suite 2 usupation identité numérique
Plan :IntroductionUsurpation de l'identité numérique et atteinte à la vie privée UsurpaUsurpation de l'identité numérique et sanctions La loi d'Orientation et de programmation pour la sécurité intérieure [1], dite loi Loppsi 2 vise, entre autre, à définir et sanctionner le délit d'usurpation d'identité dans les télécommunications électroniques. L'article 2 dispose en effet que, "l'utilisation malveillante, dans le cadre des communications électroniques, de l'identité d'autrui ou de toute autre donnée personnelle, en vue de troubler sa tranquillité ou de porter atteinte à son honneur ou sa considération sera passible de 15.000 euros d'amende et d'un an de prison".
Jusqu'à l'adoption dudit texte, aucune définition ni sanction spécifique du délit d'usurpation d'identité numérique n'était légalement prévue. En effet, en France, l'usurpation d'identité est, dans certaines circonstances, un délit pénal qui peut être sanctionné de cinq ans d'emprisonnement et de 75.000 euros d'amende comme le précise l'article 434-23 du Code pénal. Les juges ont donc du s'adapter à ce vide juridique. tion de l'identité numérique et sanctions
Plan :IntroductionUsurpation de l'identité numérique et atteinte à la vie privée UsurpaUsurpation de l'identité numérique et sanctions La loi d'Orientation et de programmation pour la sécurité intérieure [1], dite loi Loppsi 2 vise, entre autre, à définir et sanctionner le délit d'usurpation d'identité dans les télécommunications électroniques. L'article 2 dispose en effet que, "l'utilisation malveillante, dans le cadre des communications électroniques, de l'identité d'autrui ou de toute autre donnée personnelle, en vue de troubler sa tranquillité ou de porter atteinte à son honneur ou sa considération sera passible de 15.000 euros d'amende et d'un an de prison".
Jusqu'à l'adoption dudit texte, aucune définition ni sanction spécifique du délit d'usurpation d'identité numérique n'était légalement prévue. En effet, en France, l'usurpation d'identité est, dans certaines circonstances, un délit pénal qui peut être sanctionné de cinq ans d'emprisonnement et de 75.000 euros d'amende comme le précise l'article 434-23 du Code pénal. Les juges ont donc du s'adapter à ce vide juridique. tion de l'identité numérique et sanctions