Large victoire d’Ahmadinejad aux élections présidentielles

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quelle délire ce régime ! les iraniens en 79 ont crées un monstre
monstre qui mène la vie dure a leurs enfants aujourd'hui
je suis intiment convaincu que ce type de régime n as pas d'avenir a long terme !
maintenant bien malin celui qui sait quand ce fascisme musulman s'effondrera

Il y a pourtant une réelle partie de la population qui est pro-Ahmadinejad quoiqu'on en dise. Et je ne crois pas qu'on va assister à la fin du régime sinon on ne verrait pas actuellement un bras de fer entre les pro Moussavi et les pro Ahmadinejad...on verrait tout simplement un peuple qui veut la peau des ayatollah. Dire que ce régime est fasciste, c'est vraiment poussé, je sais pas sur quoi tu te bases pour dire ça alors qu'une grosse partie de la population le soutient encore. Vraiment et je me répète, ce qui se passe me fait trop penser au lendemain de l'élection de Sarkozy.
 
Il y a pourtant une réelle partie de la population qui est pro-Ahmadinejad quoiqu'on en dise. Et je ne crois pas qu'on va assister à la fin du régime sinon on ne verrait pas actuellement un bras de fer entre les pro Moussavi et les pro Ahmadinejad...on verrait tout simplement un peuple qui veut la peau des ayatollah. Dire que ce régime est fasciste, c'est vraiment poussé, je sais pas sur quoi tu te bases pour dire ça alors qu'une grosse partie de la population le soutient encore. Vraiment et je me répète, ce qui se passe me fait trop penser au lendemain de l'élection de Sarkozy.


1) La partie de la population qui soutien ahmadinejad et ce régime n'est pas aussi importante que l'on peut penser d'ici. On ne peut pas établir un raisonnement en se disant que comme le régime est encore debout ,alors ça veut dire qu'il sont nombreux a le soutenir. Le régime est encore debout surtout grâce a la force et a la poigne des gardiens de la révolution qui sont la pour veiller et sanctionner toute opposition hostile quels qu'elle soient.
2) Ce qui se passe aujourd'hui dans la rue est un pseudo prétexte. Nombreux en Iran sont ceux qui souhaite en finir avec le régime , mais ne peuvent par manque de soutien et par peur. Aujourd'hui la suspicion d'élection frauduleuse a entrainer un ras de marée de soutien dans les grande ville iranienne, même Qhom capitale du chiisme en a subit également le coup... Aujourd'hui ce n'est pas uniquement les partie de moussavi qui sont dans la rue, mais aussi la jeunesse qui veut du changement et qui en profite pour faire part de son mécontentement.

On ne vis surement pas les dernières heures du régime , si le guide spirituel choisis la bonne stratégie : Je pense qu'il va annuler le scrutin et donner ensuite l'élection a moussavi .
Pourquoi me direz vous ? Tout simplement car tout les iraniens aujourd'hui on juré "qu'il ne laisserait jamais passer ce qu'il y a eut la semaine dernière" . Soit il choisissent la solution la moins pire et calme la foule et sauve le régime. Soit il s'entête et continue comme ça, et ca va partir en guerre civile .

Téhéran cristallise toute l'attention, mais les petite villes ne sont pas épargnés par ce phénomène qui n'est pas un épiphénomène.

D'ailleurs , l'état Iranien l'a très bien compris en coupant a plusieurs reprise les lignes téléphoniques. Il devient très difficile de contacter ma famille la bas...
 
Elections en Iran : Et si Ahmadinejad avait vraiment gagné ?
mardi 16 juin 2009 - 14h:17

Robert Parry - Le Grand Soir

L’idée que le président iranien Mahmoud Ahmadinejad a volé sa réélection par la fraude aux dépens de la « révolution verte » de Mir-Hossein Mousavi - soutenu par les milieux intellectuels et les classes moyennes - est petit à petit en train de s’installer comme un fait acquis.

Et pourtant la forte participation, estimée à environ 85%, était présentée comme la garantie d’une victoire écrasante d’Ahmadinejad, considéré comme l’allié des iraniens plus traditionnels des classes ouvrières et paysannes.

C’est ce qu’affirment Ken Ballen and Patrick Doherty dans un article du Washington Post qui citent les conclusions d’un sondage qu’ils ont mené à travers tout le pays au mois de mai et qui prévoyait pratiquement la même avance en voix - de l’ordre de 2 pour 1 en faveur d’Ahmadinejad - que celle annoncée à la sortie des urnes.

Ballen et Doherty démolissent aussi un des principaux arguments avancés par de nombreux observateurs qui affirment qu’il y a eu fraude. Cet argument est que Mousavi, un Azeri, avait très certainement gagné dans les circonscriptions à majorité Azeri mais où Ahmadinejad est sorti vainqueur. Cependant, Ballen et Doherty rappellent que « notre sondage montre... que les deux tiers des Azeri préfèrent Ahmadinejad à Mousavi ».

Leur sondage contredit aussi une idée largement partagée par les grands média selon laquelle la jeunesse branchée sur Internet soutient Mousavi. Ils ont trouvé que seul 1 Iranien sur 3 a accès à l’Internet et que « les intentions de vote en faveur d’Ahmadinejad parmi les 18-24 ans étaient plus fortes que dans toute autre tranche d’âge de la population ».

Néanmoins, la précipitation des médias américains à parler de « fraude » est en train de créer une réalité politique à laquelle sont confrontées à la fois Washington et Téhéran. Un des jugements à l’emporte-pièce des médias est qu’Ahmadinejad a « volé » ces élections et que cela prouverait que les faucons israéliens et les néoconservateurs américains avaient raison lorsqu’ils affirmaient qu’il était impossible de traiter avec l’Iran d’une manière rationnelle, que le Président Barack Obama était le « grand perdant » et que le recours à la force est la seule option possible s’agissant de l’Iran.




Il est curieux de constater comment les médias américains s’intéressent soudainement à la régularité d’une élection alors que ces derniers ont ignoré, tourné en ridicule ou même couvert le vol de l’élection présidentielle de 2000 par George W. Bush ainsi que celle de 2004.




En 2000, la Floride - état contrôlé par le frère de Bush, Jeb, et ses partisans - fut le théatre d’irrégularités à grande échelle. Ensuite, lorsqu’un recomptage des voix a été initié, les hommes de campagne de Bush ont envoyé à Miami des hooligans en costume cravate pour y organiser des émeutes destinées à déstabiliser le recomptage. Finalement, Bush a obtenu que cinq juges Républicains de la Cour Suprême des Etats-Unis ordonnent l’interruption du recomptage et déclarent Bush vainqueur.

La presse US fut extraordinairement silencieuse sur ce vol d’élection bien documenté. Même lorsqu’il était devenu évident qu’Al Gore avait remporté la majorité des suffrages et aurait remporté la Floride si tous les bulletins avaient été comptés, les principaux médias US, dont le New York Times et CNN, ont déformé les faits pour protéger la « légitimité » de Bush.

De même, de graves irrégularités ont entaché l’élection de 2004, particulièrement dans l’état du Ohio, et n’ont jamais fait l’objet d’un examen sérieux par les mass média, qui ont préféré dénigrer les sites internet (dont le notre, Consortiumnews.com) et les groupes de citoyens en les qualifiant de « théoriciens du complot » lorsqu’ils ont voulu attiré l’attention sur d’étranges résultats en faveur de Bush données par les machines à voter.

Cependant, lorsqu’une élection se déroule dans un pays étranger et qu’un candidat « impopulaire » semble se faire élire, là les règles changent. Tous ceux qui n’admettent pas immédiatement qu’il y a eu fraude sont des naïfs ; chaque « théorie du complot » est complaisamment citée tandis que les preuves du contraire sont minimisées ou ignorées, par exemple le vote des Azéris révélé par Ballen et Doherty.

L’autre ironie de cette histoire est que les leaders religieux iraniens ont ordonné une enquête sur les accusations de fraude dans un pays pas spécialement réputé pour ses institutions démocratiques. Mais c’est déjà plus que les américains n’ont obtenu en 2000 et 2004.
 
Elections en Iran : Et si Ahmadinejad avait vraiment gagné ?
mardi 16 juin 2009 - 14h:17

Robert Parry - Le Grand Soir

L’idée que le président iranien Mahmoud Ahmadinejad a volé sa réélection par la fraude aux dépens de la « révolution verte » de Mir-Hossein Mousavi - soutenu par les milieux intellectuels et les classes moyennes - est petit à petit en train de s’installer comme un fait acquis.

Et pourtant la forte participation, estimée à environ 85%, était présentée comme la garantie d’une victoire écrasante d’Ahmadinejad, considéré comme l’allié des iraniens plus traditionnels des classes ouvrières et paysannes.

C’est ce qu’affirment Ken Ballen and Patrick Doherty dans un article du Washington Post qui citent les conclusions d’un sondage qu’ils ont mené à travers tout le pays au mois de mai et qui prévoyait pratiquement la même avance en voix - de l’ordre de 2 pour 1 en faveur d’Ahmadinejad - que celle annoncée à la sortie des urnes.

Ballen et Doherty démolissent aussi un des principaux arguments avancés par de nombreux observateurs qui affirment qu’il y a eu fraude. Cet argument est que Mousavi, un Azeri, avait très certainement gagné dans les circonscriptions à majorité Azeri mais où Ahmadinejad est sorti vainqueur. Cependant, Ballen et Doherty rappellent que « notre sondage montre... que les deux tiers des Azeri préfèrent Ahmadinejad à Mousavi ».

Leur sondage contredit aussi une idée largement partagée par les grands média selon laquelle la jeunesse branchée sur Internet soutient Mousavi. Ils ont trouvé que seul 1 Iranien sur 3 a accès à l’Internet et que « les intentions de vote en faveur d’Ahmadinejad parmi les 18-24 ans étaient plus fortes que dans toute autre tranche d’âge de la population ».

Néanmoins, la précipitation des médias américains à parler de « fraude » est en train de créer une réalité politique à laquelle sont confrontées à la fois Washington et Téhéran. Un des jugements à l’emporte-pièce des médias est qu’Ahmadinejad a « volé » ces élections et que cela prouverait que les faucons israéliens et les néoconservateurs américains avaient raison lorsqu’ils affirmaient qu’il était impossible de traiter avec l’Iran d’une manière rationnelle, que le Président Barack Obama était le « grand perdant » et que le recours à la force est la seule option possible s’agissant de l’Iran.




Il est curieux de constater comment les médias américains s’intéressent soudainement à la régularité d’une élection alors que ces derniers ont ignoré, tourné en ridicule ou même couvert le vol de l’élection présidentielle de 2000 par George W. Bush ainsi que celle de 2004.




En 2000, la Floride - état contrôlé par le frère de Bush, Jeb, et ses partisans - fut le théatre d’irrégularités à grande échelle. Ensuite, lorsqu’un recomptage des voix a été initié, les hommes de campagne de Bush ont envoyé à Miami des hooligans en costume cravate pour y organiser des émeutes destinées à déstabiliser le recomptage. Finalement, Bush a obtenu que cinq juges Républicains de la Cour Suprême des Etats-Unis ordonnent l’interruption du recomptage et déclarent Bush vainqueur.

La presse US fut extraordinairement silencieuse sur ce vol d’élection bien documenté. Même lorsqu’il était devenu évident qu’Al Gore avait remporté la majorité des suffrages et aurait remporté la Floride si tous les bulletins avaient été comptés, les principaux médias US, dont le New York Times et CNN, ont déformé les faits pour protéger la « légitimité » de Bush.

De même, de graves irrégularités ont entaché l’élection de 2004, particulièrement dans l’état du Ohio, et n’ont jamais fait l’objet d’un examen sérieux par les mass média, qui ont préféré dénigrer les sites internet (dont le notre, Consortiumnews.com) et les groupes de citoyens en les qualifiant de « théoriciens du complot » lorsqu’ils ont voulu attiré l’attention sur d’étranges résultats en faveur de Bush données par les machines à voter.

Cependant, lorsqu’une élection se déroule dans un pays étranger et qu’un candidat « impopulaire » semble se faire élire, là les règles changent. Tous ceux qui n’admettent pas immédiatement qu’il y a eu fraude sont des naïfs ; chaque « théorie du complot » est complaisamment citée tandis que les preuves du contraire sont minimisées ou ignorées, par exemple le vote des Azéris révélé par Ballen et Doherty.

L’autre ironie de cette histoire est que les leaders religieux iraniens ont ordonné une enquête sur les accusations de fraude dans un pays pas spécialement réputé pour ses institutions démocratiques. Mais c’est déjà plus que les américains n’ont obtenu en 2000 et 2004.

Bush avait bien gagne les élections, bon ok vous allez me dire y avait un hic et patati ... Mais bon ça reste quand même une preuve que le plouc red neck du coin peut avoir emprise sur une population en crise de foi.
 
un vrai sioniste..tu détournes tout ce que je dis..je ne parlais pas d'eux mais les dites saintes mains des israeliens :D

Quoi tu ose dire que le clergé Iranien a des relation forgé avec Israel dans une certaine banlieu francilienne ??

Mais t'es folle il est pourtant stipulé dans la confession de foi iranienne de ne pas en parler
 
...force est de constater que vous avez largement dévié le sujet initial ( et ce n'est pas la première fois )...vous êtes donc priés de retourner à l'endroit adéquat pour vos conversations privés ( sans intérêt pour le public :rolleyes: )


:langue:
 
Dis son nom trois fois la nuit et il apparaitra : p

il fantasmera sur moi :D

...force est de constater que vous avez largement dévié le sujet initial ( et ce n'est pas la première fois )...vous êtes donc priés de retourner à l'endroit adéquat pour vos conversations privés ( sans intérêt pour le public :rolleyes : )


:lan gue:


c un sioniste ils sont forts en ce jeu :(
 
...force est de constater que vous avez largement dévié le sujet initial ( et ce n'est pas la première fois )...vous êtes donc priés de retourner à l'endroit adéquat pour vos conversations privés ( sans intérêt pour le public )


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Non non ! La large victoire d'ahmadinjad; on y est encore à analyser le pourquoi du comment !

il fantasmera sur moi

Tu as en dessous de 13 ans ? :D

c un sioniste ils sont forts en ce jeu :(

Bac S ioniste M ondiale
 
Iran: «Le guide suprême qui se remet en question, c'est du jamais vu»

INTERVIEW - Thierry Coville est spécialiste de l'Iran, chercheur à l'Institut de recherches internationales et stratégiques. Il revient sur la situation politique confuse après la réélection contestée du président Ahmadinejad...

Quelle relation entretient le guide suprême, l'ayatollah Ali Khamenei, avec Mahmoud Ahmadinejad?
C'est la grande question. On sait qu'ils sont proches, mais en même temps, on sait que Hossein Moussavi (l'adversaire d'Ahmadinejad, ndlr) a longtemps conseillé Ali Khamenei. L'ayatollah apprécie, dans une certaine mesure, la modération dont fait preuve Moussavi dans sa politique. Mais sur le plan des tendances, il est plus proche d'Ahmadinejad et il le soutient depuis toujours.

http://www.20minutes.fr/article/332...i-se-remet-en-question-c-est-du-jamais-vu.php
 
Elections en Iran : Et si Ahmadinejad avait vraiment gagné ?
mardi 16 juin 2009 - 14h:17

Robert Parry - Le Grand Soir

L’idée que le président iranien Mahmoud Ahmadinejad a volé sa réélection par la fraude aux dépens de la « révolution verte » de Mir-Hossein Mousavi - soutenu par les milieux intellectuels et les classes moyennes - est petit à petit en train de s’installer comme un fait acquis.

Et pourtant la forte participation, estimée à environ 85%, était présentée comme la garantie d’une victoire écrasante d’Ahmadinejad, considéré comme l’allié des iraniens plus traditionnels des classes ouvrières et paysannes.

C’est ce qu’affirment Ken Ballen and Patrick Doherty dans un article du Washington Post qui citent les conclusions d’un sondage qu’ils ont mené à travers tout le pays au mois de mai et qui prévoyait pratiquement la même avance en voix - de l’ordre de 2 pour 1 en faveur d’Ahmadinejad - que celle annoncée à la sortie des urnes.

]

J'ai entendu parler de ces sondages... Il y a eu également des sondages organisés par certaines ONG par téléphone quelques temps avant les élections et pareil la tendance penchait pour Ahmadinejad.
 
Iran: «Le guide suprême qui se remet en question, c'est du jamais vu»

INTERVIEW - Thierry Coville est spécialiste de l'Iran, chercheur à l'Institut de recherches internationales et stratégiques. Il revient sur la situation politique confuse après la réélection contestée du président Ahmadinejad...

Quelle relation entretient le guide suprême, l'ayatollah Ali Khamenei, avec Mahmoud Ahmadinejad?
C'est la grande question. On sait qu'ils sont proches, mais en même temps, on sait que Hossein Moussavi (l'adversaire d'Ahmadinejad, ndlr) a longtemps conseillé Ali Khamenei. L'ayatollah apprécie, dans une certaine mesure, la modération dont fait preuve Moussavi dans sa politique. Mais sur le plan des tendances, il est plus proche d'Ahmadinejad et il le soutient depuis toujours.

http://www.20minutes.fr/article/332...i-se-remet-en-question-c-est-du-jamais-vu.php

"Oui, c'est clairement une erreur politique. On n'a jamais vu un tel taux de participation à une élection présidentielle en Iran."
 
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