J'ai envie de me confier, pck ça je le dit jamais, donc je commence par préciser que j'aime ma famille d'amour et qu'Allah les protègent. Quand j'étais en foyer de mes 10 ans à mes 14 ans, puis en coloc et en apprentissage jusqu'à mes 16 ans, personne n'est venu m'aider, me protéger, me sortir de là, même pas assister aux audiences, à part ma mère qui avait des permissions de sorties de l'hôpital. Et après mon père est apparu la bouche en cœur, chantant qu'il était là pour moi, que je pouvais revenir à la maison etc... En plus de ce que je consommait à l'époque, et de mes responsabilités et pleins d'autres trucs, ça m'a fait un tel choc que j'ai pas supporté. Dans le train pour aller chez lui j'ai fait une "crise de déréalisation anxiogène". Moi je me rappelle que de ce que je voyais, mais pas de ce que je disais ou faisait, mais apparament le film l'exorciste c'est une comptine à côté
...
Bref. J'avais 17 ans, donc pour me sortir de l'hôpital il à prit le contrôle, toutes les responsabilités. Dieu le bénisse, il n'empêche que, je l'ai su que quelques années après avoir retrouvé mes facultés, c'était pour me marier car ça commençait à sérieusement jazzer en Égypte. Il pensait tout de même bien faire je suppose. Donc j'ai revu ma famille en état de légume. Et quand j'ai compris de retour à Paris que les prétendants qui venait boire le thé ne prétendait rien, mais que je risquait fortement de pas avoir le choix... Ça m'a vraiment pas réussie d'arrêter mon traitement comme ça, mais au moins j'avais toute ma tête. Franchement, tout ce que j'ai fait comme counneries pour riposter je le souhaite même pas à mon pire ennemi que sa fille lui fasse...
Bref. Après mon 13eme déménagement en fjt, j'ai sérieusement commencé à m'accrocher fi dîn de mon plein gré, el hamdoullileh.
Et 10 ans après, tout va bien dans le meilleur des mondes