L athee cest le rejet de toute metaphysique
Donc je ne comprends pas ta phrase en fait
Confirmer experimentalement ton semblant de raisonnement reviendrait a demontrer qu au sein de lunivers ou toute chose existante a une cause il y a lenergie qui viole cette loi empirique constatee partout et en tout lieu partout dans lunivers
Toi, tu essaie d'introduire un concept divin dans les équations de la physique. Petit dialogue entre Napoléon et Laplace :
- Napo : vous nous avez écrit un bel ouvrage sur l'univers, mais, nulle part, il n'y ai fait mention de son créateur.
- Laplace : C'est parce que je n'ait eu nul besoin de cette hypothèse, Sire.
Dieu, dans la physique, c'est une hypothèse inutile. Autant l'éliminer des équations. Les équations les plus simples sont les plus belles.
Passons maintenant à la métaphysique, qui correspond, stricto sensu, à la connaissance du monde, des choses et des processus "au delà" de l'expérience sensible que nous en avons.
Par conséquent, c'est ce qui reste au delà de la physique. Donc, à la fin du XIXème siècle, la catastrophe ultraviolette,
c'était, ni plus ni moins, de la métaphysique. Sans parler de cette histoire d'éther (Voir Michelson et Morley) qui relevait, elle aussi, de la métaphysique de l'époque.
Je rappelle, simplement, que la résolution de ces deux "nuages" (Selon l'expression de Lord Kelvin, le 17 avril 1900) a conduit aux découvertes révolutionnaires de la mécanique quantique et de la relativité.
Revenons à maintenant :
Il nous faut bien admettre que la physique actuelle est arrivé à ses limites. Le modèle standard peine à relier gravitation et physique quantique. Le mur de Planck, pour les physiciens, reste le mur du son pour les aviateurs du début du siècle dernier. A part le boson de Higgs et les ondes gravitationnelles, on reste dans le spéculatif.
Et le spéculatif, que tu le veuilles ou non, ça relève, ni plus ni moins, du domaine de la métaphysique.
Et malgré les nouvelles découvertes et les nouvelles révolutions, tu pourras toujours venir pérorer sur les forums en essayant encore et toujours de réintroduire du divin dans la physique ou la métaphysique.
Et, à chaque fois, à chaque avancée de la physique, tu auras toujours cette impression de victoire sans gloire, en spéculant, du divin.
Parce que le divin, ça ne correspond, ni plus ni moins, à ce qu'on ne sait pas.
C'est la métaphore de l'iceberg. (Cherche pas, je viens de l'inventer)