Mouvement gilets jaunes

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hahahha sur la TV ils ne parlent plus des gilets jaunes !!! ils ont reçu des ordres de qui m'enfin?

Sur RT on en parle encore :sournois:
 
10 méthodes utilisées par le gouvernement pour tuer le mouvement des Gilets Jaunes (sans succès)

Le mouvement des Gilets Jaunes inquiète, et des stratagèmes divers sont employés, par le gouvernement mais aussi par les médias, pour l’affaiblir. Retour sur 10 méthodes employées ces dernières semaines.

1 – L’euphémisation
Cette méthode vise à nier l’ampleur du mouvement pour éviter son succès. En clair, la France n’est pas représentée par quelques dizaines de milliers de personnes dans les rues. C’est un mouvement minoritaire qui parle à tort pour la majorité. Pour E.Philippe, le 1er Ministre, il fallait à tout prix minimiser : « une minorité bloque le pays ». Les sondages indiquent pourtant un soutien des Français à plus de 70%.

2 – Les mensonges sur les chiffres
Comment mieux décourager les manifestants que de donner des chiffres ridiculement bas ? « 8000 personnes sur les champs-élysées », « 105 000 personnes le 24 novembre », alors qu’un syndicat policier en dénombrait 750 000. Le ministère de l’Intérieur a par ailleurs rehaussé son estimation en la doublant 24 heures plus tard, discrètement.

En mentant sur les chiffres, il est plus facile d’appliquer la 1ère méthode d’euphémisation.

3 – Culpabilisation des manifestants
Faire culpabiliser les Gilets Jaunes, c’est facile. Le blocage nuit à l’économie, à de petites entreprises, comme les joailliers par exemple. Les Gilets Jaunes mettent en péril ces gens-là. Ils bloquent des gens qui ont besoin de passer pour aller voir des proches dans le besoin. Bref ces Gilets Jaunes sont des monstres sans aucune compassion, coupables des pires méfaits.

4 – Lancement d’un Contre-Mouvement
Après le lancement du hashtag #SansMoiLe17, via un employé de LaREM, le parti présidentiel, il y a eu la naissance du mouvement des foulards rouges, qui refusaient aussi les blocages. Cette méthode visait à rééquilibrer la balance des forces en présence, sauf que la mayonnaise n’a pas pris.

5 – Mettre en avant le coût pour les citoyens
Eh oui, tout cela, ça coûte cher. Dégrader un radar ? Ce sera aux Français de payer la réparation via ses impôts. Via cette stratégie, complaisamment reprise par bien des médias, le gouvernement veut faire croire aux Gilets Jaunes que la violence est inutile, qu’il faut manifester sagement. Pour ce week-end, E.Philippe insiste sur une manifestation « déclarée » et sans violence.

Avec les quelques concessions du gouvernement, les Gilets Jaunes sont plutôt incités à continuer sur cette voie.

6 – Faire de petites concessions
Contenter les modérés, isoler les radicaux pour mieux les combattre. En faisant quelques concessions, le gouvernement espère apaiser la tension, faire baisser la mobilisation pour finalement discréditer le noyau dur d’irréductibles, « réfractaires au changement ». Réponse dans quelques jours pour le 4ème week-end de mobilisation, pour savoir si cette stratégie va fonctionner.

7 – Mêler aux revendications des « luttes » communautaires
La révolte est fiscale. Mais en s’agrégeant, des manifestants du collectif « Justice Pour Adama » dénature le mouvement. Ils veulent « ne pas laisser le terrain à l’extrême-droite », comme si c’était ce qui importait les Gilets Jaunes.

L’unité à peine croyable d’un mouvement aussi décentralisé et spontané volerait en éclats si ce genre de combats venait sur le devant de la scène.

8 – Mêler des casseurs aux manifestants
A Paris, les casseurs sont nombreux. Les inciter à venir, ne pas les arrêter, c’est l’assurance d’avoir des images d’abribus cassés et de banques saccagées et donc l’assurance de jeter un discrédit sur le mouvement des Gilets Jaunes. De nombreuses vidéos circulent sur Internet de policiers déguisés en casseurs. L’Etat a ensuite beau jeu de déclarer que les violences sont inacceptables.

9 – Une justice punitive
De la prison ferme pour détention d’un masque à gaz ? Bienvenue en France. Des Français sont jugés en ce moment, sans avoir participé à aucune violence envers les forces de l’ordre ni à aucune casse, simplement pour avoir été dans la manifestation à Paris avec un masque à gaz. La prison, infamante pour les gens honnêtes, décourage les plus virulents.

10 – Une police répressive
Grenades lacrymogènes, flashball, canons à eau : si ces faits s’étaient produits en Russie, nul doute que la communauté internationale aurait fait part de son inquiétude quant à la sauvegarde des droits de l’homme. La répression violente des manifestants permet aussi de démoraliser les contestataires, surtout les plus modérés.


Alsace Actu
11. Attentat "terroriste"?
Oops, réflexe complotiste. My Bad.
 
100 balles et un Mars, ça devrait effectivement étouffer les velléités "démocratiques" de la populace...ça a marché, en d'autres temps.
ce mec est jame bond un marché de noel remplis de policiers une balle dans le corps mais il arrive a s echapper bravo l artiste.

Encore une chose etonnante notre jame bond barbu avait une kalash et des grenades chez lui mais en vrai gentleman il prefere tuer avec un pistolet personnelement je trouve cela bizarre
 
Le "Français, je vous ai compris !"? ;)
Nan, dis-moi, ça fait longtemps que j'evite de polluer mon espace personnel avec la com' politique.
Cau Ceascu quand il a promis au peuple une augmentation de 200 lei sur le smic et 100 pour les retraité

Donc à mon avis ça pue... :D
 
ce mec est jame bond un marché de noel remplis de policiers une balle dans le corps mais il arrive a s echapper bravo l artiste.

Encore une chose etonnante notre jame bond barbu avait une kalash et des grenades chez lui mais en vrai gentleman il prefere tuer avec un pistolet personnelement je trouve cela bizarre
Tu sais, je trouve le terrorisme "local" très mal scénarisé depuis Merah...mais j'ai un cerveau malade, donc bon.
 
Cau Ceascu quand il a promis au peuple une augmentation de 200 lei sur le smic et 100 pour les retraité

Donc à mon avis ça pue... :D
Lol, j'étais dans ma prime enfance du temps du gourou "rouge" roumain...mais tu sais quoi, il meurt à la fin, et la Roumanie a actuellement des centres commerciaux qui ravalisent avec ceux de New-York City et a presque réussi à se débarrasser de ses Rom grâce à Schengen. J'essaie de te rassurer là, ça marche?
 
Tu sais, je trouve le terrorisme "local" très mal scénarisé depuis Merah...mais j'ai un cerveau malade, donc bon.
non mais la c est un sketch il se prend une balle dans le corps appelle un taxi tape la discute avec le chauffeur se fait déposer quelques km plus loin ou il echange encore quelques coup de feu avec d autres policiers et parviens a s echapper
 
non mais la c est un sketch il se prend une balle dans le corps appelle un taxi tape la discute avec le chauffeur se fait déposer quelques km plus loin ou il echange encore quelques coup de feu avec d autres policiers et parviens a s echapper
Je n'ai pas trop suivi le déroulement de l'attaque, mais à partir du moment où un fiché S a tout loisir de s'armer, ça pose question. Le timing est un peu suspicieux aussi, tout comme la cavale qui aboutira sûrement par la mort du suspect. Pas de procès, pas de réponses, juste la peur diffuse qui paralysera les initiatives sociales et citoyennes.
 
Des gilets jaunes dans le Pas-de-Calais : «L’attentat, c’est le gouvernement»

Sur le rond-point principal de la petite ville de Lillers, les théories du complot reviennent en boucle après l'attaque de mardi soir.
A Calais, le 23 novembre.
Ils sont déterminés. À Lillers, dans le Pas-de-Calais, les gilets jaunes sont toujours mobilisés. Au lendemain de l’attentat de Strasbourg, la question de poursuivre la mobilisation ne se pose même pas sur le rond-point principal de cette ville de 10 200 habitants.

Pour Christian, 38 ans, l’attentat est «un coup monté». «On fait ***** le monde, poursuit-il. Comme par hasard, ça arrive au moment où ça chauffe le plus.» Jean-Marie, 63 ans, n’en pense pas moins : «L’attentat, c’est le gouvernement. Personne ne me l’enlèvera de la tête !» Maxime, 28 ans, voit aussi dans le drame strasbourgeois «une manipulation». «Du temps de Hollande, il y a eu aussi des attentats. Il a réussi à calmer le jeu et sa cote de popularité est remontée», poursuit le jeune ouvrier. «Vous trouvez ça normal que des fichés S soient libres ? On n’a qu’à les enfermer, et puis c’est tout !» s’agace Patrick, 64 ans.

Ici, l’arrestation ratée du principal suspect alimente le complotisme. «Ils devaient le prendre le matin et bizarrement, ils n’ont pas réussi», s’étonne faussement Christian. Jean-Pierre, 69 ans, est plus mesuré : «Je suis sceptique mais je ne suis pas sur place. On ne peut pas trop juger…»

Sur les réseaux sociaux, les accusations de complot envers le gouvernement ont fleuri aussi vite que les gilets jaunes sur les pare-brise des automobilistes. «Perso, l’attentat à Strasbourg, je n’y crois pas. Ils ne sont même plus crédibles», écrit Fabien dans un groupe fermé de gilets jaunes nordistes. Son post suscite neuf commentaires dont celui de Laurence. «Le gars, sérieux, il est trop fort. Il a déjoué les militaires et après les flics, je n’en peux plus de leurs conneries. Ils pensent vraiment qu’on est des lapins de six semaines.» D’autres échanges sont plus nuancés. «Juste une pensée sincère pour les victimes et leurs familles, sans aucune polémique», écrit Jean-Michel, dans l’une des réponses. Mais pour beaucoup, le doute plane.

Au téléphone, Frédéric, 52 ans, mobilisé depuis le 17 novembre, est de ceux-là. «C’est une magouille de Macron, c’est clair et net.» Et les victimes ? Trois personnes sont décédées, treize autres sont plus ou moins gravement blessées. «Ça nous fait mal aussi mais on sait que Macron en est capable. Il ne pense qu’à lui.»

À Lillers, les appels à ne pas manifester ne seront pas suivis. «Ici, c’est apolitique. On n’a pas de chef. Les gens font ce qu’ils veulent», témoigne Jean-Marcel, 63 ans. «Personne n’est à l’abri d’un attentat, estime Jérôme, 42 ans. Mais faut continuer à vivre.» Samedi, tous seront de nouveau dans la rue à Paris, Lille, ou sur leur rond-point. Certains envisagent de porter un brassard noir en plus de leur gilet jaune, en hommage aux victimes de l’attentat.
 
Je n'ai pas trop suivi le déroulement de l'attaque, mais à partir du moment où un fiché S a tout loisir de s'armer, ça pose question. Le timing est un peu suspicieux aussi, tout comme la cavale qui aboutira sûrement par la mort du suspect. Pas de procès, pas de réponses, juste la peur diffuse qui paralysera les initiatives sociales et citoyennes.

Oui, enfin comme à chaque fois, on préfère évoquer les sionistes ou le gouvernement, mais jamais l'idéologie qui anime ces terroristes. C'est assez désolant…
Edit: je ne parle pas pour toi en particulier

Il y a 20000 fichés S liés à "l'islamisme" radical. Il est clair que les renseignements n'ont pas les moyens humains ni financiers de suivre chacun d'entre eux. Quant au fait qu'ils soient souvent tués, c'est bel et bien ce qu'ils cherchent, mourir en martyrs...
 
En Espagne, le gouvernement augmente le salaire minimum de 22%
Le chef du gouvernement espagnol, le socialiste Pedro Sanchez, a annoncé mercredi qu’il décréterait la hausse de 22% du salaire minimum pour 2019. Cette décision sera entérinée lors du conseil des ministres du 21 décembre qui aura lieu à Barcelone.

La hausse entrera en vigueur "à partir de 2019". Cela constituera "la hausse la plus importante depuis 1977", a déclaré Pedro Sanchez devant les parlementaires.
https://www.ledauphine.com/france-m...ouvernement-augmente-le-salaire-minimum-de-22
Ils ont peur de subir la colère du peuple .
 
Des gilets jaunes dans le Pas-de-Calais : «L’attentat, c’est le gouvernement»

Sur le rond-point principal de la petite ville de Lillers, les théories du complot reviennent en boucle après l'attaque de mardi soir.
A Calais, le 23 novembre.
Ils sont déterminés. À Lillers, dans le Pas-de-Calais, les gilets jaunes sont toujours mobilisés. Au lendemain de l’attentat de Strasbourg, la question de poursuivre la mobilisation ne se pose même pas sur le rond-point principal de cette ville de 10 200 habitants.

Pour Christian, 38 ans, l’attentat est «un coup monté». «On fait ***** le monde, poursuit-il. Comme par hasard, ça arrive au moment où ça chauffe le plus.» Jean-Marie, 63 ans, n’en pense pas moins : «L’attentat, c’est le gouvernement. Personne ne me l’enlèvera de la tête !» Maxime, 28 ans, voit aussi dans le drame strasbourgeois «une manipulation». «Du temps de Hollande, il y a eu aussi des attentats. Il a réussi à calmer le jeu et sa cote de popularité est remontée», poursuit le jeune ouvrier. «Vous trouvez ça normal que des fichés S soient libres ? On n’a qu’à les enfermer, et puis c’est tout !» s’agace Patrick, 64 ans.

Ici, l’arrestation ratée du principal suspect alimente le complotisme. «Ils devaient le prendre le matin et bizarrement, ils n’ont pas réussi», s’étonne faussement Christian. Jean-Pierre, 69 ans, est plus mesuré : «Je suis sceptique mais je ne suis pas sur place. On ne peut pas trop juger…»

Sur les réseaux sociaux, les accusations de complot envers le gouvernement ont fleuri aussi vite que les gilets jaunes sur les pare-brise des automobilistes. «Perso, l’attentat à Strasbourg, je n’y crois pas. Ils ne sont même plus crédibles», écrit Fabien dans un groupe fermé de gilets jaunes nordistes. Son post suscite neuf commentaires dont celui de Laurence. «Le gars, sérieux, il est trop fort. Il a déjoué les militaires et après les flics, je n’en peux plus de leurs conneries. Ils pensent vraiment qu’on est des lapins de six semaines.» D’autres échanges sont plus nuancés. «Juste une pensée sincère pour les victimes et leurs familles, sans aucune polémique», écrit Jean-Michel, dans l’une des réponses. Mais pour beaucoup, le doute plane.

Au téléphone, Frédéric, 52 ans, mobilisé depuis le 17 novembre, est de ceux-là. «C’est une magouille de Macron, c’est clair et net.» Et les victimes ? Trois personnes sont décédées, treize autres sont plus ou moins gravement blessées. «Ça nous fait mal aussi mais on sait que Macron en est capable. Il ne pense qu’à lui.»

À Lillers, les appels à ne pas manifester ne seront pas suivis. «Ici, c’est apolitique. On n’a pas de chef. Les gens font ce qu’ils veulent», témoigne Jean-Marcel, 63 ans. «Personne n’est à l’abri d’un attentat, estime Jérôme, 42 ans. Mais faut continuer à vivre.» Samedi, tous seront de nouveau dans la rue à Paris, Lille, ou sur leur rond-point. Certains envisagent de porter un brassard noir en plus de leur gilet jaune, en hommage aux victimes de l’attentat.
Voilà ça y est, les Gilets Jaunes ont définitivement perdu leurs neurones à force de sniffer des lacrymos, après Monsieur X qui déjà avait l'air d'un échappé de l'asile, ceux là sont bons pour un internement.
 
Si ils font la grève de l'impôt ça ira plus vite . Les coupures de courant c'est efficace ou bloquer les marchés d'intérêts généraux ( genre Rungis )
Certains grévistes l'avaient fait dans le passé .

Les intérêts sur la dette totale des administrations publiques se sont élevés en 2012 à 55 milliards d'euros, soit 2,7% du PIB ou 4,8% des 56,6% de dépenses publiques françaises. Sur longue période, ces charges d'intérêt ont considérablement augmenté puisqu'ils ne représentaient que 0,6% du PIB en 1974. Il y a donc eu une multiplication par quatre en quarante ans, ce qui correspond bien à l'envolée de la dette publique française sur les quatre dernières décennies (passage de 15% à 95% du PIB).

source La Tribune 2013
 
Oui, enfin comme à chaque fois, on préfère évoquer les sionistes ou le gouvernement, mais jamais l'idéologie qui anime ces terroristes. C'est assez désolant…
Edit: je ne parle pas pour toi en particulier

Il y a 20000 fichés S liés à "l'islamisme" radical. Il est clair que les renseignements n'ont pas les moyens humains ni financiers de suivre chacun d'entre eux. Quant au fait qu'ils soient souvent tués, c'est bel et bien ce qu'ils cherchent, mourir en martyrs...
Je ne doute pas que ces types, la majorité en tout cas, sont convaincus d'agir au nom d' une cause transcendante. L'idéologie sous-jacente n'évacue pas la question du "à qui profite le crime?"… Question fondamentale s'il en est. Le recours aux false-flags, la manipulation d'idéologies religieuses ou politiques, le retournement de mouvements spontanés...toutes ces méthodes d'ingénierie sociale et politique ne sont pas des fantasmes mais des réalités quotidiennes.
Quant aux capacités d'action et de prévention des renseignements, j'ai comme un doute...s'ils sont capables de fermer un site abordant le sujet de la pédophilie institutionnelle 20 min après sa mise en ligne, j'imagine qu'ils peuvent "surveiller" les communications d'individus déjà identifiés comme radicalisés. Ces gars là ont besoin de logistique pour commettre leurs méfaits, pas sûre qu'ils échangent par pigeons voyageurs.
Mais bon, comme je l'ai déjà dit, j'ai des problèmes de confiance. ;)
 
Témoignage de gilets jaunes de Montargis partis manifester à Paris : “on nous a traité comme du bétail”



Thomas et Virginie Fort, gilets jaunes de Montargis dans le Loiret avaient décidé, avec une soixantaine d'autres, de monter à Paris sur les Champs Elysées pour manifester samedi 8 décembre. Ils sont revenus choqués par ce qu'ils ont vécu et plus que jamais déterminés à poursuivre le mouvement.

France 3 CVDL : que s'est-il passé samedi 8 décembre à Paris ?
Thomas Fort : Nous sommes arrivés à 7h00 du matin Porte Maillot et nous avons été contrôlés immédiatement par des policiers en civil sans brassard et sans nous montrer de carte. Ils nous ont confisqué nos masques à gaz, nos masques en tissus et nos bouteilles d'eau même celles de 33 cl.


France 3 CVDL : avez-vous pu défiler ?
Th.F : Non. Nous avons dû passer six barrages et ils nous ont laissé juste un drapeau. Même pas de quoi boire. Arrivés à l'Arc de Triomphe, ils nous ont ensuite poussé jusque devant les blindés et ils nous ont encerclé entre l'avenue Hoch et les Champs Elysées. Nous sommes restés là pendant huit heures sans pouvoir sortir.

Virginie Faure : Les gens devenaient fous. Ils ont cassé des barrières pour essayer de sortir. On nous tirait dessus alors qu'on chantait la marseillaise et qu'on avait les bras levés. Une femme à côté de nous s'est pris un tir dans l'oeil, un copain a pris une balle en caoutchouc dans la cuisse.

France 3 CVDL : mais vous saviez qu'il y avait des risques en venant à Paris...
Th.F : On voulait juste défiler et manifester, mais on n'a pas pu, alors que c'est un droit.

France 3 CVDL : aujourd'hui dans quel état d'esprit êtes-vous ?
Th.F : On lâchera rien c'est sûr. Macron à réussi à nous contenir ce week-end, mais la révolte derrière va être encore plus forte. On va s'organiser différemment.
 
Pas autour de moi au contraire même....sur Ifs ce soir ça va bloquer comme d'habitude ils sont toujours motivés les bas normands et les hauts normands...
A Ifs j'y ai bossé et j'y ai été 1 an en formation, ça va surtout embêter les locaux, c'est pas sympa, c'est pas comme ça qu'ils vont avoir du soutien, Ifs c'est une zone d'habitation..
https://www.google.fr/maps/place/If...x772fa926f9028185!8m2!3d49.140254!4d-0.350503
https://www.google.fr/maps/@49.1499...4!1s_jtmdtSzQ_SuRih1JER0Qw!2e0!7i13312!8i6656
 
Une manifestation des gilets jaunes est officiellement prévue samedi à Avignon

Mardi 11 décembre 2018

Les gilets jaunes ont déposé en préfecture une demande de manifestation pour samedi 15 décembre à Avignon. Le rendez-vous est donné à 15h devant la préfecture. Ils estiment que les annonces faites ce lundi par Emmanuel Macron ne sont pas suffisantes.

France bleue vaucluse
 
Je connais un peu Ifs nous avons une agence sur place...mes collègues perdent du temps, sont bloqués pour venir bosser mais ils soutiennent les GJ quand même....:D

A Ifs j'y ai bossé et j'y ai été 1 an en formation, ça va surtout embêter les locaux, c'est pas sympa, c'est pas comme ça qu'ils vont avoir du soutien, Ifs c'est une zone d'habitation..
 
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