Il faut le ré-expliquer. L’athéisme n’existe pas en tant qu’organisation sociale, mais seulement en tant que réaction
à un ordre, généralement divin.
Ce qui domine les sociétés des premiers temps, ce sont la science et la religion (la philosophie venant après).
Il n’y a pas d’anciennes sociétés civilisées athées, cela n’existe pas.
Même les tribus, qui se situeraient entre le singe et l’homme, croyaient en des forces intelligentes sur lesquelles elles
fondaient leur structure sociale.
En outre, avec les temps modernes l’athéisme est devenu une manière d’envisager la vie; ce faisant il introduit une
nouvelle pensée, détachée des anciens modèles religieux qui ne tiennent plus la route ou qui sont très critiquables,
voire les guerres et les injustices flagrantes qu’elles génèrent.
Mais à chaque fois que les athées prennent le dessus, quand ils fondent un pays basé sur l’athéisme, comme la nouvelle
Russie de Lénine ou la Chine de Mao, c’est une catastrophe sans nom.
Et après le désastre, ces athées sanguinaires finissent par revenir à un équilibre, c.à.d que l’on redonne la place aux religions.
(Mais on fait la chasse aux sectes… Et, comme l’autre, la secte s’est toujours mauvais, on se fout de savoir si c’est vrai ou
pas… Dogme oblige!)
Enlever la religion d’un État, c’est le tuer; tout comme enlever l’âme d’un individu, c’est laisser un corps mort ou en faire
un robot. D’ailleurs, c’est à cela que les matérialistes et les athées (ce qui revient quasiment au même) tentent d’arriver, à
la robotique. Ils parlent même de se préparer à aller vivre sur Mars parce que la Terre aura été ravagée par leur délire de
domination et de progrès ?!?
Ils se pensent intelligents ! La Terre, dans leur immense ignorance, déclarent-ils n’est pas le centre de l’Univers ! Ils sont
arrivés à cette conclusion en regardant dans des verres grossissants et par les calculs ! Alors, intelligents comme ils sont, ils
ont développé un nouveau projet; allez vivre sur Mars ! Là-bas, ils pourront se concocter une morale sur mesure et
recentrer leur idéologie.
N’importe quoi!