J’ai grandi au Maroc dans les années 80. A l’époque, en caricaturant un peu, il y avait les riches d’un côté et les pauvres de l’autre et entre ces deux classes le vide abyssal…
Aujourd’hui, il faut reconnaître qu’une classe moyenne est en train d’émerger au Maroc depuis une dizaine d’années, grâce essentiellement aux investissements étrangers et à une meilleure formation et qualification de la population. D’ailleurs le Maroc est entré de plein fouet dans la société de consommation. Il suffit de voir le développement considérable de l’offre commerciale (locale ou étrangère) pour s’en convaincre. Et le Marocain, aidé par de meilleurs revenus et surtout par le crédit consomme à tout va…
Malheureusement, dans ce train qui chemine cahin-caha vers le développement économique et social, la population rurale (plus de 40% des Marocains tout de même ! ) me semble être restée à quai… Et sans amélioration des conditions de vie de la population rurale pour prévenir un exode rural massif, il n’y aura jamais de développement économique et social homogène au Maroc…
Aujourd’hui, il faut reconnaître qu’une classe moyenne est en train d’émerger au Maroc depuis une dizaine d’années, grâce essentiellement aux investissements étrangers et à une meilleure formation et qualification de la population. D’ailleurs le Maroc est entré de plein fouet dans la société de consommation. Il suffit de voir le développement considérable de l’offre commerciale (locale ou étrangère) pour s’en convaincre. Et le Marocain, aidé par de meilleurs revenus et surtout par le crédit consomme à tout va…
Malheureusement, dans ce train qui chemine cahin-caha vers le développement économique et social, la population rurale (plus de 40% des Marocains tout de même ! ) me semble être restée à quai… Et sans amélioration des conditions de vie de la population rurale pour prévenir un exode rural massif, il n’y aura jamais de développement économique et social homogène au Maroc…