Egypte: affrontements continus

merci pour la traduction...sinon cnn peut toujours filmer sur la place tahrir ou pas?

Pas d'arrestation le policier lui dit de couper la caméra et le journaliste répond "doucement"
Parce que le policier bouge la caméra et c'est tout le journaliste n'est pas arrêté

:intello:
 
merci pour la traduction...sinon cnn peut toujours filmer sur la place tahrir ou pas?

Avec plaisir,
Franchement je ne sais pas si ils peuvent encore filmer peut être pas sur la Place mais sur un building en hauteur cela reste possible....
C'est dangereux de filmer parmi cette foule en un quart de seconde les journalistes peuvent être la cible de manifestants...

Affazah Allah Mrs wl Msriyn
Amin

Que Dieu garde l'Égypte et les égyptiens
Amin
 
Égypte : Un coup d’État reste un coup d’État
‏007 juil 2013

Égypte : Un coup d’État reste un coup d’État‏Les insurgés de la « dialectique » et les sophistes de la « révolution permanente » pourront éternellement construire de fumeux raisonnements pour nous expliquer que « la révolution ne fait que commencer » ou que le « processus révolutionnaire se poursuit » en Égypte et dans les pays arabes. Ils pourront toujours s’enthousiasmer sur le « Grand soir » des casernes du Caire, qui fera « table rase » d’un passé impur, parce que pas assez occidentalisé. Ils pourront toujours revêtir tous les masques interchangeables qu’ils souhaitent, le « démocrate » ou le « révolutionnaire », le « libéral» ou l’« anticapitaliste ». Ils pourront… mais « les faits sont têtus ».

L’armée égyptienne vient de renverser un président élu démocratiquement au nom d’une soi-disant prise en compte des « revendications du peuple ». Comment peut-on tolérer que l’armée de la dictature du général Hosni Moubarak puisse renverser un président élu ? Comment peut-on encore maintenir l’illusion que cette armée défend la démocratie et les revendications populaires ? Comment peut-on faire croire que l’armée de la soumission aux États-Unis et à l’entité sioniste, va réaliser les revendications d’indépendance nationale ? Comment peut-on imaginer un seul instant que l’armée, qui s’accapare plus d’un tiers des richesses de l’Égypte, va satisfaire les revendications de justice sociale ? Comment peut-on laisser entendre qu’un coup d’État soutenu par l’Arabie « saoudite », les Émirats arabes unis ou l’« Autorité » collaborationniste de Ramallah, représente un quelconque espoir de libération nationale pour la nation arabe ? « Sourds, muets, aveugles, ils ne raisonnent point ».

Évidemment, il y aurait certainement beaucoup à dire de l’action de Mohamed Morsi et des Frères musulmans, dont nous ne défendrons ni le bilan, ni les projets. Ils payent indubitablement leurs atermoiements et leurs compromissions avec un pouvoir comprador – l’armée et les « décideurs » économiques – et un Occident impérialiste qui n’est pas prêt à renoncer à sa domination néocoloniale sur la nation arabe. « Tout malheur qui vous atteint est dû à ce que vos mains ont acquis ». Mais la question n’est plus de savoir si nous approuvons ou non telle ou telle action ou tel ou tel point du programme des Frères musulmans. La véritable question est : acceptons-nous un coup d’État mis en œuvre par les généraux égyptiens, avec le soutien des anciens bénéficiaires du régime d’Hosni Moubarak, de l’Occident impérialiste et des régimes arabes qui lui sont inféodés ?

D’ores et déjà, la répression a commencé à s’abattre sur l’Égypte. Plusieurs centaines de cadres des Frères musulmans ont été arrêtés arbitrairement par la junte. Des centaines de journalistes ont également été arrêtés et plusieurs chaines de télévision fermées. Ces manœuvres mettent clairement en lumière le caractère contre-révolutionnaire de ce coup d’État, qui vise à rétablir l’autorité des forces de l’ancien régime...........................

http://www.lejeunemusulman.net/?p=824
 
Les frères musulmans sont des gens qu’il faut stopper nette et sans remords, se sont des gens proches aux schismes dans leurs pensées, leur but est d'instaurer une khilafa a l’échelle international, mais selon l’idiologie de hassane albanna le créateur des frères musulmans et non selon le coran et la sunna
 
EN DIRECT Egypte : 42 manifestants pro-Morsi tués et 2 soldats capturésPar Les Echos | 08/07 | 08:33 | mis à jour à 11:02


10h31 : Deux soldats ont été « capturés » par des pro-MorsiDeux soldats égyptiens ont été « capturés » lundi par des partisans armés du président déchu Mohamed Morsi, après des violences sanglantes devant le siège de la Garde républicaine au Caire, a affirmé l’agence officielle Mena, citant un haut responsable de l’armée.

Les deux soldats, Samir Abdallah Ali et Azzam Hazem Ali, ont été embarqués dans une voiture et contraints de prononcer une déclaration en faveur de M. Morsi et hostile à l’armée dans des haut-parleurs, selon cette source.

10h13 : Au moins 42 manifestants tués
Selon un haut responsable des services d’urgence, au moins 42 personnes ont été tuées après des tirs de l’armée contre une manifestation de soutien au président déchu Mohamed Morsi. Selon les Frères musulmans, au moins 35 personnes ont été tuées lorsque des soldats et des policiers ont tiré « à balles réelles » sur les manifestants qui étaient en train de prier lundi à l’aube. « Ce bilan devrait augmenter », ont-ils ajouté dans un communiqué.

Vidéo dans le lien ci dessous...

http://api.dmcloud.net/player/pubpa...81ac4f4a9398531a?wmode=transparent&autoplay=1
 
Exactement, c'est comme les débilos qui se sont servit du prétexte du réaménagement du parc de la place d'Istanbul, pour foutre la ***** et casser des vitrines, juste parce qu'ils ne sont pas d'accord avec l'AKP au pouvoir.

Le pire c'est les crétins qui demandent face caméra qu'Erdogan pose sa démission (risible).

En fait ces boulets savent que dans le jeu démocratique, ils n'auront aucune chance... Alors ils propagent l'anarchie.

c'est à la mode dans les pays musulmans le changement d epouvoir par revolution/guerre civile, hier egypte, tunisie, lybie, aujourd'hui syrie, turquie et encore egypte....
 
Beaucoup ont estimé que un millions d emanifestant en France induisaient le recourt à un referendum pour le mariage pour tous.
ne pense t'ils pas que devant des millions d emanifestant dans la rue le gouvernement Morsi aurait du demissioner et organiser de nouvelle elections ?

au lieu de se cramponner et offrir une occasion aux militaires de reprendre le pouvoir par la force ?
 
Beaucoup ont estimé que un millions d emanifestant en France induisaient le recourt à un referendum pour le mariage pour tous.
ne pense t'ils pas que devant des millions d emanifestant dans la rue le gouvernement Morsi aurait du demissioner et organiser de nouvelle elections ?

au lieu de se cramponner et offrir une occasion aux militaires de reprendre le pouvoir par la force ?

ni en france ni ailleurs le peuple na eux de pouvoir ..........c'est les interets qui gouverne
 
20 minutes

11h51: Les deux soldats libres
Les deux soldats égyptiens détenus lundi par des partisans armés du président déchu Mohamed Morsi sont «parvenus à s'échapper», a indiqué un haut responsable de l'armée. Les deux soldats, Samir Abdallah Ali et Azzam Hazem Ali, ont été embarqués dans une voiture et contraints de prononcer une déclaration en faveur de Mohamed Morsi dans des haut-parleurs, selon cette source. Avant de réussir à fuir, l'un d'eux a en outre été frappé violemment et filmé pendant qu'il parlait, a affirmé le responsable, cité par l'agence officielle Mena.



11h35: ElBaradei réclame une enquête sur les violences sanglantes de lundi


11h22: La Turquie condamne le massacre


1/4 Mısır'da sabah namazında yaşanan katliamı, savunageldiğimiz temel insanlık değerleri adına şiddetle kınıyorum.

— Ahmet Davutoğlu (@Ahmet_Davutoglu) July 8, 2013

«Je condamne vivement ce massacre, pendant la prière du matin, au nom des valeurs fondamentales de l'humanité que nous avons toujours défendues», écrit le ministre turc des Affaires étrangère, Ahmet Davutoglu, appelant ensuite à une normalisation du processus de démocratisation en Egypte qui respecte la volonté du peuple égyptien. «L'Egypte représente l'espoir des aspirations montantes à la démocratie au Moyen Orient, et la Turquie sera toujours solidaire du peuple égyptien», ajoute-t-il.


4/4 Mısır, Orta Doğu'da yükselen demokrasi talebinin umududur ve Türkiye her zaman Mısır halkıyla dayanışma içinde olacaktır.

— Ahmet Davutoğlu (@Ahmet_Davutoglu) July 8, 2013
 
Pauvre Egypte qu'Allah les assiste...

Bizarre que l'Onu n'intervienne pas, l'armée tire sur le peuple...2 poids 2 mesures...:prudent:



12h26 Un affrontement a toujours lieu entre l'armée et les protestants, près du centre-ville. 200 mètres séparent les militaires des civils.

12h15 Deux versions se contredisent pour expliquer les tirs de cette nuit. L'armée affirme avoir tiré sur des "terroristes armés" qui tentaient d'entrer dans le siège de la Garde nationale. Les Frères musulmans déclarent que les militaires ont tiré sur des gens désarmés. David Kirkpatrick, correspondant du New York Times sur place, indique que de nombreux témoins, même anti-Morsi, ont dit que les protestants n'étaient pas armés au début des tirs.

‫حصري الفيديو المصور من قبل الجيش المصري لاحداث الحرس الجمهوري‬‎ - YouTube

12h06 Le parti de la justice et de la liberté, vitrine politique des Frères musulmans, a diffusé sur sa page Facebook un album de photos des victimes et blessés dans les affrontements au Caire de ce lundi matin.

12h04 Selon l'Agence de presse d'Etat "MENA", les deux soldats égyptiens capturés par des partisans de Mohamed Morsi ont bien réussi à s'échapper. Ils avaient été enfermés dans une voiture et filmés pendant qu'on les forçait à prononcer des déclarations pro-Morsi dans un mégaphone, toujours selon l'Agence.

12h00 L'ancien candidat à la présidentielle et dissident des Frères musulmans Abdel-Moneim Abul-Fotouh appelle Adly Mansour à "démissionner" de son poste de Premier ministre de l'Egypte.

11h56 L'armée a indiqué que les deux soldats qui avaient été "capturés" par des pro-Morsi avaient réussi à s'échapper, selon la chaine quatarie Al-Jazeera.

11h49 Des réactions internationales commencent à surgir. Le ministre des Affaires étrangères turc, Ahmet Davutoglu, a condamné les évènements de cette nuit, en les qualifiant de "massacre", et a appelé à la "normalisation". Le Hamas a également réagi, en exprimant sa douleur et compassion pour les victimes.

france info direct
 
EN DIRECT. Egypte: L'armée appelle à lever les sit-in... Le bilan des violences de ce lundi passe à 51 morts...

16h52: L'armée appelle à lever les sit-in et promet de ne pas arrêter les manifestants
L'armée égyptienne a assuré qu'elle ne tolèrerait aucune «menace à la sécurité nationale», après la mort d'au moins 51 personnes dans des tirs sur un rassemblement islamiste. «Nous ne permettrons aucune menace contre la sécurité nationale égyptienne quelles que soient les circonstances», a déclaré le porte-parole de l'armée, Ahmed Ali.

16h41: «L'armée ne permettra à personne de menacer la sécurité nationale
C'est ce qu'annonce le porte-parole.

16h17: Le nombre de morts passe à 51 et le nombre de blessés à 485
Le nombre de morts lors d'une manifestation de soutien au président déchu Mohamed Morsi s'établit désormais à 51.
 
16h15: La conférence de presse de l'armée est mouvementée
L'armée tient en ce moment sa conférence de presse. L'intervention est à suivre en live par ici. Cette conférence de presse a été interrompue par des journalistes réclamant le départ de leurs confrères d'Al Jazeera, comme le rapporte sur Twitter cette journaliste du Daily News Egypt.

16h: Des islamistes manifestent devant l'ambassade d'Egypte au Soudan en soutien à Morsi
Quelque 200 islamistes soudanais ont manifesté pacifiquement devant l'ambassade d'Egypte à Khartoum en soutien au président égyptien destitué Mohamed Morsi. «Nous sommes avec le président légal d'Egypte», affirmait une banderole tenue par les protestataires, dont certains brandissaient aussi des drapeaux égyptiens. La police anti-émeutes était présente, mais elle n'est pas intervenue lorsque les manifestants ont adressé un message à l'ambassade d'Egypte appelant au rétablissement de Mohamed Morsi.

15h47: Le grand imam d'Al-Azhar se place «en retraite» jusqu'à la fin des violences
Le grand imam Ahmed Al-Tayeb d'Al-Azhar, la principale autorité sunnite d'Egypte, a annoncé qu'il se «plaçait en retraite» jusqu'à la fin des violences dans le pays, dans un communiqué qu'il a lu sur la télévision d'Etat. Il avait apporté jeudi sa caution à la mise en place d'une «feuille de route» négociée avec l'armée et l'opposition pour mener la transition après le coup militaire qui a renversé le président Mohamed Morsi.

20 minutes en direct
 
L’Orient-Le Jour > Dernières Infos > Israël presse Washington de maintenir l'aide militaire à l'Egypte

Israël a demandé aux Etats-Unis de ne pas geler l'aide militaire américaine à l'Egypte après la destitution du président Mohamed Morsi par l'armée, ont indiqué mardi des médias israéliens.

Une loi américaine interdit en effet le versement d'une aide financière à un régime issu d'un coup d'Etat.

Selon la radio publique, des responsables israéliens ont pressé les Etats-Unis de ne pas geler l'aide militaire à l'Egypte, d'un montant annuel de 1,3 milliard de dollars. Le quotidien Haaretz citant un "haut responsable américain" a précisé que des "coups de téléphone marathon" ont été échangés sur ce dossier entre le Premier ministre Benjamin Netanyahu et John Kerry le secrétaire d'Etat américain, le ministre de la Défense Moshé Yaalon et le secrétaire à la Défense Chuck Hagel ainsi qu'entre les conseillers à la défense nationale des deux pays Yaakov Amidror et Susan Rice.

Au cours de ces discussions, les interlocuteurs israéliens ont souligné que toute remise en cause de l'aide financière américaine risquait d'avoir un "impact négatif" sur la sécurité d'Israël dans la mesure où l'armée égyptienne disposerait de moins de moyens pour assurer la sécurité dans le Sinaï.
 
Premier vendredi de ramadan sous haute tension en Égypte

France24


Pro et anti-Morsi ont d'ores et déjà prévu de se rassembler au Caire alors que l'Égypte s'apprête à vivre son premier vendredi de jeûne, faisant craindre de nouvelles violences plus d'une semaine après la destitution de Mohamed Morsi.

C’est une grande journée test que s’apprête à vivre l’Égypte en ce premier vendredi du mois sacré de ramadan. Plus d'une semaine après le renversement par l'armée de Mohamed Morsi, à la suite de manifestations massives, les deux camps restent plus que jamais mobilisés. De nouvelles manifestations des partisans et opposants du président déchu sont attendues. Dans un climat de tension persistante, nul ne peut exclure de nouvelles violences.

Attaques dans le Sinaï

Un policier de haut rang a par ailleurs été tué et un autre blessé dans une attaque contre un point de contrôle du Sinaï (nord-est), dans la nuit de jeudi à vendredi. Un poste de police a, en outre, été attaqué dans la ville d'El-Arish par des hommes armés, ont indiqué les autorités. Le Sinaï connaît des problèmes de sécurité récurrents depuis la chute de Hosni Moubarak en 2011, et ceux-ci paraissent se multiplier depuis l'éviction de Mohamed Morsi.

Rassemblement des pro et anti-Morsi

Depuis mercredi, après le coucher du soleil, les partisans de Morsi se retrouvent devant la mosquée Rabaa al-Adawiya du Caire, dans le quartier de Nasr City, et prient pour le retour de leur "président", promettant de rester mobilisés.

"Je veux que mes droits et mon président reviennent et que ceux qui sont tombés ne soient

pas morts pour rien", confie l’un d’entre eux à FRANCE 24. "Le président Morsi reste le président légitime, le docteur Mohamed Morsi est le président de la République", ajoute le jeune homme indigné.

La défiance des islamistes à l'égard des nouvelles autorités a été renforcée mercredi par le lancement d'un nouveau mandat d'arrêt contre le Guide suprême des Frères musulmans, Mohamed Badie, et d'autres responsables de la confrérie, recherchés pour incitation à la violence en lien avec les graves incidents de lundi.

Les anti-Morsi ont aussi prévu un rassemblement vendredi pour la rupture du jeûne, sur la place Tahrir du Caire.

Washington souhaite la fin des arrestations arbitraires

En outre quelque 200 personnes ont déjà été inculpées. Elles sont accusées d'avoir voulu forcer l'entrée du site militaire. Les détentions arbitraires et les menaces d'arrestation de dirigeants islamistes ont suscité les critiques d'organisations des droits de l'Homme et des États-Unis.

Jeudi, les États-Unis ont pressé l'armée et les autorités intérimaires en Égypte de cesser les arrestations arbitraires de membres des Frères musulmans, assurant que cela ne pouvait que contribuer à aggraver la crise politique dans le pays. "Ceci ne va pas dans le sens de l'objectif de réconciliation nationale que le gouvernement intérimaire et l'armée disent viser", a déclaré la porte-parole du département d'État Jennifer Psaki. "Si les arrestations et les détentions politiques continuent, il est difficile de voir comment l'Égypte va pouvoir sortir de cette crise", a-t-elle encore commenté.

Avec dépêches
 
Pauvre Egypte qu'Allah les assiste...

Bizarre que l'Onu n'intervienne pas,

Tu veux qu'elle intervienne comment ?

Je trouve ce que fais l'armée égyptienne inacceptable, monstrueux tout ce qu'on veut mais que peut faire ( et de toute manière que fait vraiment l'ONU ) dans ce genre de cas ?

Des sanctions financières ? L'A.S est derrière de même que d'autres pays du golfe.

Les casques bleus ? On va avoir droit à un massacre improbable ...

On est (enfin les egyptiens) face à une impasse :(
 
Égypte : nouvelle attaque dans le Sinaï, au moins trois morts

Au moins trois personnes sont mortes et 17 autres ont été blessées dans l'attaque à la roquette d'un car d'ouvriers dans le nord de la péninsule du Sinaï, où les violences se multiplient depuis la chute de Mohamed Morsi le 3 juillet.

"Le bus a été attaqué à la roquette près de l'aéroport d'Al-Arish. Trois personnes sont mortes et 17 ont été blessées", a déclaré un responsable de la sécurité. Le véhicule transportait des ouvriers d'une cimenterie dans le nord de la péninsule du Sinaï, à Al-Arish, ont indiqué des sources médicales et sécuritaires.

Dans un communiqué, un porte-parole militaire, le colonel Ahmed Aly, a déclaré qu'"un groupe terroriste" avait visé un véhicule de police mais frappé celui des ouvriers par erreur.

Affrontements près de la frontière israélienne

Cette attaque est survenue quelques heures après des affrontements entre des hommes armés et l'armée égyptienne, près de la frontière israélienne. Les combats ont eu lieu dans la région de Al-Wifaq, dans le nord du Sinaï, après une tentative ratée de faire sauter un véhicule de police avec des explosifs. Une région censée pourtant être démilitarisée, conformément aux accords de paix avec Israël conclus en 1973.

Depuis la destitution du président islamiste Mohamed Morsi le 3 juillet, les attaques se sont multipliées dans la partie de la péninsule du Sinaï frontalière avec la bande de Gaza et Israël. La semaine dernière, un policier de haut rang a ainsi été tué par des hommes armés et un copte a été trouvé décapité , tandis que deux personnes ont trouvé la mort dans une attaque contre un poste de contrôle.

Réputée pour être poreuse et échapper au pouvoir central égyptien, le nord de la péninsule du Sinaï était déjà le théâtre de problèmes de sécurité récurrents depuis le renversement du régime d'Hosni Moubarak début 2011.

France 24 Avec dépêches
 
Les gens n'ont rien compris comme d'habitiude, ici c'est pas un probleme politique ni religieux c'est un probleme de finance en d'autre terme d'argent le peuple a faim et en plus ils sont en surpopulation dans un pays desertique, le probleme c'est d ou voulez vous que l'argent viennent sûrement pas du tourisme le peuple fait le mariole, non plus de stabilité
 
Egypte : sept personnes tuées et 400 interpellées après une nouvelle nuit de violences
16/07/13

Le Caire a de nouveau été le théâtre d'affrontements entre pro-Morsi, opposants aux Frères musulmans et policiers, dans la nuit de lundi à mardi. Sept personnes ont été tuées, plus de 200 blessées, et la police a procédé à près de 400 interpellations. Le bilan en Egypte, depuis le départ de Mohamed Morsi le 3 juillet, s'élève à plus de 100 morts.

7 morts, 260 blessés et 401 interpellations : c'est le bilan d'une nouvelle nuit d'affrontements entre militants pro et anti-Morsi, au Caire. Alors que le Premier ministre doit annoncer la composition du gouvernement mardi ou mercredi, des heurts violents ont eu lieu dans deux quartiers de la capitale égyptienne.

Egypte : Les manifestations dégénèrent - YouTube

A l'origine, une manifestation de soutien à Mohamed Morsi. Les partisans de l'ancien président, présents par dizaines de milliers, ont par la suite bloqué un des principaux ponts de la ville, dans le secteur Ramsès. Des échauffourées ont éclaté : jets de pierre et de gaz lacrymogènes, causant la mort de deux personnes. C'est là que la totalité des 401 arrestations ont eu lieu.

Le jour de la visite du secrétaire d'Etat adjoint américain

D'autres accrochages entre manifestants et policiers ont eu lieu dans le quartier de Gizeh, et ont entraîné la mort de cinq personnes. Du côté de la police, ils sont quatre à avoir été blessés. Une enquête va avoir lieu, ou plutôt, va se poursuivre, puisque 650 personnes ont déjà été interrogées après les violences de la semaine dernière. Elles avaient rapidement été libérées.

France Info
 
Egypte : sept personnes tuées et 400 interpellées après une nouvelle nuit de violences
16/07/13

Le Caire a de nouveau été le théâtre d'affrontements entre pro-Morsi, opposants aux Frères musulmans et policiers, dans la nuit de lundi à mardi. Sept personnes ont été tuées, plus de 200 blessées, et la police a procédé à près de 400 interpellations. Le bilan en Egypte, depuis le départ de Mohamed Morsi le 3 juillet, s'élève à plus de 100 morts.

7 morts, 260 blessés et 401 interpellations : c'est le bilan d'une nouvelle nuit d'affrontements entre militants pro et anti-Morsi, au Caire. Alors que le Premier ministre doit annoncer la composition du gouvernement mardi ou mercredi, des heurts violents ont eu lieu dans deux quartiers de la capitale égyptienne.

Egypte : Les manifestations dégénèrent - YouTube

A l'origine, une manifestation de soutien à Mohamed Morsi. Les partisans de l'ancien président, présents par dizaines de milliers, ont par la suite bloqué un des principaux ponts de la ville, dans le secteur Ramsès. Des échauffourées ont éclaté : jets de pierre et de gaz lacrymogènes, causant la mort de deux personnes. C'est là que la totalité des 401 arrestations ont eu lieu.

Le jour de la visite du secrétaire d'Etat adjoint américain

D'autres accrochages entre manifestants et policiers ont eu lieu dans le quartier de Gizeh, et ont entraîné la mort de cinq personnes. Du côté de la police, ils sont quatre à avoir été blessés. Une enquête va avoir lieu, ou plutôt, va se poursuivre, puisque 650 personnes ont déjà été interrogées après les violences de la semaine dernière. Elles avaient rapidement été libérées.

France Info

Normal. Un pays dont le président légal est arrêté et détenu extra-judiciairement ne doit pas s'attendre à connaître le calme avant un petit bout de temps. Quel malheur et quel gâchis.
 
Turquie-Egypte : le ton monte autour de la chute de Morsi

Le nouveau pouvoir égyptien a fait part de son "fort ressentiment" à l'encontre du premier ministre turc, Recep Tayyip Erdogan, après ses déclarations de soutien au président déchu Mohamed Morsi. Le porte-parole du ministère égyptien des affaires étrangères, Badr Abdelatty, a dénoncé mardi 16 juillet "les remarques répétées de responsables turcs au sujet de la situation intérieure en Egypte".

M. Erdogan, fondateur du parti islamo-conservateur AKP, a qualifié dimanche de "coup d'Etat" la destitution par l'armée du président égyptien Mohamed Morsi, issu des Frères musulmans. "En ce moment, mon président en Egypte est Morsi parce qu'il a été élu par le peuple", avait-il déclaré, ajoutant qu'il aurait "respecté le régime issu du coup d'Etat s'il avait remporté la victoire par les urnes".

MANIFESTATIONS DE SOUTIEN À ISTANBUL

Dans la foulée, des milliers de manifestants turcs s'étaient rassemblés à Istanbul à l'appel du parti islamiste de la Félicité pour soutenir Mohamed Morsi. "Nous sommes pleinement convaincus qu'à la fin de cette résistance, ce sont le peuple, la paix et la liberté en Egypte qui seront les vainqueurs", avait déclaré le secrétaire général de l'organisation internationale des Frères musulmans, Ibrahim Munir.

Les relations entre la Turquie et l'Egypte s'étaient fortement renforcées durant la présidence de M. Morsi, Ankara faisant du Caire l'un de ses partenaires privilégiés dans sa stratégie d'influence régionale. En septembre, M. Morsi avait été un invité de marque lors du congrès de l'AKP. Dans son intervention, Badr Abdelatty a pressé Ankara de "placer les intérêts communs, les liens historiques entre les deux pays au-dessus de toute autre considération".


Le monde
 
L'Union européenne demande la libération de Mohamed Morsi

La situation en Egypte ne s'améliore pas. Alors que la chef de la diplomatie européenne, Catherine Ashton était en visite au Caire, de nouveaux meurtres de policiers a été perpétrés dans la région du nord Sinaï.

Au moment où Catherine Ashton est au Caire, les affrontements se poursuivent entre pro et anti-Morsi. Un policier, membre des forces de sécurité d'Al-Arich, ville du Nord Sinaï, a été assassiné devant un commissariat, un autre cette nuit devant chez lui, également à Al-Arich, et enfin un troisième dans un poste de police à Cheikh Zouweïd.

Lors de sa visite, Catherine Ashton, a regretté de ne pas pouvoir rencontrer Mohamed Morsi. La chef de la diplomatie européenne a d'ailleurs demandé la libération du président déchu. Elle a pu s'entretenir avec les principaux membres du gouvernement de transition, qui a prêté serment mardi dernier.

Elle a notamment vu le nouvel homme fort du pays, le chef de l'armée, vice-Premier ministre et ministre de la Défense, le général Abdel Fattah al-Sissi.

Ashton a souhaité voir Morsi

Pendant ces rencontres, les partisans du président islamiste déchu ont manifesté par milliers, dans la journée, à proximité du siège du gouvernement au Caire.

Catherine Ashton a insisté au cours de ces discussions sur le souhait de l'UE de "voir l'Egypte aller de l'avant vers un futur démocratique... Je pense qu'il devrait être libéré, mais on m'a assuré qu'il allait bien", a-t-elle expliqué à propos de Mohamed Morsi

Nouvelle présidentielle

Catherine Ashton a eu des entretiens avec le mouvement Tamarrod, à l'origine des manifestations qui ont précédé l'éviction de Morsi mais aussi avec des dirigeants du Parti de la liberté et de la justice (PLJ), branche politique des Frères musulmans, dont est issu Morsi.

Le gouvernement de transition doit permettre l'adoption d'une nouvelle Constitution, puis d'ici 2014 à des législatives, avant une nouvelle élection présidentielle.

Par Ouafia Kheniche

http://www.franceinfo.fr/europe/l-u...iberation-de-mohamed-morsi-1072635-2013-07-18
 
Les pro-Morsi manifestent de nouveau au Caire

Les partisans du président destitué Mohamed Morsi ont voulu démontrer leur détermination au lendemain de l'entrée en fonction d'un gouvernement de transition réunissant des libéraux et des technocrates en Egypte.

Les manifestants ont été empêchés par les forces de l'ordre d'accéder à la place Tahrir afin d'éviter de nouveaux heurts avec les anti-Morsi. Des dizaines de jeunes gens armés de bâtons et portant des casques de chantier ont tenté de s'en prendre aux manifestants mais en ont été empêchés par la police.

Cette nouvelle mobilisation organisée par les Frères musulmans, dont est issu Mohamed Morsi, fait suite à la prestation de serment mardi soir au palais présidentiel des 33 ministres du gouvernement de transition.

La confrérie et le parti Al Nour, autre organisation islamiste, sont les grands absents de ce cabinet ministériel chargé d'assurer l'intérim jusqu'à la tenue d'élections présidentielle et parlementaires dans un délai probable de six mois.

Lieu secret

Mohamed Morsi est toujours détenu dans un lieu secret. Il n'a pas été inculpé bien que les autorités intérimaires aient annoncé l'ouverture d'une enquête pour espionnage, incitation à la violence et destruction de l'économie.

Le ministère public a en outre rouvert une instruction sur les circonstances dans lesquelles Mohamed Morsi et 18 autres Frères musulmans s'étaient évadés de prison lors du soulèvement populaire contre Hosni Moubarak en 2011.

John Kerry prudent

Le secrétaire d'Etat américain John Kerry a affirmé qu'il était «trop tôt» pour dire quelle direction l'Egypte va prendre. Il s'est exprimé mercredi à Amman en Jordanie, lors d'une nouvelle mission au Proche-Orient.

«L'ordre, de façon très claire, doit être restauré, la stabilité doit être restaurée, les droits doivent être protégés (...) et le pays doit être capable de reprendre le cours normal des choses», a-t-il dit. Mais il est «beaucoup trop tôt pour faire des déclarations ou juger dans quelle direction (le pays) va aller», a souligné le secrétaire d'Etat.

20 minutes
 
Encore un vendredi de « colère » en Egypte

En dépit de mises en garde de l’armée et de la présidence de la République, les partisans de l’ex-président, Mohamed Morsi, ont défié le pouvoir en appelant à de nouvelles manifestations, ce vendredi 19 juillet au Caire, pour revendiquer la libération et le retour du président islamiste déchu.

Galvanisés par les Frères musulmans, les manifestations doivent partir après la grande prière du vendredi, de dix-huit mosquées situées dans différents quartiers du Caire.

Les manifestants se dirigeront vers la mosquée Rabaa al-Adawiya, haut lieu de l’opposition islamiste, l’Université du Caire, la mythique place Tahrir ainsi que le palais présidentiel.

En réponse à la mobilisation islamiste, le président par intérim Adly Mansour a assuré sa détermination à mener « la bataille pour la sécurité jusqu’au bout. Nous sommes à un moment décisif de l’histoire de l’Egypte, que certains veulent entraîner vers l’inconnu », a-t-il martelé.

Confrontée à une vague d’arrestations, notamment dans les rangs des Frères musulmans, l’opposition islamiste s’entête à refuser toute négociation avec Adly Mansour et affirme sa détermination à mobiliser ses troupes pour exiger le retour au pouvoir de Mohamed Morsi, premier président élu démocratiquement d’Egypte et renversé par l’armée.

http://www.leconomistemaghrebin.com/2013/07/19/encore-un-vendredi-de-colere-en-egypte/
 
Normal. Un pays dont le président légal est arrêté et détenu extra-judiciairement ne doit pas s'attendre à connaître le calme avant un petit bout de temps. Quel malheur et quel gâchis.


Président "second choix"

Les égyptiens avaient votés pour Khairat al-Chater écarté parce qu' il ne pouvait pas se présenter au Présidentielle....

La confiance des votants égyptiens se portaient sur ce candidat et pas Mursi.........
 
Président "second choix"

Les égyptiens avaient votés pour Khairat al-Chater écarté parce qu' il ne pouvait pas se présenter au Présidentielle....

La confiance des votants égyptiens se portaient sur ce candidat et pas Mursi.........

D'accord, mais comme Strauss-Kahn et Hollande finalement, ils sont bien du même parti ! :sournois:

Je veux dire par là que la politique de Khairat al-Chater n'aurait sans doute pas beaucoup dévié de celle de Morsi.
 
D'accord, mais comme Strauss-Kahn et Hollande finalement, ils sont bien du même parti ! :sournois:

Je veux dire par là que la politique de Khairat al-Chater n'aurait sans doute pas beaucoup dévié de celle de Morsi.


Ça personne ne le sait tu peux être du même parti et avoir d'autres idées et ne pas gouverner pareil

Allah wa Ahllem
Dieu seul le sait
 
Mobilisation des islamistes en Egypte, trois morts

Trois femmes ont été tuées, vendredi 19 juillet, à Mansura, dans le delta du Nil, lors d'affrontements entre factions rivales, alors que des dizaines de milliers de partisans du du président islamiste déchu Mohamed Morsi s'étaient rassemblés dans tout le pays pour réclamer son retour. Les affrontements entre partisans de l'ancien président et opposants ont également fait au moins sept blessés.

Des cortèges partis de dix-huit mosquées du Caire à l'appel des Frères musulmans ont convergé dans l'après-midi vers deux sites que les islamistes occupent depuis près de trois semaines : la mosquée Rabaa al-Adawiya dans un faubourg de la capitale, et les abords de l'université du Caire, plus proche du centre-ville.

"OÙ EST PASSÉ MON VOTE ?"

A Rabaa al-Adawiya, la foule brandissait de pancartes sur lesquelles on pouvait lire "Où est passé mon vote ?", en référence au scrutin qui avait porté M. Morsi au pouvoir en juin 2012, première élection présidentielle démocratique en Egypte. Cette journée de protestation a étébaptisée "Briser le coup d'Etat" , allusion à la destitution de M. Morsi par l'armée le 3 juillet, dans la foulée de manifestations de masse réclamant son départ.

Une partie des manifestants s'est dirigée vers le ministère de la défense et le quartier général de la garde républicaine, situés dans les environs de la mosquée, mais ont été empêchés d'y accéder par des barrages de l'armée. Le 8 juillet, une cinquantaine de personnes avaient été tuées devant le siège de la garde républicaine.

De nombreux slogans visaient le chef de l'armée et ministre de la défense, le général Abdel Fattah Al-Sissi, homme-clé de la destitution de M. Morsi et nouvel homme fort du pays. "Sissi dégage, Morsi est le président !", scandaient certains en brandissant des portraits du président déchu. D'autres traitaient le général de "traître" ou d'"assassin".

Des manifestations islamistes ont également eu lieu en province, à al-Arich (Nord-Sinaï), Marsa Matrouh (nord-ouest), Beni Sueif et Minya (Moyenne Egypte), ainsi qu'à Alexandrie (nord, la deuxième ville du pays), selon la télévision publique...............................

http://www.lemonde.fr/afrique/artic...istes-en-egypte-trois-morts_3450410_3212.html
 
jamais content ces égyptiens.....


a chaque fois qu'ils vont élire un ministre, ils vont manifester pour en placer un autre? ils ne savent pas respecter les résultats des votes comme tout le monde?

pour moi ce sont des sauvages.

:confus:
 
jamais content ces égyptiens.....


a chaque fois qu'ils vont élire un ministre, ils vont manifester pour en placer un autre? ils ne savent pas respecter les résultats des votes comme tout le monde?

pour moi ce sont des sauvages.

:confus:



"Ce sont des sauvages".......

Les manifestants pro,ou anti sont des extrémistes qualifier TOUT un peuple de sauvages pour les exactions d extrémistes généralités

En ce qui concerne les votes une chose me vient à l'esprit et je l ai écris à plusieurs reprises sur le forum Mursi à été imposé aux FM le choix et la confiance des votants se portaient sur un autre candidat écarté parce qu' il ne pouvait pas se présenter aux Présidentielles
Kairhat al-Chater
Les FM se battent pourquoi et qui?
Leurs idées


La perte du pouvoir

Ou




Mursi?
 
je retire ce que j'ai dit sur sauvageon....j'avoue que je l utilise un peu trop souvent...

Mais bon, Morsi a été élu par le peuple, par un vote semble t il démocratique. Alors pourquoi ce même peuple sort en rue en remettant en cause le vote qu'ils ont fait? pourquoi ne pas respecter comme dans tous les pays du monde, les résultats du scrutin?
Ils ont vraiment fait fort les Egyptiens : c'est la première fois de leur vie qu'ils ont voté démocratiquement et deux ans plus tard, ils sont dans la rue comme des gamins qui ralent, en disant on s'est trompé....mais il fallait réfléchir avant!

FM ça veut dire quoi? un moment donné je pensais femen....:D


"Ce sont des sauvages".......

Les manifestants pro,ou anti sont des extrémistes qualifier TOUT un peuple de sauvages pour les exactions d extrémistes généralités

En ce qui concerne les votes une chose me vient à l'esprit et je l ai écris à plusieurs reprises sur le forum Mursi à été imposé aux FM le choix et la confiance des votants se portaient sur un autre candidat écarté parce qu' il ne pouvait pas se présenter aux Présidentielles
Kairhat al-Chater
Les FM se battent pourquoi et qui?
Leurs idées


La perte du pouvoir

Ou




Mursi?
 
Egypte: visite du roi de Jordanie sur fond de mobilisation

Le roi de Jordanie a effectué samedi une visite-éclair au Caire pour apporter son soutien aux autorités mises en place après le renversement par l'armée du président Mohamed Morsi. Il est le premier chef d'État étranger à se rendre en Egypte depuis la chute de M. Morsi le 3 juillet.

Le monarque a rencontré le président ad interim Adly Mansour et son vice-président pour les relations internationales Mohamed ElBaradei. Il leur a fait part "de son soutien pour que l'Égypte puisse faire face aux circonstances actuelles et qu'elle renforce sa stabilité et sa sécurité", selon un communiqué de la présidence égyptienne.

La Jordanie avait félicité les nouvelles autorités dès la chute de M. Morsi. Amman avait estimé qu'après des manifestations de grande ampleur contre l'ex-président, elles répondaient "à la volonté et au choix du peuple égyptien".

"La volonté du peuple"

Au même moment, la mobilisation ne faiblissait pas samedi dans la capitale égyptienne. Depuis maintenant trois semaines, des milliers de pro-Morsi occupent les sites d'une mosquée, ainsi que de l'université du Caire.

"La volonté du peuple contre la force militaire" proclamait une banderole déployée aux abords de la mosquée Rabaa al-Adawiya. Des portraits de M. Morsi étaient en outre visibles avec la mention "notre président" ou "président légitime".

Vendredi, des manifestations pro-Morsi ont rassemblé des dizaines de milliers de personnes, alors que le président Mansour, ainsi que l'armée avaient mis en garde contre toute violence. Les Frères musulmans ne reconnaissent aucune légitimité au nouveau pouvoir qu'ils accusent d'être issu d'un coup d'État militaire.

Des adversaires de M. Morsi ont également protesté vendredi soir, mais la mobilisation était moins forte et l'ambiance festive. Ils se sont réunis sur l'emblématique place Tahrir, au Caire, et aux abords du palais présidentiel.

http://www.journaldujura.ch/nouvell...e-du-roi-de-jordanie-sur-fond-de-mobilisation
 
Un mort et 15 blessés près de l'université du Caire

Un homme a été tué et 15 personnes ont été blessées mardi à l'aube à l'occasion d'une manifestation de soutien au président islamiste déchu Mohamed Morsi près de l'université du Caire, selon le site internet d'un journal.

Selon Al Ahram Online, la police a lancé des gaz lacrymogènes pour réprimer les violences. Plusieurs voitures dans le secteur ont été réduites en bouillie ou incendiées.

Selon la police, des heurts se sont produits entre partisans de Mohamed Morsi, au nombre de plusieurs centaines, et des habitants d'un quartier proche du principal campus de l'université du Caire, dans la province de Gizeh, au sud du Caire. Les pierres ont volé et des coups de feu ont été tirés.

Lundi dans le centre du Caire, une personne a été tuée et une vingtaine ont été blessées dans des affrontements entre partisans et opposants de Mohamed Morsi.

Depuis la destitution par l'armée le 3 juillet du président démocratiquement élu, on recense une centaine de morts.

Selon la page Facebook du parti Liberté et Justice (FJP), vitrine politique des Frères musulmans, que Mohamed Morsi dirigeait avant d'être élu président en juin 2012, les affrontements de mardi ont fait cinq morts.

"Les leaders du coup d'Etat militaire continuent à terroriser les manifestants pacifiques en Egypte", déclare le FJP dans un communiqué publié en anglais.

Les ministres de la Défense et de l'Intérieur, que le parti Liberté et Justice appelle "les leaders du coup d'Etat" seront tenus responsables d'éventuelles tentatives d'évacuer les zones où les Frères ont choisi de manifester, affirme le FJP.

Les partisans de Mohamed Morsi se relaient 24 heures sur 24, dans un quartier du Caire. Ils disent qu'ils continueront jusqu'au retour au pouvoir de leur président qui est détenu par l'armée dans un lieu secret depuis son éviction.

Des habitants proches du principal secteur où protestent les Frères, Madinat Nasr, disent avoir déposé une plainte auprès des services du procureur pour réclamer le départ des manifestants, qu'ils accusent de perturber leurs vies.

De source proche des services de sécurité, on indique que cette affaire devrait bientôt être réglée par la justice "pour donner à l'armée une base légale pour mettre fin aux manifestations".

Yasmine Saleh et Ahmed Tolba; Danielle Rouquié pour le service français

Le Nouvel Obs'
 
Neuf morts dans les violences au Caire,deux tués au Sinaï
23/07 | 18:46


Neuf personnes ont été tuées tôt au Caire mardi lors d'affrontements entre partisans et adversaires de Mohamed Morsi, non loin d'un lieu où les Frères musulmans maintiennent une veille depuis la destitution du président le 3 juillet, rapportent des médias gouvernementaux égyptiens.

Les partisans de Morsi, proches pour bon nombre des Frères musulmans, le mouvement du président déchu, campent à l'université de la capitale pour appuyer leur demande de rétablissement du chef de l'Etat dans ses fonctions.

Les Frères musulmans ont parlé d'une attaque qui visait des manifestants pacifiques.

De source policière, on affirme en revanche que des heurts ont opposé plusieurs centaines de partisans de Mohamed Morsi à des habitants du quartier, des petits vendeurs et autres personnes non loin des lieux du sit-in. Des coups de feu ont été tirés et des pierres lancées, ajoute-t-on de même source.

Neuf personnes ont péri et 33 autres ont été blessées, ce qui porte à 14 le nombre de tués dans les violences politiques des dernières 48 heures, rapporte le journal Al Ahram, qui cite un fonctionnaire du ministère de la Santé. Deux personnes blessées lundi dans des échauffourées sont décédées mardi.

Les épaves d'une quinzaine de véhicules incendiés gisent dans le quartier universitaire où ont eu lieu les affrontements. Des taches de sang maculent le sol, que jonchent des bris de verre, près de la zone commerçante où un poste de police a été incendié....................

http://www.lesechos.fr/economie-pol...lences-au-caire-deux-tues-au-sinai-588932.php
 
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