après 1400 ans de mensonges,le vrai ramadan selon le coran,le mensonge de la sunna du prophète sws...

tout à fait ! et d'un autre coté,on te dis que l'islam n'a pas de clergé,je dirais qu'il en a pas le nom mais c'est tout comme!
Salam

Il y a une sorte de clergé en Islam, très visible chez les chiites et moins apparent chez les sunnites, mais il est bien là. Les savants avec leur effort de réflexion ont greffé des choses à la religion qu'elle n'avait pas au début, c'est une des raisons qui me font dire qu'il y a un DIN d'Allah et un Din des hommes.
 
c'est quoi être dans l'inconfort? et c'est quoi d'être dans le confort?

peut on pas ce contenté de ce que l'on a et s'en accommodé?
si on cherche toujours à avoir mieux c'est sûr que c'est de la survie,mais si on se contente de ce qu'on a de savoir apprécié et accommodé ce qu'on a alors on vit
On peut-être dans le confort et triste
Confort c quand quelqu'un fait choses a ta place et tu le paye
 
c'est quoi être dans l'inconfort? et c'est quoi d'être dans le confort?

peut on pas ce contenté de ce que l'on a et s'en accommodé?
si on cherche toujours à avoir mieux c'est sûr que c'est de la survie,mais si on se contente de ce qu'on a de savoir apprécié et accommodé ce qu'on a alors on vit
Oui c relatif quand tu tu fais la comparaison avec voisin puis après outre Atlantique quand ta déjà voisin
 
Salam
c'est une des raisons qui me font dire qu'il y a un DIN d'Allah et un Din des hommes.
eleykou salam

ah oui ça a toujours était que les hommes se sont appropriés la religion,ils ont trouvé là un moyen de manipulation
avec cet outil ils peuvent gradé ou rétrogradé une nation

comme on peut le voir chez les arabes qui avant les mollahs étaient très intelligents puis les mollahs ont haramisé par le biais de la religion tout ce qui était innovation et on peut en voir l'exemple en iran

comment l'iran était avant la venue au gouvernement des mollah
 
Salam

Il y a une sorte de clergé en Islam, très visible chez les chiites et moins apparent chez les sunnites, mais il est bien là. Les savants avec leur effort de réflexion ont greffé des choses à la religion qu'elle n'avait pas au début, c'est une des raisons qui me font dire qu'il y a un DIN d'Allah et un Din des hommes.

Un texte intéressant d’un site que je partage :​


Pas de clergé en islam : qu'entend-on par cette phrase ?​

Il n'est pas rare, dans certaines communautés musulmanes de la planète, de voir que des musulmans, à cause de leur savoir en sciences islamiques ou de leur responsabilités au sein de la communauté musulmane, sont considérés un peu comme des prêtres, des brahmanes, voire des sadhous :
  • "Ils doivent délaisser le matériel et se préoccuper uniquement du spirituel" dit-on...
  • On leur reproche violemment des actes qui, pourtant, faits par d'autres musulmans, n'entraînent pas de réaction notable ;
  • Ont-ils une divergence d'opinions ? "Ils ne s'entendent pas !" ;
  • Et malheur à eux si deux d'entre eux ont connu une petite querelle où ils ont haussé un peu le ton : "Quelle époque !" entend-on partout.
C'est à ce sujet que nous écrivons ces lignes, dans le but d'affirmer qu'il n'y a pas de clergé en islam, et d'établir quelques-unes des conséquences découlant de cette affirmation.



1. Pas d'intermédiaire entre les hommes et Dieu :

Tout d'abord, l'islam enseigne qu'il n'y a besoin d'aucun intermédiaire entre le croyant ou la croyante et Dieu. Le culte se fait directement. Certaines prières se font en groupe (jamâ'ah), et s'il est vrai que l'un des musulmans présents est alors nommé "imâm" ("qui est devant"), il ne sert en aucun cas d'intermédiaire entre Dieu et les autres fidèles.

De même, en cas de péché par manquement aux droits de Dieu, le croyant et la croyante se repentent (tawba, istighfâr) en s'adressant directement à leur Créateur, et non en passant par l'intermédiaire d'un homme.



2. Sur le plan des devoirs et des interdits de l'islam, ulémas et non-ulémas sont logés à la même enseigne :


Sur ce plan, il n'y a aucune différence entre un "'âlim" (pl. ulémas, savant en sciences islamiques) et un musulman qui n'est pas "'âlim".

En effet, toute musulmane et tout musulman doivent faire des efforts sur eux-mêmes pour :
  • avoir des croyances correctes ;
  • avoir la spiritualité (droiture et purification du cœur) voulue ;
  • pratiquer les actions pieuses (relatives au culte de Dieu comme aux relations avec les hommes) ;
  • inviter les hommes vers le bien.


L'islam est différent du catholicisme, où il y a partage de la Communauté religieuse entre laïcs et clercs, certaines choses (comme le mariage) étant permises pour les laïcs mais interdites aux clercs.

En islam, il n'existe pas de partage de la Communauté : Abû Hanîfa, fondateur de l'école juridique bien connue, était un commerçant ! De même, devenir savant en sciences islamiques est ouvert à tout musulman, et ne relève pas de l'appartenance à une classe sociale particulière.


Et si chaque musulman n'a pas, forcément, pu consacrer une période conséquente de sa vie à devenir savant en sciences islamiques, il a le devoir d'acquérir - aussi bien dans le domaine des règles juridiques (pour le culte comme pour les affaires sociales), que dans ceux des croyances et de la spiritualité - le savoir religieux qui lui permettra de pratiquer ce qui est obligatoire, d'éviter ce qui est interdit et de rester dans ce qui est permis.

Négliger cette connaissance minimale est aussi un péché, car le Prophète a dit : "La recherche du savoir est un devoir sur tout musulman" (al-Bayhaqî).


.
 
3. Sur le plan de l'interprétation des sources de l'islam (Coran et hadîths) et donc de l'élaboration d'avis juridiques, il y a besoin de savants, mais ceux-ci ne forment pas un clergé :


Interpréter le Coran et les Hadîths, en extraire des règles juridiques (ahkâm) et donner des avis juridiques (fatwas), cela demande des compétences (connaissances très approfondies) en sciences islamiques. Cela, c'est vrai, relève des ulémas.

Mais quoi de plus normal ? Ne faut-il pas des compétences en médecine pour délivrer des ordonnances médicales ? Si, il en va d'un minimum d'assurance, afin d'éviter des dérapages en matière de santé publique.

Pour interpréter le Coran et les Hadîths et donner des avis juridiques, il faut pareillement des compétences morales (piété/ taqwâ) et intellectuelles (connaissance des sources et du contexte/ tafaqquh).

Il s'agit là d'un minimum d'assurance, afin d'éviter des dérapages en matière d'interprétation des sources musulmanes et que "n'importe qui dise ce qu'il veut bien".

Un hadîth du Prophète (sur lui la paix) ne dit-il pas : "… Et celui a qui on a donné une fatwa sans connaissance, le péché de cette fatwa sera sur celui qui l'a donnée" (Abû Dâoûd).

Mufti Taqî Uthmânî écrit en substance : "Cela est tout à fait comparable au fait qu'il faille avoir des compétences en sciences médicales pour pouvoir délivrer des ordonnances médicales"(Islam aur jiddat passandî, p. 63).


Cependant, les ulémas ne sont pas organisés en clergé ; il y a des différences entre les types d'organisations des "hommes de référence" chez certaines autres religions, et la présence des ulémas chez les musulmans. Voici trois de ces différences :


1) Etre "savant en sciences de l'islam" et élaborer des fatwas relèvent de compétences intellectuelles et morales, et non de l'appartenance à une caste, à une famille ou à une structure particulières.

Mufti Taqî Uthmânî écrit en substance :
"Dans l'Hindouisme, interpréter les sources de la religion et servir la religion reviennent à une seule caste (= grande famille), celle des Brahmanes. Malgré toutes les compétences voulues, un homme n'appartenant pas à cette caste n'a pas le droit d'interpréter les sources religieuses.

Dans le Catholicisme, élaborer les règlements et interpréter les sources de la religion reviennent à une seule structure : le Clergé, et surtout à un seul homme : le Pape.

Des hommes compétents mais ne faisant pas partie de cette structure ne peuvent élaborer les règlements. En islam, être "'âlim" relève de compétences, et est accessible à tous sans regard pour son appartenance à une race, à une classe sociale ou à une famille particulières.

Durant ces 14 siècles, il y a eu des Ulémas dans tous les pays, de toutes les couleurs de peau et de toutes les familles" (Islam aur jiddat passandî, p. 62).


2) En ce qui concerne les règlements juridiques (ahkâm) basés sur un texte authentique et clair du Coran ou des hadîths : une seule opinion est correcte, et évidente ; toute autre opinion contredisant ce texte doit donc être abandonnée.
 
Et pourtant, il arrive à chaque "'âlim" (qu'il habite l'Inde, le Pakistan, l'Arabie Saoudite, l'Europe ou autre) d'émettre parfois une opinion contredisant ce genre de texte "qat'iy", par oubli ou par ignorance de celui-ci.

Aucun "'âlim" ne peut donc faire office de Pape, puisque aucun n'est infaillible dans ses interprétations et que seul le Prophète l'était.

Au contraire, chaque "'âlim" a le droit d'expliquer à n'importe quel autre 'âlim, poliment et sur un pied d'égalité, sans dénigrement, qu'il a fait une erreur d'interprétation (ce genre d'erreur d'interprétation rapportant de toute façon une récompense, contre deux au cas où l'interprétation est juste).

Mufti Taqî Uthmânî écrit en substance :

"En islam, les références suprêmes sont le Coran et les Hadîths ; aussi, si un "'âlim" fait une erreur d'interprétation en donnant une fatwa erronée [= qui contredit un texte clair du Coran ou un texte authentique et clair des Hadîths], les autres ulémas sont là, et lui font remarquer son erreur.

C'est dans le Catholicisme qu'il y a un pape, auquel nul ne peut dire qu'il se trompe parce que, assisté par l'Esprit Saint, il est considéré infaillible"(Islam aur jiddat passandî, pp. 94-95).


3) Par contre, en ce qui concerne les règles (ahkâm) à propos desquels il n'y a pas un texte authentique et clair du Coran ou des Hadîths, souvent, plusieurs opinions ont vu le jour de par le passé, et voient le jour encore aujourd'hui chez les Ulémas.

Il est ici assez difficile de trancher. Certains Ulémas ont donc, à propos de ce genre de texte "zannî", des opinions différentes, et aucun "'âlim" ne peut alors faire office de Pape et imposer aux autres Ulémas l'interprétation qu'il considère juste.

Au contraire, les Ulémas doivent, sur un pied d'égalité, débattre de ce genre d'opinions et de leurs preuves.
Voilà les caractéristiques des ulémas, qui font qu'ils ne constituent pas un clergé
 
Sophisme :

Un sophisme est un procédé rhétorique, une argumentation, à la logique fallacieuse. C'est un raisonnement qui porte en lui l'apparence de la rigueur, voire de l'évidence, mais qui n'est en réalité pas valide au sens de la logique, quand bien même sa conclusion serait pourtant « vraie ».

À la différence du paralogisme, erreur dans le raisonnement d'un émetteur de bonne foi, ne cherchant pas à tromper le récepteur, le sophisme est quant à lui fallacieux : il est prononcé et énoncé avec l'intention cachée de tromper le destinataire ou l'auditoire afin, par exemple, de prendre l'avantage sur lui dans une discussion, dans le cadre d'un désaccord de fond, d'un débat entre deux thèses.

Les sophismes peuvent avoir la forme d'un syllogisme (raisonnement qui repose sur des prémisses insuffisantes ou non pertinentes ou qui procède par enthymème, etc.). Ils peuvent aussi s'appuyer sur d'autres mécanismes oratoires ou psychologiques jouant par exemple avec l'émotion de l'auditoire, l'ascendant social du locuteur (argument d'autorité) ou des biais cognitifs (comme l'oubli de la fréquence de base) pour emporter l'adhésion temporaire ou conquérir une position dominante au cours d'une dispute ou d'un désaccord.

[...]

 

Le changement de catégorie ontologique[modifier | modifier le code]​

  • L'extension du sujet (stratagème no 1) : l'extension permet d'étirer à outrance l'affirmation de l'adversaire au-delà de ses limites naturelles ou formulées ; il s'agit de l'interpréter de la façon la plus générale possible. En exagérant les positions d'un adversaire, on peut se présenter comme plus raisonnable. La réfutation systématique de l'extension et de l'exagération (stratagème no 23) permet de se prémunir contre ce stratagème.
  • L'homonymie (stratagème no 2), ou le jeu sur les mots : il s'agit d'user et d'abuser du sens des propos de l'adversaire pour l'en éloigner de son sens premier ou réel, afin de lui faire dire ce qu'il ne dit pas. En modifiant le sens du mot employé par l'adversaire, on étend également son affirmation à ce qui en réalité n'a rien en commun avec l'objet du débat : on lui fait donc dire n'importe quoi afin de pouvoir le contredire. Ce stratagème permet ensuite de réfuter l'extension de sens fallacieuse et donc de paraître brillant et de se donner l'apparence du vrai.
  • La distinction et l'exception (stratagème no 17) : lorsqu'un des débatteurs est en difficulté, il peut introduire une distinction subtile de sens, inédite dans la discussion, afin de minimiser sa défaite ponctuelle. Il peut aussi trouver une exception très spécifique à un argument pour en réfuter la généralité (voir no 11).
  • Transformation d'un relatif à un absolu (stratagème no 3) : il s'agit d'une transformation d'implication de l'argument de l'autre : on prend une affirmation posée relativement au sujet et on la présente comme si elle était donnée par lui de façon générale, on peut ainsi la réfuter dans sa généralité et suggérer qu'elle est donc réfutée en particulier.
  • Transformation d'un particulier à un général (stratagème no 11) : ce stratagème est continu et progressif, il consiste à faire croire à l'adversaire qu'il a de lui-même concédé une « vérité générale admise » en lui faisant concéder plusieurs cas particuliers successivement au cours d'un débat.
  • L'épouvantail rhétorique ou les faux arguments (stratagème no 5) : ce stratagème a pour but de réfuter des arguments que l'adversaire n'utilise pas ou ne mobilise pas réellement. On peut aussi utiliser les éléments personnels de l'adversaire, en pointant des propositions fausses qu'il considère comme vraies et donc supposer que tout son mode de pensée, étant analogue, mène nécessairement à des conclusions fausses.
  • Opposition théorie / pratique (stratagème no 33) : il s'agit de présenter un argument ou une thèse de l'adversaire comme vraie uniquement en théorie, faux en pratique. Il s'agit d'un syllogisme masqué : puisque ce qui est juste en théorie doit aussi l'être en pratique, alors si ce n'est pas le cas, c'est qu'il y a une erreur dans la théorie ; par conséquent, c'est également faux en théorie.
 

Obtenir une conclusion en masquant ses intentions et en détournant l'attention[modifier | modifier le code]​

  • La dispersion des sujets et des questionnements impliqués (stratagème no 4) : ce stratagème a pour but de masquer l'intention d'un des participants, d'occulter la conclusion visée, de faire en sorte qu'elle ne soit pas prévisible mais discrète, afin de faire en sorte que l'adversaire obtienne progressivement et discrètement les prémisses du raisonnement en les disséminant au cours de la conversation. En faisant approuver les prémisses de son raisonnement dans le désordre, on cache ainsi son jeu et on se prémunit contre une manœuvre de l'adversaire visant à contrer une thèse évidente en particulier. Il est aussi possible de faire admettre des prémisses sans aucun rapport avec le sujet du débat pour forger de fausses pistes sur lesquelles l'adversaire s'engagera.
  • Le questionnement rapide (stratagème no 7) : il s'agit de questionner à outrance un adversaire afin de le déstabiliser dans sa capacité à répondre au sujet. Ce stratagème sophistique consiste à poser un grand nombre de questions et à élargir dans le même mouvement le contexte d'énonciation du sujet pour masquer ce que l'on veut faire admettre, puis à exposer rapidement son argumentation à partir de concessions obtenues à la hâte. Ainsi, l'adversaire a plus de difficultés à suivre exactement la démonstration et manque d'en voir les lacunes éventuelles.
  • Par changement de l'ordre des questions (stratagème no 9) : ce stratagème a un but très voisin du stratagème no 4, en ce qu'il permet de masquer sa propre thèse et de poser des questions dans un ordre totalement différent de celui exigé par la conclusion qu'il faudrait en réalité en tirer. Il s'agit donc d'opérer des permutations dans la progression des interrogations ; l'adversaire se retrouve privé de sa capacité à saisir la progression rhétorique et ne peut savoir quelle est exactement la thèse défendue, et ne peut donc se prémunir.
  • Par provocation (stratagème no 8) : il s'agit de mettre en colère son adversaire, afin de le mettre hors d'état de porter un jugement mesuré et fiable et de nuire à la perception qu'il à de son propre intérêt. En étant ouvertement injuste envers un opposant, en le provoquant, en faisant preuve d'insolence ou d'impudence, on peut ainsi toucher son point faible, personnel, en insistant sur un sujet dont il a honte, pour brouiller son calme et sa capacité à réfléchir. Il sera donc incapable de formuler un jugement cohérent en apparence et se disqualifiera devant l'auditoire.
  • Empirer la colère de l'autre (stratagème no 27) : il s'agit de faire en sorte que l'adversaire s'énerve encore plus avant, en guettant ce qui met en colère l'opposant, on insiste sur ce point pour en tirer un point faible dans la thèse ou dans l'apparence de véracité de la thèse.
  • Déguiser un prémisse en pétition de principe (stratagème no 6) : ce stratagème a pour but de faire reconnaître à l'adversaire certains prémisses dont l'utilité pour démontrer une thèse n'est pas énoncée en amont. Il s'agit de faire en sorte de s'entendre entre opposants sur un certain nombre d'affirmations, en les présentant comme des « vérités d'évidence », ainsi en établissant habilement ce qui n'est plus à démontrer de ce qui reste à établir, on peut réduire considérablement le nombre d'étapes nécessaires à la victoire et conduire l'interlocuteur à reconnaître malgré lui la validité d'une thèse qui lui est défavorable ou opposée. À l'opposé, un stratagème analogue consiste à réfuter systématiquement chacune des prémisses de l'interlocuteur.
 
  • Conclure (stratagème no 20) : il s'agit de la conséquence du stratagème no 6. En ayant fait admettre à son opposant des prémisses commodes, ou en prenant avec choix les faits qu'il a déjà admis comme vrais, on formule une conclusion, donnant ainsi l'illusion qu'il approuve cette conclusion puisque ses prémisses sont en accord avec celle-ci.
  • Par la dénomination et le titre (stratagème no 12) : ce stratagème a pour but de présenter une désignation flatteuse pour désigner la thèse que l'on cherche à défendre, ainsi que la fonction ou le titre de l'émetteur la défendant, afin d'en augmenter la crédibilité d'apparence, en détournant l'attention sur son illogisme ou sa falsification. À l'inverse, on peut utiliser des termes orduriers et dégradants, ironiques, pour désigner une thèse que l'on cherche à discréditer. En d'autres termes, c'est un argument d'autorité falsifiée. Ce stratagème a cependant pour faiblesse de montrer ouvertement les intentions, par les noms qu'il donne aux choses.
  • Le faux-contraste (stratagème no 13) : ce stratagème a pour but de faire reconnaître une thèse défendue directement par l'adversaire. Il s'agit de lui présenter un faux-contraire, une thèse faussement opposée mais présenter comme son antithèse parfaite, en mettant en évidence son absurdité, sa faiblesse. L'adversaire est ainsi incité à reconnaître lui-même la thèse défendue, sous peine que l'auditoire pense qu'il cultive simplement l'art du paradoxe, qu'il pinaille.
  • Détourner l'attention (stratagème no 18) : ce procédé a pour but d'empêcher l'adversaire de parvenir au bout de sa démonstration en brisant le flot de la discussion, en orientant le débat vers d'autres sujets ou propositions moins probantes pour la thèse de l'autre mais plus commode pour la sienne.
 
Outre ces stratagèmes qui portent sur les propositions débattables, toute une série de stratagèmes portent sur soi ou sur l'adversaire, l'opposant à la discussion, afin de minimiser ou d'exagérer les positions et l'apparence de la victoire :

  • L'adversaire se contredit (stratagème no 16) : il s'agit de mettre en lumière des faiblesses, des paradoxes ou des contradictions dans la pensée de l'adversaire pour suggérer que toute sa thèse est possiblement mise en doute. C'est un stratagème réputé facile à mettre en œuvre, facile à appliquer puisque la plupart des interlocuteurs n'ont pas toujours défendu une ou l'autre thèse, et n'ont pas forcément une construction claire de toutes leurs idées reçues. Ce stratagème a pour but d'exploiter le fait que tout un chacun est en soi un paradoxe ambulant, et que chaque individu porte en lui et en son histoire ses contradictions internes.
  • Argument ad hominem
  • Argumentum ad personam (dernier argument, intitulé « Ultime stratagème5 ») :
  • Argument ad auditores (stratagème no 28) : il s'agit de ridiculiser l'autre en singeant sa position, tout en utilisant l'auditoire pour approuver la raillerie, alors même qu'il n'est pas forcément spécialiste du sujet débattu.
  • Argument ad verecundiam, ou argument d'autorité (stratagème no 30)
  • Attitudes impudentes (stratagèmes no 15, 14, 29, 31, 36)
  • Faire une association dégradante contre l'adversaire afin de l'associer à une idéologie ou une thèse que tout le monde admet comme exécrable et immorale.
  • On peut aussi faire en sorte de se déclarer incompétent afin d'écarter telle ou telle piste de discussion qui pourrait s'avérer nuisible pour sa propre thèse, mystifier le débat ou des positions en recourant à des noms clés (autrement appeler « name dropping »)[évasif].
  • Clamer son triomphe et crier victoire, car selon Schopenhauer, dans la dialectique éristique, l'apparence de la victoire prévaut sur la vérité.
 

Les syllogismes erronés ou fallacieux[modifier | modifier le code]​

Les sophismes se construisent à la manière d'une déduction, c'est-à-dire qu'on utilise des observations spécifiques afin d'atteindre une observation générale qui provient de la logique de l'argument même. De ce fait, on obtient une affirmation fausse, bien que proposée comme étant vraie :

  • Dans l'emmental, il y a des trous. Plus il y a d'emmental, plus il y a de trous. Plus il y a de trous, moins il y a d'emmental. Donc plus il y a d'emmental, moins il y a d'emmental (figure de sens, syllogisme).
  • Tout ce qui est rare est cher, (exemple : un cheval rare est cher, c'est le cheval qui est rare) Un cheval bon marché est rare, (équivoque sur le mot « rare », c'est le fait d'être bon marché qui est rare, ce n'est plus le cheval) Donc un cheval bon marché est cher (figure de sens, syllogisme).
  • Le ridicule ne tue pas. Ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort. Donc le ridicule nous rend plus fort (figure de sens, syllogisme).
  • « Rat » est composé de trois lettres, Le rat mange le fromage, Donc trois lettres mangent le fromage.
  • La phrase suivante est vraie. La phrase précédente est fausse. (paradoxe)
  • Un problème comporte toujours au moins une solution. Donc s'il n'y a pas de solution, il n'y a pas de problème11 (contexte de duperie argumentaire) (figure de sens, sophisme).
  • La fin n'a jamais été aussi proche (tautologie, figure de sens, antithèse).
 

sophismes a priori[modifier | modifier le code]​

Ces procédés rhétoriques ont pour but de forcer ou d'inciter à adhérer à une thèse en fonction d'éléments antérieurs à l'existence même de la discussion, il s'agit d'utiliser des valeurs intrinsèques relatives aux personnes impliquées dans le débat ou des forces de validation d'une proposition extérieures au contenu même de la thèse.

Référence faisant par définition autorité[modifier | modifier le code]​

Il s’agit, pour soutenir son argument, de prendre une référence extérieure dont l’autorité dans le contexte donné serait par définition établie, mais celle-ci est une apparence et ne repose que sur les biais cognitifs ou une construction sociale (éducation).

  • Argumentum ad verecundiam : (aussi appelé argument d'autorité) : « Le chef a toujours raison », ou encore « Nous sommes seuls dans l’univers. C’est mon beau-frère – il est sociologue – qui le dit » (un sociologue n’a pas de compétence sur la vie extra-terrestre et ne peut donc servir d’autorité sur le sujet)
  • Argument par la foi : « C'est forcément vrai, puisque c'est écrit dans tel ou tel livre sacré. »
  • Argumentum ad baculum (en) (aussi appelé la raison du plus fort)
  • Argumentum ad crumenam (aussi appelé la raison du plus riche) : « Ce n'est pas ce minable même pas assujetti à l'ISF qui va me donner des leçons pour conduire ma vie. » (voir Ésope, Épictète…)
  • Argumentum ad lazarum (aussi appelé la raison du plus pauvre) : « La classe ouvrière se bat avec le réel tous les jours et est seule à connaître la réalité du pays. La dictature du prolétariat est donc l'unique solution. »
  • Argumentum ad populum (aussi appelé la raison de la majorité) : « Dieu doit exister puisque la majorité des humains y croient depuis des millénaires. » Variante : « La France représente moins d'un pourcent de la population mondiale et ne peut donc avoir aucun rôle significatif. » (L'Athènes de Périclès représentait bien moins d'un pourcent de la population de son époque, et son modèle nous influence encore aujourd'hui ; Sparte, tout aussi puissante à l'époque, n'a pas laissé de trace culturelle durable.)
  • Argumentum ad novitatem : donner raison aux arguments les plus nouveaux ou qui semblent les plus modernes.
  • Argumentum ad antiquitatem : argument qui prétend que la tradition détient les bonnes réponses.
  • Le sophisme naturaliste : mêle un jugement de fait et un jugement de valeur : prétendre qu'une chose est bonne parce qu'elle est naturelle ou habituelle.
  • La raison des émotions : « Voyez tous ces gens qui s’en émeuvent ! Pensez-vous qu’ils ont tort ? »
 

L'appel aux sentiments et aux émotions[modifier | modifier le code]​

Il s'agit d'en appeler à la compassion ou l'empathie de l'interlocuteur pour le convaincre de sa thèse.

  • Argumentum ad misericordiam (ou appel à la pitié) : « Vous ne pouvez pas me donner cette amende, mes parents vont me tuer ! »
  • Appel à la flatterie : « Un homme comme vous ne peut pas défendre un tel genre de position ! »
  • Argumentum ad odium : le fait de rendre odieux/inacceptable les arguments de l'opposition à travers une présentation à connotation péjorative.
  • Le chiffon rouge : utiliser des associations émotionnelles qui vont déclencher la colère du public et nuire à sa capacité de raisonnement.
  • La raison par la théâtralité : utiliser des grand mots, faire du spectacle pour impressionner.
  • Appel au ridicule : ridiculisation des arguments de l'opposant pour les rendre plus facilement réfutables. Exemple : « Si la théorie de l'évolution était vraie, cela voudrait dire que mon grand-père est un gorille ».
  • Argumentum ad consequentiam (aussi appelé argument par la conséquence) : Si A est faux, alors B aussi. Mais comme savoir B faux est déplaisant, on accepte A.
  • Appel à la terreur : « Si vous maintenez votre point de vue, il y aura des conséquences… »
  • Deux faux font un vrai (aussi appelé « sophisme de la double faute ») : « Et alors ? D'autres personnes font bien pire. »

L'appel à l'ignorance[modifier | modifier le code]​

Il s'agit de partir d'un aveu d'ignorance pour conclure à l'impossibilité de la connaissance et donc proposer des thèses ésotériques ou invérifiables.

  • Argumentum ad ignorantiam (aussi appelé appel à l'ignorance)12 ; par exemple : « Je ne peux pas expliquer ce que ce témoin a vu dans le ciel, donc cela doit être un vaisseau spatial extraterrestre visitant notre planète. » Variante : « Je ne peux expliquer comment la vie sur terre est apparue, alors c'est sûrement Dieu qui l'a fait. »
 
désolé pour les tartines, mais sinon, personne ne va sur les liens, je ne suis même pas sûr que tout le monde lira mais s'il y en a ne serait ce, qu'un, c'est déjà ça

y a beaucoup plus sur le lien wikipedia, pour qui a envie d'enrichir son savoir
 
Il y a une sorte de clergé en Islam,
les hommes se sont appropriés la religion,ils ont trouvé là un moyen de manipulation
1. Pas d'intermédiaire entre les hommes et Dieu :
Tout d'abord, l'islam enseigne qu'il n'y a besoin d'aucun intermédiaire entre le croyant ou la croyante et Dieu. Le culte se fait directement.




Interpréter le Coran et les Hadîths, en extraire des règles juridiques (ahkâm) et donner des avis juridiques (fatwas), cela demande des compétences (connaissances très approfondies) en sciences islamiques. Cela, c'est vrai, relève des ulémas.
Mais quoi de plus normal ? Ne faut-il pas des compétences en médecine pour délivrer des ordonnances médicales ? Si, il en va d'un minimum d'assurance, afin d'éviter des dérapages en matière de santé publique.

Pour interpréter le Coran et les Hadîths et donner des avis juridiques, il faut pareillement des compétences morales (piété/ taqwâ) et intellectuelles (connaissance des sources et du contexte/ tafaqquh).
 
Il y a une sorte de clergé en Islam,
les hommes se sont appropriés la religion,ils ont trouvé là un moyen de manipulation
1. Pas d'intermédiaire entre les hommes et Dieu :
Tout d'abord, l'islam enseigne qu'il n'y a besoin d'aucun intermédiaire entre le croyant ou la croyante et Dieu. Le culte se fait directement.


https://fr.wikipedia.org/wiki/Théologie_catholique :
La théologie catholique est l'écoute, l'analyse, l'interprétation, l'explicitation et l'étude méthodique de l'auto-Révélation de Dieu en Jésus-Christ, par un sujet croyant catholique qui, d’une manière rationnelle, veut approfondir l’intelligence de la foi chrétienne.

La formule de saint Anselme pour définir la théologie est Fides quaerens intellectum (la foi qui cherche l'intelligence). Ainsi, dans le catholicisme, le théologien explore rationnellement le mystère chrétien sur la base des données de la révélation chrétienne.


https://www.universalis.fr/encyclopedie/celibat-religieux/1-le-christianisme/ :
Dès le iv e siècle, à l'époque constantinienne, les clercs sont apparus comme les fonctionnaires de l'Église. Ils ont été nombreux au Moyen Âge : tout étudiant, alors, était clerc ; ainsi le mot (du grec clêros , sort, héritage) devint synonyme de « savant », « celui qui sait ». Depuis la réforme du pape Paul VI (1972), la cléricature est le statut de ceux qui sont « mis à part » ou choisis pour […]
 
Il y a une sorte de clergé en Islam,
les hommes se sont appropriés la religion,ils ont trouvé là un moyen de manipulation
1. Pas d'intermédiaire entre les hommes et Dieu :
Tout d'abord, l'islam enseigne qu'il n'y a besoin d'aucun intermédiaire entre le croyant ou la croyante et Dieu. Le culte se fait directement.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Pandit :
Dans son sens originel, un pandit — ou pundit — (du sanskrit paṇḍita पण्डित qui signifie « savant ») est un hindou qui a appris les textes sacrés que sont les Vedas et leurs mélodies afin de les chanter au cours des rituels1. Pandit désigne en outre un lettré hindou issu de la caste des brahmans2. Aujourd'hui, le terme pandit est également un titre honorifique accordé en Inde aux érudits de tous domaines, que ce soit le sanskrit, la religion, la musique, la philosophie, les arts3.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Veda :
Le Veda (devanāgarī : वेद - sanskrit : « vision » ou « connaissance »)1 est un ensemble de textes qui, selon la tradition, ont été révélés (par l'audition, Shruti) aux sages indiens nommés Rishi. Cette « connaissance révélée » a été transmise oralement de brahmane à brahmane au sein du védisme, du brahmanisme, et de l'hindouisme jusqu'à nos jours sur une période indéterminée.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Brahmane :
Un brahmane \bʁa.man\ (sanskrit : brāhmaṇa ; devanagari : ब्राह्मण ; lié au sacré1) est un membre d'une des quatre castes (varṇa) définies par l'hindouisme, regroupant notamment les prêtres, les sacrificateurs, les professeurs et les hommes de loi — ou plus largement les enseignants du Brahman comme l'indique clairement le titre de « brâhmane »2. Le brahmane a pour devoir principal d'incarner le dharma, de le défendre, et de le faire respecter par les autres castes sacrées, afin de maintenir le bon ordre cosmique2. La caste des brahmanes représente environ 6 % de la population de l'Inde3.
 
Il y a une sorte de clergé en Islam,
les hommes se sont appropriés la religion,ils ont trouvé là un moyen de manipulation
1. Pas d'intermédiaire entre les hommes et Dieu :
Tout d'abord, l'islam enseigne qu'il n'y a besoin d'aucun intermédiaire entre le croyant ou la croyante et Dieu. Le culte se fait directement.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Rabbin :
Le rabbin (hébreu רַב, Rav en hébreu moderne, Rov ou Rouv en hébreu ashkénaze) est une personne dont l’érudition dans l’étude de la Torah lui permet de prendre des décisions ou rendre des jugements en matière de Loi juive. Au vu de l’importance de celle-ci dans la vie juive traditionnelle, le rabbin a longtemps été la figure communautaire dominante du judaïsme. À la suite de la Haskala et surtout de la réforme du judaïsme, son rôle a été fortement redéfini dans les franges non-orthodoxes.
...
Le mot rav provient de la racine R-B-B, qui dénote la grandeur ou la multitude, apparaît dans la Bible Hébraïque lors de la sortie d’Egypte en désignant le Erev Rav la Grande Multitude ערב רב Exode 12:38 les esclaves convertis qui suivaient les Enfants d’Israël. Ce terme existe également dans une connotation arabe rabb (ربّ « seigneur »). Dans la tradition hébraïque, il ne désigne pas une fonction mais constitue un titre de respect — ainsi en est-il du rav hatabbahim (« cuisinier » ou « exécuteur-en-chef ») ou du rav hovel (« marin-en-chef », c’est-à-dire capitaine). Les Sages recommandent d’employer ce terme pour toute personne dont on a reçu un enseignement, fût-il inférieur en sagesse et n’eût-il enseigné qu'une seule lettre

https://fr.wikipedia.org/wiki/Hazal (sage) :
Ḥaza"l (חכמינו זכרם לברכה Ḥakhamenou, zikhram livrakha « nos sages, de mémoire bénie ») est un terme générique désignant, dans le judaïsme rabbinique, les dirigeants spirituels du peuple d'Israël et les décisionnaires en matière de Halakha (Loi juive) dans la période s'étendant du Second Temple à la clôture du Talmud de Babylone, au vie siècle de l'ère commune.

Les Sages se situent à une période cruciale de l'histoire juive, où les Juifs passent d'un statut de nation juive centrée autour de leur terre, la Judée et de leur Temple, à un peuple dont le centre est principalement spirituel1. Ils jouent un rôle crucial dans la transmission des traditions orales juives rabbiniques, sous forme orale d'abord, écrite ensuite.
 
Il y a une sorte de clergé en Islam,
les hommes se sont appropriés la religion,ils ont trouvé là un moyen de manipulation
1. Pas d'intermédiaire entre les hommes et Dieu :
Tout d'abord, l'islam enseigne qu'il n'y a besoin d'aucun intermédiaire entre le croyant ou la croyante et Dieu. Le culte se fait directement.

en islam, tel qu'on le connait aujourd'hui, il n'y a pas le clergé (selon les règles, structures, dénominations, jargons, vocabulaires, process, ...) des chrétiens, juifs, des hindouistes, des boudhhistes, ...

« Clergé » est le terme qui désigne les différentes institutions d'une religion

Le mot « église » vient du latin ecclesia, issu du grec ekklesia ( ἐκκλησία), qui signifie assemblée1. Lui-même issu du verbe ekkaleô, « convoquer, appeler au-dehors ».
 
On va y arrivé lol
ce que je dis, c'est que c'est pas comparable, tu ne peux pas dire que le pape de l'islam est, que untel est un prêtre...

par contre, si tu regarde le sens de pandit qui veut dire savant, ...

donc ce que je dis, c'est que tu n'as pas la même organisation, structure et les mêmes titres en islam qu'en christianisme, qu'en judaïsme, qu'en hindouïsme...

donc si on compare structure à structure, on a pas la même chose

par contre si on compare rôle/titre à rôle/titre... il y a des différences liées aux dogmes mais sinon on retrouve des similitudes...

tout ça pour dire qu'il n'y a pas d'intermédiaire entre toi et Allah, jamais, surtout pas... par contre tu es obligée d'avoir un intermédiaire pour ne pas avoir besoin d'intermédiaire, le tout sous le regard d'un intermédiaire... :sournois:
 
Dernière édition:
On va y arrivé lol

en tout cas, si on veut se sauvegarder des méchants coranistes et autres et affiliés, tu sais tous ces manipulateurs qui te disent quoi croire, il faut se renseigner sur ce qu'est le sophisme et en quoi ça consiste, comment ça marche et comment de débusquer et ne pas tomber dedans... :claque:
 
ce que je dis, c'est que c'est pas comparable, tu ne peux pas dire que le pape de l'islam est, que untel est un prêtre...

par contre, si tu regarde le sens de pandit qui veut dire savant, ...

donc ce que je dis, c'est que tu n'as pas la même organisation, structure et les mêmes titres en islam qu'en christianisme, qu'en judaïsme, qu'en hindouïsme...

donc si on compare structure à structure, on a pas la même chose

si on compare rôle/titre à rôle/titre... il y a des différences liées aux dogmes mais sinon on retrouve des similitudes...
Jai compris ce que tu veux dire mais quand je parle de clergé en islam c'est pas dans le sens propre
jamais aucun musulman aussi puissant n'osera se prétendre comme pape il saura qu' il sera rit au nez mais ils oseront vouloir s'approprier le nom de khalife comme l'a déjà fait le daechien
Ce que je veux dire c'est que Allah swt a interdit les sectes et les musulmans arrivent a 70 sectes
Allah swt n'interdit pas d'être un savant
Mais les premiers savants à la mort du prophète ont commis et enfreint l'interdit en se divisant
Aujourd'hui quand tu dis que tu est musulman que tu n'a pas d'école atitré ou encore pas de savant atitré on te dis que tu prend et tu jette ce qui t'arrange
Ou encore que tu fais ton propre tafsir
alors que non c'est juste que je veux pas enfreindre linterdit en me proclamant coraniste vs sunnite ou encore chiite vs whabiste ect..... cest de ce semblant de clergé que je parle
 
en tout cas, si on veut se sauvegarder des méchants coranistes et autres et affiliés, tu sais tous ces manipulateurs qui te disent quoi croire, il faut se renseigner sur ce qu'est le sophisme et en quoi ça consiste, comment ça marche et comment de débusquer et ne pas tomber dedans... :claque:
Moi je juge personne j'ai jamais dit que les coranistes sont mechants ou autres
 
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