu'il devient impossible d'avoir la moindre discussion sérieuse avec lui.

En fait il n'est même pas la pour discuter de quoi que ce soit, il est la pour prouver que tous les gens qui ne pensent pas comme lui sont tous des co..ns, et des mécréants bien entendu.
Il faut arrêter de pleurnicher. Ce que tu racontes n'est pas un argument mais de l'ironie montrant de la faiblesse et un manque de munitions.
 
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