D’où mon intérêt pour l’islam mais j’ai une hyper grande méfiance des musulmans. Ils ont un don divin : rendre degueu une religion admirable. D’où ma méfiance de toute la chaine de transmission des hadiths. En attendant, je n’ai aucune certitude ultime sur l’existence de Dieu. Je suis simplement dans la position la plus rationnelle.
Mais je ne suis pas du tout convaincu de l’incohérence de l’agnosticisme avec l’univers. Autant la position d’athée est irrationnelle ( rien ne permet d’affirmer l’inexistence de Dieu) la position du croyant est irrationnelle (rien ne permet de dire avec certitude que dieu existe) ma position est => en attente de preuve, je ne tranche pas
« En attendant, je n’ai aucune certitude ultime sur l’existence de Dieu. Je suis simplement dans la position la plus rationnelle. »
Il est indubitable que la création sans qu’il y ait de créateur est caduque. Les exemples sont nombreux et indénombrables en cela.
Alors, cela est très simple, prenons l’exemple d’une feuille blanche : c’est-à-dire le néant. Est-il possible que sans écrire, nous puissions avoir un contenu ? Bien sûr que non.
Et cela est valable pour toute chose non créée. On ne peut espérer une création sans qu’il n’y ait un créateur.
Avec cela, on retrouve également la notion du teleologisme organique. Le teleologisme est ce qui use dans un but précis, visé. Ainsi, chaque chose créée va manifester son intérêt à un moment ou un autre.
Avec cela prenons l’exemple de la reproduction humaine : qu’a-t-elle besoin ? Ces moyens la, que permettent ils d’atteindre comme objectif ?
Elle a besoin de gamètes, de gonades et donc d’organes genitaux internes et externes. L’objectif est la pérennité de l’espèce humaine.
Mais comment ces éléments génitaux sont-ils conçus ? On vient alors là dans le domaine de l’ontogénie.
L’ontogénie, l’étude du développement de l’être humain, de sa conception jusqu’à sa mort. C’est déjà extraordinaire notre propre créature.
Le divin, nous enjoint à méditer sur notre propre création comme ici : {Que l'homme considère donc de quoi il a été créé. Il a été créé d'une giclée d'eau sortie d'entre les lombes et les côtes.}
Ce liquide, qui sort de nous mêmes, composé de cellules germinales, d’eau, de composants moléculaires organisés dans les spermatozoides, une balance acido-basique équilibrée et d’autres merveilles nécessaires pour la survie du futur fœtus.
Ce liquide qui sort d’entre les lombes et les côtes. Ce liquide qui, avant que l’homme ne devienne pubère et naisse, voit la genèse de ses organes (gonades) de production à hauteur des reins, en effet entre les vertèbres lombaires et thoraciques, puis, qui ensuite, prennent une trajectoire en direction inférieure : dans le scrotum chez l’homme (pour la femme, les ovaires en extrémité des trompes).
Ces organes génitaux apercevant l’origine de leur vascularisation de part et d’autre de l’aorte abdominale entre les deux reins, avant toute différenciation macroscopique des appareils.
Ces systèmes de réparation nucleotidiques précis, évitant les graves maladies, les cancers, les maladies bénignes, ces processus d’apoptose qui vont éliminer les cellules défectueuses nuisibles au corps qui s’en suit de leur remplacement par les cellules souches, qui par des étapes de différenciation vont se spécialiser selon le type de cellule qui doit être remplacée (musculaires, hépatiques, cérébrales...).
Ces cascades de réactions biochimiques agencées et méticuleusement régulées par des molécules bien précises pour les différents métabolismes présents dans notre corps : tous ces innombrables substrats, produits, enzymes nécessaires au bon fonctionnement...
Il suffit qu’une seule réaction se déroule mal pour que l’organisme soit bouleversé.
Sommes-nous en capacité de réguler ces systèmes nous-mêmes par notre science, nous contrôlons nous tout cela intrinsèquement ?
Le phénomène de pollinisation, par les vents fécondants qui dispersent le pollen et permettant la pousse de plantes, ainsi comme l’a dit le divin : {Puis elle devient de l'herbe desséchée que les vents dispersent} ; ou encore ici : {Nous envoyons les vents qui fécondent}.
Qui croyaient que les plantes étaient aussi des êtres vivants ayant en leur propre sein : un mâle (le pollen) et une femelle (le pistil) ?
{Nous faisons germer des couples de plantes de toutes sortes.}
Et on ne pourrait s’arrêter sur les merveilles du monde qui nous entourent... Qui pourrait agencé tout cela hormis un créateur capable de toute chose et dont la science est sans limite ?