Mouvement gilets jaunes

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Déplacement de macron dans l'Eure....

Contrôle d’identité aux abords de #Bourgthroulde : les gendarmes ne font pas que vérifier les pièces d’identité, ils les prennent en photo. « C’est du fichage » dit un manifestant. Les #giletsjaunes reçoivent l’ordre de retirer leur gilet « sous peine de 135 euros d’amende ».


ps : Ce matin apparemment fouille complète des voitures une par une des collègues de travail ont été bloqué....en plus des PI....


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135 euros l'amande pour port de gilet jaune ?
Mdr c'est quoi ça encore...
Faut pas choquer le roi de France ?
 
Oui c'est ce que je suis en train de lire sur face de bouk ....le GJ de Rouen lool....apparemment certains essaient de s'approcher du napomacron et ils passent par les champs dans l'Eure .....:D
135 euros l'amande pour port de gilet jaune ?
Mdr c'est quoi ça encore...
Faut pas choquer le roi de France ?
 
On a un problème
Mondiale de dettes
Ce qui va nous conduire à des
Gilets jaune sur toute la planète
Voir à des guerres
Macron ou toute autre personne
Politique ne peut solutionner ca
Ca fait 70 ans qu' on fait que des
Crédits maintenant la récréation
Est fini et c.est qu' un début
Les états vont.disparaître
Car plus d argent réel
 
Le naturel est toujours là :fou:

Lors de son passage au conseil municipal de Gasny, Emmanuel Macron a laissé échapper une petite phrase qu'il affectionne.

"Une partie du traitement de la pauvreté est dans les personnes qui vivent en situation de pauvreté. Pas dans le face-à-face entre ceux qui profiteraient d’un côté et ceux qui seraient les vaches à lait de l’autre. Elle est dans un travail collectif très fin. Les gens en situation de difficulté, on va davantage les responsabiliser car il y en a qui font bien et il y en a qui déconnent."
 
On a un problème
Mondiale de dettes
Ce qui va nous conduire à des
Gilets jaune sur toute la planète
Voir à des guerres
Macron ou toute autre personne
Politique ne peut solutionner ca
Ca fait 70 ans qu' on fait que des
Crédits maintenant la récréation
Est fini et c.est qu' un début
Les états vont.disparaître
Car plus d argent réel
Parait il qu il y aura plus d imprimerie sur les euros
 
On a un problème
Mondiale de dettes
Ce qui va nous conduire à des
Gilets jaune sur toute la planète
Voir à des guerres
Macron ou toute autre personne
Politique ne peut solutionner ca
Ca fait 70 ans qu' on fait que des
Crédits maintenant la récréation
Est fini et c.est qu' un début
Les états vont.disparaître
Car plus d argent réel
S'attaquer à la mafia mondiale et revenir à la vraie spiritualité .
 
Encore une blessé grave à cause de ce gouvenrment d'assassins et de voleurs .Gouv qui soutient l'entité illégale créée en 1948 via l'onu ex sdn sans légitimité et c'est lié .
*
"Ce geste est disproportionné et intolérable", a réagi mardi 15 janvier sur France Bleu Gironde, Cindy, la compagne du "gilet jaune" qui est dans le coma, après avoir été touché par un projectile, après une nouvelle manifestation samedi à Bordeaux. "Il faut que quelqu’un apporte des réponses aux questions que l’on se pose quant à l’utilisation de cette arme", par les forces de l'ordre, poursuit-elle. L'Inspection générale de la police nationale a été saisie lundi matin pour enquêter.

L’homme, pompier volontaire à Bazas (Gironde), a été touché à la tête, peut-être par un tir de balle de défense, alors qu’il défilait entre la rue Sainte-Catherine et la rue de la Maison Daurade, en plein centre-ville. Opéré en urgence après une hémorragie cérébrale, il a été placé en coma artificiel. "Il est toujours inconscient à l’hôpital. Il n’y a pas beaucoup d’amélioration pour l’instant. Les médecins restent sur la réserve, car il n’y a pas d’évolution", a indiqué Cindy.

Au moment du tir, mon mari est de dos par rapport aux policiers.Cindy

Elle ne comprend pas ce qui a pu se passer, alors "qu’il ne court pas, il ne prend pas la fuite, il n'a même rien dans les mains. Je ne comprends pas le geste du "policier". Nous n'étions pas ensemble à ce moment-là. Dès qu'il y a eu des gaz lacrymogènes, nous nous sommes séparés. Je suis partie plus vite que lui. Je pensais qu'il me suivait mais pas du tout. J'ai pris une rue à gauche, il a dû prendre à droite et pensait que les policiers ne suivaient pas. Et ensuite, tout le monde a vu la vidéo, il se fait tirer dessus au niveau du visage", a-t-elle ajouté.

On était juste en train de manifester.Cindy

"Je ne comprends pas pourquoi ils ont envoyé des gaz lacrymogènes. On a bien vu sur les vidéos que tout le monde arrivait sur la place et que tout se passait bien. Les débordements, on voit bien chaque semaine que c'est en fin de journée que cela se produit, pas à ce moment-là", a poursuivi Cindy. "Je serais bien allée porter plainte, mais on m'a conseillé d'attendre et voir comment il allait se rétablir. Ce sera la décision de mon mari et pas la mienne", a-t-elle conclu
 
Des employés ramassent les déchets à la Mecque... des employés en colère , vêtus de gilets vert vif, traversent les ruelles, ...
 

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Pompier dans le coma bordeaux: Dissimulation de preuves! Ecoutez ce qu'il dit le chef des policiers : -ils savent pas que c'est nous! Nous on sait pas! -Ramenez les douilles (faut pas qu'on voit ça!)


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Le préfet de Gironde et le parquet de Bordeaux ont annoncé avoir saisi l’Inspection Générale de la Police Nationale (IGPN) suite à « la diffusion sur internet et certains réseaux sociaux d’une vidéo révélant qu’un manifestant a été blessé à la tête en marge de la manifestation des Gilets jaunes ». Uneenquête pénale a été ouverte.

Lors de l’acte 9 des Gilets jaunes, samedi 12 janvier, ce manifestant de 47 ans avait été blessé à la tête à la suite de tirs policiers au moyen d'un lanceur de balles de défense. L'homme, également pompier volontaire, a ensuite été placé en coma artificiel.

Plusieurs vidéos de la scène ont été diffusées
Plusieurs vidéos ont été diffusées montrant des étapes différentes d'une même scène, dans l'hyper-centre de Bordeaux en fin d'après-midi, alors que la manifestation de l'acte 9 dégénérait en heurts avec les forces de l'ordre.

Sur l'une de ces vidéos, amateur, on voit un policier tirer au lanceur de balle de défense, un autre lancer un projectile qui pourrait être une grenade de désencerclement, en direction d'une rue où quelques secondes plus tôt s'étaient engagés en courant des Gilets jaunes.

La même vidéo, ininterrompue, montre quelques secondes plus tard un des ces hommes allongé immobile face contre terre, saignant de la tête, sans qu'aucune image n'avère si la blessure est la conséquence directe de l'impact d'un projectile, ou liée à la chute.

D'autres images, quelques secondes plus tard, dont celles d'une journaliste , montrent le blessé
assisté par des secouristes bénévoles, puis pris en charge et évacué, manifestement conscient, par les pompiers. >
https://www.ouest-france.fr/societe...ilet-jaune-dans-le-coma-l-igpn-saisie-6176765

:malade:

mam
 
GILETS JAUNES - La réponse d'Éric Drouet à la lettre d'Emmanuel Macron tient en trois lettres: R.I.C. Dans un communiqué publié ce lundi 14 janvier, ce leader des gilets jaunes a fait savoir à Emmanuel Macron que seul un Référendum d'Initiative Citoyenne pouvait permettre le "retour à l'apaisement".

"La solution nous vous la donnons", écrivent les auteurs du communiqué publié sur la page Facebook "la france en colère !!!". Le groupe porté par Éric Drouet n'a qu'une revendication: la mise en place du "RIC en toutes matières", c'est-à-dire un référendum qui cumule des pouvoirs législatif, révocatoire, constituant (la capacité à modifier la Constitution) et exécutif (abroger ou non les traités).
huffingtonpost
 

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Une pétition pour réclamer la mise en œuvre du référendum d'initiative citoyenne a été lancée, lundi 14 janvier. Le texte demande également "la baisse des taxes de première nécessité et des salaires des élus". Il a déjà recueilli plus de 22 000 signatures depuis son lancement.

Derrière cette initiative se trouve Priscillia Ludosky, l'une des figures du mouvement des "gilets jaunes". C'est elle, déjà, qui avait lancé une pétition "pour une baisse des prix du carburant à la pompe" à l'automne dernier. Son texte, qui avait dépassé le million de signataires fin novembre, s'était imposé comme l'un des actes fondateurs de la mobilisation.

"Il faut de l'expression citoyenne"
Le référendum d'initiative citoyenne, appelé communément RIC, est l'une des revendications les plus partagées par les "gilets jaunes". Sur ce point, Emmanuel Macron a émis quelques réserves, mardi 15 janvier, en lançant dans l'Eure le grand débat national. S'il a reconnu qu'une "réflexion sur nos différentes formes de démocratie" avait sa place dans le grand débat national, le chef de l'Etat estime qu'"on ne doit pas créer une situation de concurrence entre les formes de démocratie". "Si un référendum d'initiative citoyenne, chaque matin, peut revenir sur ce que les parlementaires ont voté, là on tue la démocratie parlementaire". Selon lui, "il faut de l'expression citoyenne mais il ne doit pas y en avoir sur tous les sujets".

fracetvinfo
 
Cindy Béziade, la femme du gilet jaune blessé samedi à Bordeaux et aujourd'hui dans le coma, exprime sa colère.


Un acte disproportionné, "barbare" et délibéré: Cindy Béziade ne "pardonne pas" à la police déployée face aux "gilets jaunes" samedi dernier à Bordeaux d'avoir tiré "en pleine tête" au lanceur de balles de défense (LBD) sur son mari Olivier, depuis dans le coma. Les dernières nouvelles, un message posté sur Facebook par son épouse, datent de mardi soir, trois jours après la manifestation. Sur son lit d'hôpital, le père de trois enfants, pompier volontaire à Bazas (Gironde), est toujours inconscient. "Il est en réanimation. Il n'est plus dans le coma artificiel mais il ne se réveille pas de lui-même, c'est très compliqué. Il n'ouvre pas les yeux, il ne parle pas, rien. Il réagit à la stimulation uniquement, il est loin...", .


Tout avait bien commencé samedi à la manifestation bordelaise, raconte-t-elle. "On marchait tous dans la rue Sainte-Catherine", une artère piétonne et commerçante de l'hypercentre. "C'était bon enfant. Il n'y avait aucune casse. Même les commerçants laissaient leurs affaires à l'extérieur." Mais avant d'arriver sur la place de la Comédie, "on a été gazé" (reçu du gaz lacrymogène, ndlr) par les forces de l'ordre, ce qui "a dispersé tout le monde". Elle perd alors son mari. Ces moments ont été filmés par plusieurs journalistes et vidéastes amateurs. Mardi soir, Cindy Béziade a de nouveau laissé éclater sa colère en relayant l'une d'elles sur Facebook: "Ça se passe de commentaires, je suis furieuse". Ces vidéos montrent des policiers casqués, dont certains en civil, d'autres en uniforme avec boucliers et matraques, charger des manifestants rue Saint-Catherine. Aucune ne montre une menace immédiate contre eux.

parismatch
 
Cindy Béziade, la femme du gilet jaune blessé samedi à Bordeaux et aujourd'hui dans le coma, exprime sa colère.


Un acte disproportionné, "barbare" et délibéré: Cindy Béziade ne "pardonne pas" à la police déployée face aux "gilets jaunes" samedi dernier à Bordeaux d'avoir tiré "en pleine tête" au lanceur de balles de défense (LBD) sur son mari Olivier, depuis dans le coma. Les dernières nouvelles, un message posté sur Facebook par son épouse, datent de mardi soir, trois jours après la manifestation. Sur son lit d'hôpital, le père de trois enfants, pompier volontaire à Bazas (Gironde), est toujours inconscient. "Il est en réanimation. Il n'est plus dans le coma artificiel mais il ne se réveille pas de lui-même, c'est très compliqué. Il n'ouvre pas les yeux, il ne parle pas, rien. Il réagit à la stimulation uniquement, il est loin...", .


Tout avait bien commencé samedi à la manifestation bordelaise, raconte-t-elle. "On marchait tous dans la rue Sainte-Catherine", une artère piétonne et commerçante de l'hypercentre. "C'était bon enfant. Il n'y avait aucune casse. Même les commerçants laissaient leurs affaires à l'extérieur." Mais avant d'arriver sur la place de la Comédie, "on a été gazé" (reçu du gaz lacrymogène, ndlr) par les forces de l'ordre, ce qui "a dispersé tout le monde". Elle perd alors son mari. Ces moments ont été filmés par plusieurs journalistes et vidéastes amateurs. Mardi soir, Cindy Béziade a de nouveau laissé éclater sa colère en relayant l'une d'elles sur Facebook: "Ça se passe de commentaires, je suis furieuse". Ces vidéos montrent des policiers casqués, dont certains en civil, d'autres en uniforme avec boucliers et matraques, charger des manifestants rue Saint-Catherine. Aucune ne montre une menace immédiate contre eux.

parismatch
Avec les vidéos qui montrent qu'ils ramassent les douille pour dissimuler leur forfait :fou:
 
LE CONTRE-DÉBAT NATIONAL À MACRON : Des Gilets jaunes prennent la parole

 
Des policiers reconnaissent des «actes violents», mais invitent les politiques à endosser l'uniforme



3 personnes ont perdu l'usage d'un œil depuis le début du mouvement des Gilets jaunes. Le DGPN rappelle les modalités d'usage du LBD40 aux policiers. Les effectifs de terrain, qui invitaient déjà les politiques à endosser l'uniforme, apprécieront.

Selon un décompte réalisé par le site Checknews de Libération, 68 personnes ont été blessées par des tirs de lanceur de balle de défense (LBD40, parfois appelé par erreur «Flash-Ball») depuis l’acte 1 des Gilets jaunes, le 17 novembre. Parmi les blessés, 13 personnes ont perdu un œil. Dans ce contexte, Eric Morvan, Directeur général de la police nationale a, selon les informations de FranceInfo, envoyé un télégramme le 15 janvier à ses effectifs pour rappeler les conditions d'utilisation de cette arme non-létale au cours des opérations de maintien de l'ordre...................

https://francais.rt.com/france/5804...ts-mais-invitent-politiques-endosser-uniforme
 
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