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"Seul le cycle de la vie est éternel. Douleur et joie toujours recommencées. Lorsque les feuilles reverdissent, lorsque les fleurs éclosent, lorsque le fruit mûrit, dans la mémoire s’efface le souvenir du froid et de l’hiver. " Naguib Mahfouz
 
" Je ne sais pas relier les minutes aux minutes et les heures aux heures, les dissoudre par une force naturelle pour composer la masse pleine et indivisible que vous appelez la vie."

Les Vagues de Virginia Woolf.
 
" Celui qui passe à côté de la plus belle histoire de sa vie n'aura que l'âge de ses regrets et tous les soupirs du monde ne sauraient bercer son âme."

Yasmina Khadra - Ce que le Jour doit à la Nuit
 
Thomas Sankara : L’impérialisme que nous combattons n’est pas un fait isolé. C’est un système. En tant que révolutionnaires, d’un point de vue dialectique,nous devons comprendre que nous devons nous aussi, avoir un système. Face à un système on oppose un système, face à une organisation on oppose une organisation. On n’oppose pas des personnes pleines de bonne volonté, de bons sentiments, d’honnêteté, de courage et de générosité.

Donc l’impérialisme qui est mondial, et qui n’est pas simplement localisé dans tel ou tel pays doit être combattu par tout un système que nous allons tisser ensemble. En conséquence, nous devons nous connaître, nous devons nous comprendre, dégager une plate-forme, un terrain d’entente entre nous pour pouvoir combattre sérieusement, avec beaucoup de chance de succès, l’impérialisme.
 
" Comprends-moi. Je ne suis pas comme un monde ordinaire. J'ai mon grain de folie, je vis dans une autre dimension et je n'ai aucun temps pour les choses qui manquent d'âmes. "
Charles Bukowski
 
"La folie, c'est comme le ciel !
Lorsque vous arrivez au point où vous ne vous souciez plus de ce que les autres peuvent dire ... vous êtes proche du ciel."

Jimi Hendrix
 
Le vertige, c’est autre chose que la peur de tomber. C’est la voix du vide au-dessous de nous qui nous attire et nous envoûte, le désir de chute dont nous nous défendons ensuite avec effroi. Avoir le vertige c’est être ivre de sa propre faiblesse. On a conscience de sa faiblesse et on ne veut pas lui résister, mais s’y abandonner. On se soûle de sa propre faiblesse, on veut être plus faible encore, on veut s’écrouler en pleine rue aux yeux de tous, on veut être à terre, encore plus bas que terre.
 
Tu n’es peut -être pas son premier amour, ou pas son dernier, ou l’unique. Elle a aimé avant et elle pourrait aimer quelqu’un d’autre. Mais si elle t’aime maintenant, quelle est l’importance? Elle n’est pas parfaite. Tu ne l’est pas non plus, et vous ne le serez pas. Mais si elle peut te faire réfléchir à deux fois, si elle admet n’être qu’un être humain et commettre des erreurs, ne la laisse pas s’en aller et donne lui le meuilleur de toi-même.
Elle ne va pas te réciter des poèmes, elle ne pense pas a toi à chaque instant, mais elle te donnera une partie de sa personne en sachant que tu pourras la briser. Ne la blaisse pas, ne la change pas, et n’attends pas d’elle plus que ce qu’elle peut te donner. N’analyse pas. Sourie quand elle te rend heureux, crie quand elle t’énerve et ressens son manque quand elle n’est pas là.
Aime avec tout ton être quand tu recevra son amour. Parceque les femmes parfaites n’existent pas, mais il y aura toujours une femme qui sera parfaite pour toi.


B.M
 
Si tu peux voir détruit l'ouvrage de ta vie
Et sans dire un seul mot te mettre à rebâtir,
Ou perdre en un seul coup le gain de cent parties
Sans un geste et sans un soupir ;
Si tu peux être amant sans être fou d'amour,
Si tu peux être fort sans cesser d'être tendre,
Et, te sentant haï, sans haïr à ton tour,
Pourtant lutter et te défendre ;

Si tu peux supporter d'entendre tes paroles
Travesties par des gueux pour exciter des sots,
Et d'entendre mentir sur toi leurs bouches folles
Sans mentir toi-même d'un mot ;
Si tu peux rester digne en étant populaire,
Si tu peux rester peuple en conseillant les rois,
Et si tu peux aimer tous tes amis en frères,
Sans qu'aucun d'eux soit tout pour toi ;

Si tu sais méditer, observer et connaître,
Sans jamais devenir sceptique ou destructeur ;
Rêver, mais sans laisser ton rêve être ton maître,
Penser sans n'être que penseur ;
Si tu sais être dur, sans jamais être en rage,
Si tu sais être brave et jamais imprudent,
Si tu sais être bon, si tu sais être sage,
Sans être moral et pédant ;

Si tu peux rencontrer Triomphe après Défaite
Et recevoir ces deux menteurs d'un même front,
Si tu peux conserver ton courage et ta tête
Quand tous les autres les perdront,
Alors (bla bla bla) Tu seras un homme mon fils !
 
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