comme des frères
on a marché sur le même chemin
d'où je viens
on suit les lignes de la main
comme nos pères
on trouve la force d'aller plus loin
d'où je viens
on n'a pas peur des lendemains
Comme des frères
nous avons bu le même lait
on a marché sur le même chemin
fait les même souhaits ..
d'où je viens
la vie n est rien d'autre qu'un passage
un songe ..
on suit les lignes de la main
et on fini sur ce rivage
comme nos pères
endormi pour l éternité
on trouve la force d'aller plus loin
le temps d'aimer ..de vaincre
de vivre ..
d'où je viens
on prie à genou et on rêve debout
on n'a pas peur des lendemains
et de ses nuits sans fin ..
d’où je viens
on ne sait plus dire je t'aime
sans hurler
un intérieurs en cuir
pour nous débarrasser de nos derniers sentiments
pour assouvir le moindres de leurs désirs ..
admirer sans le savoir par l oeil d un télé-objectif ..
instinct animal ou l art devenu cette "marchandise paradoxal"
vendu au foule venus s amasser