Malheureusement, l'opinion publique est encore dans l'émotion, ce qui est compréhensible.Non. Est-ce que tu connais la définition du mot "embrigadement" ? "Manipulation" ? "Secte" ? "groupe" ? "influence" ? "facteurs sociaux" ? etc ? Non ? bah vas étudier la psychologie, car tu me saoules grave avec tes questions à trois centimes, tu ne comprends absolument rien à la psychologie humaine..
Je te donne un exemple : un mec qui est heureux, qui a une femme, un boulot, une maison , tout, va-t'il tout plaquer pour faire le djihad ? non, aucun risque...Par contre , un type chomeur, orphelin, drogué, bandit, alcoolique, voyou, exclu, a-t'il plus de chance ? oui !
Ca c'est la base de la psychologie humaine, et t'y comprends rien à ce que je vois...Donc je vais arrêter là, j'ai pas de temps à perdre avec toi. Bye.
Mais cette émotion anesthésie toute rationalité et réflexion.
Cela remet rien en doute a la condamnation des actes, ni chercher a les excuser.
On condamne fermement.
Mais comprendre pour prévenir, repère les individus fragiles afin qu'ils ne soient pas ciblés par ces groupes car clairement ces fous font leur recrutement en Europe.
Il est évident que les sectes et autres groupuscules ne choisissent pas leur adeptes au hasard.
Et tout le monde ne peut se retrouver la dedans. Il y a un terrain propice.
Mais c'est aussi a cause d'intervenants politiques qu'on minorise aujourd'hui les analyses sociologiques, il ne faut plus comprendre, mais agir. Or pour mener des actions efficaces, il faut savoir parfaitement les analyser.
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