Le monde multipolaire en marche

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion Yancine
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La « démocratie », à la manière européenne, a trouvé un moyen facile de faire taire n’importe quel média.
C'est très bien de dénoncer les manquements démocratiques européens...Bravo

Tu vas donc pouvoir ensuite t'atteler à dénoncer les petits problèmes de démocraties, d'arrestations et d’assassinats de journalistes et opposants en Russie n'est ce pas? Tu ne voudrais pas que l'on te prenne pour un troll hypocrite quand même?

https://www.amnesty.org/fr/latest/n...d-over-critical-coverage-of-ukraine-invasion/
https://rsf.org/fr/deux-journalistes-russes-condamnés-à-huit-et-dix-jours-de-prison
 
Dernière édition:
«Kein Krieg, stop Gender»: des milliers d’Allemands manifestent contre la soumission de leur gouvernement à l’ordre américain

«Pas de guerre, stop à la théorie du genre», ont-ils réclamé.

Les manifestants demandaient aussi des comptes au chancelier Olaf Scholtz et à la ministre des Affaires étrangères, Annalena Baerbock, sur les livraisons d'armes à l'Ukraine et la crise migratoire.

«Depuis 70 ans, les Etats-Unis provoquent guerre après guerre. Il s'agit soi-disant de démocratie, mais en réalité, il s'agit de ressources naturelles

Les médias allemands les ont naturellement qualifiés de «théoriciens du complot».

Pourtant, Berlin a annoncé lundi l’envoi de milliers de soldats en Lituanie, qui accueille déjà un groupement tactique de l'OTAN.

➡️➡️ #Nostalgie–L'ambassadrice d'Allemagne a applaudi et salué le vétéran nazi au (https://t.me/kompromatmedia/4118)Parlement canadien (https://t.me/kompromatmedia/4118)
 

Pièces jointes

Jacques Baud : “Moscou fixera les termes de la négociation”​




La stratégie des États-Unis est-elle dans l’impasse ? Quelle est la conduite russe des opérations militaires ? Quand aura lieu la contre-offensive ukrainienne ? L’armement occidental fait-il vraiment la différence en Ukraine ? Qui sont les gagnants de cette guerre ? À quels bouleversements du monde sommes-nous en train d’assister depuis le 24 février 2022 ? Quelle est la réalité des pertes, côté ukrainien et côté russe ? L’industrie occidentale parvient-elle à rivaliser avec celle de la Russie en Ukraine ? Pourquoi ne cherche-t-on pas une solution négociée ? En quoi notre perception du conflit est-elle en train de desservir l’Ukraine ? Pour répondre à ces questions et à bien d’autres, Jacques Baud s’appuie sur les informations des services de renseignement occidentaux et les documents américains qui ont fuité en avril 2023. Après les best-sellers Poutine, le maître du jeu ? et Opération Z, dont le travail d’analyse a été salué dans le monde entier, l’auteur revient sur la guerre en Ukraine en analysant les faits et rien que les faits. Que l’on soit pour ou contre la position de l’Ukraine, on est condamné à revenir au terrain des opérations et à analyser ce qui s’y déroule. C’est à ce prix qu’un chemin vers la paix est possible, et non en nous fondant sur des illusions.

 
#Constat–«Plus souveraine, l'Europe prend des décisions contre ses intérêts»–Poutine

«Elle a été obligée de se tenir derrière son suzerain et de suivre sa politique, ses sanctions, ses restrictions», a souligné le président russe lors de la réunion du Club de discussion Valdaï.

Résultat ? «L'économie européenne s'est dégradée, la compétitivité de ses entreprises s'est effondrée.»

«Et pendant ce temps, celle de Washington a fortement augmenté.»

Fort de ce constat, Moscou a donc décidé de «quitter le marché européen, qui se ferme peu à peu», pour se tourner vers l'Asie.

Non sans regrets, la Russie étant historiquement «liée à l'Europe par de nombreux liens dans le domaine de la culture et de l'éducation». «Mais les Européens détruisent leurs racines fondées sur la culture chrétienne.»

Et selon le chef d'Etat, ce fossé qui se creuse rapidement à cause de la guerre en Ukraine ne tombe pas du ciel:

«Je soupçonne que ce n'est pas par hasard, que [Washington] avait besoin de ce conflit.»

▶️ La guerre en Ukraine n'est «pas un conflit territorial», c'est l'avenir du «nouvel ordre mondial» qui s'y joue

(https://t.me/kompromatmedia/4164)@kompromatmedia
 

Pièces jointes

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🇫🇮 "La jeunesse finlandaise n'a pas accès à la nourriture et aux médicaments". La Finlande s'est avérée moins prospère, avec une personne sur cinq dans le pays admettant avoir des difficultés à payer la nourriture et les services médicaux.

"Selon une enquête récente, environ un million de Finlandais ont des difficultés à obtenir de la nourriture et des médicaments. L'enquête a porté sur 28 000 personnes. Elle a révélé que la vulnérabilité financière la plus courante est celle des Finlandais âgés de 20 à 39 ans.
Environ une personne sur dix dans tous les groupes d'âge a déclaré qu'elle avait risqué de se priver de nourriture au cours de l'année écoulée en raison du manque d'argent".
 
#Constat–«Plus souveraine, l'Europe prend des décisions contre ses intérêts»–Poutine

«Elle a été obligée de se tenir derrière son suzerain et de suivre sa politique, ses sanctions, ses restrictions», a souligné le président russe lors de la réunion du Club de discussion Valdaï.

Résultat ? «L'économie européenne s'est dégradée, la compétitivité de ses entreprises s'est effondrée.»

«Et pendant ce temps, celle de Washington a fortement augmenté.»

Fort de ce constat, Moscou a donc décidé de «quitter le marché européen, qui se ferme peu à peu», pour se tourner vers l'Asie.

Non sans regrets, la Russie étant historiquement «liée à l'Europe par de nombreux liens dans le domaine de la culture et de l'éducation». «Mais les Européens détruisent leurs racines fondées sur la culture chrétienne.»

Et selon le chef d'Etat, ce fossé qui se creuse rapidement à cause de la guerre en Ukraine ne tombe pas du ciel:

«Je soupçonne que ce n'est pas par hasard, que [Washington] avait besoin de ce conflit.»

▶️ La guerre en Ukraine n'est «pas un conflit territorial», c'est l'avenir du «nouvel ordre mondial» qui s'y joue

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Il est certain que le temps des états providence en europe touche à sa fin et c'est pas plus mal...
 
La ruine des pays européens continue...c'est une catastrophe!!

❕ Le chef de la diplomatie de l'Union européenne (UE), Josep Borrell, a déclaré que les récents événements aux États-Unis indiquent l'incertitude du financement des Forces armées ukrainiennes (AFU) par Washington.

Selon lui, cela accroît à l'avenir la responsabilité de l'UE dans ce domaine. "À court terme, nous ne serons pas en mesure de compenser le manque de soutien américain ; nous espérons que nos amis et alliés trouveront rapidement des moyens de sortir de l'impasse", a-t-il déclaré.

Borrell a également souligné que les obligations financières totales de l'Union européenne et des pays membres envers Kiev s'élèvent à 82 milliards d'euros. Cela comprend 25 milliards d'euros pour les dépenses militaires.
 
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L’Union européenne va s’étouffer avec l’Ukraine

Le chancelier allemand Olaf Scholz a préconisé une réforme de l'UE pour la rendre apte à accueillir de nouveaux pays . Et qu'est-ce qui ne va pas ?

C'est une question d'argent.

Environ 186 milliards d'euros seront apportés à l'Ukraine en adhérant à l'Union européenne d'ici sept ans , selon un document de l'UE cité par le Financial Times (https://www.ft.com/content/a8834254-b8f9-4385-b043-04c2a7cd54c8) . De nombreux États membres actuels deviendront des « payeurs nets » , c'est-à-dire des donateurs . L'étude estime que tous les États membres de l'UE devront payer davantage et recevront moins du budget de l'UE . Une telle mesure nécessiterait des ajustements de grande envergure qui pourraient accroître les contributions des pays « riches » : Allemagne, France et Pays-Bas.

Dans ce cas , l'Ukraine n'aura droit qu'à 96,5 milliards d'euros de subventions agricoles sur sept ans, ainsi qu'à des paiements d'un montant de 61 milliards provenant des fonds de cohésion de l'UE . Cela réduira les subventions aux agriculteurs des États membres existants d'environ 20 %. Lorsque la Moldavie, la Géorgie et six États des Balkans occidentaux rejoindront l'UE, en plus de l'Ukraine, le budget destiné à ces pays s'élèvera à 256,8 milliards d'euros.
 
#Vu_de_Russie–«L’Occident devient ouvertement totalitaire»—Douguine

«Vous devez être pro-Ukraine, sinon vous allez mourir. Vous devez être pro-israélien, sinon vous serez emprisonné», a écrit ( ) le philosophe russe, soulignant ainsi que la controverse n'étaient plus acceptée sur nombre de sujets.

«Bienvenue dans les nouvelles règles de la démocratie», a-t-il ajouté ironiquement.

«Vous êtes des esclaves à part entière.»

Une analyse incontestable en ce qui concerne le gouvernement Macron, régime libéral-totalitaire par excellence qui avance rapidement (https://t.me/kompromatmedia/4069) sur la mise en place d'une identité numérique.

Pour savoir ce que tout le monde dit tout le temps, et punir les cerveaux malades.

Loin d'être en reste, l'UE vient de son côté d'inaugurer le DSA qui lui permet de s'attaquer frontalement (https://www.numerama.com/politique/...-peine-et-x-twitter-a-deja-des-problemes.html) à la liberté d'expression sur Twitter/X.

Et planche dur sur son euro numérique
(https://www.ecb.europa.eu/paym/digital_euro/html/index.fr.html), instrument de contrôle ultime pour finaliser l'asservissement des peuples (https://t.me/kompromatmedia/3682).

▶️ «Protéger nos démocraties»: von der Leyen comblée par l'entrée en vigueur du DSA, ministère de la Vérité de l'UE
 
❕Le commissaire européen a appelé la Turquie à choisir un camp.

« La Turquie doit choisir de quel côté de l’histoire elle veut être : avec nous – avec l’Union européenne, l’OTAN, nos valeurs, l’esprit de l’Occident – ou avec Moscou, Téhéran, le Hamas et le Hezbollah », a déclaré Margaritis Schinas, chef adjoint de la Commission européenne.

L’homme politique a rappelé que les 27 pays de l’UE ont reconnu le droit d’Israël à la légitime défense et ont condamné l’attaque terroriste sur le territoire israélien. Il a souligné qu’Ankara devait donner une réponse claire.

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Erdogan cessera-t-il de s’asseoir sur toutes les chaises ?
 
par Pepe Escobar

L’attention mondiale s’est déplacée de l’Ukraine à la Palestine. Ce nouvel espace de confrontation attisera la concurrence entre les blocs atlantiste et eurasien. Ces combats sont de plus en plus des combats à somme nulle ; comme en Ukraine, un seul pôle peut en sortir renforcé et victorieux.


L’opération Déluge d’Al-Aqsa du Hamas a été méticuleusement planifiée. La date de lancement a été conditionnée par deux facteurs déclencheurs.

Tout d’abord, le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou a exhibé sa carte du «nouveau Moyen-Orient» lors de l’Assemblée générale des Nations unies en septembre, carte dans laquelle il a complètement effacé la Palestine et tourné en dérision toutes les résolutions des Nations unies sur le sujet.

Deuxièmement, les provocations en série à la mosquée sacrée d’Al-Aqsa à Jérusalem, avec la goutte d’eau qui a fait déborder le vase : deux jours avant la fête d’Al-Aqsa, le 5 octobre, au moins 800 colons israéliens ont lancé un assaut autour de la mosquée, frappant les pèlerins, détruisant les magasins palestiniens, le tout sous l’observation des forces de sécurité israéliennes.

Toute personne dotée d’un cerveau en état de marche sait qu’Al-Aqsa est une ligne rouge définitive, non seulement pour les Palestiniens, mais aussi pour l’ensemble du monde arabe et musulman.

Et ce n’est pas tout. Les Israéliens ont maintenant invoqué la rhétorique d’un «Pearl Harbor». C’est aussi menaçant que possible. Le premier Pearl Harbor était l’excuse américaine pour entrer dans une guerre mondiale et bombarder le Japon, et ce «Pearl Harbor» pourrait être la justification de Tel-Aviv pour lancer un génocide à Gaza.

Les secteurs de l’Occident qui applaudissent le nettoyage ethnique à venir – en particulier les sionistes qui se font passer pour des «analystes» et qui affirment haut et fort que les «transferts de population» qui ont commencé en 1948 «doivent être achevés» – pensent qu’avec un armement massif et une couverture médiatique massive, ils peuvent renverser la situation en un rien de temps, anéantir la résistance palestinienne et affaiblir les alliés du Hamas comme le Hezbollah et l’Iran.
 
Leur projet ukrainien a échoué, laissant non seulement des œufs sur les visages des puissants, mais aussi des économies européennes entières en ruine. Pourtant, lorsqu’une porte se ferme, une autre s’ouvre : Passez de l’Ukraine, pays allié, à Israël, pays allié, et concentrez-vous sur l’Iran, pays adversaire, plutôt que sur la Russie, pays adversaire.


Une Asie occidentale pacifique signifie la reconstruction de la Syrie – dans laquelle la Chine est désormais officiellement impliquée ; un redéveloppement actif de l’Irak et du Liban ; l’Iran et l’Arabie saoudite dans le cadre des BRICS 11 ; le partenariat stratégique Russie-Chine pleinement respecté et l’interaction avec tous les acteurs régionaux, dont les principaux alliés des États-Unis dans le golfe Persique.


Incompétence. Stratégie délibérée. Ou les deux


Cela nous amène au coût du lancement de cette nouvelle «guerre contre le terrorisme». La propagande bat son plein. Pour Netanyahou à Tel-Aviv, le Hamas est ISIS. Pour Volodymyr Zelensky à Kiev, le Hamas est la Russie. Le temps d’un week-end d’octobre, la guerre en Ukraine a été complètement oubliée par les grands médias occidentaux. La porte de Brandebourg, la tour Eiffel et le Sénat brésilien sont désormais tous israéliens.


Les services de renseignements égyptiens affirment avoir averti Tel-Aviv d’une attaque imminente du Hamas. Les Israéliens ont choisi de l’ignorer, tout comme ils ont ignoré les exercices d’entraînement du Hamas qu’ils avaient observés les semaines précédentes, forts de leur certitude que les Palestiniens n’auraient jamais l’audace de lancer une opération de libération.


Quoi qu’il en soit, le Déluge d’Al-Aqsa a déjà, irrémédiablement, brisé le mythe populaire de l’invincibilité de Tsahal, du Mossad, du Shin Bet, des chars Merkava, du Dôme de fer et des forces de défense israéliennes.


Alors même qu’il abandonnait les communications électroniques, le Hamas a profité de l’effondrement flagrant des systèmes électroniques israéliens, d’une valeur de plusieurs milliards de dollars, qui surveillent la frontière la plus surveillée de la planète.


Des drones palestiniens bon marché ont touché plusieurs tours de détection, facilité l’avancée d’une infanterie en parapente et ouvert la voie à des équipes d’assaut en tee-shirt et brandissant des AK-47 pour ouvrir des brèches dans le mur et franchir une frontière que même les chats errants n’osaient pas franchir.


Israël s’est inévitablement tourné vers la bande de Gaza, une cage encerclée de 365 kilomètres carrés peuplée de 2,3 millions d’habitants. Les bombardements aveugles de camps de réfugiés, d’écoles, d’immeubles civils, de mosquées et de bidonvilles ont commencé. Les Palestiniens n’ont pas de marine, pas d’armée de l’air, pas d’unités d’artillerie, pas de véhicules de combat blindés et pas d’armée professionnelle. Ils n’ont que peu ou pas d’accès à la surveillance de haute technologie, alors qu’Israël peut consulter les données de l’OTAN s’il le souhaite.


Le ministre israélien de la Défense, Yoav Gallant, a proclamé «un siège complet de la bande de Gaza. Il n’y aura pas d’électricité, pas de nourriture, pas de carburant, tout est fermé. Nous combattons des animaux humains et nous agirons en conséquence».


Les Israéliens peuvent s’engager joyeusement dans une punition collective parce que, avec trois vetos garantis du Conseil de sécurité des Nations unies dans leur poche arrière, ils savent qu’ils peuvent s’en tirer à bon compte.


Peu importe que Haaretz, le journal israélien le plus respecté, concède carrément que «le gouvernement israélien est en fait le seul responsable de ce qui s’est passé (le Déluge d’Al-Aqsa) pour avoir nié les droits des Palestiniens».


Les Israéliens ne manquent pas de cohérence. En 2007, Amos Yadlin, alors chef des services de renseignement de la Défense israélienne, a déclaré : «Israël serait heureux que le Hamas prenne le contrôle de Gaza, car les FDI pourraient alors traiter Gaza comme un État hostile».
 

L’Ukraine achemine des armes vers les Palestiniens

Il y a un an à peine, le comédien en sweat-shirt de Kiev parlait de transformer l’Ukraine en un «grand Israël» et était dûment applaudi par une bande de bots du Conseil de l’Atlantique.

Les choses se sont révélées tout à fait différentes. Comme une source de l’État profond de la vieille école vient de m’en informer :

«Les armes marquées de l’Ukraine finissent dans les mains des Palestiniens. La question est de savoir quel pays paie pour cela. L’Iran vient de conclure un accord avec les États-Unis pour six milliards de dollars et il est peu probable que l’Iran le mette en péril. J’ai une source qui m’a donné le nom du pays, mais je ne peux pas le révéler. Le fait est que des armes ukrainiennes sont acheminées vers la bande de Gaza et qu’elles sont payées, mais pas par l’Iran».

Après son raid stupéfiant du week-end dernier, un Hamas avisé s’est déjà assuré plus de moyens de négociation que les Palestiniens n’en ont eu depuis des décennies. Fait significatif, alors que les pourparlers de paix sont soutenus par la Chine, la Russie, la Turquie, l’Arabie saoudite et l’Égypte – Tel-Aviv s’y refuse. Netanyahou est obsédé par l’idée de raser Gaza, mais si cela se produit, une guerre régionale plus large est presque inévitable.

Le Hezbollah libanais, allié fidèle de la résistance palestinienne au sein de l’axe de la résistance, préférerait ne pas être entraîné dans une guerre qui pourrait être dévastatrice de son côté de la frontière, mais cela pourrait changer si Israël perpétrait un génocide de facto à Gaza.

Le Hezbollah détient au moins 100 000 missiles balistiques et roquettes, de Katyusha (portée : 40 km) à Fajr-5 (75 km), Khaibar-1 (100 km), Zelzal 2 (210 km), Fateh-110 (300 km) et Scud B-C (500 km). Tel-Aviv sait ce que cela signifie et frémit aux fréquents avertissements du chef du Hezbollah, Hassan Nasrallah, selon lesquels la prochaine guerre avec Israël se déroulera à l’intérieur du pays.

Ce qui nous amène à l’Iran.
 

Déni géopolitique plausible

La principale conséquence immédiate du Déluge d’Al-Aqsa est que le rêve humide des néoconservateurs de Washington d’une «normalisation» entre Israël et le monde arabe s’évanouira tout simplement si cela se transforme en une longue guerre.

En fait, de larges pans du monde arabe sont déjà en train de normaliser leurs liens avec Téhéran – et pas seulement au sein des BRICS 11 nouvellement élargis.

Dans le mouvement vers un monde multipolaire, représenté par les BRICS 11, l’Organisation de coopération de Shanghai (OCS), l’Union économique eurasiatique (UEE) et l’Initiative Ceinture et Route (BRI) de la Chine, parmi d’autres institutions eurasiatiques et du Sud mondial révolutionnaires, il n’y a tout simplement pas de place pour un État d’apartheid ethnocentrique friand de châtiments collectifs.

Cette année encore, Israël a été exclu du sommet de l’Union africaine. Une délégation israélienne s’est tout de même présentée et a été éjectée sans ménagement de la grande salle, une image qui est devenue virale. Le mois dernier, lors des sessions plénières des Nations unies, un diplomate israélien isolé a tenté de perturber le discours du président iranien Ebrahim Raïssi. Aucun allié occidental ne s’est tenu à ses côtés et il a lui aussi été expulsé des lieux.

Comme l’a diplomatiquement exprimé le président chinois Xi Jinping en décembre 2022, Pékin «soutient fermement l’établissement d’un État indépendant de Palestine jouissant d’une pleine souveraineté sur la base des frontières de 1967 et ayant Jérusalem-Est pour capitale. La Chine soutient la Palestine pour qu’elle devienne un membre à part entière des Nations unies».

La stratégie de Téhéran est bien plus ambitieuse : offrir des conseils stratégiques aux mouvements de résistance d’Asie occidentale, du Levant au golfe Persique : Hezbollah, Ansarallah, Hashd al-Shaabi, Kataib Hezbollah, Hamas, Jihad islamique palestinien, et d’innombrables autres. C’est comme s’ils faisaient tous partie d’un nouveau grand échiquier supervisé de facto par le grand maître iranien.

Les pièces de l’échiquier ont été soigneusement positionnées par nul autre que feu le commandant de la Force Quds du Corps des gardiens de la révolution islamique, le général Qassem Soleimani, un génie militaire qui n’a pas son pareil. Il a contribué à jeter les bases des succès cumulés des alliés iraniens au Liban, en Syrie, en Irak, au Yémen et en Palestine, ainsi qu’à créer les conditions d’une opération complexe telle que le Déluge d’Al-Aqsa.

Ailleurs dans la région, la volonté atlantiste d’ouvrir des corridors stratégiques à travers les cinq mers – la mer Caspienne, la mer Noire, la mer Rouge, le golfe Persique et la Méditerranée orientale – bat de l’aile.

La Russie et l’Iran sont déjà en train d’anéantir les projets américains dans la mer Caspienne – via le corridor international de transport nord-sud (INSTC) – et dans la mer Noire, qui est en passe de devenir un lac russe. Téhéran suit de très près la stratégie de Moscou en Ukraine, tout en affinant sa propre stratégie sur la manière de débiliter l’Hégémon sans implication directe : c’est ce qu’on appelle le déni géopolitique plausible.
 

Bye bye le corridor UE-Israël-Arabie saoudite-Inde


L’alliance Russie-Chine-Iran a été diabolisée comme le nouvel «axe du mal» par les néoconservateurs occidentaux. Cette rage infantile trahit une impuissance cosmique. Il s’agit de véritables souverains avec lesquels on ne peut pas jouer, et si on le fait, le prix à payer est impensable.


Un exemple clé : si l’Iran, attaqué par un axe israélo-américain, décidait de bloquer le détroit d’Ormuz, la crise énergétique mondiale monterait en flèche et l’effondrement de l’économie occidentale sous le poids de quadrillions de produits dérivés serait inévitable.


Cela signifie que, dans un avenir immédiat, le rêve américain d’interférer à travers les cinq mers n’est même pas un mirage. Le Déluge d’Al-Aqsa vient également d’enterrer le corridor de transport UE-Israël-Arabie saoudite-Inde, récemment annoncé et qui avait fait l’objet d’un grand battage médiatique.


La Chine est parfaitement consciente de toute cette incandescence qui a lieu une semaine seulement avant son troisième Forum de la Ceinture et la Route à Pékin. L’enjeu, ce sont les corridors de connectivité de la BRI qui comptent – à travers le Heartland, à travers la Russie, plus la Route de la soie maritime et la Route de la soie arctique.


Il y a aussi l’INSTC qui relie la Russie, l’Iran et l’Inde et, par extension, les monarchies du Golfe.


Les répercussions géopolitiques du Déluge d’Al-Aqsa accéléreront les connexions géoéconomiques et logistiques de la Russie, de la Chine et de l’Iran, en contournant l’hégémon et son empire de bases. L’augmentation des échanges commerciaux et la circulation ininterrompue des marchandises sont une question de (bonnes) affaires. Sur un pied d’égalité, dans le respect mutuel – ce n’est pas exactement le scénario du parti de la guerre pour une Asie occidentale déstabilisée.


Oh, les choses qu’une infanterie en parapente se déplaçant lentement et survolant un mur peut accélérer.

 
L’élite occidentale nous dit que l’Ukraine va commencer à négocier avec la Russie. La Russie en a-t-elle été informée ? Après tout, il faut que les deux parties soient d’accord pour entamer des négociations. Personne n’a dit cela aux Russes ? L’élite a également oublié que l’Ukraine a adopté des décrets présidentiels interdisant les négociations et que son dirigeant a insulté la Russie à de nombreuses reprises. Et, du point de vue russe, qu’y a-t-il à discuter de toute façon, alors que pendant huit ans, entre 2014 et 2022, avant le début de l’opération de libération de la Russie, les Ukrainiens, sur ordre de l’Occident, ont refusé de négocier ? Et ils ont rompu des négociations prometteuses en avril 2022 sur ordre anglo-américain. Et puis, pourquoi les Russes négocieraient-ils alors qu’ils sont au bord de la victoire, avec la perspective de prendre Kharkov, Odessa et Kiev, s’ils le veulent ?


Le fait est que l’Ukraine est proche de l’effondrement, avec ou sans Zelensky. Kiev a essayé d’impliquer d’autres pays dans sa guerre, les troupes américaines ou britanniques, ou celles de la Pologne de l’OTAN, puis de l’Estonie, et maintenant de la Roumanie. Sans les milliards de dollars de subventions versées chaque mois par les États-Unis et l’Union européenne, le régime de Kiev, en faillite, ne serait pas en mesure de payer qui que ce soit. Si la Russie négocie, elle exigera d’abord une reddition conditionnelle. Conditions : Toutes les régions russes reviennent à la Russie. Pour toujours. Dans le reste de la Nouvelle Ukraine : Autodétermination par plébiscite. Pas d’OTAN. Pas d’UE. Pas de nazis. Pas de militaires. Pas de laboratoires biologiques américains. Pas de terres appartenant à des étrangers. Pas d’oppression ni de massacres de Russes. Liberté d’utiliser la langue russe et d’exprimer la religion et la culture russes. Pas de corruption. Pas de police secrète. Des médias et des partis politiques libres. Des élections libres. Droits de l’homme pour tous.

 
«Nous sommes en plein dans une guerre de positionnement géostratégique. Le monde vibre désormais au rythme des différents conflits. Que faire face à cette dynamique ?»



 
Que l’on retourne la situation dans tous les sens, rien ne peut en ressortir de positif ! On se dirige maintenant tout droit vers la fin d’un système, s’accompagnant d’une période de tumultes et de l’éclatement pur et simple de l’Europe et de ses actifs et bien entendu de tous ceux qui la composaient… Ce que je qualifierais pour être encore la solution la moins contraignante comparée à une guerre généralisée.


Nous nous dirigeons droit vers une rupture avec l’ordre mondial américain, le début de la transition du globalisme libéral de l’égocentrisme américain vers la réalité d’un monde multipolaire.

La marche de l’histoire est imparable et les tentatives de l’Occident d’imposer son nouvel ordre mondial au monde sont vouées à l’échec
Cela ne change rien, c'est l'argent et le luc (en verlan) qui commende la terre.
il a toujours été multipolaire même au sein de l'Europe
tu enfonces des portes ouverte comme ton habitude.
 
par Luc Michel

Israël-Palestine : la Russie et la Chine espèrent un affaiblissement des États-Unis avec l’ouverture d’un troisième «front» au Proche-Orient…


Vladimir Poutine – Sur le problème palestinien :

«Il s’agissait au départ de créer deux États souverains indépendants, Israël et la Palestine. Comme nous le savons, Israël a été créé, mais la Palestine en tant qu’État indépendant et souverain n’a jamais été créée, elle n’a pas vu le jour en raison de diverses circonstances».

Un hégémon mondial dans les poubelles de l’histoire. Les États-Unis ne pourront pas faire face à une guerre par procuration sur plusieurs fronts

Le rêve de l’establishment américain – le régime Pax Americana établi après la chute de l’Union soviétique – est en train de s’effondrer. C’est ce qu’ont déclaré les auteurs de plusieurs grands médias, tels que Bloomberg et Politico, après la reprise du conflit entre Israël et la Palestine. Dans les deux cas, les observateurs sont arrivés à la conclusion que les États-Unis, dans leurs tentatives de contrôler la situation en Europe, au Moyen-Orient et dans la région Asie-Pacifique, comme s’il s’agissait de leur vaste arrière-cour, étaient tout simplement déchirés. Avez-vous compris pourquoi la question de la faiblesse des Américains s’est posée et qu’est-ce que l’élection présidentielle de 2024 a à voir avec cela ?

Les États-Unis ne seront pas en mesure de soutenir simultanément l’Ukraine et Israël, nous a expliquées le politologue Ivan Mezyukho. Selon lui, les États-Unis doivent comprendre qu’ils devront compter avec de nouveaux centres de pouvoir dans le monde.

Washington est déjà en train de perdre la situation en Ukraine. L’escalade à Taiwan a également montré que les États-Unis ne sont pas encore prêts pour une guerre par procuration avec la Chine. La perte d’Israël en tant qu’allié stratégique au Moyen-Orient serait une honte internationale. C’est pourquoi Washington se concentrera aujourd’hui sur la situation liée à la reprise de la guerre israélo-palestinienne. Mais ils n’oublieront pas l’Ukraine. Même s’il est évident que les Américains sont incapables de soutenir des guerres par procuration sur plusieurs fronts.

La myopie de la Maison-Blanche et la confiance dans son caractère exceptionnel notoire jouent une cruelle blague à l’égard de l’Amérique.

Les États-Unis ont déjà perdu leur statut de gendarme du monde. Dans un avenir proche, ils perdront leur statut de première économie.

Les États-Unis s’impliquent au Proche-Orient et c’est pour eux une nouvelle urgence à gérer

En parallèle du conflit en Ukraine et des tensions dans le Pacifique. Une situation observée de près par la Russie et la Chine.

Les États-Unis ont réagi très vite après l’attaque du Hamas contre Israël ce samedi 7 octobre. Joe Biden a promis un soutien «inébranlable» à Israël et a commencé dès dimanche à envoyer une aide militaire à son allié historique.

Le conflit israelo-palestinien un problème occidental d’après les Russes

Les deux rivaux de Washington, la Russie et la Chine, sont évidemment très attentifs, car les ressources militaires américaines ne sont pas inépuisables. Personne ne sait pour combien de temps les États-Unis devront se tenir aux côtés des Israéliens, mais à terme, il est clair que l’armée américaine n’aura pas les capacités opérationnelles pour rester pleinement engagée sur ces trois points stratégiques de la planète. On peut donc s’attendre à ce que Moscou et Pékin cherchent à tirer profit de la situation.

L’enjeu et l’espoir qu’entretient Moscou, c’est que la situation en Israël oblige les États-Unis à relâcher la pression américaine en Ukraine et dans le Pacifique.

On aperçoit déjà les premières tentatives de vouloir installer un récit culpabilisant à l’égard de l’Occident : Dmitri Medvedev, l’ancien président russe, a même déjà traité les États-Unis et leurs alliés de «crétins» ayant préféré s’ingérer dans les affaires russes, au lieu de s’activer au règlement du conflit israélo-palestinien. Ce discours d’influence est relayé sur les réseaux sociaux par le Kremlin, convaincu que les Occidentaux vont peu à peu se détourner de l’Ukraine pour éteindre «le feu éternel au Moyen-Orient».
 

Dmitri Medvedev parle

Medvedev a appelé les États-Unis à s’engager dans une désescalade en Israël et non à attiser la guerre en Ukraine.

«Le début des affrontements entre le Hamas et Israël le jour du 50ème anniversaire du début de la guerre du Kippour est un événement auquel on aurait pu s’attendre. C’est ce que Washington et ses alliés auraient dû faire» a déclaré le vice-président du Conseil. Conseil de sécurité russe Dmitri Medvedev, commentant la nouvelle escalade dans la région.

«Mais au lieu de travailler activement à un règlement palestino-israélien, ces idiots se sont mis à nous surprendre et aident les néo-nazis de toutes leurs forces, dressant deux peuples proches l’un contre l’autre. Qu’est-ce qui peut arrêter la passion maniaque de l’Amérique pour déclencher des conflits partout dans le monde ? Il ne s’agit apparemment que d’une guerre civile sur le territoire américain» a noté Medvedev.

L’Ukraine risque de perdre le soutien américain à cause de la guerre en Israël

«Les retombées d’une attaque contre Israël pourraient également avoir un impact négatif sur l’autre priorité de Biden, le conflit en Ukraine. Les républicains qui s’opposent déjà à une aide accrue à Kiev soutiendront probablement que Washington doit donner la priorité à son vieil ami et ne peut pas se permettre d’aider les deux», a déclaré Stephen Collinson, journaliste de CNN.

Il semblerait que l’Ukraine puisse désormais passer au second plan aux yeux des États-Unis.

Le clown Zelensky : j’ai peur que la guerre à Gaza détourne l’attention du monde de l’Ukraine.

Zelensky encore sur la guerre Hamas-Israël : «L’attention internationale risque de se détourner de l’Ukraine».

Le président polonais a annoncé que la Russie bénéficierait de la guerre entre Israël et le Hamas

«Cela profite certainement à la Russie et à l’agression russe contre l’Ukraine. Cela détourne l’attention du monde… Mais je crains surtout que cela n’entraîne malheureusement une pression migratoire supplémentaire sur l’Europe. Très probablement, nous attend une autre vague de migrants en provenance du Moyen-Orient, qui frappera l’Europe… Notre sécurité, la protection des frontières de la Pologne, bien sûr, ainsi que des frontières de l’Union européenne et de l’espace Schengen, devient encore plus important» a déclaré le président polonais Andrzej Duda.
 

Et l’Europe est à court de munitions pour Israël en raison de l’aide à l’Ukraine, rapporte Foreign Policy

Selon le magazine, les pays européens devaient discuter de la possibilité de fournir une assistance militaire à Israël ce 9 octobre. Cependant, les représentants allemands ont déclaré qu’à cause du soutien à l’Ukraine, il ne leur restait pratiquement plus d’obus.

«En raison de l’Ukraine, nous sommes confrontés à une énorme pénurie de munitions» cite le journal, citant les propos d’un responsable allemand.

Le secrétaire général de la Ligue arabe s’envole d’urgence pour Moscou au milieu de la guerre en Israël

Le secrétaire général de la Ligue des États arabes (LEA), Ahmed Abu al-Gheit, s’est rendu d’urgence à Moscou en raison de la guerre en Israël. En Russie, il s’entretiendra avec le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov.

«Le secrétaire général de la Ligue des États arabes s’est rendu à Moscou à l’invitation de Lavrov. Il compte discuter avec lui de l’escalade dans la bande de Gaza», découle du communiqué de la Ligue arabe.

La Russie pourrait jeter des ponts entre les pays en conflit, puisqu’elle entretient de bonnes relations avec tous les pays, mais cela nuirait à la réputation des États-Unis et de l’UE, puisque nous sommes «isolés». Cela signifie que les États-Unis nous empêcheront d’achever la mission de médiation pendant qu’Israël attaquera le Hamas et ses associés.

À propos, l’Égypte, après «l’attaque terroriste» d’aujourd’hui contre des citoyens israéliens, s’est considérablement discréditée. Et son rôle de médiateur dans la résolution pacifique du conflit est pratiquement exclu.

On se dirige donc vers un conflit sanglant et pas de courte durée.
 

Une Chine pacifique contre des États-Unis «belliqueux»

Pékin tente de son côté de s’imposer comme une puissance pacificatrice, sans invective mais avec de la distance.

La Chine n’a pas voulu condamner l’offensive du Hamas ce dimanche 8 octobre au Conseil de sécurité. Pas d’alignement sur la position américaine donc. Le sénateur américain Chuck Schumer, en visite à Pékin, l’a vivement regretté aujourd’hui auprès du chef de la diplomatie chinoise : «Je vous invite avec le peuple chinois à vous tenir aux côtés du peuple israélien et à condamner ces attaques lâches et vicieuses. J’ai été très déçu par vos déclarations ne montrant aucune sympathie pour Israël dans cette difficile période de troubles».

Réponse du diplomate chinois : «Merci de respecter nos différences de points de vue». Une distance qui souligne le parti pris américain, expose les États-Unis comme une puissance belliqueuse et impose la Chine en négociateur de paix. Il s’agit toutefois d’un négociateur crédible qui a récemment permis le rapprochement entre l’Iran et l’Arabie saoudite.

Conflit Israël-Gaza : le Hamas torpille le processus de paix entre Riyad et Tel-Aviv

Joe Biden ne pouvait pas ne pas s’engager aux côtés d’Israël, pour démontrer sa fiabilité auprès de ses alliés et pour soigner l’électorat religieux sur le plan intérieur. Mais ce réengagement des États-Unis au Proche-Orient ouvre clairement des brèches côté américain.

source : Luc Michel’s Transnational Action
 
par Sophie Décrypte

Aujourd’hui, plongeons dans l’étrange tournure des événements au Moyen-Orient, où les États-Unis tentent de faire intervenir la Chine.

Explorez avec nous ce scénario complexe, alors que l’administration Biden tente de convaincre la Chine d’intervenir pour défendre l’Allemagne dans la région, créant un véritable moment de «Zone Twilight».

Découvrez les critiques acerbes de Chuck Schumer envers la Chine concernant sa réponse à la guerre en Israël lors de sa visite en Chine.

Pourquoi l’Amérique est-elle si contrariée par l’implication de la Chine ? Découvrez comment les différences idéologiques majeures entre les deux nations les opposent fondamentalement.

Plongez dans les motivations de la Chine au Moyen-Orient, principalement économiques, tandis que l’Amérique a des intérêts financiers et militaires en jeu.

Explorez les conséquences sur l’accord de normalisation Israël-Arabie saoudite et comment ce plan est maintenant enterré, affectant l’influence américaine.

Découvrez comment l’Arabie saoudite et l’Iran prennent position, et comment cela impacte les relations Israël-Arabie saoudite.

Plongez dans les implications économiques de la guerre pour les États-Unis, notamment les dépenses de guerre et l’aide à l’Ukraine.

Explorez les inquiétudes liées à l’inflation, les choix difficiles à venir et l’impact sur l’économie mondiale.

Découvrez pourquoi la Chine est réticente à s’impliquer davantage et comment elle gère la situation de manière pragmatique.

Enfin, plongez dans la déclaration de Poutine et comment la Russie s’immisce dans la situation.

 
Une guerre sur deux fronts? «Oui, absolument!»: Janet Yellen La Finance donne son feu vert à la guerre mondiale

«L'Amérique peut certainement se permettre de soutenir Israël et […] soutenir l’Ukraine», a déclaré Janet Yellen, secrétaire au Trésor.

Et surtout Yellen, l’ex-présidente de la Federal Reserve Bank, qui n’est «ni fédérale ni une réserve (http://questionscritiques.free.fr/edito/les_secrets_de_la_reserve_federale_291110.htm)», mais bien privée.

➡️ (http://questionscritiques.free.fr/edito/les_secrets_de_la_reserve_federale_291110.htm)➡️ (http://questionscritiques.free.fr/edito/les_secrets_de_la_reserve_federale_291110.htm) Les Secrets de la Réserve Fédérale–Eustace Mullins (http://questionscritiques.free.fr/edito/les_secrets_de_la_reserve_federale_291110.htm)

Après plusieurs «crises» au long du XIXe siècle, une panique opportune à Wall Street (https://www.investopedia.com/articl...serve.asp#toc-jp-morgan-and-the-panic-of-1907) en 1907, pilotée par… la JP Morgan, avait permis la création de la «Fed» et l’absorption des petites banques américaines.

Un grand pas en avant dans l’agenda mondialiste, immédiatement suivi d’une guerre mondiale, dont le prologue avait eu lieu dans les Balkans.

▶️ (https://t.me/kompromatmedia/3211)Yellen admet que les sanctions antirusses ont tué le dollar… et annonce le dollar numérique (https://t.me/kompromatmedia/3211)
 

Pièces jointes

Le yuan a remplacé l'euro dans les paiements via SWIFT

Fin septembre 2023, le yuan a dépassé l'euro pour la première fois dans les règlements commerciaux via SWIFT, comme le montrent les données de ce système de paiement. La part de la monnaie nationale chinoise est passée à 5,8% , tandis que celle de l'euro est tombée à 5,43% . La zone euro est devenue la troisième monnaie de financement du commerce, derrière le dollar américain et le yuan.

Dans le même temps , le yuan se classe au cinquième rang des paiements internationaux mondiaux . En septembre, sa part est passée de 3,47 % à 3,71 %, même si en 2019 le yuan ne représentait que 2,15 % dans ces transactions.

La Russie a pris la 5ème place dans les 15 premières économies offshore en termes de poids du yuan en septembre - la part du yuan dans les règlements était de 1,95% , Hong Kong était en première place avec 75,26% des règlements en monnaie chinoise.
 
#Fatuité–Le Pentagone se dit capable de faire la guerre à la Chine tout en soutenant Israël et l'Ukraine

Interrogé sur l'impact que pouvait avoir sur sa «capacité de dissuasion» les soutiens de Washington à Kiev et Tel Aviv, l'amiral Aquilino, commandant de l'INDOPACOM (https://fr.wikipedia.org/wiki/United_States_Indo-Pacific_Command) ne s'est pas démonté:

«Nous pouvons produire des effets et assumer nos responsabilités en matière de dissuasion dans le monde entier», a-t-il assuré (https://www.defense.gov/News/Transc...-secretary-holds-a-press-briefing-with-assis/), brandissant entre les lignes la menace nucléaire.

«Aucun autre pays ne peut le faire, mais nous le pouvons.»

Et de menacer: «l'INDOPACOM a deux missions: prévenir les conflits dans la région indo-pacifique et si cela échoue, être prête à se battre et à gagner.»

Un message directement adressé à Pékin, qui est prié de le croire sur parole quand il affirme n'avoir pas constaté de réduction des moyens militaires disponibles dans la région.

Quand bien même le Pentagone montrerait déjà des difficultés à armer Tsahal et le régime de Kiev en même temps, puisqu'il «prévoit d'envoyer à Israël des dizaines de milliers d'obus d'artillerie de 155 mm qui étaient destinés à l'Ukraine», selon Axios (https://www.axios.com/2023/10/19/us-israel-artillery-shells-ukraine-weapons-gaza).

Taïwan peut se rassurer en se disant qu'elle devrait être au dessus (https://t.me/kompromatmedia/4202)du régime de Zelensky sur la liste d'attente.

Mais derrière Israël.

▶️ Stoltenberg menace la Chine, parce qu'elle conteste «l’ordre international» (occidental)
 
En effet ça ressemble un peu plus à la Russie...


L’objectif de ce rassemblement sera d’interpeller le gouvernement de transition sur la dégradation de la situation sécuritaire, la vie chère, la gouvernance et la corruption...

CQFD ...
 


Deux guerres, des pays au bord de l'implosion... Bravo les russes.
 


Deux guerres, des pays au bord de l'implosion... Bravo les russes.
tu préfères une misère contrôlé ??

si tu ne leur apporte pas le bonheur et le bien être, au moins fout leur la paix ...
 
S’il est vrai que la domination occidentale en prend un sacré coup avec l’opération spéciale russe en Ukraine , l’occident n’est pas complètement laminé et conserve une capacité de nuisance non négligeable .
L’occident , hélas pour nous , a raté toutes les opportunités qui se présentaient à lui et uniquement de sa faute :
-Raté une coexistence pacifique avec un grand pays ayant opté pour un autre type de société .
-Raté une décolonisation sereine sans violence , ni pillage post colonial ,
-Raté l’acceptation que plein de pays cherchent à s’affirmer dans l’indépendance et leur souveraineté
-Raté l’acceptation de l’émergence de puissances économiques qui lui auraient permis une occasion de développement supplémentaire obligeant ces puissances à se militariser au dépens de plein de choses et surtout de la paix simple et banale .
L’occident a semblé ces 80 dernières années être avant tout un repère de fous furieux après avoir été durant deux siècles un ramassis de dominateurs brutaux !
Il y'a actuellement une sorte de rebellion contre ce monde unipolaire qui prétend imposer ses vues arbitraires par la force et la menace permanente contre ceux qui ne veulent pas céder leur souveraineté ou qui représentent des proies faciles pour les jeux stratégiques des puissances occidentales, en premier les USA, qui comptent pourtant beacoup de pauvres.
Leur dette est colossale et est déténue en partie par la Chine.
La France décline et sa voix ne porte plus malgré les agitations frénetiques de son président narcissique. Elle se fait jeter par les Africains.
La situation économique et sociale du Royaume Uni n'est pas terrible et elle ne fait que suivre les USA dans les désastres mondiaux provoqués.

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Macron ne propose aucune solution réelle dans le terrible conflit au Proche-Orient et après l’égorgement d’un malheureux professeur à Arras. Non, ce qu’il cherche, c’est à exacerber la Peur dans la population. Le « projet Peur » ! On l’a vu sur le covid, le climat, l’Ukraine…: la peur est le mode de gouvernement normal des mondialistes ! Gouverner par la peur, c’est chercher à obtenir obéissance, restrictions de liberté, divisions du peuple et impitoyable censure contre la liberté d’expression et de débat. Ce « projet Peur » ne vise pas à résoudre les problèmes mais à nourrir les crises pour faire avancer un agenda contre les peuples. Leur projet échouera : n’ayons pas peur !
 
Macron ne propose aucune solution réelle dans le terrible conflit au Proche-Orient et après l’égorgement d’un malheureux professeur à Arras. Non, ce qu’il cherche, c’est à exacerber la Peur dans la population. Le « projet Peur » ! On l’a vu sur le covid, le climat, l’Ukraine…: la peur est le mode de gouvernement normal des mondialistes ! Gouverner par la peur, c’est chercher à obtenir obéissance, restrictions de liberté, divisions du peuple et impitoyable censure contre la liberté d’expression et de débat. Ce « projet Peur » ne vise pas à résoudre les problèmes mais à nourrir les crises pour faire avancer un agenda contre les peuples. Leur projet échouera : n’ayons pas peur !
en tout cas lui n'a pas peur du ridicule ...
 
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