[Coin Cinéma: pour tous les cinéphiles]

moi j'ai vu cogan: killing them softly

s'il n'y avait pas eu Brad sans plus le film avec des trucs que j'ai pas compris :co nfus:

je le recommande tout de même pour les beaux yeux et jeu d'acteur de Brad :r ouge:
Trop nul. J'ai failli m'endormir sincèrement ! :eek:

Bon jeu d'acteur du bradi chewie (dixit la jounty bagra) cependant ! ;)
 
A la tele, vu que c'est la sortie de ce film, ils ont repassé toute la trilogie des seigneurs des anneaux, je ne sais pas comment on peut regarder ca au ciné!!!
The hobbit il y a de grands combat ou pas?
Il y a plus de beaux paysages que de combats. Yann Arthus Bertrand es tu là ? :oh:

Je ne sais pas si j'irais voir le 2 mais le 3 j'irais car c'est la jonction avec les Seigneurs.
 
le dernier twilight!!!

le plus pourri qui m'a été donné de voir! c'était nul! fade! sans intérêt! aucun suspens! trop prévoyant!

je n'ai aimé que le 1! j'ai tolérée le 2! le 3 me parraissait être une grosse blague et là c'est simplement du n'importe quoi!

heureusement que je n'ai pas payée pour regarder cette horreur!


le seul point positif! la petite fille est trop mignone! basta!
 
T'en as pensé quoi ?
J'ai lu rapidement le synopsis, mais je ne connaissais pas l'histoire.
J'ai trouvé que c'était assez sobre, et pas trop caricatural, ceci dit c'est tiré d'une histoire vraie.

Pas encore visionné, par contre je trouve les commentaires précédents un peu sévères concernant Cogan : Killing Them Softly qui, sans être un grand film, est intéressant par bien des aspects:

D'une part la permutation du cadre du roman de George V. Higgins L’Art et la manière (des conséquences du choc pétrolier de 73 à Detroit à l'effondrement d'un système entier via la Nouvelle-Orléans qui plus est sinistrée par l'ouragan Katrina) est pertinente en ceci qu'elle atteste la validité du discours critique du réalisateur sur les idéologies et le pouvoir, d'une manière générale et US en particulier, déjà distillé dans L’Assassinat de Jesse James. L'adaptation contextuelle permet de mettre en scène (avec plus ou moins de brio, selon les séquences et les choix techniques du réalisateur cf- ralentis, discours télévisés off etc) l'ultime continuité historique, à savoir les rapports vénaux.

D'autre part le va-et-vient constant (qu'on aurait souhaité plus subtil) entre milieu mafieux et politique suggère la responsabilité et les méthodes des administrations successives (on entend à tour de rôle républicains et démocrates) dans la gestion des affaires du pays en se fondant assez bien dans la trame, surtout si l'on considère cela d'un point de vue interactif (campagne électorale).

Plus réussi encore à mon sens c'est la figuration du déclin américain à travers la destruction de ses icônes. Sur le plan cinématographique A.Dominik subverti les moeurs du film de gangster en faisant d'amateurs en perdition (fruits de leur environnement économique et moral) les protagonistes d'un braquage abouti où la pègre (en place, comme pouvoir établi mais affaibli) devient victime: le braqueur se fait braquer. Non seulement les personnages tombent symboliquement de leur piédestal mais en plus la violence de la chute est parfaitement portée à l'écran car le réalisateur l'inscrit dans la chair de ses comédiens: James Gandolfini (Mickey) est un tueur alcoolique, dépressif, en fin de carrière et risquant la prison, Ray Liotta (Markie), physiquement à peine reconnaissable, le visage vieilli et boursouflé, est un petit patron véreux sans carrure régulièrement passé à tabac. Deux mythes du film de mafia que le réalisateur détériore allègrement.

A propos de la lourdeur de certains dialogues, il faut noter que le film retranscrit le style du roman initial, qui lui était novateur à l'époque de sa sortie dans les années 70 où les scripts des principaux réalisateurs du genre d'H.Hawks à FF.Coppola étaient assez policés en teneur. L'idée est de soumettre au spectateur le parlé de la pègre tel qu'il est et non de le "traduire", c'est donc par souci d'authenticité et de fidélité à la toile de fond sociale que l'argot et les codes des personnages demeurent si marqués dans l'adaptation ciné (en VO en tous cas).

La prestation de Brad Pitt est honorable je trouve même si évidemment l'attente est toujours élevée lorsqu'il est annoncé au casting. Scoot McNairy et Ben Mendelsohn s'en sortent bien. Les autres acteurs, nombreux (à la façon d'un Q.Tarantino) moins centraux, sont bons.

Bon ok, je ne suis pas objectif car accro aux films de braquage.
 
Pas encore visionné, par contre je trouve les commentaires précédents un peu sévères concernant Cogan : Killing Them Softly qui, sans être un grand film, est intéressant par bien des aspects:

D'une part la permutation du cadre du roman de George V. Higgins L’Art et la manière (des conséquences du choc pétrolier de 73 à Detroit à l'effondrement d'un système entier via la Nouvelle-Orléans qui plus est sinistrée par l'ouragan Katrina) est pertinente en ceci qu'elle atteste la validité du discours critique du réalisateur sur les idéologies et le pouvoir, d'une manière générale et US en particulier, déjà distillé dans L’Assassinat de Jesse James. L'adaptation contextuelle permet de mettre en scène (avec plus ou moins de brio, selon les séquences et les choix techniques du réalisateur cf- ralentis, discours télévisés off etc) l'ultime continuité historique, à savoir les rapports vénaux.

D'autre part le va-et-vient constant (qu'on aurait souhaité plus subtil) entre milieu mafieux et politique suggère la responsabilité et les méthodes des administrations successives (on entend à tour de rôle républicains et démocrates) dans la gestion des affaires du pays en se fondant assez bien dans la trame, surtout si l'on considère cela d'un point de vue interactif (campagne électorale).

Plus réussi encore à mon sens c'est la figuration du déclin américain à travers la destruction de ses icônes. Sur le plan cinématographique A.Dominik subverti les moeurs du film de gangster en faisant d'amateurs en perdition (fruits de leur environnement économique et moral) les protagonistes d'un braquage abouti où la pègre (en place, comme pouvoir établi mais affaibli) devient victime: le braqueur se fait braquer. Non seulement les personnages tombent symboliquement de leur piédestal mais en plus la violence de la chute est parfaitement portée à l'écran car le réalisateur l'inscrit dans la chair de ses comédiens: James Gandolfini (Mickey) est un tueur alcoolique, dépressif, en fin de carrière et risquant la prison, Ray Liotta (Markie), physiquement à peine reconnaissable, le visage vieilli et boursouflé, est un petit patron véreux sans carrure régulièrement passé à tabac. Deux mythes du film de mafia que le réalisateur détériore allègrement.

A propos de la lourdeur de certains dialogues, il faut noter que le film retranscrit le style du roman initial, qui lui était novateur à l'époque de sa sortie dans les années 70 où les scripts des principaux réalisateurs du genre d'H.Hawks à FF.Coppola étaient assez policés en teneur. L'idée est de soumettre au spectateur le parlé de la pègre tel qu'il est et non de le "traduire", c'est donc par souci d'authenticité et de fidélité à la toile de fond sociale que l'argot et les codes des personnages demeurent si marqués dans l'adaptation ciné (en VO en tous cas).

La prestation de Brad Pitt est honorable je trouve même si évidemment l'attente est toujours élevée lorsqu'il est annoncé au casting. Scoot McNairy et Ben Mendelsohn s'en sortent bien. Les autres acteurs, nombreux (à la façon d'un Q.Tarantino) moins centraux, sont bons.

Bon ok, je ne suis pas objectif car accro aux films de braquage.

Hello

Je n'ai pas encore vu Cogan, j'aime bien aussi ce genre de films, je n'ai pas lu ton commentaire pour éviter d'être influencée.
Quand j'irais le voir, j'essaierais de faire part de mon analyse. Merci et bonne journée.
 
De l'autre côté du périph

C'est pas du grand cinéma d'auteur mais c'est drôle; le duo Omar / Laffitte fonctionne bien, on ne s'ennuie pas...
 
Pas encore visionné, par contre je trouve les commentaires précédents un peu sévères concernant Cogan : Killing Them Softly qui, sans être un grand film .
Je m'arrête là
Tu nous as pondu un pavé pour un truc que t'as pas vu ...
Bref
Vas le voir et après viens nous dire

Ps: il est d'une nazeté sans nom
 
Vous allez dire, elle nous soule cette ado attardée, mais après les twilights, je cherche des films dans le meme genre ???
Je veux m'évader dans le monde des ados :)

(HPotter déja fait ^^ )
 
De l'autre côté du périph

C'est pas du grand cinéma d'auteur mais c'est drôle; le duo Omar / Laffitte fonctionne bien, on ne s'ennuie pas...

C'est du archi réchauffé, deux flics que tout oppose, un blanc et un noir, un riche et un pauvre, qui vont collaborer pour une enquête, vaut mieux attendre qu'il passe a la TV et quand tu sais que le réalisateur avait déja eu un GERARD pour son film Cyprien, ca en dit long :D
 
"Un enfant de toi" avec Lou Doillon
D'une nullité et d'un ennui
C'est abusé
A aller voir si vous avez des pb pour vous endormir
C'est radical et efficace
 
Quelqu'un est allé voir l odyssée de pi ? C'est bien mon style de film par contre il dure 2 h pas envie de me faire ***** si au final il est nul

Finalement je suis allée le voir. Une très jolie histoire avec des images sublimes ! Mais on aurait pu enlever facilement 1/2 heure au film, certaines scènes ne servaient à rien, un peu lassantes.
 
C'est du archi réchauffé, deux flics que tout oppose, un blanc et un noir, un riche et un pauvre, qui vont collaborer pour une enquête, vaut mieux attendre qu'il passe a la TV et quand tu sais que le réalisateur avait déja eu un GERARD pour son film Cyprien, ca en dit long :D
C'est pour ça que j'ai précisé que c'était pas du cinéma d'auteur
Mais ça reste drôle
Par contre des scènes hachek ! Elle a abusé la Sabrina Ouazzani :eek:
 
Au contraire

A croire qu'il est critique de cinéma tellement l analyse est fine et pointue

Si au moins tu nous en "pondais" une comme ca ne serait ce qu une fois pour voir...

Je ne suis pas là pour pondre des pavés et jouer les philosophes
Je donnes mon avis perso sans en faire des tonnes, mais au moins je parle d'un truc que j'ai vu...
Si on commence à parler d'un film qu'on n'a pas vu on n'a pas fini

alors ta réponse désobligeante tu peux te torcher avec

Bien à toi
 
Je ne suis pas là pour pondre des pavés et jouer les philosophes
Je donnes mon avis perso sans en faire des tonnes, mais au moins je parle d'un truc que j'ai vu...
Si on commence à parler d'un film qu'on n'a pas vu on n'a pas fini

alors ta réponse désobligeante tu peux te torcher avec

Bien à toi

De la philosophie? grand Dieu! Commence à comprendre le français, il semblerait que tu ais qq lacunes
Non seulement ce jeune homme indique l avoir vu (apparemment mm la première ligne tu n es pas allée jusqu au bout) mais en plus il a decrit le film tel que le réalisateur a eu la prétention de le ficeler

Pour ce qui du ton désobligeant, tu devrais revoir ta copie...

Edit: il ne joue pas
 
De la philosophie? grand Dieu! Commence à comprendre le français, il semblerait que tu ais qq lacunes
Non seulement ce jeune homme indique l avoir vu (apparemment mm la première ligne tu n es pas allée jusqu au bout) mais en plus il a decrit le film tel que le réalisateur a eu la prétention de le ficeler

J'ai dit deux fois à Soumiyah que j'ai vu Cogan mais elle ne veut rien savoir :/

Je comprends qu'on puisse ne pas aimer le film mais on ne peut pas tous avoir le même avis...
 
J'ai dit deux fois à Soumiyah que j'ai vu Cogan mais elle ne veut rien savoir :/

Je comprends qu'on puisse ne pas aimer le film mais on ne peut pas tous avoir le même avis...

Cogan malgré la présence de Brad Pitt, c'est vraiment un film pour mecs pour le coup :D.
Je comprend que certains soient déçus aussi , car ce film est présenté comme un film d'action alors que c'est un film trés bavard où l'on a que deux scènes de shoot et ta comparaison avec les films de Tarantino est d'ailleurs judicieuse . Moi j'aurais trouvé ce film trés réussi, si l'objectif du réalisateur de faire une comparaison sur le microcosme du banditisme de petites frappes ratés avec le contexte de crise des Etats Unis lors des dernières élections n'avait pas été aussi lourd.
Il aurait du trouver beaucoup plus subtil dans sa mise en scène que de balancer des discours télévisés qui à force, casse le rythme du film.
Bref son précédent film avec le même acteur était bien plus abouti que ce Cogan qui est trop ambitieux sur le fond.
L'Amérique c'est du buisness, comme il est dit dans la dernière réplique, voilà peut-être pourquoi faire un film grand public alors qu'on veut en même temps donner à réfléchir, n'est pas si simple . Ca donne ce film en demi teinte qui ne sait plus sur quel pied jongler.
 
Cogan malgré la présence de Brad Pitt, c'est vraiment un film pour mecs pour le coup :D.
Je comprend que certains soient déçus aussi , car ce film est présenté comme un film d'action alors que c'est un film trés bavard où l'on a que deux scènes de shoot et ta comparaison avec les films de Tarantino est d'ailleurs judicieuse . Moi j'aurais trouvé ce film trés réussi, si l'objectif du réalisateur de faire une comparaison sur le microcosme du banditisme de petites frappes ratés avec le contexte de crise des Etats Unis lors des dernières élections n'avait pas été aussi lourd.
Il aurait du trouver beaucoup plus subtil dans sa mise en scène que de balancer des discours télévisés qui à force, casse le rythme du film.
Bref son précédent film avec le même acteur était bien plus abouti que ce Cogan qui est trop ambitieux sur le fond.
L'Amérique c'est du buisness, comme il est dit dans la dernière réplique, voilà peut-être pourquoi faire un film grand public alors qu'on veut en même temps donner à réfléchir, n'est pas si simple . Ca donne ce film en demi teinte qui ne sait plus sur quel pied jongler.

C est sur, ce n est pas donné à tout le monde...
 
Jack Reacher avec Tom Cruise
Bon film, de l'action, une bonne intrigue, c'est rythmé et le spectateur est tenu en haleine durant tout le film... Parfois c'est long mais ca reste bon; Tom Cruise est parfait dans ce rôle
 
Jack reacher
Un énième film d action sans grand intérêt sur fond de tuerie à l américaine
Quelques pointes d humour qui ne font rire que les boloss (Sandy comment? cent dix kilos? :/ ) et une tentative de réflexion sur la liberté qui retombe comme un soufflet... Bref c était vraiment pour faire plaisir à mon amie que je l ai accompagné
 
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