Ma petite entreprise

E-learning : comment créer et construire une marque forte

La marque est un élément crucial dans le succès d’une aventure entrepreneuriale. La nouvelle formation d’e-learning de Bpifrance Université vous donne les clés pour développer des stratégies de marques fortes et pertinentes. Découvrez un extrait de ce module.

Six séquences composent ce module :


1. Pourquoi construire une marque forte ?
2. La marque : un symbole social pour les consommateurs et une fierté d’appartenance pour les collaborateurs
3. A quel moment penser et créer sa marque ? Et comment construire une marque forte ?
4. Quelle méthodologie suivre pour définir son identité de marque ?
5. Comment évaluer l’impact de la marque sur le marché ?
6. Développer une marque grâce à la stratégie d’extension de gamme
7. Se développer en utilisant une stratégie multimarque ou en collaborant avec une marque
8. Comment manager une marque à l’ère du digital ?


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5 ingrédients essentiels pour garder l’esprit start-up

Votre entreprise s’agrandit et c’est une bonne nouvelle. Mais, sur fond de renforcement des équipes et de structuration des procédures, la dynamique de l’organisation peut s'en trouver bouleversée. Focus sur quelques pistes permettant de garder les habitudes qui font la force des jeunes pousses.

Innovation, agilité, équipe soudée, spontanéité, goût du risque et créativité, sans oublier la fameuse convivialité : autant de qualités vantées, voire convoitées, du mode de fonctionnement des start-up, auxquelles on associe facilement l’image des célébrations des bonnes nouvelles ou celle des parties de baby-foot...


Mais quand la réussite est au rendez-vous et que les équipes grossissent, l’organisation se structure :

les procédures, ainsi que de nouvelles contraintes légales, voient le jour, tandis que l’esprit initial risque de s’étioler...
À vous de maintenir la stimulation !

Pour vous aider, quelques idées pour garder la flamme :
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Sans boulet, nos PME courraient encore plus vite

Elles emploient déjà un salarié sur deux et déposent un brevet sur quatre. Dès qu’on les aura libérées des contraintes qui les étouffent, elles casseront vraiment la baraque.

Si elles étaient un peu plus libres de leurs mouvements, nos PMI pourraient vraiment faire un malheur. C’est la conviction d’un autodidacte qui se définit lui-même comme un hyper-entrepreneur. Jean-Louis Louvel a démarré il y a vingt-cinq ans, en reconditionnant avec deux associés des palettes en bois. Aujourd’hui, son entreprise, le groupe PGS, est devenu le numéro 1 du secteur en France. Il emploie 1.300 salariés et réalise 250 millions d’euros de chiffre d’affaires.

"Nous ferons 500 millions dès 2020, et mon ambition est de devenir une grande entreprise", annonce tranquillement ce dirigeant de 50 ans, persuadé que la croissance en France viendra de l’enthousiasme des patrons de PMI et d’ETI. "Ce sont eux qui vont digitaliser notre industrie, eux qui vont redresser la balance commerciale et rattraper nos concurrents étrangers. Pour cela, il faut seulement que l’on enlève les boulets qu’on leur a mis aux pieds au fil des décennies."

"Enlever les boulets." Jean-Louis Louvel est loin d’être le seul à trépigner pour qu’on lui fiche la paix. Tous ses homologues à la tête de PMI ou d’ETI que nous avons interrogés décrivent avec la même lassitude un environnement social, fiscal et normatif mortifère pour leur activité : délais de paiement mal adaptés, droit du licenciement sclérosant, réglementation horaire trop rigide, précautions environnementales sans égales…

Et tous croisent les doigts pour que le prochain président de la République fasse sauter tous ces verrous. Il y a trois ans, une étude réalisée par le cabinet Sogedev auprès d’un panel de patrons français montrait que les principaux freins au développement de leur entreprise étaient, dans l’ordre, le coût du travail et la rigidité de son Code (35% des réponses), les charges fiscales et sociales (13%) et les difficultés à recruter du personnel qualifié (10%). Rien d’étonnant, du reste : cela fait longtemps que ces blocages ont été identifiés et pointés du doigt dans de multiples rapports aussitôt enterrés par les gouvernements successifs.

Mais que se passerait-il si le prochain exécutif se décidait enfin à passer à l’acte ? Combien d’emplois pourraient être créés ? Combien de milliards d’investissements supplémentaires, de parts de marché gagnées et de points de croissance en plus notre pays pourrait-il engranger ?

"Ce ne sont pas les normes en elles-mêmes qui nous gênent, explique-t-il. C’est le fait qu’en France elles sont plus restrictives qu’ailleurs." En effet, notre pays possède la fâcheuse habitude de durcir systématiquement les règles issues de directives européennes lorsqu’il les transpose dans son propre droit.

Exemple ? "Quand Bruxelles a adopté une nouvelle norme de filtrage des poussières de bois, nos fonctionnaires ont multiplié par cinq les exigences." Du coup, sa société a dû dépenser des sommes bien plus importantes que ses concurrentes espagnoles, italiennes ou allemandes pour se mettre en conformité avec le nouveau texte. "C’est autant d’argent que nous n’avons pas pu investir dans des machines plus modernes ou dans un nouvel atelier."

la suite (à lire)
http://www.capital.fr/a-la-une/poli...srAuthUserId=c3271970db2ee096a93a28792b1d76c2

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#955

Votre employeur peut désormais financer votre permis de conduire

Un décret donne la possibilité aux salariés et aux demandeurs d'emploi de passer leur permis de conduire grâce à leur compte personnel de formation. Objectif : rendre accessible au plus grand nombre ce sésame qui facilite l'insertion professionnelle.

À compter de ce mercredi 15 mars, votre entreprise pourra officiellement vous aider financièrement à passer votre permis de conduire. Le compte personnel d'activité (CPA) pourra financer la préparation de ce dernier, selon un décret d'application de la loi «Egalité et citoyenneté» paru il y a quelques semaines au Journal officiel. Cette possibilité est valable pour tous: selon la mesure, tout «actif en situation d'emploi ou en recherche d'emploi» pourra en effet, sous conditions, utiliser ses heures de formation inscrites sur son compte personnel de formation (CPF, l'une des composantes du CPA) pour financer la préparation à la catégorie B du permis, détaillent les ministères du Travail, de l'Intérieur et de la Ville dans un communiqué commun.

Petite précision toutefois: la mobilisation du CPF à cette fin doit «contribuer à la réalisation d'un projet professionnel ou favoriser la sécurisation du parcours professionnel de l'actif», précisent-ils. La formation devra être organisée par une école de conduite agréée et ayant «la qualité d'organisme de formation». Côté formation, à compter du 1er janvier 2018, les écoles de conduite éligibles «devront par ailleurs répondre aux critères de qualité propres aux organismes de formation», et une concertation a été engagée pour établir un «label qualité» spécifique au secteur.

Un examen à 1500 euros en moyenne
C'est un examen coûteux: passer son permis de conduire coûte en effet 1500 euros en moyenne - selon le nombre d'heures de conduite effectuées et le taux de réussite - ce qui peut représenter une somme conséquente, que tout le monde ne peut pas se permettre de débourser. Les jeunes sans qualification, par exemple, peuvent avoir des difficultés à l'assumer financièrement. Pourtant, pour beaucoup d'entre eux, cet examen constitue un sésame indispensable pour la mobilité. Le fait de ne pas avoir son permis de conduire peut les pénaliser dans leur recherche d'emploi. Certains postes impliquent en effet des déplacements quotidiens.

LIRE AUSSI: Le compte personnel d'activité: comment ça marche?

«Aujourd'hui, la mobilité est devenue un véritable enjeu pour l'insertion professionnelle: dans certains territoires, le permis de conduire est un véritable permis de travailler, notamment pour les jeunes», a commenté dans une déclaration à l'AFP la ministre du Travail Myriam El Khomri, saluant un «progrès concret essentiel». Cette nouvelle possibilité de financement pourra se cumuler avec d'autres dispositifs, pour les jeunes notamment comme le permis à un euro par jour, précise le gouvernement.

http://www.lefigaro.fr/emploi/2017/...sormais-financer-votre-permis-de-conduire.php


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Entrepreneurs : embauchez votre premier salarié sans faire d'erreur

Recruter la perle rare tout en se pliant aux contraintes réglementaires est toujours un exercice délicat pour une jeune entreprise. Voici comment le mener à bien.

Votre entreprise grandit et vous ne pouvez plus faire face en solo à la croissance de l'activité ? Le moment est venu de recruter un salarié. Cette étape est jalonnée d'écueils, d'ordre à la fois humain, financier et réglementaire. Le premier d'entre eux serait de se tromper de candidat, car une jeune entreprise de deux ou trois personnes ne vaut que par la qualité de l'équipe.

ANALYSEZ VOS BESOINS ET NE CHERCHEZ PAS LE MOUTON À CINQ PATTES

Le rôle de cette première recrue est de vous libérer des tâches opérationnelles. Contrairement à vous, qui êtes sur tous les fronts, elle doit donc occuper un poste précis (commercial, webdéveloppeur,
community manager, etc.).

Lors de l'entretien, vérifiez que le candidat saura faire preuve d'autonomie : à moyen terme, il sera conduit à prendre des responsabilités, voire à former de nouveaux arrivants.



A COMBIEN CELA VA-T-IL SE CHIFFRER ?

Le coût total d'un salaire comprend le salaire brut plus les charges patronales (42%). Pour un smic mensuel brut de 1.466,62 euros, elles seront de 615,98 euros (1.466,62 x 0,42), soit un coût total pour l'employeur de 2.082,60 euros, alors que l'employé touchera, lui, un salaire net de 1.143 euros (déduction faite des 22% de charges sociales).

N'oubliez pas d'intégrer ces charges au prévisionnel financier et d'y ajouter le coût de traitement des bulletins de salaire si vous l'externalisez auprès d'un cabinet (30 euros en moyenne par bulletin).

«LA LOI EST COMPLEXE ET TRÈS ÉVOLUTIVE»,

prévient Ingrid Yebenes, avocate au cabinet Alcance. Les obligations réglementaires sont en effet ce qu'il y a de plus contraignant dans l'embauche. Et il ne faut rien oublier : rédiger le contrat de travail, envoyer une déclaration préalable à l'embauche (DPAE) à l'Urssaf, au plus tard la veille de l'embauche.

Vous devrez aussi vous affilier à un organisme de retraite complémentaire (l'Arrco pour les employés, l'Agirc pour les cadres), établir un registre unique du personnel (avec l'identification du salarié, ses qualifications, sa date d'entrée et de sortie de l'entreprise, etc.), tenir un livre de paie (ou conserver un double des bulletins de salaire pendant cinq ans), signaler l'embauche à l'inspection du travail et, enfin, organiser la visite médicale avant la fin de la période d'essai. Bref, un vrai marathon, chronophage et un brin complexe, qu'il ne faut pas hésiter à déléguer à un expert-comptable ou à un avocat.



LES ÉTAPES A RESPECTER

Définissez vos besoins. Quelles compétences recherchez-vous, quelles missions souhaitez-vous confier à une future recrue ?

Évaluez le coût lié à l'embauche. Additionnez le salaire et les charges, après avoir consulté les minima prévus par la convention collective qui régit éventuellement votre entreprise.

Choisissez le contrat adapté. CDI, CDD, contrat d'apprentissage ? La nature du contrat doit correspondre à la mission. S'il s'agit d'un emploi durable, vous devez opter pour un CDI.

Recrutez. Diffusez votre annonce (auprès de Pôle emploi, des sites spécialisés, sur LinkedIn), préparez les entretiens et recevez les candidats.

Régularisez. Adressez à l'Urssaf une déclaration préalable à l'embauche (DPAE), établissez le contrat, adhérez à un centre de médecine du travail, affiliez-vous à une mutuelle et ouvrez un registre du personnel.

http://www.capital.fr/carriere-mana...-premier-salarie-sans-faire-d-erreur-1214065#

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Bpifrance Université fête ses deux ans de formation

Bpifrance Université e-learning, la plateforme d’autoformation en ligne à destination des entrepreneurs, fête ses deux ans d’existence ! A cette occasion, elle renforcera son interactivité grâce à l’organisation de webinaires.

Lancée en avril 2015, la plateforme d'e-learning de Bpifrance Université offre aux dirigeants d'entreprise et porteurs de projets, des vidéos courtes et opérationnelles dont la fiabilité est assurée par le concours d'experts reconnus.
Elle propose aujourd'hui 47 modules pour près de 240 séquences vidéo, couvrant les sujets utiles aux dirigeants pour leur management et le développement de leurs entreprises

Un bilan positif
Cet anniversaire est aussi l’occasion de dresser un bilan de la plateforme.

Avec 15 000 apprenants, plus de 50 000 connexions, et près de 4 000 heures de visionnage, Bpifrance Université a su se développer autour des thèmes clés de la vie d’entrepreneur et s’est également intéressé à des thèmes de développement personnel.
Des modules à succès
A (re)découvrir les modules :

Construire un business plan
L'effectuation, une nouvelle approche de l'entrepreneuriat
L'art du Pitch
Gérer la trésorerie de son entreprise
Conjuguer qualité de vie au travail et performance de l'entreprise
Définir la stratégie de son entreprise
Evaluer une entreprise

Bientôt des webinaires...
Cette plateforme s'enrichit, dès le mois de juin, de webinaires en complément et approfondissement des modules déjà en ligne.
Objectif : favoriser le travail collaboratif et le partage d'expérience.
Le premier d'entre eux aura lieu le
30 juin
sur le thème de la "Stratégie d'entreprise". Inscrivez la date dans votre agenda !
Inscrivez vous = http://www.bpifrance.fr/A-la-une/Ac...60417&utm_campaign=basext&utm_term=newsletter

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En région : les idées locales inspirées par SoLocal

L’innovation se trouve partout en France, quelle que soit la taille des entreprises.

Bpifrance, en partenariat avec « Idées Locales » vous propose de découvrir ces TPE et leurs idées innovantes, région par région.
Idées locales en Auvergne Rhône-Alpes
Retrouvez 4 idées inspirantes de la région Auvergne Rhône-Alpes.
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Idées locales en Bourgogne Franche-Comté
En région Bourgogne, le le village de Semur-en-Auxois propose une idée inspirante...
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Idées locales en Bretagne
La région Bretagne est source d’inspiration. Retrouvez 4 idées proposées par des entrepreneurs locaux !
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Idées locales en Centre-Val de Loire
Découvrez 2 idées innovantes dans la région Centre-Val de Loire.
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Idées locales en Grand Est
Retrouvez 4 idées inspirantes de la région Grand Est
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Idées locales en Hauts-de-France
Retrouvez 4 idées inspirantes dans la région des Hauts-de-France
Lire la suite
Idées locales en Île-de-France
Paris et l’Île-de-France sont une grande source d’inspiration. Retrouvez de nombreuses idées proposées par les entrepreneurs franciliens.
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Idées locales en Normandie
Retrouvez 3 idées inspirantes de la région Normandie.
Lire la suite
Idées locales en Nouvelle-Aquitaine
Retrouvez 4 idées inspirantes de la région Nouvelle-Aquitaine.
Lire la suite
Idées locales en Occitanie
Nous vous proposons de découvrir 3 idées originales et inspirantes de la région Occitanie.
Lire la suite
Idées locales en Pays de la Loire
3 idées inspirantes sont à découvrir dans la région Pays de la Loire.
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Idées locales en Provence-Alpes-Côte d'Azur.
Entrepreneurs, découvrez 4 idées inspirantes en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
Lire la suite

À LIRE ÉGALEMENT

Pour bien savoir les choses, il en faut savoir le détail.

http://www.bpifrance.fr/A-la-une/Do...60417&utm_campaign=basext&utm_term=newsletter

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Les 5 prêts Bpifrance : pour qui ? pour quoi ?

Acquérir un nouvel équipement, investir en actifs immatériels, financer l’augmentation du besoin en fonds de roulement lié à la croissance, maintenir sa trésorerie : les besoins des entreprises sont variés.


Pour se développer de façon sereine, les entreprises doivent trouver des solutions financières adaptées à ces différents besoins.
Les avantages des prêts Bpifrance
Dans la plupart des cas :
- ils ne nécessitent pas de garanties personnelles du dirigeant ou de garantie sur les actifs de l'entreprise.- suivant les formules, ces prêts ont pour la plupart une durée comprise entre 5 et 7 ans, et intègrent généralement un différé de remboursement d'1 à 2 années. - ils doivent s'accompagner d'un financement bancaire ou d'un apport en fonds propres, d'un montant au moins équivalent.
Le co-financement avec nos partenaires bancaires
En effet, le rôle essentiel de Bpifrance est de faire levier dans les plans de financement, d’inciter, et d’apporter au bon moment les ressources indispensables afin de contribuer, aux côtés des banques, à la bonne réussite des projets.
Bpifrance est ainsi partenaire de l’ensemble des banques avec un objectif principal : partager le « risque », car de la création d’entreprise à la conquête des marchés à l’international avec un produit innovant, le parcours de l’entrepreneur n’est pas sans risques...
Focus sur 5 prêts de Bpifrance : http://www.bpifrance.fr/A-la-une/Actualites/Les-prets-Bpifrance-pour-qui-pour-quoi-32871

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Prime d'activité
La prime d'activité a été créée par la loi du 17 août 2015 pour remplacer, à compter du 1er janvier 2016, le volet "activité" du RSA et la prime pour l'emploi.

Les bénéficiaires

Cette prime d'activité vise à inciter les salariés et les travailleurs indépendants aux revenus modestes à poursuivre ou à reprendre une activité professionnelle.
Situation des travailleurs indépendants

Ils peuvent bénéficier de cette prime lorsque leur dernier chiffre d'affaires annuel connu n'excède pas les seuils de la micro-entreprise.
La Prime est versée tous les mois en fonction de leur situation et des ressources prises en compte chaque trimestre soit :
les bénéfices industriels et commerciaux (BIC) ou bénéfices non commerciaux (BNC) déclarés aux services fiscaux pour la dernière année fiscale ;ou bien le chiffre d'affaires du trimestre, en l'absence de déclaration de BIC ou de BNC.

Un décret du 5 mai 2017 donne la faculté aux travailleurs indépendants de demander, sous certaines conditions, que leur droit au RSA et à la prime d'activité soit calculé en prenant en compte leur CA trimestriel précédant l'examen ou la révision de leur droit (et non plus seulement leur dernier revenu annuel net imposable), dès l’instant où ce CA trimestriel ne dépasse par le quart du seuil de CA de la micro-entreprise. Cette mesure entrera en vigueur le 1er juillet 2017.
Charges fiscales et sociales

Cette prime n'est pas imposable. En revanche, elle est assujettie à la CRDS (0,5 %).

Montant de la prime

Le montant de la prime est calculé en fonction de la composition et des ressources du foyer : il change donc si le bénéficiaires a des enfants à charge et / ou s'il vit en couple.
Un simulateur est disponible sur le site de la Caf dans l'espace dédié à ce dispositif.

https://www.afecreation.fr/cid15589...16-[Modalites_de_calcul_du_revenu_de_solidar]

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ouvrir un Salon de thé ?

Salon de thé
Nombreux sont les créateurs d'entreprises autour du thé : de nouveaux salons apparaissent, déclinés autour d’un art de vivre ancestral, mais conjugués avec les concepts de notre époque !
Ce dossier Projecteurs de l'AFE contient les informations nécessaires à la création d'un salon de thé, dont des éléments utiles pour une étude de marché.
Date de mise à jour : 01/04/2017

https://www.afecreation.fr/librairie/hotellerie-cafe-restauration/78-salon-de-the.html


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Profession libérale

Les professions libérales peuvent être exercées en entreprise individuelle ou en société. Toutefois, pour l'exercice d'une activité libérale en société, il existe des particularités en fonction de la nature réglementée ou non de la profession.
Sommaire
L'exercice d'une profession libérale en entreprise individuelleL'exercice d'une profession libérale en sociétéNouveau : Sociétés pluri professionnelles d'exercice des professions du droit et du chiffre

L'exercice d'une profession libérale en entreprise individuelle

Sur le plan fiscal
Les bénéfices des professionnels libéraux sont en principe soumis à l'impôt sur le revenu (IR) dans la catégorie des bénéfices non commerciaux (BNC), aucune distinction n'étant effectuée, sur le plan fiscal, entre le bénéfice de l'entreprise et leur rémunération.
Ils sont soumis :

soit au régime de la micro-entreprise (recettes annuelles de l'année précédente inférieures à 32 900 euros).
Dans ce cas, en principe, l'impôt sur le revenu est calculé en appliquant au bénéfice forfaitaire le barème progressif par tranches.

Pour mémoire : le bénéfice forfaitaire correspond aux recettes de l'année précédente auxquelles on applique un abattement représentatif de l'ensemble des frais professionnels de 34 %.

Les professionnels libéraux relevant du régime de retraite du RSI ou de la Cipav bénéficient du régime micro-social et peuvent opter, sous condition de revenus, pour le versement fiscal libératoire de l'impôt sur le revenu. Dans ce cas, ils déclarent le chiffre d'affaires réalisé sur la période, et adressent le règlement correspondant à leur impôt sur le revenu en même temps que leurs cotisations sociales. Le montant de l'IR correspond à 2,2 % des recettes encaissées sur la période.

soit au régime de la déclaration contrôlée, sur option ou si leurs recettes annuelles de l'année précédente excédent 32 900 euros.
Dans ce cas, leur bénéfice imposable est déterminé en prenant en considération les recettes effectivement encaissées pendant l'année et les dépenses effectivement payées pendant cette même année. Les créances acquises et dépenses engagées ne sont pas prises en compte, sauf option pour l'application des règles des BIC.
Le déficit éventuellement dégagé par l'activité professionnelle s'impute sur le revenu global de l'exploitant soumis à l'IR.
Ils peuvent également opter pour l'impôt sur les sociétés (IS) s'ils choisissent d'exercer leur activité sous le régime de l'entrepreneur individuel à responsabilité limitée.

Les professionnels libéraux peuvent adhérer à une association agréée et bénéficier des avantages fiscaux liés à cette adhésion.

Sur le plan social
Les professionnels entrent dans la catégorie des travailleurs non-salariés et doivent donc s'affilier obligatoirement :
à l'Urssaf (allocations familiales),
au régime social des indépendants (RSI) (assurance maladie-maternité),
à la caisse d'assurance vieillesse correspondant à leur profession.
Les charges sociales sont calculées sur la base du bénéfice de l'entreprise, y compris sur la partie réinvestie dans l'entreprise, en cas de soumission à l'IR.

Les professionnels libéraux relevant de l'assurance vieillesse de la Cipav ou du RSI, soumis au régime fiscal de la micro-entreprise relèvent automatiquement, pour les créations à compter du 1er janvier 2016, du régime micro-social simplifié.
Leurs cotisations sont calculées et payées chaque mois ou chaque trimestre en fonction des recettes encaissées le mois ou le trimestre précédent.
Le taux de cotisations sociales qui s'appliquent de leurs recettes est fixé en 2016 à :
- 23,1 % pour les activités libérales relevant du RSI au titre de l'assurance vieillesse et 22,9 % pour les activités libérales relevant de la Cipav au titre de l'assurance vieillesse.
S'ajoute à ces cotisations une contribution à la formation professionnelle égale à 0,2 % du chiffre d'affaires annuel.

Dans le cas du professionnel libéral exerçant sous le régime de l'EIRL et qui a opté pour l'IS, les cotisations sociales sont calculées sur la base de sa rémunération nette. Cette rémunération intègre la part des dividendes qu'il a perçus s'ils sont supérieurs à 10 % de la valeur du patrimoine affecté, ou à 10 % du bénéfice annuel net, si ce bénéfice est supérieur au patrimoine affecté.
Formalités d'inscription
(...)


L'exercice d'une profession libérale en société

Profession libérale "non réglementée"
(...)
Profession libérale réglementée
(...)

la suite et les détails sur https://www.afecreation.fr/pid598/p...16-[Societes_pluri-professionnelles_d'exerci]

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Micro-entreprise : qui seront les grands gagnants de la réforme de Macron ?

Le régime de la micro-entreprise s’apprête à vivre un vrai bouleversement : le nouveau président va doubler son plafond. Les principaux intéressés sont partagés sur ses possibles effets.

Avec la suppression du régime social des indépendants (RSI), c’est une mesure-phare du programme économique d’Emmanuel Macron, pourtant moins commentée :

le doublement du plafond de la micro-entreprise (à ne pas confondre avec le régime de l'auto-entrepreneur, rebaptisé "micro-entrepreneur" depuis 2016).

Actuellement, pour bénéficier de ce statut, le chiffre d’affaires annuel ne doit pas dépasser 82.800 euros pour les activités d’achat-vente, 33.200 euros pour les autres prestations de service. Si le nouveau président va au bout de sa réforme, cette limite passera à 165.600 euros pour l’achat-vente, 66.400 euros pour les autres prestations de service.
Dans son programme, Emmanuel Macron présente cette mesure comme une volonté de “simplifier la vie des entrepreneurs”, et permettre au plus grand nombre d’accéder à un statut avec moins de charges et moins de formalités administratives. Mais qu’en pensent les principaux intéressés ?

“Dans le secteur de la micro-entreprise, le chiffre d’affaires moyen est de 13.000 euros par an. Ceux qui sont près du plafond, que veut toucher le nouveau président, représentent moins de 2% de la population active des micro-entrepreneurs. Autant dire que l’impact sera marginal”, juge Éric Mattei, secrétaire général de l’Union Professionnelle au Service de la Micro-Entreprise (UPSME), principal syndicat représentatif du secteur.


Le nouveau président prévoit par ailleurs de permettre “chaque année à tous les artisans et commerçants d’opter ou non, selon leurs besoins, pour le régime fiscal de la micro-entreprise”.
Traduction : les artisans et commerçants qui, actuellement, ont un statut d’entreprise classique, puisque leur chiffre d’affaires dépasse le plafond du micro-entrepreneuriat, pourront bientôt le rejoindre.

Ceci concerne des entreprises au chiffre d’affaires compris entre 33.200 et 165.600 euros. “Prenez aujourd’hui un artisan qui génère chaque année un chiffre d’affaires de 50.000 euros.

S’il bascule dans la micro-entreprise, il aura automatiquement moins de charges, du fait notamment de l’exonération de la TVA. Ce sera un vrai bol d’oxygène pour ce type d’entrepreneurs !”, s’enthousiasme Éric Mattei.

Pas d’effets attendus de la suppression du RSI
Le syndicaliste estime aussi que cette mesure pourrait s’additionner à d’autres réformes prévues par Emmanuel Macron.

“Nous formerons 1 million de jeunes et 1 million de demandeurs d’emploi peu ou pas qualifiés et aujourd’hui sans perspective”, explique par exemple le fondateur d’En Marche! dans son programme.

Pour Éric Mattei, cette nouvelle disposition pourrait booster les micro-entreprises installées dans le secteur de la formation, d’autant plus si elles peuvent multiplier par deux leur chiffre d’affaire.
“Là où je suis plus dubitatif, c’est sur les effets que pourrait avoir la suppression du régime des indépendants”, tempère-t-il. Le nouveau président prévoit bien une suppression du RSI, mais le statut d’indépendant subsistera, “adossé au régime général”, ce qui “ne changerait pas grand chose”, selon lui. Les évolutions ne devraient de toute façon pas avoir lieu avant plusieurs mois, voire plusieurs années, tant le chantier est délicat.
http://www.capital.fr/votre-carrier...7&utm_medium=email&utm_source=nl-matinale-eco

mam
 
ça intéresse quelqu'un ?

:(:eek:

mam je t'assure que je passe souvent sur ce topic même si je ne commente pas et c'est le cas de beaucoup d'autres j'en suis sure. Il est bourré d'infos et j'aime bien aussi les discussions du début, dommage que ça ne discute plus. Sinon récemment j'ai lu le livre "Partie de rien" de Hapsatou Sy qui raconte comment elle a fondé ses entreprises ... Je kiffe ce genre de sujets ^^
 
mam je t'assure que je passe souvent sur ce topic même si je ne commente pas et c'est le cas de beaucoup d'autres j'en suis sure. Il est bourré d'infos et j'aime bien aussi les discussions du début, dommage que ça ne discute plus. Sinon récemment j'ai lu le livre "Partie de rien" de Hapsatou Sy qui raconte comment elle a fondé ses entreprises ... Je kiffe ce genre de sujets ^^

entièrement d'accord

mam
 
Autoentrepreneurs : le logiciel anti-fraude obligatoire, c'est terminé

L'information est tombée jeudi 15 juin dans l'après midi :

les autoentrepreneurs ne seront finalement pas obligés de s'équiper d'un logiciel comptable anti-fraude le 1er janvier 2018 !

La mesure de simplification s'applique également aux entreprises qui n'étaient pas non plus équipées d'une solution logicielle de comptabilité.

une simplification qui est en fait un statu-quo
Ce sont les autoentrepreneurs qui sont à la fête ! Ils étaient plus de 700 000, selon différentes études, à utiliser un simple tableur pour gérer leurs factures et suivre leurs comptes.


Une loi devant entrer en vigueur le 1er janvier 2018 obligeait les autoentrepreneurs à s'équiper à cette date d'un logiciel comptable anti-fraude certifié.

Mais face à la levée de boucliers suscitée par l'annonce de cette mesure, prise, précisons le, par l'ancien gouvernement mais annoncée par le nouveau, le ministre de l'action et des comptes publics a préféré reculé.

Annonçant une "mesure de simplification", c'est en fait un statu-quo qui est proposé.
Seuls les logiciels et systèmes de caisse sont concernés par la mesure
Mieux encore : la mesure s'applique aussi aux entreprises qui n'utilisaient pas non plus jusqu'ici de logiciel comptable mais se contentaient d'un tableur, et elles sont encore nombreuses, notamment chez les artisans, ou dans les professions libérales.

Le communiqué du gouvernement précise que "seuls les logiciels et systèmes de caisse, principaux vecteurs des fraudes constatées à la TVA, seront ainsi concernés" par la mesure anti-fraude.

"la redéfinition du périmètre de l'obligation permet d'alléger la complexité induite, tant pour la mise en conformité initiale que pour le quotidien des entreprises
" explique encore le cabinet du ministère de l'Action et des Comptes Publics.


https://news.radins.com/actualites/...e=OSD.axhiuhh_hev_ojxaxdwko_kt_nkxnolp_tqy_au


mam
 
Mutuelle : ce qui change pour les prostituées

Par Marine Lepante - Publié le 16/06/2017

Jusqu'à présent les prostituées ne pouvaient pas se déclarer en tant que travailleuses indépendantes et bénéficier d'une mutuelle en cas de souci de santé.
Mais tout ceci est en train d'évoluer.

Une mutuelle va prendre en charge les prostituée

La prostitution, qu'elle soit choisie ou non, laisse les personnes qui l'exercent dans une grande précarité. Victimes de violence et d'agressions fréquentes, les prostituées n'avaient jusqu'alors aucun droit à une mutuelle. Mais ce temps est révolu. Le Syndicat du travail sexuel (Strass) vient en effet d'annoncer qu'une mutuelle santé et prévoyance a accepté de les prendre en charge.

Alors que de nombreuses complémentaires santé refusaient de couvrir les prostituées de peur de ternir leur image, c'est finalement la Mutuelle Prevoyance Interprofessionnel qui a accepté de relever le défi et de leur venir en aide.

Quand elles se trouveront en incapacité de travailler, à cause d'une maladie ou d'un accident, elles pourront recevoir une indemnité comme n'importe quel salarié.

Prise en charge des soins non remboursés
« Nous avons décidé de mutualiser nos efforts afin de réduire les coûts de notre protection sociale et d'augmenter la couverture de nos soins », explique le Strass dans un communiqué. Cette mutuelle permettra aux travailleuses du sexe de bénéficier d'une couverture santé « prenant en charge les soins non remboursés ainsi que les incapacités de travail et invalidités ».

Il s'agit pour le syndicat « d'une grande avancée pour les droits et la protection sociale » des prostituées.

Déjà, une réflexion est mise en place pour permettre la création d'une couverture retraite sur le même principe.
Actuellement, les travailleuses du sexe mettent de côté tous les mois, afin de s'assurer une retraite confortable.
Cette exclusion du droit commun ne sera bientôt plus qu'un mauvais souvenir.

:p mam
 
Commerce : impôts locaux en hausse
Par Jean-Yves Guerin Publié le 26/06/20

Les représentants des commerçants sont d'autant plus remontés que cette augmentation ne frappe pas équitablement tous les protagonistes : les acteurs du Web marchand, qui ont 16 % du marché de l'habillement, payent peu de taxes locales.

Même s'ils s'y attendaient, la nouvelle rend furieux les petits commerçants.

La révision des valeurs locatives, entrée en application cette année, va faire bondir les impôts locaux d'une multitude de points de vente.

Après une réunion vendredi à Bercy avec des représentants de la Direction générale des finances publiques (DGFIP), l'Alliance du commerce tire la sonnette d'alarme.

«Selon les premiers éléments obtenus, on devrait constater une augmentation de l'ordre de 50 % des impôts locaux payés par de nombreux commerçants, en particulier ceux exploitant les petites surfaces de moins de 400 m2, situés dans les centres-villes et les centres commerciaux», dénonce le regroupement de l'Union du grand commerce de centre-ville, la Fédération des enseignes de la chaussure et la Fédération des enseignes de l'habillement.

Les représentants des commerçants sont d'autant plus remontés que cette augmentation ne frappe pas équitablement tous les protagonistes : les acteurs du Web marchand, qui ont 16% du marché de l'habillement, payent peu de taxes locales.


Sur le papier, cette hausse liée au niveau des loyers plus élevé en centre-ville est logique car les loyers sont fixés en théorie en fonction du chiffre d'affaires. Mais l'Alliance conteste cette analyse, estimant que les loyers sont aussi très élevés car les petits commerçants ont peu de pouvoir de négociation face aux foncières qui sont leurs propriétaires. Les représentants des commerçants sont d'autant plus remontés que cette augmentation ne frappe pas équitablement tous les protagonistes: les acteurs du Web marchand, qui ont 16 % du marché de l'habillement, payent peu de taxes locales.


Pour amortir le choc, les pouvoirs publics ont prévu de lisser ces hausses sur dix ans.
Pour amortir le choc, les pouvoirs publics ont prévu de lisser ces hausses sur dix ans. Pas sûr que cela suffise à calmer les commerçants. C'est probablement la raison pour laquelle cette réforme de la fiscalité locale, étudiée depuis 2010, ne voit le jour que cette année.

http://www.lefigaro.fr/conjoncture/...ce=AM2&utm_medium=email&utm_campaign=Economie

:eek: mam
 
L'apprentissage : une aubaine pour les PME et TPE !

En mars 2017, près d'un jeune de moins de 25 ans sur quatre était sans emploi en France. Un phénomène qui touche particulièrement les sans diplôme. L'apprentissage peut apporter un remède à cette situation, et bénéficier aux petites entreprises.

Revue des avantages disponibles.
L'assemblée permanente des chambres de métiers et de l'artisanat (APCMA), présidée par Bernard Stalker, a lancé un livre blanc visant à sensibiliser les entreprises en matière d'apprentissage et à donner à ce dispositif ses lettres de noblesse, comme c'est le cas en Allemagne (15 % de jeunes apprentis), mais aussi au Danemark (8,6 %) ou aux Pays-Bas (7,8 %). Les choses avancent.

Désormais, certaines grandes écoles et universités proposent aux étudiants la possibilité d'acquérir un diplôme d'ingénieur ou d'école de commerce par la voie de l'apprentissage.

De plus, le gouvernement a mené une politique de choc pour recruter des apprentis dans la fonction publique d'État. Au total, près de 300 000 contrats ont été signés en 2016, permettant à la France de compter plus de 400 000 apprentis.

Enfin, au premier trimestre 2017, la tendance s'est poursuivie, avec, selon des données provisoires du ministère du Travail, une hausse de 1,7 % d'entrées dans le dispositif. Pas question cependant de lever le pied, puisque la France ne compte encore que moins de 5 % des 15-24 ans en apprentissage.
La quasi garantie d'un emploi stable pour un jeune

Pour cela, Bernard Stalter a des arguments de poids !
Alors que 140 000 jeunes sortent chaque année du système scolaire sans diplôme, handicap sérieux dans la recherche d'un emploi, 85 % des apprentis trouvent un poste à la fin de leur formation, dans des secteurs allant de l'alimentation au commerce de détail, en passant par le bâtiment et les travaux publics, l'hôtellerie-tourisme, les services à la personne, le secteur automobile, l'électronique.

Bref, des secteurs qui recrutent !
Parallèlement, des milliers d'entreprises ne trouvent pas de personnel qualifié à embaucher... Enfin, 250 000 entreprises artisanales seraient actuellement susceptibles de prendre un apprenti, selon Bernard Stalter.

Et les contrats d'apprentissage donnent droit à des aides financières pour les entreprises.
Revue des différentes aides financières (cumulables), de la part de l'Etat comme des régions !

Naviguez dans notre infographie interactive !

http://www.bpifrance.fr/A-la-une/Ac...50717&utm_campaign=basext&utm_term=newsletter

A l'issue de sa formation, non seulement l'apprenti a de fortes chances d'être embauché dans l'entreprise qui l'a accueilli grâce à ce dispositif ou dans une autre,

mais en plus, l'apprentissage lui permet de décrocher un diplôme :
CAP, BEP, BTS, DUT, diplôme d’ingénieur ou d’école supérieure de commerce.
Il peut également obtenir un titre à finalité professionnelle enregistré au répertoire national des certifications professionnelles. Autant de sésames pour l'emploi.

mam


 
Plafond doublé pour les “auto-entrepreneurs” :
une aubaine à saisir pour tous les petits entrepreneurs ?

Le doublement du plafond de la micro-entreprise a été confirmé vendredi 24 août par le ministre de l’Économie Bruno Le Maire.

Pour certains entrepreneurs de droit commun, devenir “auto-entrepreneur” pourrait être selon les cas avantageux ou désavantageux, notamment pour des questions de TVA.
C’était une promesse de campagne du candidat Macron. Bruno le Maire, le ministre de l’Économie, l’a confirmée en fin de semaine dernière.

Le doublement du plafond de chiffre d’affaires de la micro-entreprise (ex-statut des “auto-entrepreneurs”) fera partie du projet de loi de finances 2018, qui devrait être présenté à la fin du mois d’octobre.

En clair, un micro-entrepreneur travaillant dans le secteur des services pourra réaliser jusqu’à 66.200 euros de chiffre d’affaires, contre 33.100 euros jusqu’à présent, et 165.600 euros s’il a une activité commerciale, contre 82.800 euros jusqu’à présent.

De ce fait, un entrepreneur de droit commun pourra très bien passer à la micro-entreprise si son chiffre d’affaires ne dépasse pas ces nouveaux plafonds.

Alors, est-ce que tous les entrepreneurs ont intérêt à rejoindre la micro-entreprise ?

Les différences liées à la TVA sont un élément qui pourront vous aider à trancher.

Pour François Hurel, président de l'Union des Auto-Entrepreneurs (UAE), ce seront surtout les entrepreneurs exerçant une activité “intellectuelle” dans le secteur des services qui auront intérêt à changer de régime.

Pourquoi ? “Prenons l’exemple d’un créateur de site internet : ses investissements sont faibles comparé à un artisan, il aura donc tout intérêt à bénéficier de l’exonération de TVA permise par le régime, cumulée à la possibilité de ne pas avoir de cotisations sociales s’il réalise un chiffre d’affaires nul certains mois”, explique-t-il.

>> À lire aussi - Comment transformer une micro-entreprise en société ?

Un avis partagé par Grégoire Leclercq, président de la Fédération des auto-entrepreneurs (Fedae), mais avec certaines réticences.

“Si l’on prend un entrepreneur seul dans le secteur des services, je vois mal comment il pourrait réaliser 66.200 euros de chiffre d’affaires.
C’est une sacrée somme pour une micro-entreprise”, juge-t-il.

Il reconnaît en revanche qu’un petit commerçant se trouvant dans la tranche comprise entre 88.200 et 165.600 euros, qui pourra désormais bénéficier du statut de la micro-entreprise, aura tout intérêt à le faire au vu des avantages offerts notamment par l’exonération de TVA.

L’entrepreneur affilié au régime de la micro-entreprise ne peut pas récupérer la TVA sur ses achats
“Pas si sûr”, pourrait lui répondre François Hurel.

“Si le statut de la micro-entreprise offre bien l’exonération de TVA sur ses propres produits ou prestations, l’entrepreneur continue de la payer lorsqu’il réalise des achats auprès de fournisseurs.

Jusque-là, on pourrait se dire, c’est toujours avantageux.
Mais en fait non : là où l’entrepreneur de droit commun peut récupérer la TVA auprès de l’État, le micro-entrepreneur ne peut pas”, analyse-t-il.

Ainsi, dès lors qu’il a de forts besoins en investissement, François Hurel estime que le statut de la micro-entreprise le pénalise comparé au statut de droit commun, puisqu’il ne peut pas profiter des prix hors-taxe à l’achat.

Pour Henry Brin, président de la branche artisanat de la CPME, le problème n’est pas là.
S’il reconnaît volontiers l’intérêt que pourrait avoir un artisan au régime de droit commun à passer au statut de la micro-entreprise, il s’inquiète plutôt de ceux qui seraient tentés de “maquiller” leurs comptes pour rester en deçà des nouveaux plafonds fixés par le gouvernement. “C’est bien pour cela que nous parlons de concurrence déloyale !
Et ce n’est pas tout : imaginez, un artisan qui avait jusque-là l’habitude de prendre et de former un apprenti chaque année.
Maintenant, il pourra très bien se dire, je n’en prends plus sinon je vais dépasser le seuil. C’est déplorable pour nos jeunes et notre économie !”, s’emporte-t-il.

Pour le moment, d’après les derniers chiffres de l’Acoss, on estime à un peu plus d’un million le nombre d’affiliés à la micro-entreprise : reste à voir si la réforme annoncée fera grimper, ou non, ces chiffres en flèche.
>> Pour aller plus loin - Annonce légale : obligatoire pour tous les entrepreneurs ?
>> Notre service : déposez une annonce légale au coût le plus bas avec Capital.fr

http://www.capital.fr/votre-carrier...m_medium=email&utm_source=nl-cap-matinale-eco

mam


 
Travailleurs indépendants : le RSI sera rattaché au régime général en 2018

C'est la fin du régime social des indépendants (RSI).

Le Premier ministre, Edouard Philippe, a annoncé, mardi 5 septembre, que le RSI sera rattaché au régime général de la Sécurité sociale dès le 1er janvier 2018, avec une période transitoire de deux ans.

Créé en 2006, le régime social des indépendants (RSI) concerne 6,6 millions de Français exercant des professions libérales.

Plombé par de nombreux dysfonctionnements, le RSI avait été vivement critiqué par le candidat Macron durant la campagne électorale.
Cette mesure n'est pas la seule annoncée par le Premier ministre à Dijon (Côte-d'Or) en faveur des travailleurs indépendants.


Une année blanche d'exonération des cotisations sociales. Cette exonération sera valable la première année d'une entreprise nouvellement créée par un indépendant.
Une baisse des cotisations supérieure à la hausse de la CSG. Ce "coup de pouce" devrait atteindre 200 millions d'euros.
Le doublement du plafond de revenus des autoentrepreneurs.

Ce doublement était une promesse de campagne du candidat Emmanuel Macron.

http://www.francetvinfo.fr/politiqu...ur-les-travailleurs-independants_2357463.html

et plus d'infos sur
https://www.scoopnest.com/fr/tag/Indépendants/



mam

 
Il aurait mieux fait d'enlever la taxe d'habitation à partir de cette année, ça m'aurait fait énormément de bien, bon les impôts sur le revenu, je m'en fiche, je ne suis pas imposable
 
Heures supplémentaires : pas d'exonération en 2018

Contrairement à la promesse de campagne faite par le candidat Emmanuel Macron, les heures supplémentaires ne seront pas exonérées de charges en 2018, car le gouvernement doit boucler un budget serré pour 2018.:rolleyes:

Une promesse électorale qui coûte cher
Les salariés qui font de nombreuses heures supplémentaires ne bénéficieront donc pas d'un coup de pouce fiscal en 2018, contrairement aux promesses d'Emmanuel Macron lorsqu'il était candidat à la présidence de la République.

La promesse d'exonération des charges sociales et patronales, qui aurait donc profité aussi bien à l'employeur qu'au salarié, sera probablement absente du projet de loi de finances (PLF) 2018.

Le gouvernement, qui doit boucler un budget compliqué pour l'an prochain, ne pouvait pas se priver des recettes provenant des cotisations sociales et patronales qui taxent aujourd'hui les heures supplémentaires.
L'exonération de charges aurait couté 3 milliards d'euros par an


Selon le ministère du Travail, près de la moitié des salariés font des heures supplémentaires, et sont donc concernés par la promesse d'exonération des charges. Une telle mesure d'exonération aurait coûté 3 milliards d'euros en année pleine au budget de l'État, ce qu'il ne peut se permettre pour l'instant.

Dommage, car cela aurait mécaniquement rendu environ 1 milliard d'euros de pouvoir d'achat aux salariés, et 2 milliards de réduction de charges aux entreprises.

Pour l'instant, l'exécutif n'envisage pas de renoncer totalement à cette promesse, il ne s'agit que d'un report. Peut-être en 2019 ?

2017 ne sera pas une bonne année pour le pouvoir d'achat:rolleyes:

mam

 
Hausse de la CSG : quels impacts sur vos impôts ?

La Contribution Sociale Généralisée (CSG) va bien augmenter, mais selon le ministère de l'Économie, elle pourra être déductible de la base de calcul de l'impôt sur le revenu. Explications.

Une bonne nouvelle pour les non-salariés

La hausse de la CGS inquiète de nombreux contribuables. Pour tenter de les rassurer et sans renoncer pour autant à son projet, le gouvernement vient d'annoncer que cette hausse de prélèvement ne fera en aucun cas monter l'impôt sur le revenu. Une manière, pour le Premier ministre, d'éviter une « double peine pour ceux, notamment retraités, qui vont voir leur CSG augmenter ».

On pourrait en effet avoir tendance à l'oublier mais la CSG n'est pas supportée uniquement pas les salariés, mais également par les personnes qui touchent des revenus de remplacement (pensions de retraite, allocations chômage, indemnités journalières...), des revenus du patrimoine (revenus fonciers, rentes viagères...), ou encore des revenus de placement (revenus mobiliers, plus-values immobilières...).


Ne pas créer de nouveaux foyers fiscaux
En rendant déductible cette hausse de la CSG, ces personnes qui touchent un revenu de remplacement n'auront pas à payer à la fois la nouvelle taxe et un impôt plus élevé. Ce que le gouvernement ne souhaitait pas c'est que cette hausse de la CSG crée de nouveaux foyers imposables ou fasse passer dans des tranches plus élevées certains foyers fiscaux. Mais
cette décision a un coût : un milliard d'euros pour les finances publiques
.


Il ne faut pas pour autant penser que le gouvernement ne cherche là qu'à apaiser les inquiétudes des contribuables. Cette mesure sera compensée en grande partie par la baisse des charges qui augmentera le revenu et donc l'impôt sur le revenu. Si au final, l'opération est quasiment neutre, pourquoi engager de tels bouleversements alors ? Parce que
le gouvernement veut impulser un changement sur le coût du travail en France
. Ce n'est pas plus compliqué que cela.


Lire aussi Qu'est-ce que la CSG ?

https://www.radins.com/actualites/h...e=OSD.axhiuhh_hev_ojxaxdwko_kt_nkxnolp_tqy_au


mam
 
Patrons de PME et TPE en difficulté, pensez à la médiation du crédit

Ne laissez pas les problèmes de trésorerie ou des difficultés de financements envenimer votre relation bancaire. Faites appel au Médiateur du crédit dès les premiers refus de financements de votre banque ou de l'assurance crédit.
Une facilité de caisse supprimée, un crédit refusé, une assurance crédit biffée ?

N’attendez pas. Trop souvent les difficultés de trésorerie enveniment les relations bancaires des professionnels et dirigeants de TPE (très petite entreprise, moins de 10 salariés).

N'hésitez pas à contacter la plate-forme du médiateur du crédit (0810.00.12.10)
qui répond déjà à 15 appels par jour (3460 appels en 2016).

À ce numéro, qui figure sur la lettre de dénonciation ou de clôture de compte de votre banque ou assureur, des chargés de relation clients de la CCI Paris-Ile de France répondront à vos questions, vous aideront à déposer un dossier en ligne au médiateur du crédit ou vous orienteront vers un tiers de confiance de la Médiation, souvent un chef d’entreprise bénévole.


«Les dirigeants de TPE restent trop souvent isolés. Ils oublient toutes les aides gratuites dont ils peuvent bénéficier dans les instances patronales, les chambres de commerce, la Banque de France ou chez le médiateur», déplore Fabrice Pesin, nommé médiateur national du Crédit par décret du Président de la République en janvier 2015.

Il a instruit et clos 1.638 dossiers en 2016, avec un taux de réussite de 64% ; 85% des dossiers sont des TPE.

Ce recours est gratuit comme pour toutes les médiations.

«Si les chefs d’entreprise s’adressaient à nous plus tôt, beaucoup de difficultés seraient résolues plus vite et plus facilement», insiste Fabrice Pesin.

Rattachée au ministère de l’économie et des Finances, la médiation du crédit ne manque pas de moyens. L’équipe nationale d’une douzaine de personnes basées à Paris épaule les 105 médiateurs départementaux en Métropole et Outre Mer, qui sont les directeurs départementaux de la Banque de France, et leurs équipes.

Le médiateur recherche les causes des difficultés et examine la viabilité de l’entreprise.

«Si un projet est viable je fais tout pour qu’il soit financé», affirme ce haut fonctionnaire qui n’hésite pas, pour chaque dossier à démarcher banques, acteurs du financement participatif ou des fonds de dettes pour rééchelonner un crédit ou débloquer de nouveaux encours (plus de 180 millions d'euros obtenus en 2016, hors écrasement de dettes).


Dans tous les cas, qu’il s’agisse d’une mauvaise passe conjoncturelle, d’un évènement exceptionnel mal appréhendé par votre banque comme la défaillance d’un client ou une fraude ou de difficultés plus structurelles, ne laissez pas pourrir la situation.

«Nous avons pu tirer d’affaire une TPE victime d’une escroquerie au président qui s’était fait extorquer 100.000 euros en obtenant des efforts de sa part pour qu’il réinjecte des fonds dans son entreprise et des banquiers pour qu’ils rééchelonnent sa dette», explique-t-il. Le couperet était passé près.

http://www.lerevenu.com/finances-pr...e-en-difficulte-pensez-la-mediation-du-credit

mam
 
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